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Temps de lecture estimé : 20 mn
29/07/05
Résumé:  Ma femme et moi désirons connaître l'amour à quatre. Peut-être avec Fabien et Patricia, peut-être à l'occasion de l'anniversaire de ma femme...
Critères:  fh 2couples couplus fépilée hotel caférestau anniversai voiture amour volupté voir exhib noculotte fellation anulingus pénétratio double sandwich fdanus échange jeu
Auteur : Flamant
Soirée d'anniversaire

Florence, superbe femme approchant la quarantaine, est ma femme depuis dix-huit ans. Brune aux yeux verts, le visage enjoué et toujours souriant, c’est une femme qui respire la joie de vivre et sur laquelle le regard des hommes s’accroche de plus en plus. Sûrement parce qu’elle est arrivée à une période de sa vie où elle se sent bien dans sa peau et que l’envie de sexe peut se lire sur son visage, mais plus encore ; l’odeur d’envie de sexe qu’elle dégage attire les mâles. Nous le savons tous les deux et cela fait parti du jeu, de notre jeu.


En dix-huit ans de mariage, nous avons sexuellement évolué ensemble ; nous avons appris à nous connaître, à nous sentir, à jouer ensemble pour permettre à notre libido de rester au beau fixe. Comme par alchimie, ça marche et nous sommes fidèles l’un envers l’autre. Evidemment, l’envie d’aller voir ailleurs se fait sentir de temps en temps, ce qui est tout à fait normal ; mais nous avons depuis toujours décidé de tout nous dire : nos envies, nos fantasmes, nos frustrations… rien n’est tabou, tout est envisageable, mais à deux. Pas de place pour la tromperie, la maîtresse ou l’amant, nous nous aimons trop pour mettre en péril notre couple et notre vie de famille. Pourquoi mentir et se tromper si l’on peut trouver un terrain d’entente ?


La maturité sexuelle que nous avons atteinte nous permet de rêver à certaines situations, à certains actes, mais, de là à franchir le pas, c’est une autre histoire. On dit que le fantasme est une bonne et saine chose pour l’esprit, certainement, mais maintenant il nous faut plus qu’un fantasme, nous avons envie de passer à autre chose, à plus de sensations, à des situations excitantes, à des plaisirs plus forts et plus intenses, à plus de piquant dans notre vie sexuelle, qui est déjà bien chargée, il faut quand même l’avouer.


En effet, depuis que nos deux enfants, de seize et douze ans aujourd’hui, sont en état de s’occuper d’eux même, nous avons, Florence et moi, recommencé à vivre en tant que couple, en faisant l’amour de façon très amoureuse, je dirais. Puis petit à petit, faire l’amour n’était plus assez alors nous avons commencé à nous monter des scénarios, à inventer des jeux érotiques, à utiliser des accessoires et à tour de rôle, une fois par mois, chacun de nous organisait la soirée, avec un thème bien évidement. Il y avait donc le thème de la soirée, le lieu du dîner, la fin de soirée…


Ces soirées sont jusqu’à aujourd’hui toujours merveilleuses, car nous nous lâchons complètement, complices de ce jeu sexuel, complices de cette envie que nous avons l’un de l’autre, envie dont nous sommes très fiers et heureux de préserver.


Un de ces soirs, Florence se fait encore plus belle que les autres jours. Avant de s’habiller, elle a l’habitude de s’enduire le corps d’une crème qui a pour effet de mettre en transe ; la naissance de ses seins lourds à cause des deux grossesses attire infailliblement le regard, conséquence des larges et beaux décolletés qu’elle porte toujours et dont je raffole. Pour ce qui est du bas, je la préfère en jupe et elle le sait ; par contre, pour les dessous, c’est ou le string ou rien du tout, c’est elle qui choisit. Pour couronner le tout, Florence adore les chaussures à talons hauts, ce qui lui donne une démarche superbe et l’air encore plus femme fatale.


