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n° 09461Fiche technique30811 caractères30811
Temps de lecture estimé : 19 mn
25/07/05
Résumé:  Après une séparation difficile, un homme retrouve l'amour dans les bras d'une jeune fille rencontrée sur le Net.
Critères:  fh hplusag jeunes telnet amour volupté cunnilingu préservati pénétratio
Auteur : Amaury  (Nouvel homme)

Série : Samantha

Chapitre 01
Samantha

Je m’étais inscrit sur le site de rencontre LoveChérie.com.

Je n’avais aucune raison de le faire. J’étais marié et heureux de l’être. J’aimais ma femme qui m’avait donné deux beaux fils. Bref, une vie sans histoires. Je pense que c’est la curiosité qui m’a poussé à m’abonner pour un mois.

Après la saisie de mes critères, une liste de jeunes femmes m’a été proposée.

La première en haut de cette liste s’appelait Samantha (du moins, c’était son pseudo pour la circonstance). Elle avait 18 ans et cherchait, comme moi, de nouveaux contacts, amicaux, sans forcément davantage. Elle recherchait un mec de 19 à 24 ans, mais je lui ai quand même laissé un message, malgré mes 32 balais !

Et elle a répondu ! J’en étais sur le cul !

Elle ne voyait pas d’inconvénients à ce qu’on discute ensemble, puisque ça restait amical.


Le premier jour de cette rencontre, on a échangé pendant près de quatre heures : on a parlé un peu de ses études et beaucoup des problèmes qu’elle rencontrait avec son mec.

Ils avaient un passé commun un peu chargé (grossesse non voulue, avortement, séparation, réconciliation…) alors qu’elle n’avait que 18 ans et lui 24 ! Elle ne supportait plus sa relation avec lui (bien qu’elle en soit amoureuse) mais ne savait pas comment le lui annoncer sans le blesser.

J’ai tenté tant bien que mal de lui expliquer qu’il n’y avait pas de formule miracle, qu’elle devait penser à elle, à son bonheur et ne pas s’apitoyer sur celui de son mec.


Après ce jour, on a correspondu moins régulièrement, moins longtemps. Je pense qu’elle n’avait pas grand-chose à me dire, mais ne savait pas comment me le faire comprendre.

Quelques semaines plus tard, elle m’apprit néanmoins qu’elle avait réussi à quitter son copain pour de bon, ce qui était une excellente nouvelle ! À compter de ce moment, notre correspondance se fit plus régulière et aussi plus personnelle.

Cela faisait quatre mois qu’ils n’étaient plus ensemble maintenant et nous nous connections presque tous les jours.

Elle était restée célibataire et recherchait toujours l’âme sœur, mais sans y parvenir.

Je pense qu’à ce moment-là, ni l’un ni l’autre n’avait envie d’aller plus loin et d’ailleurs, en ce qui me concernait, ça n’avait aucune chance de se produire.


Jusqu’à ce jour de janvier, où ma femme s’est barrée sans me prévenir !

Une lettre sur la table et le cours de votre vie change à tout jamais !


Sous le choc, je n’ai plus du tout pensé à Samantha et ne lui ai pas envoyé de message pendant plusieurs semaines. De son côté, elle m’en envoyait, sans comprendre pourquoi je n’y répondais pas.


Ce n’est qu’en mars que j’ai rallumé mon ordi et que j’ai découvert ses messages : de surprise, elle était devenue inquiète puis en colère devant mon silence !

Au nom de notre amitié « virtuelle », je pris la peine de lui répondre pour lui expliquer :


Désolé pour le silence, mais ma femme s’est barrée en janvier. Suis perdu et pas le cœur à chatter. Peut-être plus tard.


Moi qui comparais mes échanges avec Sam au film « Vous avez un mess@ge ! », voilà que maintenant ça se rapprochait plus de « Nuits blanches à Seattle » !


