n° 09415 | Fiche technique | 33959 caractères | 33959Temps de lecture estimé : 19 mn | 16/07/05 |
Résumé: Mon employée, binoclarde, se révèle une petite merveille sexuelle | ||||
Critères: fh hplusag poilu(e)s fmast fellation cunnilingu nopéné | ||||
Auteur : Toni 13 (Universitaire marseillais, quinqua...) Envoi mini-message |
CONCOURS N° 111
" Préliminaires… " corrigé
La binoclarde
(Nota : les lieux sont authentiques, mais je les ai arrangés pour que mon histoire tienne debout…)
Assise au bord de sa chaise, les coudes serrés, tête baissée, à travers ses grosses lunettes elle tapait sur le clavier…
C’était à Marseille, un beau vendredi d’automne où, fin d’après-midi, j’avais fini un boulot à rendre lundi. Elle mettait au propre et tapait le rapport que je venais de lui dicter quelque peu en vrac. Bonne fille, elle s’escrimait pendant que, feignasse, sans conviction je feuilletais une revue professionnelle.
Marseillais, 45 berges, célibataire pas minet, cheveux et barbe ras, expert maritime je voyageais beaucoup, mais ensuite finissais mon travail chez moi, seul avec mon ordi et mon répondeur. De temps en temps, pour certaines longues frappes qui me bassinaient, une agence m’envoyait une intérimaire : Martine 27 ans. Sympa et compétente, je l’aimais bien.
Gironde, brune cheveux mi-longs mais mal fagotée elle n’avait encore rien éveillé chez moi. Pas vraiment avenante mais efficace je comprenais que l’agence la garde sur ses listes, et me l’envoie fréquemment. Je disais " gironde ", je précise : gironde mais pas si ronde. En fait, plutôt mince, petit cul et cuisses bien moulées serrées dans son jean, la silhouette n’était pas mal, mais quelle idée avait-elle de porter cette blouse grisâtre et pendouillante ? et quelle idée ces lunettes à monture lourdingue ? C’est vrai, elle n’avait pas beaucoup de nichons et il n’y avait pas grand-chose à voir donc à cacher…, c’est vrai, elle était vraiment myope…, mais vraiment elle ne faisait aucun effort pour s’arranger.
Je remâchais ces pensées entre deux articles peu accrocheurs. Je levai les yeux et rencontrai ceux de Martine qui reprenait son souffle entre deux chapitres.
Elle avait l’air godiche, mais en fait elle n’était pas coincée du tout, comme je vous allez l’apprendre dans cette petite nouvelle. Je replongeai dans mes lectures, mais mon attention maintenant était ailleurs. Je la regardai à nouveau. Ses binocles régulièrement glissaient sur son petit nez, et elle les remontait chaque fois. Je la fixais. Lors d’un de ces " relevages ", elle dut le sentir et son regard rencontra le mien. Elle sourit, comme gênée…
Je me levai, m’approchai et me penchai vers elle.
Levant le nez et laissant le clavier, elle n’osa pas refuser. Je farfouillai dans un tiroir, trouvai une pince, puis un chiffon propre. Une petite torsion de chaque côté et…
Elle pivota vers moi. Je posai les carreaux sur son nez.
Elle hocha la tête pour vérifier.
Je restai près d’elle, m’asseyant sur le coin de son bureau. Elle avait presque fini. Jamais je n’avais été aussi proche d’elle, de son corps. Elle me jetait des regards du coin de l’œil. Je me penchais comme pour la respirer. Elle sentait bon. Un trouble s’installait.
Je me levai, ne sachant plus quoi faire. En fait, dans ma tête et dans ma braguette commençait à poindre une lueur de désir…, je ne savais pas de quoi, moi qui aimais les femmes plutôt charnues. En fait, même si mal fringuée, j’avais soupçonné des formes bien galbées, et tant pis pour les nichons, petits je ferai avec, me dis-je une lueur traversant mon esprit…
Je ne sus que dire, elle allait partir, j’avais envie que quelque chose se passe… Elle faisait mine de se préparer, mais on aurait dit qu’elle aussi faisait traîner.
