n° 09422 | Fiche technique | 16204 caractères | 16204Temps de lecture estimé : 10 mn | 18/07/05 |
Résumé: Ma première expérience vraiment coquine avec Sally: massage, épilation et volupté. | ||||
Critères: fh couple fépilée voir odeurs massage rasage anulingus 69 pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Pierri Envoi mini-message |
L’histoire que je vous raconte s’est passée il y a dix ans.
J’avais rencontré depuis quelques mois Sally, une femme superbe d’origine marocaine - mais, avant qu’elle me le dise, je l’aurais plutôt crue espagnole ou sud-américaine. J’avais 40 ans, elle 28, nous nous plaisions beaucoup et elle est venue vivre avec moi.
Nous faisions l’amour au moins une fois par jour, c’est-à-dire certains jours pas du tout et puis une vague érotique nous emportait et nous le faisions deux ou trois fois dans la journée.
Au début, nos rapports sexuels étaient assez classiques, mais nous avons rapidement ressenti une envie mutuelle d’apporter un plus à nos ébats, en y ajoutant des jeux, en prolongeant les préliminaires et, pour être précis, en devenant plus coquins.
Un dimanche après-midi, à la fin de l’été, il fait lourd avec un ciel un peu couvert et nous décidons de faire une sieste. Comme il fait chaud, nous nous couchons complètement nus et sans couette sur le lit. Nous nous caressons gentiment et tendrement dans l’attente du sommeil, mais une certaine tension érotique nous empêche de dormir.
Soudain Sally me dit :
Je ne me fais pas prier, je vais dans la salle de bains prendre un lait corporel et lorsque je reviens dans la chambre, Sally est couchée sur le ventre, silencieuse, les jambes serrées et les bras le long du corps. Elle est très belle, assez mince avec des formes agréables, ses fesses de Méditerranéenne sont rondes et charnues, sa peau mate est brune, ses cheveux noirs mi-longs sont éparpillés sur l’oreiller. Manifestement, elle me laisse l’initiative de son plaisir et je vais faire ce que je peux pour ne pas la décevoir.
J’écarte ses bras et je m’assieds à califourchon sur ses cuisses, je bande légèrement et mon sexe repose dans le sillon qui sépare ses fesses. Je prends un peu de crème que je réchauffe dans mes paumes et je commence par ses épaules.
Je ne suis pas kiné et mon massage est en réalité une longue caresse sensuelle, je pétris les tendons qui relient les épaules au cou et elle gémit de bonheur. Tout au long du massage, elle me fait comprendre par des miaulements les endroits où je dois un peu traîner. Je descends vers ses omoplates et puis vers ses reins et je remonte avec les pouces de chaque côté de sa colonne vertébrale ou avec les mains ouvertes sur ses flancs, en frôlant ses seins aplatis par la position.
Lorsque tout a pénétré dans sa peau, je me retourne et, assis sur ses reins, je reprends une nouvelle dose de crème. Je lui masse les mollets et les pieds, je m’attarde sur les orteils et sur les espaces entre ceux-ci, je remonte le long de ses cuisses et passe le plus souvent possible à l’intérieur, en frôlant sa foufoune, ce qui me vaut quelques gémissements supplémentaires.
Je recule un peu et j’entreprends ses fesses, j’y fais des mouvements circulaires de plus en plus grands qui me font approcher de son anus, mais très progressivement, pour faire monter son plaisir. Finalement, mes cercles se font tellement larges qu’à chaque passage, je lui caresse tous les orifices, il n’y a plus besoin de lubrifiant…
Je me retire et la fais mettre sur le dos. Je m’assieds de nouveau sur ses cuisses et je la regarde un instant avant de continuer. Elle s’étire, heureuse et épanouie, attendant la suite de mes attouchements. Ses seins ballottent de gauche à droite, comme une invitation à les malaxer, les pétrir, ce que je ne manque pas de faire, je ne pince pas les tétons mais me contente pour l’instant de les frotter avec mes paumes adoucies par le lait corporel, ce qui a pour effet de les faire durcir et le contraste avec les globes souples et soyeux est délicieux.
