n° 09466 | Fiche technique | 10222 caractères | 10222Temps de lecture estimé : 7 mn | 25/07/05 |
Résumé: Ma rencontre avec mon homme. | ||||
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Auteur : SandrineB (Mes souvenirs, en espérant vous en inspirer d'autres.) |
Épisode précédent | Série : Initiation Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Les souvenirs reviennent. Doucement, ils glissent sur ma peau et ma mémoire et m’éveillent dans un frisson. Le dos calé par les oreillers, mes cuisses écartées, ma main droite caresse doucement mon sexe. Le soleil éclaire ma peau dorée. Le duvet blond de mes jambes apparaît alors transparent et ma main remonte sur mes cuisses avant de redescendre doucement, légère comme un oiseau.
Je me remémore ma rencontre avec lui. Avec mon homme.
Il était mon chargé de TD en procédure pénale. Inutile de dire qu’il était grand et beau, cela va de soi. Mais, ce qui me plut chez lui, ce fut surtout son intelligence fine et persuasive, une manière d’être et un charme évident. Son aisance et sa retenue. Il n’y avait en lui ni futilité ni pédanterie. Je décidai très vite de le séduire. Mais il me fallut du temps pour vaincre ma timidité et me dévoiler. Nous discutions parfois à la fin de ses cours, il me donnait des conseils pour le choix de mes matières, mais il n’agissait pas différemment avec moi qu’avec un certain nombre d’étudiants.
Bientôt le printemps arriva, je n’avais toujours pas réussi à exister à ses yeux et il me fallait faire vite. Armée de mes résolutions, je décidai de le séduire, mais, afin qu’il sache ce que je voulais, je décidai de le faire comme la libertine que mes lectures m’avaient fait devenir.
Un jeudi de mai, alors qu’il faisait déjà chaud, je mis une jupe blanche assez courte et un petit débardeur, blanc également. Évidemment, pas de sous-vêtements. Arrivée en cours, je m’assis au premier rang de la salle. Pendant qu’il reprenait, assis à sa table, les éléments du cas pratique que nous avions eu à étudier dans la semaine, je croisai les jambes une première fois. Il n’avait fait que m’entrapercevoir, mais ce geste attira son regard. Je recommençai donc le mouvement et levai suffisamment ma jambe pour qu’il puisse apercevoir mon entrejambe.
Sa réaction ne me surprit pas. Au lieu de paraître gêné, il me regarda dans les yeux et me fit un léger sourire complice. Je lui rendis son regard et mon excitation augmenta. Ma chatte commençait à mouiller et à me brûler. Je n’avais qu’une envie : fouiller mon intimité de mes doigts, me branler en imaginant ses doigts, sa queue, sa langue… Il était d’autant plus difficile de me calmer qu’il restait encore deux heures de cours et qu’il me faudrait attendre jusque-là pour pouvoir me soulager. Mais, à la fin du cours, alors que je m’apprêtais à sortir, il m’appela et me demanda de le rejoindre à son bureau.
Bien sûr, nous savions que tout ceci n’était qu’une farce. Mes résultats étaient excellents et il était improbable qu’un jeune professeur perdît son temps à donner des cours particuliers à une première année, surtout après les examens. Mais ceci m’importait peu. J’allais le voir, je passerais du temps avec lui, seule.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous fûmes, les premiers temps, remarquablement sages. Je ne voulais pas me livrer tout de suite à lui, d’abord par simple prudence élémentaire, mais surtout parce que plus il me plaisait, plus je souhaitais faire durer le plaisir de l’attente. Nous nous voyions tous les jours dans son bureau. Il me proposait des cas pratiques dont nous discutions ensemble. Notre intimité grandit peu à peu, nous abandonnâmes le « vous » pour nous tutoyer et nous nous appelâmes bientôt par nos prénoms. La séduction était permanente. Je venais à son cours avec des vêtements légers, et je m’arrangeais toujours pour que son regard ait un endroit où s’arrêter. Nos mains se frôlaient quand nous nous échangions des papiers, nos regards s’accrochaient parfois l’un à l’autre…
Ma peau me brûlait en rentrant chez moi et mes séances masturbatoires devinrent quotidiennes et plus acharnées encore : je passais mes soirées seules dans mon lit à me caresser doucement pendant des heures puis, quand l’excitation atteignait le point de non-retour, comme rendue furieuse d’excitation, je branlais sauvagement mon clitoris tout en me pénétrant avec le manche d’une brosse à cheveux. Je le voulais, je voulais vivre avec lui et je voulais sa queue. Je voulais être sa femme et sa petite chienne. Je voulais son amour et je voulais sa luxure.
Vint le dernier cours particulier.