Elle ne dit plus rien, je ne dis plus rien… Je pris mon courage à deux mains :
Elle se dandinait, près de la porte prête à partir, à ces mots elle s’immobilisa, rosissante.
Ouvrant la porte, je la pris par le bras :
*
Nous nous installâmes juste à côté de chez moi aux Danaïdes, belle terrasse un peu en recul de la circulation derrière une fontaine. Des arbres…
Rosissant à nouveau, elle resta silencieuse.
La conversation démarrait de façon poussive. Nous commandâmes les consommations, puis :
Une pause… Je bois, elle lève aussi son verre…
Une autre pause. Il n’était que 17h. Nous échangeons quelques banalités, buvons, traînons. J’appelle le garçon pour payer, puis je me lance :
Je me lève et, d’autorité :
Médusée, elle se lève aussi. J’avance. Elle me suit. Nous descendons tranquillement les Allées de Meilhan et ne tardons pas à arriver sur le Cours Belsunce (c’était avant les travaux du Tram, qui foutent la panique en ce moment…). Nous badons un peu, jetant un coup d’œil à droite et à gauche. Pas mal de monde en fin de semaine. Nous rentrons dans le Centre Bourse, nous promenons et, dans la galerie haute, une boutique soldait. Martine se précipite et commence à farfouiller. Elle tombe sur une autre horreur, même genre pendouillant à tout planquer, me la montre.
Je farfouille à mon tour. Elle se penche à côté de moi. Sa blouse baille et j’entrevois ses nichons qui jusque-là restaient invisibles : en fait de jolies petites poires, bien pointues, à peine cachées par un soutien-gorge mini. Les yeux captivés, je suis immobilisé…
Elle s’en aperçoit et, piquant un fard, se redresse vivement. Mine de rien, je continue à farfouiller et tombe sur un tricot de coton genre moulant, manches courtes.
Elle ressort de la cabine toute gênée, je vois bien parce que ses petites doudounes sont mises en valeur… Elle s’avance de biais, comme pour se cacher.
Pivotant rapidement, elle tout de suite elle me tourne le dos..
Je n’insiste pas. Elle ressort, à nouveau revêtue de cette vilaine blouse.
D’autorité, je lui prends des mains le tricot qu’elle allait reposer sur le tas, vais à la caisse et le paye…
Elle sourit :
Elle reste coite, nous allions sortir.
Docile, elle fait ce que je dis, et revient, encore un peu gênée. Nous avançons dans la galerie. Certains regards d’hommes se posent sur elle. Elle sent. Je la prends par le bras.
Elle était embarrassée par le sac contenant sa blouse.
Je la raccompagne, la laisse et vais vers le resto…
*
19h, la nuit d’automne arrive. Il fait encore chaud. Je l’attends sur le trottoir faisant les cent pas. Elle arrive. Elle a arrangé son minois et, mieux coiffée, souriante elle est maintenant tout à fait avenante pour un œil averti (le mien en l’occurrence…).
Nous dînons comme si nous étions de vieux amis. Elle s’est vraiment décoincée. Nous nous tutoyons. Au dessert, un peu pompette (elle n’avait guère l’habitude de boire, pourtant j’avais fait attention à ne pas forcer les doses) elle en vînt aux confidences, mais retenues. Toutefois, par petits bouts, j’arrivai à reconstituer une histoire. Gamine avec des parents peu ouverts, étudiante elle était restée sur ses gardes. Quelques amies et amies, mais guère d’exubérance. Des petits flirts avec les maladroits, dont le pire était celui qui l’avait déflorée sans poésie ni tendresse. Ce mec était sûrement comme d’hab, comme la plupart de nous autres : balourd… et je dis ça avec conviction parce moi aussi j’ai mis longtemps à être attentif à mes copines… Je lui livrai en retour mes confidences : célibataire (redevenu…), sans enfants, déniaisé par une amie de ma mère, devenu vadrouilleur après quelques échecs douloureux, libre d’attaches, j’étais disponible mais vu mes fréquents déplacements je n’avais pas envie de nouer de relation stable. Prêt pour un gentil épisode, mais pas plus. Avertie, elle était…
Le repas fini, sur le trottoir je lui prends le bras.