Je me retourne pour m’occuper du bas de son corps, je m’attarde peu sur les jambes, qui ont déjà été gâtées précédemment et j’arrive au pubis garni de poils, dans lesquels le lait corporel fait un peu comme de la colle. Je lui dis que c’est un peu embêtant et que ce serait bien qu’elle s’épile ou qu’elle se rase, mais elle ne veut pas d’une épilation douloureuse, ni d’un rasage qui ferait repousser les poils plus drus encore. Je lui propose alors de tailler sa toison aux ciseaux et au ras de la peau, elle accepte ce con promis et nous décidons de le faire directement.
Je vais chercher une grande serviette de plage et de petits ciseaux bien affutés, j’étale la serviette sur le lit et Sally se couche sur le dos, jambes tendues. Après avoir bien taillé sa toison pubienne, je m’attaque à la partie plus amusante : je lui fais écarter les jambes, relever les genoux et je me couche sur le ventre entre ses jambes, de manière à avoir les yeux à vingt centimètres de sa foufoune.
Instantanément, je dois rectifier la position de mon sexe, qui veut aller dans la même direction que mon regard.
Je commence par m’occuper du petit chapeau qui couvre son clitoris. Pour ne pas risquer de la blesser, je prends entre deux doigts quelques poils, je tire tout doucement pour soulever la peau et je coupe quasiment à ras. Je progresse ainsi lentement, mais autant faire durer le plaisir.
Après deux minutes de ce traitement, je sens la tension qui monte d’un cran, la respiration de Sally s’accélère doucement et son clitoris commence à sortir de sa cachette. Sa couleur rose foncé tranche sur sa peau brune, assombrie par les poils noirs.
Cela m’excite très fort, ma respiration aussi s’accélère et j’ai furieusement envie de prendre entre mes lèvres ce petit bouton et de le sucer pour qu’il devienne encore plus gros et plus rouge, mais je sais que si je fais cela, on ne pourra plus s’arrêter et je dois finir ce que j’ai commencé et ainsi découvrir d’autres trésors.
Je continue ma progression, en prenant toujours quelques poils à la fois, et j’en arrive tout naturellement à la grande lèvre de droite.
Forcément, quand je tire sur les poils pour soulever la peau, c’est d’abord la lèvre qui s’écarte. Inutile de dire que je tire un peu plus que nécessaire ! Comme pour le clitoris, c’est du rose qui apparaît.
Mon excitation monte tellement que je sens quelques gouttes qui s’échappent de mon propre sexe. J’ai une vue plongeante sur le vagin de Sally et je constate que cette situation est loin de la laisser indifférente : son vagin s’ouvre et je vois ce petit trou s’écarter et se refermer doucement, comme s’il respirait.
Je dois faire des efforts surhumains pour ne pas balancer les ciseaux et coller mes lèvres sur celles qui sont là, devant mes yeux, mais je sais que le plaisir qu’il y aura au bout n’en sera que plus violent.
Comme si mon supplice n’était pas suffisant, voilà qu’apparaît au bord du vagin une petite coulée blanchâtre. Je le fais remarquer à Sally, qui m’avoue que mes mouvements doux et caressants, en plus du fait de se dévoiler aussi intimement, l’excitent tellement qu’elle aussi doit faire des efforts pour ne pas m’arrêter.
Je suis passé à la lèvre gauche et, sous prétexte (mais en ai-je besoin ?) de ne pas rater de poils qui pourraient être sur la face intérieure, j’écarte les deux lèvres en même temps, et je suis bien récompensé, car je vois maintenant l’intérieur de son sexe en totalité et ce minuscule petit trou supplémentaire au-dessus du vagin me donne envie de la voir faire pipi. J’en fais part à Sally, qui me répond de continuer mon travail -"espèce de cochon"-, mais j’entends bien, au ton donné, que le message est passé et que ce n’est que partie remise.
