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Vive le bateau

NB : Les dialogues ne sont pas les propos exacts, je ne suis pas un magnétophone !

Nous avions décidé avec mon épouse, de louer un bateau, pour accueillir de nouveaux amis qui n’osaient pas passer le cap de l’échangisme, mais pour lesquels nous avions une forte attirance. Ainsi, le bateau fut loué à Sainte-Maxime, pour un week-end. C’était un bateau confortable, un peu plus de huit mètres, avec deux couchettes. Nos amis étant assez récalcitrants question nudité. Samedi 9 h, nous voilà tous sur le bateau prêts à faire route. Nous sortons du port, et, au bout d’un quart d’heure, la côte semble être loin. Mon épouse, jusque là sage avec son maillot, demande si ça gêne quelqu’un si elle le retire. Bien entendu, personne ne s’oppose à cette proposition.

Ainsi, voilà Stéphanie, nue. Le couple, Thierry et Nathalie, ne semble pas très à l’aise. Je sens bien que Thierry est tiraillé entre le fait de vouloir mater la chatte de mon épouse et la possible réprobation de son épouse. Je décide, à mon tour, d’ôter mon short de bain. J’interpelle Thierry :

• — Allez, ne soyez pas ridicules, enlevez vos textiles, de toute façon, vous pourrez pas les garder tout le week-end.

Je me rapproche d’un banc de sable à moins de quinze mètres de profondeur et nous balançons l’ancre. Nathalie nous explique que la nudité ne la dérange pas, mais qu’elle va se sentir ridicule, car elle ne s’est pas épilée. Mon épouse la rassure aussitôt en lui faisant l’apologie des poils et de leurs vertus hygiéniques. Voilà, nos deux récalcitrants nus comme des vers. La matinée se passe doucement, entre baignade, bronzette, et discussions de toutes sortes. Nous déjeunons et je sens bien que l’alcool conjugué au soleil commence à faire de l’effet sur Nathalie.

Les propos deviennent plus coquins et la discussion sur l’échange de partenaires ou sur l’exhibitionnisme n’entraîne pas de réprobations de la part du couple. Nathalie commence à avoir l’alcool joyeux et demande à quitter la table pour aller s’assoupir un peu. Vers 14 h, le soleil aidant, nos deux jolies dames se retrouvent à l’avant du bateau, bien allongées sur le dos. Thierry et moi avons, de cette manière, une vue sur ces deux minous se faisant rôtir au soleil. C’est vrai que le sexe de Nathalie est touffu, mais on constate qu’un entretien particulier est porté régulièrement à la longueur des poils. Mon épouse, elle, a toujours son ticket de métro. J’observe les deux minous qui me font face, et je me mets à fantasmer sur le nombre de queues qui ont pénétré ces chattes.

Mon épouse, sous prétexte de comparer la toison de Nathalie avec la petite bande de poils qu’elle porte, glisse ses mains sur le sexe de Nathalie. Connaissant mon épouse, et son attrait pour les sexes féminins, je sais très bien qu’elle profite sournoisement de la situation pour caresser et émoustiller sa compagne de jeu. La discussion féminine me fait doucement sourire :

• — Non, tu as de très belles lèvres !
• — Tu penses, vraiment, j’ai l’impression qu’elles pendent un peu.
• — Non, et puis tu sais, c’est joli et appétissant pour un homme de belles lèvres.
• — Regarde les miennes, elles pendent aussi un peu, touche-les, tu verras.

L’excitation et le soleil combinés me provoquent une érection. Mon épouse, qui n’en manque pas une, me dit :

• — Et bien, c’est l’effet qu’on te fait ? Tu bandes, salaud !

Rire général. Et elle, de surenchérir :

• — Remarque, Thierry, n’est pas loin de ton état, et d’ailleurs, si je peux me permettre, il a une très belle queue, Nathalie doit bien s’amuser avec !

Thierry, très gêné, lui explique qu’effectivement, Nathalie s’amuse très bien avec, et qu’il se retient de bander depuis qu’il a ôté son maillot. Nathalie observe d’un œil attentif et ne semble pas confuse que l’on parle de la queue de son homme. L’ambiance étant au relâchement, mon épouse en remet une couche :

• — Ne sois pas gêné, et si Nathalie est d’accord, on peut mesurer qui de toi ou mon mari a la plus longue, je vois depuis tout à l’heure la manière dont tu regardes nos minous, et je suis aussi excité que toi.

Nathalie semble être dans l’expectative : soit elle se vexe, et risque de passer pour une sainte-nitouche, ou alors elle accède à la demande de Stéphanie, et elle sait que cela va tourner à la débauche sexuelle.

• — Il fait ce qu’il veut.

Thierry, pour sa part, commence à avoir le sexe qui se redresse et mon épouse en rajoute en écartant un peu plus les jambes. Je bande comme un fou, et Thierry a ce que l’on peut appeler une demi-érection, cette impression conjuguée de gêne et d’envie, qui fait que le sexe gagne en longueur, mais ne se redresse pas assez.

• — Si vous voulez les garçons, on peut vous aider, propose ma femme.
• — Nathalie, t’en penses quoi ? demande-t-elle.
• — Oui, pourquoi pas, mais je ne suis pas sûre que Thierry accepte que je l’aide devant vous, répond Nathalie.
• — Ça peut être une expérience amusante, lui répond Thierry.

