n° 09447 | Fiche technique | 7407 caractères | 7407Temps de lecture estimé : 5 mn | 23/07/05 |
Résumé: Je sors Babou de son sommeil. | ||||
Critères: fh couple fépilée amour volupté voir fsodo | ||||
Auteur : Franck (Adore votre site) |
DEBUT de la série | Série : Fantasme de Babou Chapitre 01 | Épisode suivant |
Mais qui est Babou ?
Ma femme, depuis 19 ans.
Vous voudriez peut-être que je vous présente Babou ? J’ai le plaisir de vous faire admirer une femme à l’aube de la quarantaine, au summum de sa féminité. Grande, avec des formes douces, sensuelles, comme je les aime. 95D, un postérieur ample… tout ce qui me trouble. Des rondeurs que mes mains ne se lassent pas d’explorer, de pétrir…
Pour mon plus grand plaisir, Babou sait mettre en valeur l’érotisme inscrit en elle. Elle est toujours vêtue avec élégance et classe, mais si vous l’observez avec attention, vous découvrirez que sous des robes ou tailleurs qui paraissent sages se cachent des voluptés magnifiques. Avec un œil connaisseur et quand la saison le nécessite, vous remarquerez les attaches du porte-jarretelles. Et si votre regard est avisé, vous pourrez noter qu’elle oublie souvent de couvrir son magnifique abricot doré.
Vous vous impatientez… Je vais entrer dans le vif du sujet.
C’est un matin d’été, le soleil perce à travers le rideau de la chambre. J’y pénètre et reste muet dans l’embrasure de la porte, devant le tableau qui s’offre à mes yeux. La chaleur ambiante fait que son corps n’est couvert ni par le moindre drap, ni par le moindre habit de nuit. D’ailleurs, Babou n’en met que très rarement, si ce n’est ceux dont la transparence a plus pour but d’affoler mes sens que de la couvrir.
Elle est allongée en travers du lit. Les rayons du soleil viennent illuminer les reflets de ses cheveux auburn. Ceux-ci encadrent son visage qui laisse paraître un léger sourire. Babou est encore dans un profond sommeil. Ma femme n’est pas du matin. Mais j’ai appris il n’y a pas si longtemps que, contrairement à ce que j’avais toujours cru, elle adorait les câlins du matin.
Mes yeux descendent et découvrent son ample poitrine, avec ses aréoles claires et ses tétons eux aussi encore endormis. J’adore les seins de Babou. Mes mains aiment s’en emparer, tantôt pour les caresser avec douceur, tantôt pour les agresser avec amour. Ceux qui, comme moi, raffolent d’un buste plein de promesses chez les femmes, seraient aux anges en découvrant le spectacle que m’offre Babou ce matin. Je me retiens et, pour le moment, je savoure le spectacle.
Il faut que je vous dise que Babou aimerait se faire refaire les seins pour un joli 90B. Je déploie une énergie folle à la décourager. Et je crois que, doucement, je commence à lui faire admettre qu’elle a une très jolie poitrine, qu’elle laisse de plus en plus souvent libre sous ses vêtements. C’est tellement divin, dans la journée, de passer derrière elle et d’attraper un sein sous sa robe et de profiter de la douceur de l’instant, quand votre main prend possession, contourne…
Mon regard descend, passe sur son ventre un peu rond. J’adore le caresser, l’envelopper…
Je poursuis ma découverte et me voilà dans cet entrejambe qui, vingt-quatre ans après, m’émeut toujours autant. Totalement enfouie dans un profond sommeil, Babou, avec une impudeur innocente, offre à mon regard, toute son intimité.
En effet, l’ouverture de ses jambes fait que ma vision va au plus profond d’elle. À cet instant, je dois vous informer que Babou a opté depuis un moment pour un sexe imberbe. Comme je vous l’ai dit, Babou le couvre assez rarement et, selon mes désirs, fait en sorte de croiser de moins en moins les jambes, pour livrer à mes yeux ce merveilleux spectacle à maintes reprises dans une journée.