Un coup d’œil inquiet et, j’en jurerais, une certaine rougeur au front, pour la première fois… Quant à moi, mon cœur battait, mes tempes cognaient…
Et je sortis presque en courant de son bureau. Je crois que je ne pensai même pas à lui dire au revoir.
Nous mangeâmes aux Trois Dômes, un excellent restaurant lyonnais. Inutile de dire que je tombai définitivement amoureuse de lui pendant le repas. Il se montra doux, attentionné, charmant, sut prendre son temps et, lorsqu’il me prit la main au dessert, ce fut sans brusquerie, sans timidité non plus. Après le repas, nous nous sommes retrouvés sur le trottoir. Je lui ai pris la main droite et l’ai portée à mes lèvres. Il s’est penché sur moi et sa bouche s’est posée sur la mienne, nos langues se sont mêlées… Ce fut un baiser tout en douceur, tout en retenue, mais un baiser qui, nous le savions, en appelait d’autres.
Mes souvenirs sont flous et je ne sais comment nous nous sommes retrouvés chez lui, à quelques pas du fleuve.
Je suis nue, étendue sur son lit recouvert de drap blanc. Mes cuisses sont écartées et je sais que je l’excite. Je sais que mon corps de gamine de 18 ans, mes petits seins, mon sexe épilé aux lèvres fines, ma peau de blonde doucement bronzée, lui font autant d’effet que pour moi son corps mince aux muscles légers, sa queue droite et belle, ses jambes magnifiques.
Mon sexe, déjà humide, ruisselle d’excitation maintenant que Frédéric s’est allongé entre mes cuisses pour me lécher. Sa langue commence par effleurer mes grandes lèvres, puis elle remonte doucement et vient papillonner autour de mon petit bouton. Elle se fait alors plus insistante, je sens ses joues contre mes cuisses, ses mains remontent pour me caresser les seins dont les pointes deviennent dures, presque cassantes. Je mouille tellement maintenant, que mon homme doit parfois s’arrêter de me lécher pour respirer. Puis, il se reprend et retourne entre mes cuisses. Sa langue va de plus en plus vite, des frissons parcourent mon bas-ventre, je sens mon sexe qui s’ouvre, ses doigts viennent fouiller mon intimité. Il plonge un doigt, deux doigts dans ma vulve, il les porte à ma bouche et me les fait lécher, j’aspire comme une folle mon propre jus, un doigt vient caresser mon anus et il s’enfonce puis ressort en un va-et-vient obsédant. Je jouis bientôt, mes cuisses tremblent, mon ventre tremble, ma voix tremble… J’ai joui et j’en veux encore…
Mais d’abord à lui ; je le prends par les épaules et le fais s’allonger. Je descends mon visage vers son sexe, que je commence à effleurer de mes cheveux blonds, puis je caresse son vit avec ma main droite. Je commence à le masturber et ma bouche descend doucement. Je commence ma fellation par des coups de langue sur son gland et ses couilles lourdes et pleines. Un peu intimidée, car c’est un exercice que je ne maîtrise que théoriquement, je prends bientôt sa queue dans ma bouche et commence de longs va-et-vient, mouillant de ma salive cette très belle queue. Surprise par la douceur de la peau sous ma langue, je le suis encore plus par le succès de mon entreprise puisque, après quelques minutes, je sens sa queue se raidir et se gonfler encore plus et elle libère un flot de sperme qui vient cogner contre ma gorge. Heureuse d’avoir satisfait mon homme, je bois son jus, caresse et embrasse sa queue et remonte vers son visage.
Il m’attire à lui et, passant une main sous mon ventre, commence à me branler. Sa queue n’a pas débandé et il me demande de venir m’asseoir dessus. Je m’empale donc sur sa colonne et commence à monter et à descendre. Ma chatte est mouillée et cette pénétration se fait sans problème. Je vais de plus en plus vite, sa queue cogne contre mes parois vaginales, elle me fouille, je me penche afin de mieux la sentir et mon clitoris frotte sur son bas-ventre. Il me donne alors un doigt à sucer puis le descend vers mes fesses. Il me caresse le cul et introduit ce doigt dans mon anus dilaté par le désir.
Je suis à lui. Je suis à lui comme je sais que je n’ai été à aucun homme. Alors que la jouissance approche, je me penche vers lui et lui murmure à l’oreille :
Son doigt se fait plus remuant, sa queue plus insistante, mon clitoris semble prêt à exploser. C’est en le sentant se répandre dans ma chatte que je jouis.
Cette nuit, notre première nuit, fut suivie de beaucoup d’autres.
Et, en ce matin où mon réveil est si délicieux, d’autres souvenirs, je le sais, vont revenir.