n° 09469 | Fiche technique | 6589 caractères | 6589Temps de lecture estimé : 5 mn | 25/07/05 |
Résumé: Un beau matin d'été, dans le silence du château de ma mère, je déambulais dans les couloirs ... | ||||
Critères: grp jeunes cousins vacances volupté voir fellation cunnilingu pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Amour Amante (Amoureuse de la Vie !) |
Un beau matin d’été, dans le silence du château de ma mère, je déambulais dans les couloirs sombres et humides, vêtue d’une simple nuisette blanche imprimée de petits cœurs roses, mes pieds nus glissant légèrement sur les tomettes fraîches.
Prise d’une excitation soudaine, en passant devant la chambre de mon cousin Arnaud, dont j’étais secrètement amoureuse, je ne pus m’empêcher de regarder par la porte entrouverte.
Comme il me l’avait raconté lors d’une soirée de confidences : « je ne dors jamais avec un quelconque vêtement ! », je le trouvai endormi nu sur son lit, son corps à peine voilé par un drap léger, un rayon de soleil éclairant le bas de son ventre comme un signe du ciel m’indiquant le chemin à suivre…
J’entrai à pas de velours, mon petit cœur battant la chamade, et m’assis au bord du grand lit pour admirer de plus près son corps abandonné à mon regard gourmand.
Bientôt, sans pouvoir résister, je posai une main tendre sur sa cuisse nue. Sa peau était chaude et mon cœur sautait joyeusement sous ma poitrine dont les tétons se dressaient fièrement sous le fin tissu de ma nuisette.
Prise d’une pulsion incontrôlable, je caressai lentement ses jambes, son ventre, puis j’aventurai mes doigts sur son membre qui semblait se durcir à travers le tissu du drap.
Il gémit doucement et s’étira mais sans ouvrir les yeux, comme pour mieux profiter des mes attentions matinales. Je compris alors qu’il m’avait vue arriver et avait feint de dormir pour mieux profiter de mes attentions.
J’étais toute émoustillée à l’idée de pousser plus loin mon exploration et, soulevant le drap, je découvris son membre qui commençait à se dresser doucement vers le ciel. Le rayon de lumière entre les volets semblait jouer avec ce joujou de chair, objet de toute ma convoitise.
J’aimais le caresser de mes doigts, tirer délicatement sur la peau pour l’allonger, voir le gland se gonfler de désir et la hampe grossir et s’allonger démesurément sous l’effet de mes caresses.
Terriblement excitée, je glissai ma main libre entre mes cuisses humides pour caresser mon petit bourgeon qui se gonflait lui aussi de désirs inavouables. Cela sembla durer un temps interminable où ma main droite s’affairait sur ce sucre d’orge long et ferme tandis que ma main gauche tentait de calmer les ardeurs des replis de ma plus tendre intimité.
Approchant mon visage pour mieux observer les contours de cet étrange animal, je déposai tout du long de doux baisers amoureux, sans trop savoir comment m’y prendre pour donner à mon cousin encore plus de plaisir.
C’est alors que je ne pus me retenir de le happer d’un coup pour le sucer avec gourmandise. Mon amoureux émit un gémissement de plaisir et se laissa faire tout en gardant les yeux fermés.
Me laissant complètement aller à mes désirs et mon intuition, je le suçais à présent avec passion, l’enfonçant jusqu’au fond de ma gorge. J’étais toute humide à l’idée que ce glaive tendre et ferme pourrait habiter les tréfonds de mon ventre déjà si avide de nouvelles sensations.
Mais il en fut autrement car, trop passionnée, je ne m’aperçus pas que mon amant était au bord de l’extase, et je fus toute surprise de sentir ma bouche envahie subitement par sa sève chaude et épaisse. J’avalai goulûment et amoureusement, sans en oublier une goutte, le flot de sa liqueur d’amour qui déferlait dans ma gorge.
Arnaud ouvrit les yeux et me sourit tendrement en caressant mes cheveux, mais aussitôt il s’assoupit à nouveau, et je le regardai, attendrie de le voir reparti ainsi dans les bras de Morphée.
Toute excitée de mon audace, toute émoustillée par cette aventure, je laissai là mon cousin et repartis dans les couloirs en tenue légère.
Et me voilà à la recherche de nouvelles aventures dans les couloirs du château, faisant voleter les pans évasés de ma nuisette rose… un peu trop courte que pour cacher le haut de mon petit postérieur.
J’entendis des gémissements et, par la porte entrouverte d’une chambre, j’aperçus ma cousine allongée sur son lit, ses jambes longues et fines bien écartées, en train de caresser langoureusement son minou tout rose qui semblait attendre bien plus que de simples caresses.
J’entrai dans sa chambre à pas de loup et m’agenouillai au pied de son lit pour caresser ses longues jambes et les embrasser, remontant le long de ses cuisses jusqu’à ce que mes baisers atteignent les lèvres roses et humides qui me faisaient tant envie.
Une fois de plus la fièvre m’envahit et je léchai sans attendre l’objet de tant de délices. Ma cousine, se délectant de mes attentions particulières, gémissait tant et si bien que son ami, qui prenait sa douche dans la petite salle de bain privée, vint bientôt nous rejoindre.
Me voyant accroupie, ce coquin glissa une main exploratrice sous ma nuisette, caressa tout d’abord les rondeurs de mes fesses, puis insinua ses mains agiles entre mes cuisses. J’étais plus qu’humide et ses doigts baladeurs soulagèrent avantageusement ma fièvre matinale.
C’est ce moment que choisit Arnaud, mon amant du matin que je croyais endormi, pour nous rejoindre car, lorsqu’il s’était réveillé, il avait été attiré par les cris de ma cousine…
Au lieu de s’offusquer de la situation, il sourit, s’approcha d’elle et l’embrassa langoureusement, en caressant ses seins généreux dont les tétons pointaient vers le ciel. Puis, lorsqu’il en eut assez, il approcha son ventre du visage de ma cousine et lui tendit son membre long et ferme qu’elle goba avec passion.
Rassuré, le coquin, qui n’avait pas cessé d’insinuer ses doigts experts dans mon minou fragile, glissa à son tour sa verge bien tendue entre mes fesses et je l’y reçus…
Notre quatuor se mit en mouvement harmonieux : les va-et-vient au fond de moi se répercutèrent par ma langue dans le minou de ma cousine qui, à son tour, les transmit tant et si bien à mon cousin que tous les quatre nous eûmes un orgasme commun - et pourtant hors du commun… - dans le château de ma mère…
Ce qui nous donna envie… de le refaire chaque matin… avec d’autres complices, bien sûr !
Mais ça, c’est une autre histoire !