Je l’emmène donc au restaurant, choisi avec soin pour être classe et tranquille et là, nous passons le dîner les yeux dans les yeux à nous parler de notre vie, de nos affaires, de nos envies. Le vin aidant, je commence à deviner la lueur pétillante dans ses yeux clairs, et je sais qu’à partir de là, elle m’appartient totalement. C’est ce moment que je choisis pour lui demander de passer aux toilettes et de me ramener dans la main son string. Bien sûr elle fait semblant de refuser pour la forme, mais je sais qu’elle a déjà commencé à mouiller et qu’elle attend la suite avec impatience.


De retour à table, il lui est bien entendu défendu de fermer les cuisses ou de croiser les jambes, mais la situation devient vite intenable. Oublié le dessert, oubliés les cafés, il faut que l’on se touche, que l’on se sente, que l’on se pénètre, que l’on prenne du plaisir, que l’on jouisse.


Nous rentrons donc chez nous, et la demi-heure de voiture se passe sans un mot ; elle, les pieds sur le tableau de bord, les jambes écartées et la jupe retroussée sur son ventre, offerte, à la limite de l’exhibitionnisme et moi perdu dans mes pensées les plus folles, imaginant le scénario suivant, en attendant le moment où je vais la prendre.


Alors, pour pousser encore plus loin le vice, je m’arrête au bord de la route, sors sa poitrine enflée de désir de son soutien-gorge et fixe sur les tétons des pinces qui ont pour effet de la faire gémir, et la frontière entre la douleur et le plaisir est alors difficile à définir.


Je vérifie son degré d’excitation en passant un doigt inquisiteur sur son sexe, humide à souhait. Quelques va-et-vient sur son clitoris gonflé par l’envie nous excitent davantage. Mais stop, il ne faut pas aller plus loin. Et c’est les seins dehors que nous reprenons la route, avec de temps à autre des ondulations de son bassin qui en disent long sur son état.


Arrivés chez nous, je la bouscule un peu, la force à se mettre à genoux dans le hall de notre immeuble, lumières éteintes et introduis mon sexe (déjà au garde-à-vous depuis longtemps) dans sa bouche. Evidemment, elle rechigne, de peur de se faire surprendre par quelqu’un, mais c’est ce qui rend la situation plus piquante, plus excitante. À genoux, jambes écartées, elle ferme alors les yeux et fait glisser mon membre dans sa bouche, avalant le maximum de ce qu’elle peut et commence son va-et-vient qui a pour effet de m’exciter encore plus. Me tenant les fesses à deux mains, elle suce, elle pompe mon sexe de plus en plus fort, de plus en plus vite et s’arrête. Retrait complet, supplice ! Mais elle recommence à me lécher le gland, lèche les premières sécrétions, puis passe sa langue tout le long de mon sexe et soudainement reprend sa fellation.


Comme nous habitons au premier et après un baiser des plus passionnés, mélangeant le goût de mon sexe à sa salive, c’est sur l’escalier que je décide de la prendre. Ma main passe sous sa jupe, son entrecuisse est chaud, son sexe coule, et j’introduis à fond deux doigts, sans aucune autre forme de procès. Accrochée à mon cou, cambrée sur ses talons, le ventre en avant, elle s’offre, halète, je sens son souffle court, je sens son envie d’aller plus loin. Retournement de situation, retournement de position, je la prends, en levrette, sur les marches de l’escalier. Elle m’offre sa croupe, cambre ses reins et, jupe relevée sur son dos, je la pénètre d’un seul coup ; elle râle de plaisir et de bonheur de se sentir enfin prise et remplie. Commence alors la chevauchée fantastique et je vois mon sexe entrer et sortir de cette croupe que je connais tellement bien et qui me fait envie et m’excite encore tellement. Puis vient le moment où la jouissance arrive à son paroxysme, où tout est tellement bon, où toutes les sensations deviennent presque insupportables. Elle est moi jouissons de cet amour, de cet acte charnel si bon, si vivifiant pour notre amour et son équilibre. Je sens mon sperme se déverser à flots dans son sexe, je voudrais que jamais cet instant ne finisse. Elle se relève et sent mon sperme couler le long de ses cuisses. Nous rentrons chez nous et nous nous endormons quelques instants plus tard, amoureusement dans les bras l’un de l’autre.