Boum, la sentant tout contre, mon sang ne fit qu’un tour et dans ma braguette cette vive réaction qui, comme je le craignais, allait handicaper ma marche… Ainsi, embarrassé trottinant à petits pas, de mon bras je la presse contre moi. Elle se laisse faire. Réponds même à ces petites avances me rendant pression pour pression… Allant vers chez elle, nous arrivons à la Rotonde, petit espace circulaire un peu planté.
Nous le traversons… Un banc…
Sur un banc, loin du réverbère, presque cachés, je la serre doucement contre moi.
Elle se laisse faire, puis participe, sa langue répondant à la mienne. La coquine ! elle cachait bien son jeu ! De tels premiers instants sont toujours magiques, surtout quand comme celui-là ils en ne résultent pas d’une stratégie.
Je rencontrai un de ses petits chapeaux chinois. De l’index, je fis sortir du bonnet un téton dont je pus ainsi apprécier l’érection. Je n’insistai pas, et baissai cette main pour arranger ma queue gonflée tant bien que mal au creux de mon aine… et ce ne fut pas sans peine à travers le jean !
Nous nous embrassions goulûment, comme si notre vie en dépendait.
D’un bras, elle s’accrochait à mon cou, de l’autre elle me serrait la taille. Ma main revînt sur un nichon, mais tout d’un coup, je me mis à penser à ses cuisses. Baissant les yeux je les vis s’écarter lentement. Etait-ce afin que je puisse me rapprocher de l ’endroit le plus chaud ? Pourtant prise dans son jean, il était évident qu’aller plus loin était bien difficile, surtout dans cette situation impromptue, là sans véritable intimité.
Action instinctive mais utopique ! bon…
Ainsi, je lâchai son nichon pour aller doucement pétrir sa cuisse, tandis que de l’autre main, je descendais de son cou vers ses reins. De la peau au-dessus de sa ceinture, mais là aussi, pas moyen d’aller plus loin plus bas … trop serré ! Coincé de partout… Pétrissant toujours sa cuisse, je me rapprochai néanmoins de là où elles se joignent. Nous nous embrassions toujours goulûment, son compas s’ouvrant, se relâchant doucement sans crainte. Était-ce une invite ? Je ne voulais rien précipiter afin de ne rien gâcher…
Gorge serrée, j’avalais ma salive… ça y était !
Et nous nous remîmes à nous boire, à sucer nos langues… Je triquais comme un fou, et ma main était proche de son entrecuisse… Je l’atteins… C’était chaud, ça devait être bien mouillé… Comme je lui aurais brouté le minou, à cet instant !
Alors, elle écarte franchement les cuisses et en même temps je sens sa main s’approcher de ma braguette… Elle la pose sur ma cuisse. Timidement, elle s’approche…Quelle coquine ! comme elle cachait bien son jeu ! Elle est exactement comme je les aime : personne les remarque, mais pour qui sait y voir et y faire : un trésor… ! J’aurais dû être un peu plus attentif chaque fois qu’elle venait bosser…, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Allait-elle m’en remontrer ? pas fier, ça ne me gênait pas quand on pouvait partager un plaisir.
Quelle que soit celle ou celui qui prend l’initiative, comment ne pas être " d’accord ?. Et puis, ce n’est pas elle qui draguait, ni moi : j’avais juste fait en sorte qu’elle se sente bien et on dirait qu’elle l’était…
Mais sa main ne bougeait plus. Je n’étais pas pressé… En fait, ne me racontai-je pas des histoires en m’imaginant qu’elle voulait ma queue ? en tous cas, mon bandar, raide un max était presque douloureux…
Quant à main entre ses cuisses, elle ne peut guère aller plus loin. Pour un homme, ce n’est pas pareil, notre queue peut sortir. J’en étais là de mes pensées fugaces, me disant que c’était un peu tôt pour libérer mon mandrin… Et puis les femmes aiment les préludes, et moi aussi… Mais sa main était là ! cruel dilemme. Toutefois, une spontanéité sans stratégie puisque rien de prévu ce soir, n’était pas sans charme.