Je n’avais plus goût à rien et ne restais en vie que grâce (ou pour) mes fils, qu’elle avait eu le culot d’abandonner. Heureusement d’ailleurs, car sans eux je serais déjà mort ! La solitude était tellement pesante ! J’avais des amis proches qui me soutenaient, sinon…

Ma seule famille était mes parents, voisins de chez moi. Ma sœur vivait à Paris et je ne la voyais presque jamais. Quant à ma belle-famille, je n’avais plus guère de rapports avec eux non plus ! Je dis ça, mais en fait, ils ne me manquaient pas vraiment !



Celle qui me manquait vraiment (à part ma femme, bien sûr !) c’était Sam !

Il m’avait fallu presque deux mois pour m’en rendre compte : quel idiot !

J’ai sauté sur mon ordi pour lui laisser un message et j’ai découvert qu’elle m’en avait laissé plus d’une dizaine depuis que je lui avais annoncé l’incident !

Elle était désolée du ton de ses derniers messages et me proposait son aide. Elle m’en voulait un peu aussi de ne pas le lui avoir dit plus tôt.

J’ai commencé à taper :


Je suis désolé pour mes absences. Pardonne-moi tout. J’ai besoin de toi. Vite !


En espérant qu’elle allait se connecter rapidement, j’en ai profité pour corriger ma fiche de présentation : je ne suis plus marié, mais séparé et je ne cherche pas que l’amitié, mais aussi à refaire ma vie !

Hélas pour moi, Sam semblait avoir perdu l’habitude de se connecter en fin de soirée ! Je pianote encore un peu mais il est déjà 23 heures et je dois me lever de bonne heure demain. Je me déconnecte à regret et vais me coucher.


Le lendemain matin, nouvelle connexion au bureau et bonheur ! Un message de Sam !


Je t’ai raté de peu hier soir. RDV à midi. J’ai des choses à te dire ! Bisous.


La matinée est interminable, mais au moins, j’ai un but : rediscuter enfin avec Sam !

Midi arrive, je chauffe mon déjeuner au micro-ondes et m’enferme dans mon bureau. Connexion !

Ça y est, elle est déjà là ! Je lui propose immédiatement un duo !



Je lui ai raconté la lettre, ce qu’était devenue ma vie depuis ce moment-là et de pouvoir en parler sans avoir quelqu’un directement en face de moi m’a permis d’extérioriser davantage.

Elle était très patiente et n’essayait pas de me plaindre, ce que j’appréciais particulièrement !

Vers 14 heures on a dû se quitter : elle avait cours et je devais reprendre mon travail. Elle m’a proposé de reprendre contact dès le soir et on s’est donné rendez-vous vers 21 heures, le temps que je couche les enfants.


Il est à peine plus de 20 heures 30 quand je me connecte de nouveau. Elle n’est pas en ligne, mais elle m’a laissé un message.


J’ai un empêchement pour ce soir, désolée de te poser un lapin mais je n’ai pas le choix. Je te tiens au courant ! Bisous.


Je suis déçu à un point pas possible ! Moi qui me faisais une joie de dialoguer à nouveau avec elle ! Comment ai-je pu m’en passer pendant deux mois ?

En attendant un éventuel retour, je consulte mes nouveaux messages et je m’aperçois que ma nouvelle fiche intéresse plus de monde et même la présence de mes enfants semble ne pas rebuter certaines filles, pourtant encore jeunes ! Afin de ne pas faire de fausse joie ni à moi, ni aux autres, je décide d’ajouter quelques photos dès que possible.

Il est bientôt 21 heures 30 et toujours pas de Sam ! Je consulte quelques fiches sans grand intérêt et me rends bientôt compte que trouver quelqu’un ne sera pas si facile, malgré la pléthore de filles « disponibles » sur le site.


22 heures 30, je mets à jour une dernière fois les personnes en direct et découvre avec joie que Sam est de retour. Avant que j’aie eu le temps de lui proposer un chat, je reçois un message de sa part.



Déconnexion !

Je vais me coucher avec cette sensation bizarre d’incompréhension : quelle mouche l’a piquée ? On vient juste de renouer le contact et elle m’incendie pour rien ! Décidément, je ne comprends pas ! On verra bien demain !

Midi : connexion ! Elle est déjà là, je la "clique".



(On dirait pas !)