Puis nous reprenons notre vie quotidienne, agrémentée de séances d’amour dans notre lit, dans le salon, dans le couloir. Toutes les pièces de la maison ont été témoins de nos ébats. Et chaque fois nous avons encore plus de plaisir et envie d’avoir plus de plaisir. Nos discussions au sujet du sexe nous ont éclairés sur un point : pas question de se tromper et pas de triolisme, nous n’en voyons pas l’intérêt. Par contre, une soirée à quatre ne serait pas pour nous déplaire. Encore faut-il trouver le couple qui serait d’accord.


Club, boîte échangiste, etc. nous ne sommes pas pour. Après plusieurs mois, pas de recherche, mais de questions et d’allusions dans notre entourage, nous nous sommes rendu compte que deux de nos amis, un homme et une femme, seraient prêts à participer à ce genre de soirée. Florence et moi n’osons faire le premier pas ; elle en a très envie, elle me l’a dit, mais quelque chose me chiffonne un peu. Lors de cette soirée, c’est ma femme que je partagerais avec un autre homme, cette femme que j’aime tellement et qui représente beaucoup pour moi, alors que notre ami, lui, ne partagera rien avec moi, il ne m’offrira rien. La décision est difficile à prendre, mais l’envie est de plus en plus grande ; cette envie de sensations nouvelles, de plaisir défendu se fait de plus en plus sentir.


J’ai donc pris la décision de passer à l’acte, sans consulter ma femme, et pour cause : c’était bientôt son anniversaire, et je lui offrirais comme cadeau cette soirée dont elle a tant rêvé.


Il faut donc trouver le lieu de cette soirée, la date et avoir l’accord de nos deux amis. Sur ce dernier point, pas de souci, ils n’attendent que ça. Pour la date, il suffit de jongler pour que tout le monde soit libre ce soir-là ; quant au lieu, ce sera dans un hôtel.


Après avoir consulté sur Internet les divers hôtels de la région, j’ai opté pour un grand hôtel, style palace, où les entrées et sorties des gens passent inaperçues. J’ai donc réservé pour une nuit une superbe chambre, lit double King size et le jour J, j’appelle ma femme au téléphone comme tous les jours depuis dix-huit ans vers 10h00, pour voir comment elle va, et je l’invite alors à un dîner pour le soir même, en lui demandant d’être prête pour 21h00 ; la tenue vestimentaire est imposée : jupe courte, chemisier, talons aiguilles, sous-vêtements coordonnés. La journée est longue, l’excitation de plus en plus forte. Elle ne sait vraiment pas ce qui l’attend ! Je passe par l’hôtel pour prendre les clés de la chambre, y dépose quelques affaires personnelles dont nous aurons besoin, et je rentre chez nous vers 19h00 ; nous discutons de notre journée et, vers 20h00, nous nous préparons pour ce dîner en amoureux. Florence suit à la règle mes instructions concernant sa tenue vestimentaire : superbe chemisier rouge, fermé sur le devant par une série de crochets dont le premier ne commence qu’à la naissance des seins, jupe noire fendue jusqu’à mi-cuisses et escarpins noirs ; pour tout bijou, elle porte un collier de chien en dentelle noire. Léger maquillage pour contourner ses yeux si lumineux et rouge à lèvres foncé. Après un dernier bonsoir aux enfants, nous partons pour notre dîner.


