n° 09457 | Fiche technique | 10206 caractères | 10206Temps de lecture estimé : 7 mn | 25/07/05 |
Résumé: Joli moi de mai... Un petit mensonge pour quitter le bureau et voilà Valentine partie ! Sur son chemin, un regard de braise... | ||||
Critères: fh inconnu train volupté fellation cunnilingu préservati pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Valentyne |
Je me lève de mon bureau.
Mes jambes sont gainées de bas couleur chair qui m’arrivent en haut de la cuisse, retenus par un charmant petit porte-jarretelles. Mes pieds sont glissés dans de petites chaussures à talon. Je me regarde dans la glace.
Argh, non ! Ce n’est pas possible que je sorte avec une tête pareille !
J’ouvre mon sac pour en tirer ma trousse à trésors. Hop, je devisse le couvercle de la boîte remplie de poudre claire. Avec la houppette, j’applique celle-ci sur mon visage et je redonne un petit coup dans mon décolleté.
Un coup de pinceau pour appliquer du blush qui fait ressortir mes pommettes. Pour mes paupières, un peu de fard rose, un trait noir d’eye-liner et du mascara…
Je me mords encore les lèvres pour les rougir naturellement. Mon chignon laisse échapper quelques mèches qui encadrent mon visage.
Pchiit ! Pchiit ! Une touche de parfum sur mes cheveux, derrière mes oreilles, sur mes poignets et dans le creux de mes genoux.
Voilà, parfait ! Ma robe légère est très agréable à voir sur moi et moule parfaitement ma taille. Un petit gilet, tout de même, mai est un mois qui laisse de temps en temps des surprises.
Un pieux mensonge, mais c’était nécessaire à mon équilibre.
A la sortie du bâtiment, un rayon de soleil vient taquiner le blanc de ma peau. Sa chaleur est une vraie caresse qui amène à une envie de paresse. Dommage d’être seule pour ça. Il faut dire que la caresse de celui-ci ne sera jamais aussi chaude que celle d’un homme.
Je m’engouffre dans la bouche de métro Kléber, direction la Place d’Italie. Il y a beaucoup de monde, certains regards s’attardent sur mes jambes et caressent mes formes. Le métro arrive rapidement, je me glisse à l’intérieur et me faufile pour trouver une place. Ouf, j’en trouve une en face d’un jeune homme.
Regard de braise, sourire taquin, les cheveux en bataille, voilà la description que je peux donner de ce jeune homme en face de moi. Il a une odeur de passion tellement douce que cela réveille en moi un tourbillon d’envie.
Est-il innocent ? Ou est-ce une façade ?
Depuis cinq minutes qu’il me dévisage ouvertement, je me demande de plus en plus si je ne devrais pas tout de suite déboutonner la fermeture de son jean et venir m’empaler doucement sur son vit, devant tout le monde… Peut-être pas dans le métro, de cette manière, et surtout à 16 heures.
Je n’y tiens plus, je me penche vers lui, il ne peut rien rater de mon décolleté généreux. Je le regarde droit dans les yeux en souriant. En fermant les yeux, je tends mon nez près de son oreille et je titille mes narines avec son odeur. Son parfum m’emplit jusqu’aux bouts des orteils. Il s’incline un peu vers moi.
Je me sens pousser des ailes, ainsi qu’une superbe auréole. L’étincelle brille dans ses yeux. Le métro s’arrête et Nicolas me prend la main. Je l’entraîne vers la sortie et direction mon petit studio, loué pour quelques semaines.
Je ne sais plus trop comment nous sommes arrivés en haut des escaliers car tout au long, nous nous sommes embrassés et caressés, ses mains se baladaient sur mon corps.
Un vrai délice, que ma voisine de soixante-huit ans, qui promenait son caniche, n’a d’ailleurs pas eu l’air d’apprécier !
Le sourire canaille, l’œil pétillant, je plonge ma main dans mon sac pour ouvrir la porte. Il me bouscule en riant, ses lèvres dans mon cou, ses mains sur ma taille.
Le soleil inonde la pièce principale.
Nicolas passe sa main sur ma nuque, défait mon chignon, une odeur fleurie s’en échappe… Il froisse tendrement mes cheveux. Il soupire, me caresse la joue avec sa main et me soulève le menton de son index. Doucement, il fait glisser mon gilet et le jette sur le canapé. Il me prend les lèvres tendrement puis recule et me regarde de haut en bas.
Je vois, à la bosse de son pantalon, que son envie le tiraille. Je tends les mains pour déboutonner son jean et je l’aide à retirer son tee-shirt. Je mordille ses tétons, les suce. Il me prend dans ses bras et me caresse le dos.
Je me détache de lui et je lui fais signe, avec mon index, de me suivre dans ma chambre.