J’en ai presque terminé avec les deux grandes lèvres, mais là où elles se rejoignent entre les fesses, je n’y arrive pas facilement. Je demande donc à Sally de bien vouloir se retourner. Elle se met sur le ventre, mais cela ne m’avance pas. Je lui dis de se mettre à genoux, la tête sur l’oreiller.
Elle n’avait pas pensé qu’elle devrait prendre une telle position et je dois insister un peu (pas trop quand même). Elle se met alors à genoux. À ce moment, je ne dis plus rien qui pourrait rompre le charme et je pousse gentiment ses épaules vers le bas, tout en écartant ses genoux et là, je n’en peux plus !
Je croyais avoir joui de tous ses trésors, mais la vue de ces deux superbes fesses relevées et écartées avec, au centre, ce petit cercle brun tout plissé, bien rond, bien régulier et, en dessous, sa petite moule maintenant bien dégagée, parfaitement visible, me comble de bonheur.
Ses seins, un peu lourds se tendent vers le bas, ses tétons sont à la limite de toucher le lit et les légers mouvements que je lui imprime font frotter ses petites framboises sur la serviette, ce qui les fait bander comme des petites bites.
Moi aussi, je change de position et je me mets en tailleur entre ses mollets, ce qui me permet de l’empêcher de refermer les jambes, mais surtout d’avoir mon nez à quelques centimètres de ce que je considère comme la plus belle vue du monde. J’en profite pour humer toutes les odeurs qui émanent de ce corps de femme, je tente de définir de quel endroit provient chacune d’elles.
Celle-ci, un peu musquée, de son anus ou celle-là, un peu plus aigre, de sa foufoune ou encore la légère transpiration qui la recouvre presque entièrement.
La tension devient palpable et le petit filet de nectar qui s’écoule de son vagin atteint maintenant le milieu de sa cuisse. J’ai l’impression que mon sexe va éclater, je suis à la limite du supportable, le bout de mon gland, duquel s’échappent toujours quelques gouttes, ressemble à un gros doigt qui me montrerait l’endroit qu’il convoite.
Courageusement, je feins d’ignorer ses sécrétions et, lorsque j’ai entièrement terminé les lèvres, je regarde plus attentivement son anus. Il n’est pas très poilu, mais il y quelques poils que je me dois d’enlever, pour que mon travail soit complet et pour notre plaisir, car je traîne expressément et je fais semblant d’avoir des difficultés à saisir les poils.
Je passe les doigts sur les petits replis bruns et, même, un doigt pénètre légèrement dans ce petit cratère bien élastique. Je m’attends à une protestation, mais la seule chose que j’entends est une respiration proche du halètement.
Je promène mes doigts partout où les ciseaux viennent de passer, pour juger de mon travail et je ne suis pas peu fier de constater que la longueur de ce qui subsiste est parfaite. Je n’ai pas coupé trop court pour que ce ne soit pas piquant (pour ma bouche et ma langue) mais suffisamment pour que la partie située entre son clitoris et son anus soit un spectacle permanent.
Nous baignons tous les deux dans une ambiance hyper-érotique que je ne veux surtout pas interrompre et je lui dis de ne pas bouger, que je reviens dans un court instant.
Je vais dans la salle de bain, prendre un petit bassin d’eau tiède et un gant de toilette et, quand je reviens, Sally a effectivement gardé la pose. De l’entrée de la chambre je la vois tout entière et je la trouve belle.
Je place le petit bassin entre ses genoux et, avec le gant de toilette, je fais ruisseler l’eau tiède à partir de sa petite rosette pour enlever tous les poils qui ne sont pas tombés sur la serviette. Je recommence l’opération plusieurs fois et l’eau coule en cascade entre et autour de sa vulve, son corps ondule sous cette caresse inhabituelle, les doux gémissements que j’entends sont pour moi le plus beau des remerciements.
Je retire le bassin et, n’en pouvant plus d’attendre, je me mets à genoux derrière elle et je lui lèche les fesses, en me rapprochant de son petit trou le plus lentement possible (mais bon, ça fait une heure que j’en meurs d’envie !)