Quel beau tableau, et qui inspirerait nombre d’artistes !
Je m’approche doucement, sans faire de bruit. Je pose la main sur le ventre de Babou. C’est un vrai bonheur ! Une douce chaleur imprègne ma main. C’est doux et accueillant. Je remonte avec tendresse vers le haut. J’enveloppe ses seins avec volupté.
Hum… que c’est bon de les envelopper, de les pétrir tendrement… Je frôle les aréoles avec mes doigts et agace les tétons avec mon ongle. Ils se tendent vers le plafond. Je remonte et passe mes doigts sur ses lèvres si douces.
Et, comme attirées par un aimant, mes mains entament une longue descente ! Ma respiration commence à s’accélérer quand mes mains s’approchent de son abricot doré. Qu’il est doux, sans le moindre duvet pour le protéger ! J’approche mes doigts avec convoitise du fruit défendu. Oh ! cette délicieuse douceur… Tout son sexe s’offre à mes doigts, tant l’écartement de ses cuisses est grand. Je passe sur ses grandes lèvres.
J’entends comme un soupir s’échapper de sa bouche mais elle paraît toujours aussi profondément endormie. Alors je poursuis mon exploration. Je passe mes doigts avec une infinie douceur sur sa fente. Comme par magie, une fine rosée apparaît sur ses lèvres qui deviennent brillantes et s’épanouissent comme les pétales d’une fleur.
Je m’enhardis dans ma quête et viens agacer son clitoris très sensible. J’entends un nouveau soupir. Babou a toujours les yeux fermés et n’a pas bougé d’un pouce. Mes doigts se font de plus en plus insidieux et redescendent vers ce puits d’amour. Je sépare ses lèvres et dévoile son vagin, qui se dilate sous l’effronterie d’un doigt, puis de deux. Ils vont fouiller les moindres replis de son sexe. Une divine liqueur vient entourer mes doigts.
Le soupir devient permanent. Je ne sais plus si Babou dort toujours ou fait semblant, afin que se poursuive l’ambiance érotique qui s’est installée dans cette chambre.
J’enlève mes doigts et viens poser la bouche sur son délicieux abricot. J’y dépose un baiser humide, puis happe son sexe tout entier. Hum… que c’est bon ! Ma langue chemine entre les lèvres, puis pénètre l’antre que mes doigts ont laissé entrouvert. Elle agit tel un petit pénis. Elle ressort, va un peu plus loin dans cette vallée magique et entreprend une danse effrénée sur son anus.
Il faut que je vous dise… il y a peu de temps que Babou a découvert le plaisir qu’était capable de lui apporter son anus, mais elle est devenue une grande adepte.
Mes sens sont exacerbés. Babou n’a toujours pas ouvert les yeux. J’ai de plus en plus de doute sur son sommeil. Je me lance. Mon sexe vient cajoler son clitoris, comme elle en raffole. Puis pénètre son vagin, entame un va-et-vient de plus en plus profond. Babou commence un doux et permanent feulement. Son abricot est inondé, sa liqueur s’échappe en un écoulement continu et glisse entre ses fesses.
Je ne peux plus résister. Je sors ma queue et la présente devant son œillet sombre, qui est tout glissant, avec son plaisir qui s’écoule. Je pousse doucement mais avec fermeté et, d’un seul coup, mon vit est aspiré.
Là, je ne fais plus du tout attention au sommeil de Babou. Elle non plus, d’ailleurs ! Nos corps se lancent dans une danse effrénée et s’écroulent dans une jouissance monstrueuse et partagée.
Babou ouvre les yeux et m’offre un merveilleux baiser…
C’est le fantasme que Babou a souhaité que je vous raconte. Si ça vous a plu, dites-le-moi. Je vous dirai si le fantasme s’est réalisé !