Pour ne rien précipiter, je décidai de m’occuper vraiment de ses nichons. Les tétons restaient sortis, ce que je voyais bien sous son tricot bien que l’éclairage de notre banc soit discret. Je relève le tissu et commence à bisouiller ces petites pointes.
Il ne fait pas froid, elle relève son tricot jusqu’aux aisselles. Son soutif vite dégrafé, sa main revenue près de ma braguette, je m’occupe des petits courageux qui bandent si bien. L’un puis l’autre entre dents et lèvres, et à mon tour je bredouille :
Et oui, sans effort (mais avec l’âge…) j’avais compris que pour avoir du plaisir, la meilleure chose était d’abord de s’occuper du plaisir de l’autre. D’ailleurs, ces petits chapeaux chinois me faisaient surbander… Je me redressai pour l’embrasser à nouveau.
Sa main toujours près de ma braguette… ma main sur cette main… une légère impulsion et sans plus hésiter, elle enserre ma verge qui gonflait mon froc.
Elle l’agrippe… la presse… en fait tout ce qu’on peut faire sans la sortir…
Nous nous embrassons toujours… je sens que sa main entreprend de déboutonner ma braguette… quelle coquine ! d’étonnement en étonnement, je me laisse faire. Je l’aide car moi aussi j’ai un jean, vêtement le plus malcommode qu’on puisse imaginer pour les papouilles.
Un coup d’œil : nous sommes suffisamment planqués et la lumière est suffisamment faible. Je me soulève, baisse un peu mon pantalon et repose mon cul nu (sauf le slip…) sur la banquette. Elle farfouille et trouve la chose, grosse et raide.
Elle avait repris ma queue en main, la branlant doucement mais fermement, descendant de temps en temps pour empoigner les couilles et les serrer.
Ne suivant pas le conseil, au contraire elle accéléra et, ça alors ! d’un coup elle retire ses binocles, se penche et me prend en bouche…
Elle ne me lâchait pas… elle voulait donc tout avaler pour me terminer… ! allant de surprise en surprise, je me laissais aller… La tension montait. Sentant venir la giclée, je fis (presque) la grimace.
La vague arrivai. Son empoignade s’accéléra, ses sucions forcirent… Je lâchai tout… Elle continua, aspirant tout jusqu’à la dernière goutte. Des soubresauts…
Crispé, tout agité je me relâchai et l’entendit déglutir. Elle se redressait.
*
Un long baiser, puis nous reprîmes notre souffle… Un moment passa. Nous nous tenions tendrement l’un contre l’autre, la main dans la main. Je remontai mon froc. Elle parla la première :
Un ange passa…
Mais je culpabilisais… j’avais été seul à jouir.
Elle était complètement à l’aise. Je ne l’aurais jamais imaginée comme ça ! Je ne savais plus où j’étais, moi qui avait tant de mal à décontracter mes " belles " copines.
Ses doigts étaient encore salés.
Surprise un temps, elle remet sa main dans sa culotte, et me la redonne. Je les suce avec avidité, puis je reviens à sa bouche. Nos langues encore se nouent. Je ne peux en rester là…
Je l’entraîne. Mollement elle résiste… puis me suit. Nous pénétrons ce fourré, pas très grand. Là, debout complètement cachés, nous nous embrassons à nouveau. Nous nous serrons. Comme j’aime ces moments où chacun se livre à l’autre. La végétation, assez haute, n’était là que pour cacher le poste d’eau du jardin. Sur la construction, un coin pas très haut lui fera un bon siège, et je pourrai m’agenouiller devant elle…
D’abord, m’asseyant sur le poste je l’approche de moi et défait sa ceinture. Elle se laisse faire. Je baisse son pantalon.