Ma langue parcourt tous les petits plis brunâtres, puis titille le centre. J’use de ma langue comme d’une petite bite et, à chaque poussée, je l’enfonce d’un millimètre de plus. La sensation au niveau du goût et de l’odorat est merveilleuse, mais comment décrire une chose unique ?
Je pense que Sally apprécie la caresse, car elle prend ses fesses et tire dessus pour les écarter encore plus, comme si elle voulait que ma langue y entre entièrement.
Tout en continuant à la sodomiser de cette manière douce, je prends ses seins à pleines mains, je les soupèse. Ils sont souples et ses tétons durcissent encore dans mes paumes.
La salive dont j’ai généreusement enduit son petit trou a coulé dans son sexe écartelé et s’est mélangée à ses propres sécrétions, je n’y tiens plus : je colle mes lèvres aux siennes, pour ne rien laisser perdre de ce nectar, je l’embrasse exactement comme je l’aurais embrassée sur la bouche, nos lèvres sont soudées et ma langue fouille son vagin, aussi loin qu’elle le peut.
Je retire la serviette et Sally se remet sur le dos. Je reprends mon cunnilingus mais cette fois, je concentre les mouvements de ma langue sur son bouton d’amour, puis je le prends en bouche et je le suce, je le tète et les gémissements de Sally sont une douce musique à mes oreilles.
Elle me prend la queue et tire doucement pour me faire comprendre qu’elle aussi veut goûter ma chair. Je me place au-dessus d’elle, sans arrêter de lui embrasser la foufoune à pleine bouche et elle prend mon gland dans la sienne. Elle le fait aller et venir en me masturbant.
La sensation est merveilleuse et je sens que nous serons récompensés de l’attente qui a précédé par un orgasme digne de ce nom. Ma bouche ne s’occupe plus que de son petit bouton et j’ai introduit deux doigts dans son vagin. Je les fais aller et venir sans arrêt. La jouissance de Sally est proche, ses gémissements sont ininterrompus.
Je mets un troisième doigt dans sa foufoune, mais uniquement pour l’humidifier, je le ressors aussitôt et je l’introduis dans son anus, tout en continuant mon mouvement de va-et-vient.
Après quelques secondes de ce traitement, je sens Sally s’arc-bouter, son ventre monte vers ma bouche, mes doigts arrivent difficilement à rester dans l’étroit conduit tant il s’humidifie et elle jouit, elle tremble de tous ses membres, elle gémit, elle me dit qu’elle m’aime et je suis heureux.
Je me couche sur elle, je l’embrasse, autant par tendresse que pour lui faire déguster ses propres sécrétions. Je présente mon gland à l’entrée de son sexe et c’est elle qui, d’un coup de reins en avant, me fait pénétrer inexorablement au fond de son vagin. Je continue à l’embrasser tout en lui faisant l’amour lentement, pour lui laisser le temps de se remettre de son premier orgasme. Lorsque je sens que ma propre sève a envie de sortir, je fais doucement comprendre à Sally qu’elle doit se mettre à quatre pattes, je la reprends directement par derrière et j’accélère le mouvement.
J’ai passé une main sous son ventre et je masturbe son clitoris. L’autre main malaxe ses seins, triture ses tétons.
Je sens qu’elle va jouir à nouveau et je ne me retiens plus. Je sens son vagin qui se resserre autour de ma queue et c’est la jouissance, totale, commune, mon sperme est projeté au fond de son puits d’amour, elle l’accepte en ponctuant chaque giclée d’un mouvement en arrière, comme pour être sûre de ne rien rater, je sens ses muscles se serrer et se desserrer autour de mon sexe.
Nous nous écroulons sur le côté, de manière à pouvoir rester l’un dans l’autre sans que mon corps pèse sur le sien. Je l’embrasse dans le cou et lui parle d’amour.
Si cette histoire (vraie) vous a plu, dites-le-moi, j’écrirai la suite…