Je tarde un peu avant de lui répondre. Depuis six mois que l’on communique, il n’avait jamais été question de se rencontrer.



Déconnexion !

Ça alors, j’en reviens pas qu’elle m’ait proposé de la rencontrer ! D’un seul coup, je commence à paniquer : qu’est-ce qu’elle va m’annoncer ? Qu’elle ne veut plus dialoguer avec moi ? Non, pour ça, elle n’a pas besoin de me rencontrer ! Peut-être que, au contraire, elle veut aller plus loin ? Ça m’étonnerait, quand même ! Je suis pas vraiment son type de mec et je suis trop vieux pour elle, elle a toujours eu des copains de son âge…

J’en sais rien, on verra bien !


Le lendemain, je stresse toute la journée. Je dépose mes gamins chez mes parents et, à 19 heures pétantes, je suis au pied de son appart ! Je sonne.



La porte s’ouvre et je monte les quatre étages. Ça me fait drôle de me retrouver dans cet immeuble, où j’ai vécu pendant trois ans, pendant mes études et le service militaire… avec Sandrine aussi.

J’entame le dernier palier, elle m’attend sur le pas de sa porte ouverte. Je marque un petit temps d’arrêt avant de gravir les dernières marches pour la contempler : elle est vraiment très belle ! Grande, mince, un joli visage avec cette coupe ébouriffée qui lui va à ravir, elle a vraiment tout pour plaire ! Pourtant, contrairement à la photo d’Internet, ses yeux ne sont pas rieurs et son sourire est plus froid.

J’arrive à sa hauteur, nous nous disons bonjour et ni l’un ni l’autre ne sait si il doit tendre la main ou la joue ! Finalement, on s’en tient au bonjour oral. Elle me fait entrer et je lui tends mon bouquet de roses roses qu’elle accepte en me remerciant.



C’est la première fois qu’elle me voit, je n’avais pas mis de photos sur le site.



Je m’assois en gardant mon blouson. Plus que la température, l’ambiance est glaciale et je m’attends à ne pas rester longtemps.



Elle sort deux canettes, peste en ne trouvant pas le décapsuleur, fouille dans son placard pour dénicher un paquet de gâteaux apéros puis s’assied en face de moi, de l’autre côté de la petite table.



Nous buvons quelques gorgées mais l’atmosphère est toujours aussi tendue.



Elle ne répond pas, baisse les yeux, boit quelques rasades de sa bière, puis elle se lève, prend une grande respiration et me dit :



Je me lève et me dirige vers la porte. Au moment où je sors, elle me crie :



Je reste figé dans l’embrasure, n’osant même pas me retourner tant cette déclaration me sidère. Je me retourne quand même, referme la porte puis elle reprend.



Elle s’est rapprochée de moi ! Alors j’ai ouvert mes bras et l’ai enlacée. Elle a passé ses bras autour de mon cou et a posé sa tête sur mon épaule en soupirant :



En disant ça, elle a posé ses lèvres sur les miennes. Nous avons échangé quelques baisers de collégiens, puis nous nous sommes écartés l’un de l’autre.

Ne rien précipiter !



Elle pose la liste sur la table et se penche au-dessus de mon épaule pour faire son choix.

Je sens son parfum délicat et sa poitrine frôler mon dos : ce contact m’électrise ! Elle s’est penchée encore un peu et j’entends sa respiration, saccadée. Elle aussi a du mal à contenir son émotion !

Je tourne la tête dans sa direction et vais à la rencontre de sa bouche. Les tendres baisers du début ont laissé la place à une passion dévorante ! Je me lève, colle mon corps au sien. Mes mains parcourent son corps, de sa tête à ses fesses. Nos langues se livrent un duel sans merci ! Nos bouches ne se séparent que pour reprendre de l’air et déposer quelques baisers, sur le cou ou la nuque, qui nous tirent de profonds soupirs de plaisir.