En chemin, je lui demande de me donner son string ; je tiens à ce qu’elle passe la soirée avec son sexe à l’air libre. Comme il fallait s’y attendre, le « non, pas maintenant » de rigueur est là. Mais un peu de fermeté et je la vois remonter sa jupe, descendre son string le long de ses jambes et passer ses pieds chaussés d’escarpins : quelle, vision ! Pour moi, une des plus belles parties du corps féminin est la cambrure d’un pied dans une chaussure à talon haut. C’est d’un sexy ! Nous arrivons enfin à destination. Grand palace de vingt étages, tout en verre, superbe entrée, jets d’eau et jeux de lumière. Le groom ouvre la porte de la voiture à ma femme et ne se gêne pas pour mater son décolleté et ses jambes, jupe remontée à mi-cuisses, au moment où elle sort de voiture. Elle et moi nous regardons tout de suite. Son charme opère encore et toujours. Sur notre passage, beaucoup d’hommes se retournent discrètement pour la regarder, et elle aime ça. Moi aussi je dois l’avouer. Savoir que ma femme plaît m’excite beaucoup. Je la guide vers l’ascenseur et nous montons pour le seizième étage. Nous sommes seuls dans la cabine et j’en profite pour lui caresser les fesses à travers le tissu de sa jupe pendant qu’elle rajuste ses cheveux pour la centième fois depuis le départ de la maison. Arrivée en douceur et ouverture des portes sur un restaurant chinois, avec vue panoramique à 360 degrés sur toute la ville. Lumière tamisée, musique douce chinoise, ambiance cosy, nous sommes accompagnés vers notre table que j’avais réservée en demandant qu’elle soit dans un coin tranquille, si possible un peu à l’écart. Nous voilà donc installés, et comme lors de nos précédents dîners, nous profitons de cette occasion pour parler, de tout et de rien, de nous, de notre famille, nos enfants, nos boulots. Menant une vie effrénée de travail et de sorties sociales plus que mondaines, nous n’avons pas souvent le temps de prendre notre temps pour parler. À un moment, Florence se lève et se dirige vers les toilettes ; je la suis du regard, et je ne suis pas le seul. Viennent alors l’envie et le moment d’augmenter la pression. À son retour et avant qu’elle ne s’assoie, je lui demande de le faire, mais, en relavant sa jupe, je veux ses fesses en contact avec le cuir de la chaise. Elle marque un instant d’arrêt, réfléchit à toute vitesse, jette un regard aux alentours et se baisse pour s’asseoir, en remontant sa jupe au fur et à mesure qu’elle se baisse. Sensation du cuir sur les fesses ? Je ne la connais pas, mais elle me dit que c’est froid, que ça lui fait quelque chose, une sensation, une fraîcheur, que ça l’excite… Je pensais que personne n’avait rien vu, mais le garçon servant notre table a le regard fixé dans notre direction. Je suis sûr qu’il a tout vu et je ne dis rien à ma femme. Je lui demande de glisser un peu sur sa chaise, de passer son majeur dans son sexe pour me montrer à quel point elle est prête à tout avec moi. En me regardant droit dans les yeux, elle le fait et me donne son doigt à sucer. Le garçon qui fixait la scène n’en revient pas, écarquille les yeux et a du mal à déglutir.


Seconde bouteille de vin blanc, frais, qui se laisse boire facilement, et nos esprits et nos corps commencent à ne plus tenir en place. Le temps de passer à la seconde partie de la soirée est venu, mais j’ai envie de faire monter la tension. Nos amis qui doivent partager cette seconde partie doivent déjà nous attendre dans la chambre, je leur ai remis une clé cet après-midi. Avant que les cafés n’arrivent, je fais remarquer à ma femme que le garçon en pince pour elle, qu’il la mate depuis le début de la soirée et qu’elle devrait être gentille en lui en montrant un peu plus. Je lui demande de dégrafer deux boutons de son chemisier, dans l’état où elle est, elle le fait sans aucune gêne, ce qui fait qu’il est maintenant ouvert jusqu’à la moitié de ses seins. Je n’en peux plus, je bande depuis un bon moment déjà, je me sens à l’étroit dans mon pantalon et je ne sais pas comment je vais faire pour traverser la salle sans que cela se voie.