En chemin, il en profite pour perdre ses vêtements. Ses mains commencent à me caresser les cuisses et ses doigts flirtent avec mes jarretelles. Je l’invite à s’allonger sur mon lit, complètement nu, son envie bien en évidence.
Me connaître ? Jolie phrase pour nous inviter à prendre notre temps ! Cela m’excite encore plus et mon sexe s’humidifie de plaisir.
Je glisse les Doors dans le lecteur, mon corps ondule d’envie, je déboutonne, un à un, les boutons de ma robe. Elle glisse au sol et je lui offre mon corps encore vêtu de la dentelle de mon soutien-gorge et de mon porte-jarretelles.
J’ouvre ma table de nuit et je prends une boîte de préservatifs. J’attrape un petit sachet que j’ouvre précieusement. Doucement, je le déroule en m’appliquant. Je souris en me mordillant les lèvres.
Je prends sa verge entre mes seins, tout contre ma lingerie. Je penche ma tête et mes lèvres l’effleurent, je la fais glisser plus bas, tout doucement, pour mieux remonter, j’ouvre ma bouche pour mieux prendre son gland, ma langue le caresse.
Je lui fais caresser l’intérieur de mes joues, je le sens gonfler de plus en plus. Doucement, je le coulisse au plus profond de ma bouche en un va-et-vient régulier. J’aime cette sensation de le sentir avoir du plaisir, ça m’excite encore plus.
Ma langue s’enroule autour de son gland et chatouille son frein, le titille, remonte vers le gland. Je descends le long de sa verge, je prends, l’une après l’autre, ses testicules dans ma bouche, comme deux boules de glaces. Je mordille l’intérieur de sa cuisse, tout en passant l’une de mes mains sur ses fesses et de l’autre, je commence à caresser mon intimité.
Nicolas se déplace et me rejoint avec sa bouche, sa langue pénètre au plus profond de mon antre déjà bien gonflé de plaisir. Avec ses lèvres, il suçote mon clitoris, il en est tellement excité qu’il m’en ferait presque mal de plaisir. De ses doigts agiles, il continue un doux frottement sur mon bouton, pendant que les doigts de son autre main s’activent dans mon antre et près de mon entrée secrète.
Je me cambre, je gémis, c’est tout simplement divin. Tout mon corps le réclame, je ne suis plus moi. Je suis à lui, totalement à lui, en cet instant je ne vis que pour lui.
Nicolas se couche sur le dos et m’invite sur lui. Dos tourné à lui, je le prends en moi.
Ahhhhhhhhhhhhhh mon dieu ! Qu’elle est longue !
De ses mains, il me dirige de haut en bas, m’impose son rythme. Ma cyprine glisse le long de sa tige. Il se positionne de manière à pouvoir me caresser les seins et le clitoris.
Je n’en peux plus, j’ai du mal à retenir mes râles de plaisir. J’accélère la cadence, Nicolas n’arrive plus à se concentrer sur moi, tellement son plaisir grimpe aussi. Il m’arrête, me refuse son jus, ça me frustre, je lui fais une moue souriante.
Je m’exécute et je me penche pour l’embrasser, nos langues se caressent doucement, il m’invite à me plaquer contre lui et, me serrant très fort, il nous fait rouler, pour se retrouver sur moi. Il plonge ses yeux dans les miens, pose ses lèvres sur les miennes. Nicolas glisse un bras sous moi pour soulever ma fesse et son autre main empoigne mes cheveux dans ma nuque pour bien tenir. Mes deux mains se plaquent sur son fessier bien ferme. Sa bouche se colle près la veine de mon cou et aspire, tel un vampire, tout en donnant des coups de bassin vigoureux entre mes jambes bien écartées.
A son râle puissant, je le sens venir, sa verge a des soubresauts dans mon vagin. Un long gémissement sort du fond de moi, sa jouissance m’a transportée dans une autre galaxie. Je vois des étoiles plein ma tête après cette explosion de sensations.
Il continue de doux va-et-vient entre mon bassin. Nicolas relâche un peu son étreinte, pour m’embrasser tendrement, tout en me caressant la joue.
Il se retire de moi doucement, en tenant le bout de latex. Nicolas s’allonge à côté de moi, je me blottis dans ses bras et, mutuellement, nous continuions de nous offrir des douces caresses.
Mon cœur bat la chamade à ces paroles. Je ne regrette pas mon mensonge, il m’a permis de découvrir un amant charmant pour la durée de mon séjour parisien. Et, qui sait ? Peut-être vais-je prolonger celui-ci ?
J’en connais, demain, qui vont être verts de ma bonne mine !
Après de longues minutes, nous décidons de prendre une douche. La soirée s’annonce belle et douce. La nuit, quant à elle, va être très courte.