Soudain les mots magiques jaillissent de sa bouche :



Dès lors, les mains se font plus aventurières, chacun recherchant le contact de la peau de l’autre. Je passe les miennes sous son tee-shirt et caresse son dos jusqu’à l’agrafe de son soutien-gorge, que je détache prestement. Elle tire sur ma chemise pour la faire sortir de mon jean, caresse mon torse, puis se saisit des pans pour me l’ôter sans la déboutonner. Je fais de même avec son tee-shirt et nous nous retrouvons tous deux torse nu.

Sa poitrine est de taille moyenne, mais ses seins ont une forme et une consistance de rêve : fermes et bien ronds ! Je les caresse avec délicatesse et me penche pour sucer les tétons, eux aussi bien excités ! Elle soupire sous mes doigt et ma bouche.

Tandis que mes lèvres poursuivent son œuvre, mes mains sont allées à la rencontre de son jean, dégrafent les boutons et le font glisser à ses chevilles.

J’abandonne ma succion pour coller mon corps au sien. Elle avance le bassin pour sentir ma bosse puis se recule, s’accroupit. Elle délace mes chaussures et descend mon jean.


Sa tête est à hauteur de mon sexe, encore masqué par mon boxer déformé. Elle me caresse à travers le tissu, puis ôte mon dernier rempart.

Je suis nu comme un ver devant cette superbe jeune femme, accroupie avec mon sexe sous son nez. Je bande comme un âne et je me demande ce qu’elle va faire.

Elle sort la langue et effleure ma tige, caresse mes bourses pleines, puis dépose un baiser sur mon gland avant de se relever. Nous échangeons encore quelques baisers avant que je m’accroupisse à mon tour pour lui ôter son string de dentelle blanche.

Je dépose des baisers sur son ventre, sur son string, avant de le baisser complètement. Sa toison de jais se limite à un rectangle sur le pubis. Le reste de sa chatte est totalement épilé. Tout ce que j’aime !

Pour la faire languir davantage, je me relève directement, la dirige vers le lit et lui dis :



Je m’allonge à côté d’elle et nous reprenons nos baisers enflammés. Nos mains ne sont pas en reste et j’atteins rapidement son sexe. Mes doigts caressent ses lèvres qui s’ouvrent comme par magie : elle mouille comme c’est pas possible ! Je glisse le long de son corps et passe ma tête entre ses cuisses : je ne peux pas résister à l’envie de goûter cette fontaine ! Ma langue, d’abord timide, effleure les lèvres gonflées par le désir, puis je pousse plus loin mon aventure et m’insinue dans la fente chaude : elle soupire de plus en plus fort !

Elle a posé ses mains sur ma tête de peur que je n’arrête ma caresse. Je me dirige vers son petit bouton, fièrement dressé ! Ma langue le décapuchonne avant que je ne l’enfourne dans ma bouche pour le sucer avec une folle avidité !

Elle ne soupire plus, mais elle crie de plaisir ! Mes doigts sont arrivés à la rescousse et deux d’entre eux se fichent dans la chatte ruisselante. Elle a appuyé ma tête de toutes ses forces sur sa chatte, avant d’être terrassée par un violent orgasme. J’ai senti son corps se relâcher complètement après avoir été tétanisé par la jouissance.


J’ai sorti mes doigts, les ai léchés, puis je me suis allongé de nouveau à ses côtés. Elle était en sueur avec les yeux hagards. J’ai caressé son corps de rêve de longues minutes, le temps qu’elle se remette de ses émotions. Nous avons échangé encore un long baiser, moins fougueux mais plus passionné, plus tendre aussi !


Mon excitation était à son comble et je ne rêvais que de pénétrer l’antre de cette déesse ! Elle a dû lire dans mes pensées, car elle s’est relevée, a pris une capote, m’en a habillé et s’est placée à califourchon sur moi. D’une main, elle a saisi ma bite, et l’a dirigée vers sa grotte.

Elle est descendue avec une infinie lenteur et je sentais chaque millimètre carré de sa paroi intime fusionner avec mon sexe, jusqu’à ce qu’elle m’ait totalement englouti !