Après le repas, je lui annonce qu’il est temps que l’on rentre. Nous nous levons et traversons la salle, moi derrière elle, essayant de cacher mon érection, elle toujours aussi belle et désirable. Dans l’ascenseur, j’appuie sur le huit, elle ne l’a pas remarqué. Les portes s’ouvrent et je la guide vers l’extérieur. Elle est à ce moment-là surprise, c’est normal, et je lui explique que j’ai réservé une chambre pour la nuit, de ne pas s’inquiéter, que les enfants sont au courant d’une surprise que je lui fais. Je la conduis vers la porte de notre chambre, et, avant d’entrer, je lui masque les yeux avec le foulard que j’avais prévu dans ma poche. Pas trop surprise par ce geste, car nous avions souvent l’habitude de jouer, elle se laisse faire. Nous entrons dans la chambre où la lumière est tamisée ; nos amis nous attendent, tout nus comme convenu, en silence. Cette nuit tant attendue peut maintenant commencer. Collé au dos de Florence, je la pousse au milieu de la pièce, je lui passe les mains derrière le dos et les attache au niveau des poignets avec un foulard. Cette position a pour effet de rendre sa poitrine encore plus arrogante, offerte en avant, aux yeux des deux autres qui ne bougent pas d’un pouce. Je la caresse en douceur, l’embrasse dans le cou, descend mes mains sur ses épaules, ses seins, son ventre, ses fesses. La toucher m’excite toujours autant, j’y trouve toujours autant de plaisir et je suis sûr que mes caresses lui font aussi de l’effet. Je remonte mes mains lentement vers sa poitrine et entreprends de dégrafer un à un les crochets de son chemisier ; je caresse sa poitrine en m’attardant sur les tétons qu’elle a très sensibles, je les pince et obtiens un gémissement, une complainte ? Non, un plaisir d’avoir un peu mal. Je déboutonne sa jupe, la fait glisser le long de ses jambes et à ma grande surprise, je remarque qu’elle s’est rasé le pubis. Voilà des années que je le lui demande et c’est aujourd’hui qu’elle l’a fait. Quel plaisir de voir ce sexe lisse, ces lèvres déjà gonflées de plaisir et d’envie. Je la détache un instant, le temps de la mettre totalement nue. Nue, collier de chien autour du cou, campée sur ses talons, jambes écartées, ses seins lourds en avant et la chatte rasée, elle est sublime ; je sens chez nous trois une excitation difficile à contenir. Je m’approche d’elle et la couvre de baisers, tout son corps y passe. Je laisse ma place à Patricia qui continue à la couvrir de baisers et c’est au tour de Fabien de prendre la relève pendant que je me déshabille en faisant le moins de bruit possible. Jusqu’à maintenant, elle ne s’est pas rendu compte que trois personnes l’avaient couverte de baisers ; il est vrai que ces attouchements ne sont que superficiels.


C’est alors que je m’approche d’elle et que je glisse un doigt dans sa chatte pour vérifier qu’elle coule comme une fontaine. Pendant que je la caresse, je l’embrasse dans le cou et lui demande si elle est prête à tout avec moi. Innocemment, comme lors de nos jeux, elle acquiesce, sans vraiment savoir ce pour quoi elle est d’accord. Je lui intime l’ordre de se mettre à genoux et d’ouvrir la bouche. À genoux, impudique, mains attachées dans le dos, elle attend bouche ouverte que je la prenne par cet orifice. Je m’approche et enfourne mon sexe entre ses lèvres. Elle l’avale d’un coup, comme si elle attendait ça depuis longtemps. Après plusieurs minutes d’une fellation comme elle en a le secret, je me retire et laisse la place à Fabien qui à son tour pénètre sa bouche. Je passe derrière elle et empoigne ses tétons qui lui font mal d’être bandés de désir. À ce moment-là, elle recule, sentant que quelque chose de nouveau se passe. Je lui annonce que, comme dans nos rêves les plus fous, cette soirée à quatre est en train de se vivre, que c’est son cadeau d’anniversaire. Un cadeau pas comme les autres, et qu’elle s’en souviendra longtemps.