Elle se libère, je plie son pantalon et le pose à côté de moi. Sa chemise est bien plus longue que le tricot que je lui ai offert. Presque une courte robe… laissant apparaître deux cuisses galbées, fortes et longues en même temps. Je les prends à pleines mains, les embrasse, les pétris doucement… Je remonte sous sa chemise et rencontre sa culotte. Pas une de ces brésiliennes qui obligent à se " faire le maillot ", ce que je déteste : vilain à voir, désagréable sous la langue, non : une vraie culotte, comme dans le temps…
J’empoigne alors ses fesses et, d’un coup fourre ma tête sous sa chemise, contre cette culotte. Je sens son buisson bien dru, sous le tissu contre ma joue. Je tourne la tête, et de ma langue essaye de remonter sous l’élastique, mais pas besoin car ses poils dépassent… Mmmm, comme j’aime ces frisottis qui descendent presque sur ses aines… ! ! !
Elle restait plantée là, gênée… Culotte aux pieds. J’arrange son pantalon sur le ciment du poste d’eau et me relève.
Embarrassée, elle dégage ses chevilles et s’assied. Les jambes encore serrées, je m’agenouille devant elle et les écarte. Pas beaucoup de lumière, mais assez pour apprécier la noirceur de sa fouffe.
Penchée en arrière sur ses bras tendus, elle écarte alors franchement les cuisses. De mes mains, j’ouvre son buisson et me rapproche doucement de sa chair, toute gonflée, bien pleine de jus…
D’abord, j’essayai d’embrasser sa fente comme une bouche, inclinant ma tête et léchant ses lèvres. Elles glissaient contre les miennes, sans que je puisse vraiment les sucer, comme je l’aurais fait plus haut. Tant pis (tant mieux !), je me mis à les aspirer et les suçoter de mon mieux…
Cette chatte baveuse dégoulinait dans ma barbe… Je me régalais ! Redressant ma tête, je remontai vers son bouton pour le titiller de ma langue pointée comme une petite bite. Puis je l’embrassai lui aussi… Le suçotai… Et aussi je lapai de haut en bas, du bord de son anus jusqu’au clitounet… Et je me remis à grignoter le bouton…
Je n’avais pas besoin de grands mots pour être content… Il me suffisait de l’entendre ainsi, et j’avais surtout envie de la sentir contente. Triquant comme un mulet, j’ouvris à nouveau ma braguette, non pas pour manipuler ma bistouquette, mais pour lui donner de l’air, la libérer de sa prison…
Martine ahanait, moi la bouche pleine ne pouvant lui répondre… Elle se mit à tressauter : elle était au bord.
Je me mis en devoir d’accentuer mon action, masturbant alors furieusement son clito de ma langue qui, je l’avoue, une crampe venant commençait à perdre de son efficacité…
Un flot supplémentaire de mouille m’abreuva… J’avalai comme je pus…
Martine soufflait… moi aussi… Moi toujours agenouillé entre ses cuisses, elle avachie sur le dos… Moi vautré sur elle, anéantis nous nous laissons aller essayant de reprendre nos esprits.
Ce fut long, et après de si forts moments si rapidement survenus, il fallait prendre un peu de distance pour apprécier. Après avoir rectifié nos tenues, nous retournâmes sur le banc comme deux amoureux, et continuâmes par de tendres bisous, appuyés et humides… mais tendres !
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Il se faisait tard. Je la raccompagnai, croisant de rares et tardifs passants, me disant in petto " si vous saviez ce que cette petite cache derrière son air cruche… ". J’étais comme tout fier à m’imaginer que ceux qui l’avaient touchée avant moi n’avaient pas su en profiter et surtout lui faire plaisir comme je venais de le faire. Toutefois, comme rien ne le prouvait, je rabattis vite mon caquet… C’est à elle qu’il fallait penser, elle cette révélation, pas à ma gloriole.
Arrivés devant chez elle, nous nous dîmes un au revoir prometteur de suites (que je ne vous raconterai peut-être pas, c’était pour le concours 111 " Préliminaires "… corrigé en fonction des critiques, et j’attends les nouvelles avant d’oser écrire cette suite).
Toni
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