Elle est restée plusieurs minutes ainsi, sans bouger, juste empalée sur mon pieu d’amour. Je ne sentais que ses contractions internes masser ma bite. Enfin, elle a commencé ses va-et-vient, toujours aussi lentement : la tête renversée en arrière, les yeux dans le vague, elle éprouvait manifestement beaucoup de plaisir ! Tout comme moi ! Jamais je n’avais ressenti un tel bonheur : cette pénétration au ralenti était une vraie merveille !


Soudain, elle s’est métamorphosée ! D’amante douce et câline, elle s’est transformée en furie ! Les va-et-vient ont pris un rythme fou et ses soupirs lascifs se sont mués en cris rauques. Elle sortait presque entièrement ma bite de son fourreau pour s’empaler de nouveau au plus profond d’elle-même !

Au comble de l’excitation, je l’ai fait pivoter sur le dos et, en lui relevant très haut les jambes, je l’ai pilonnée sans relâche, jusqu’à ce que nous hurlions presque simultanément notre jouissance.


Après cette débauche sexuelle, je me suis affalée auprès d’elle. Nous étions tous les deux ruisselants de sueur, cherchant notre souffle, incapables de nous lever, tant le plaisir nous avait foudroyés !

Tout en lui caressant les cheveux, je lui ai murmuré :



Elle n’a pas répondu, mais les larmes qui ont roulé sur ses joues étaient bien plus éloquentes que n’importe quelle réponse.

Je l’ai enlacée. Elle se blottissait dans mes bras, cherchant le maximum de contact entre nos deux peaux.

Après la fougue de nos ébats, cet instant semblait irréel de calme, de volupté et de tendresse.

Nous étions tellement bien ainsi que nous nous sommes endormis.


Il était presque 22 heures quand nous nous sommes réveillés, presque surpris de nous voir ensemble. On dit que la faim fait sortir le loup du bois, mais elle fait aussi sortir les amants du lit !

Nous avons commandé nos pizzas puis avons pris une bonne douche, ensemble. Encore un instant de tendresse comme il y en a peu : nous nous massions plus que nous nous lavions, mais ne cherchant pas les caresses intimes, profitant juste du corps de l’autre.



La sonnerie annonçant l’arrivée du livreur de pizza nous a tirés de notre rêve ! Sam a enfilé rapidement un peignoir et a couru prendre livraison de notre repas.

Je l’ai rejointe alors qu’elle refermait la porte. Nous avons échangé un baiser puis elle a mis la table. Pendant qu’elle cherchait l’huile pimentée, je me suis collé dans son dos et, en l’enlaçant encore, je lui ai dit :



Elle m’a juste répondu :



Je commençai à caresser son corps et elle devenait de plus en plus réceptive, collant ses fesses à mon bas-ventre pour en éprouver la dureté. J’ai dénoué son peignoir et l’ai fait glisser à ses pieds. Ses fesses nues étaient en contact on ne peut plus étroit avec ma bite tendue. Elle était appuyée sur le bord de l’évier, je caressais ses seins surexcités.

J’ai passé un doigt dans sa fente : à nouveau bien humide ! Elle se cambrait à fond et se frottait contre mon vit, alors j’ai écarté ses cuisses et je l’ai prise, là, debout devant l’évier. Elle a poussé un cri rauque lorsque je l’ai pénétrée. Elle était pressée de jouir et faisait des mouvements désordonnés. Je l’ai prise par les hanches et je l’ai pilonnée autant que j’ai pu !

Dans l’excitation, nous avions oublié la capote et, au moment ultime, je me suis donc retiré pour éjaculer sur ses fesses !


J’ai attrapé des mouchoirs en papier non loin de là pour essuyer mes traces de jouissance. Elle s’est redressée, a remis son peignoir et, encore chancelante, s’est assise sur sa chaise. Je me suis assis en face d’elle. Son regard pétillait, comme celui d’une enfant devant le sapin de Noël ! Elle a pris ma main et m’a simplement dit :



Un instant de silence s’ensuivit, les mots étaient superflus tant notre bonheur était palpable.



On rit tous les deux en se jetant sur nos pizzas.

Tout en mangeant, on a abordé toute sorte de sujets, parlant de tout et de rien, comme un vieux couple !