Je lui enlève son bandeau, et elle n’est pas surprise que ce soient Patricia et Fabien qui sont là. Patricia s’approche alors de Florence et l’embrasse à pleine bouche pendant que Fabien lui caresse les fesses. Je me mets derrière Patricia, place mes mains sur sa petite poitrine et lui caresse les seins.


La vraie soirée de baise commence alors. Florence et moi avions souvent pensé à une soirée de baise, où seul le sexe aurait sa place, pas d’amour, pas de tabou, juste la recherche du plaisir et des sensations. Franchir le pas n’est pas du tout simple. Beaucoup d’appréhension, ne sachant pas ce que l’on pensera de tout ça après, quels rapports nous aurons entre nous, mais aussi avec nos deux amis. Mais il est trop tard pour y penser, on se laisse aller tous les quatre à nos envies.


Je délie les mains de Florence, qui a quand même le droit de participer activement à cette soirée, bien qu’en amour elle soit du genre passive. Patricia s’étend sur lit, et, jambes écartées, attend. Florence se lève et d’une démarche chaloupée sur ses talons, s’approche du lit, se penche en avant et se met à lécher la chatte de Patricia. Nous les regardons faire, éblouis par ce tableau. La langue de Florence s’active sur le petit bouton de Patricia, qui relève les jambes et les écarte encore plus, pour offrir un accès total de son sexe.


Fabien monte à son tour sur le lit et offre à Patricia son sexe qu’elle embouche avec plaisir et se délecte d’avoir la bouche si bien remplie. Pour ma part, je me place derrière ma femme et introduis mon sexe dans le sien, lentement, doucement, pour apprécier plus longtemps cette sensation de pénétrer. Elle, croupe tendue, juchée sur ses talons, commence à fatiguer au bout d’un moment, et nous décidons de changer de position. Comme si tout avait été convenu d’avance, et sans que personne dise un mot, Florence se couche sur le dos, son sexe au bord du lit. Je prends la place de Fabien et lui offre mon sexe à sucer. Ce dernier, ayant compris ce que nous attendions, se place au bord du lit et pénètre ma femme qui, à ce moment-là, ouvre les yeux et me mord presque le sexe. Je lis dans ses yeux ce qu’elle veut me dire. Elle est contente, heureuse de pouvoir enfin sentir en elle ces deux sexes. Comme elle me l’a souvent dit, elle voulait des sexes, pas du sexe. La voilà comblée. Patricia ne reste pas inactive non plus, à genoux sur le lit, elle suce les seins de ma femme ; la sensibilité exacerbée de ses tétons la met en transe, elle bouge, balance, remonte son bassin pour être plus près du sexe qui la pénètre. Changeant de position, je me place derrière Patricia et la prends en levrette pendant qu’elle alterne ses baisers entre la bouche et les seins de ma femme. La chambre est remplie de gémissements, pourvu que les murs soient assez épais ! Fabien accélère son mouvement, je m’accroche aux hanches de Patricia et la défonce à fond puis me retire pour jouir sur son dos, par jets saccadés. C’est la première fois en dix-huit ans que je fais l’amour à une autre femme que la mienne. Elle, qui est là, devant moi et qui n’en peut plus de se faire baiser, elle remue la tête dans tous les sens, s’accroche aux seins de Patricia, prend mon sexe dans sa main et jouit au même moment où Fabien se vide sur son ventre.


Tout le monde s’affale et reprend son souffle. Voilà plus d’une heure que nous sommes entrés dans cette chambre. Les filles passent à la salle de bains et nous entendons le jet de la douche couler. Nous nous regardons Fabien et moi, en souriant, sans dire un mot. Une complicité sexuelle s’est créée et les mots n’ont pas leur place en ce moment.


Les deux femmes sortent de la douche et prennent les choses en mains, à notre plus grand étonnement. Elles nous bandent les yeux et nous disent qu’elles vont nous redonner de la vigueur à tour de rôle, à nous de découvrir dans quel ordre. Nous voilà donc debout, au milieu de cette chambre, yeux bandés, en train de nous faire sucer. Je sais très bien que ce n’est pas la bouche de ma femme qui enveloppe mon sexe. La technique est différente, mais tout aussi bonne. Quelques minutes suffisent à nous remettre en forme, et c’est le changement. Patricia s’occupe alors de Fabien et Florence de moi. Tous mes sens sont excités. La situation, les personnages autour et la fellation appliquée sur mon sexe menacent de me faire jouir. Je propose alors d’inverser les rôles.


Nous détachons nos bandeaux, les attachons sur les yeux des filles que nous plaçons côte à côte, à quatre pattes, sur la moquette épaisse de la chambre. Nous leur demandons alors de reconnaître le sexe qui va les prendre. Pour commencer, je m’installe derrière Patricia, qui offre sa croupe de telle façon qu’il serait indécent de refuser une pénétration. Je m’y applique et, après avoir enfoncé deux doigts dans sa chatte béante, j’y introduis mon sexe, centimètre par centimètre, pour apprécier cet instant. À côté de moi, je regarde Fabien tenant ma femme par les hanches et je vois son sexe rentrer dans cette grotte qui n’a appartenu qu’à moi jusqu’à aujourd’hui. La voir se faire prendre comme ça décuple mon érection et je baise aussi fort que je le peux cette femelle en chaleur, tout en me gardant bien de jouir.


Nous nous retirons en même temps des sexes qui nous sont offerts, et je me place devant la bouche de ma femme, l’obligeant à goûter et à lécher mon sexe sur lequel se trouve la cyprine et les secrétions de Patricia. Fabien fait de même avec Patricia, qui le lèche comme si ce bâton était une glace.


Comme elles ont toujours les yeux bandés, nous communiquons Fabien et moi par gestes, et décidons alors de prendre le cul de ces femmes. Je sais que la mienne n’est pas une adepte de la sodomie, mais, en acceptant une soirée comme celle-ci, elle n’est pas en droit de refuser. Je laisse à Fabien le choix, et il opte pour ma femme. J’avoue que j’ai un petit pincement à le laisser faire ; je me place devant ma femme pour l’embrasser pendant que Fabien se met en place et commence par lécher le petit trou de ma femme, qui a tout de suite une réaction et qui essaye de s’esquiver. Je la maintiens en position, en lui disant qu’il va faire doucement et qu’il va mettre de la crème. Il introduit un doigt, puis deux et commence un va-et-vient, pour agrandir ce petit trou. Pendant ce temps, Florence me suce et commence à gémir. Je dis alors à Patricia de ne pas bouger et que son tour arrive. Laissant place au sexe de Fabien, les doigts se retirent et la sodomie commence. Il pousse son gland qui passe lentement, je le sens à la pression de la bouche de ma femme sur mon sexe. Puis c’est le sexe en entier qui coulisse, dans son cul. La vision que j’ai est hallucinante. Je regarde ce bâton de chair entrer et sortir de ce trou qui m’a si souvent été interdit. Je lui attrape alors les deux seins à pleines mains et lui pince les tétons tellement forts qu’elle hurle de douleur en rejetant mon sexe hors de sa bouche. N’y tenant plus, je lui arrache son bandeau, arrache celui de Patricia qui regarde à côté d’elle et qui comprend alors ces gémissements si différents de tout à l’heure. Je me mets derrière elle, mais c’est elle qui m’invite à l’enculer, en écartant à deux mains ses fesses, pour me laisser voir son trou prêt à subir ma vengeance. Je la prends presque d’un coup, elle doit avoir l’habitude, car ça rentre assez facilement. Je dis vengeance, mais elle n’y est pour rien. Je me venge de ma femme que je vois tringlée par le cul alors que moi-même j’ai beaucoup de mal à me faire accepter. Les femmes se regardent et s’embrassent à pleine bouche, se léchant et se suçant la langue. Je suis sûr que, s’il y avait deux hommes de plus dans cette pièce, leur sexe serait en ce moment dans une bouche chaude et avide. Plus aucune retenue de nous quatre, tout le monde se laisse aller à fond, on gémit, on se dit des obscénités, on se baise et on jouit, presque tous ensemble.


Nous nous laissons tomber, haletants, le cœur battant la chamade, essayant de reprendre nos esprits et nos forces, tous les quatre allongés par terre. Peut-être qu’un quart d’heure s’est écoulé lorsque je sens une main qui me masturbe. Je glisse un regard et je vois la main de Patricia cherchant à me remettre en forme. Après une telle séance, elle a du mérite. Mais cette soirée est tellement excitante que c’est assez rapidement qu’elle obtient ce qu’elle veut. Elle se met alors à cheval sur moi et s’empale sur mon sexe. Je regarde ce corps monter et descendre, mon sexe entrer et sortir de ce corps. Je lui prends les seins, les caresses, caresse ses hanches, ses fesses, je passe même un doigt le long de sa raie. Elle ne dit rien, je m’aventure alors à lui mettre un doigt dans l’anus, qui rentre et qui sort en même temps que mon sexe entre et sort du sien. Je l’attire vers moi et lui roule un patin enflammé. Fabien, qui n’a rien raté de cette séance un peu égoïste, se place alors derrière Patricia et petit à petit envahit son anus. Je sens au fur et à mesure qu’il la pénètre, son sexe séparé du mien uniquement par une membrane fine, qui ne cache en rien ses mouvements. Première fois que je pratique une double pénétration, première fois aussi qu’elle la subit. Nous essayons d’accorder nos mouvements de va-et-vient, et c’est elle qui jouit la première libérant une coulée de cyprine. Nous sortons alors d’elle épuisés, comblés, mais n’ayant pas encore joui. Patricia se dirige alors vers Florence, l’embrasse, caresse ses seins, et lui propose de goûter à son tour à la double pénétration. Totalement excitée par ce qu’elle vient de voir, elle acquiesce sans problème. Je m’assois alors sur le bord du lit, l’installe à califourchon sur mon sexe, son dos face à moi. C’est elle qui me chevauche, qui fait coulisser mon sexe dans son anus. Elle qui bouge, qui monte et qui descend alors que d’habitude elle est tellement passive. Je ne la reconnais plus, elle est déchaînée, une vraie furie. Je la couche alors sur moi et Fabien la pénètre à son tour. Dans cette position, c’est lui qui la baise alors que je ne fais que lui remplir le cul, ce qui n’est pour déplaire à personne. Patricia monte sur le lit, met ses jambes de part et d’autre de la tête de ma femme, et descend lentement jusqu’à ce que son sexe soit en contact avec ses lèvres. De là où je suis, je vois nettement la langue de ma femme passer du sexe à l’anus de Patricia ; je la vois récolter les dernières sécrétions qui coulent aussi bien de sa chatte que de son cul. La tension est à son maximum, je n’ai jamais senti autant de plaisir, Florence non plus je le suppose. Ces poses, ces actes, ces odeurs, ces gémissements, tout cela augmente cette excitation déjà difficile à contenir. Nous jouissons tous ensemble d’avoir pris autant de plaisir.


Nous nous couchons tous les quatre sur le lit, tous blottis les uns contre les autres, unis par ces actes de baises et ces jouissances. Bien longtemps plus tard, après s’être reposés, nos deux amis se rhabillent et nous quittent, non sans maints baisers et maintes caresses.


Florence, couchée à mes côtés, m’avoue qu’elle a passé une soirée mémorable, inoubliable, qu’elle est heureuse que cela se soit passé. Je lui avoue à mon tour que cela faisait un certain temps que je planifiais cette soirée et que pour moi aussi ce fut magnifique, mais que j’aimerais le plus longtemps possible que cette soirée reste unique. Nous avons goûté au plaisir extraconjugal ; une fois c’est divin, recommencer peut alors être dangereux. Nous nous endormons amoureusement dans les bras l’un de l’autre. Je crois que ni elle ni moi n’oublierons cette soirée d’anniversaire.