Voyant que la situation tournait à l’excitation mutuelle, je proposai à Thierry de s’installer confortablement sur le canapé de la plage arrière, à mes côtés. Et je demandai à nos épouses de nous rejoindre. Nous voilà donc, à-demi allongés, avec nos sexes pointant vers le ciel, à attendre les mains expertes de nos chères compagnes. C’est Stéphanie, la première, qui prit mon sexe en mains, en le masturbant, tout en me caressant les parties avec sa main gauche. Nathalie, plus timide effectuait ce qui s’apparenterait plus à un massage de queue qu’à une masturbation. Au bout de quelques minutes, Stéphanie s’apercevant du manque d’enthousiasme de Nathalie, l’invectiva à s’appliquer :

• — C’est pas comme ça que tu vas la rendre énorme, regarde, applique-toi avec tes deux mains.

Et me lâchant le sexe, elle entreprit de faire une démonstration sur la queue de Thierry. Tout en le masturbant, elle dit à Nathalie :

• — Avec la langue aussi, c’est bien.

Et ne laissant pas le temps à Nathalie de répondre, elle avala goulûment la queue de mon ami, qui commençait sérieusement à bander. Je savais que ma femme avait des talents de suceuse et son expérience lui permettait de jouer avec sa langue et ses mains, pour faire rapidement monter la semence. Nathalie était, pour sa part, observatrice résignée, et montrait certains signes d’impatience pour reprendre les choses en main.

• — Tu n’as qu’à essayer sur mon mari, proposa Stéphanie.
• — Après tout puisque Thierry est avec toi… lui répondit Nathalie.

Elles échangèrent les places et Nathalie enfourna ma queue dans sa bouche. Elle suça avec délicatesse, mais n’avala pas ma queue aussi loin que mon épouse. Mon épouse s’active désormais sur la queue de Thierry qui, il est vrai, est relativement épaisse.

• — Et bien, si j’avais imaginé que la promenade en mer tournerait ainsi, nous annonce Nathalie.

Tout à coup, Thierry frémit et tente de retirer sa queue de la bouche de mon épouse. D’un geste de la main gauche, je plaque la figure de Stéphanie pour ne pas qu’elle puisse se retirer. Je dis à Thierry :

• — Elle adore le sperme.

Et je vois Thierry exploser littéralement dans la bouche de Stéphanie. Vu la quantité de sperme qu’il a envoyé, mon épouse ne peut tout contenir et dégouline de sperme par les lèvres. Thierry s’excuse auprès de mon épouse qui lui répond qu’elle adore le sperme et lui lèche la queue pour ne rien en perdre. Thierry est aux anges et son air ahuri me fait penser qu’il a vraiment apprécié la fellation de mon épouse. Nathalie, qui s’est arrêtée de me sucer, nous annonce que cela fait une semaine qu’ils n’avaient pas fait l’amour et que ce sperme était le résultat d’une semaine de frustration. Mon épouse plonge du bateau, pour se nettoyer le visage, et en ressort immédiatement. Elle demande à Nathalie si elle en a pour longtemps avant de me faire éjaculer. Nathalie lui explique alors :

• — Moi, en tout cas, je ne veux pas qu’il éjacule dans ma bouche, j’ai horreur de ça !

Je râle un peu, mais, connaissant la perversité de mon épouse, je sais que je n’y perdrai pas au change.

• — Est-ce que Thierry te sodomise ?
• — Non, répond Nathalie qui reconnaît avoir essayé une fois, mais a trouvé cela trop douloureux.

Stéphanie lui explique alors que la sodomie est très jouissive si elle a été bien préparée. Devant le refus de Nathalie, Stéphanie propose que nous leur montrions comment faire une sodomie. Mon épouse s’installe alors à genoux sur les fauteuils de la plage arrière et écarte généreusement les jambes. On devine à sa fente humide et ouverte qu’elle a très envie d’un ou de plusieurs sexes. Je me place derrière et commence à lui lécher l’anus délicatement. Il est salé et je propose aux deux autres de goûter l’anus salé de Stéphanie. Thierry s’exécute et sa langue explore les moindres recoins du cul de mon épouse, devant le regard éberlué de Nathalie.

• — Tu veux essayer, Nathalie ? propose Stéphanie.

Et devant l’insistance de son mari, elle insère finalement sa langue dans l’anus de mon épouse. J’ai une vision digne des meilleurs films X : mon épouse, le cul à l’air pendant que Thierry lui caresse la chatte et que son épouse lèche avec assiduité les parties très intimes de ma femme. Ne voulant pas être en reste, et tentant le tout pour le tout, je me positionne derrière Nathalie et je me mets à lui lécher l’anus à mon tour. Je suis encore plus excité en pensant que c’est une des premières fois que cette femme se fait lécher, et en lui enfonçant un doigt dans le vagin, je m’aperçois que cela lui fait de l’effet. J’annonce aux deux autres :

• — Elle est toute mouillée.

Et mon épouse, toujours le cul à l’air :

• — Elle va être bientôt prête !

Alors, je me redresse un peu, et viens positionner mon sexe au bord de son petit trou.

• — Tu verras, ça sera hyper bon.

La pénétration est difficile, car son anus est étroit. Mais peu à peu, en lubrifiant bien mon sexe au bord de son vagin, je parviens à rentrer la moitié de mon sexe. Je sens qu’elle se crispe un peu, mais je continue ma poussée. Thierry fait un peu la gueule, mais lorsque je lui propose de faire pareil avec Stéphanie, il reprend son sourire. Et nous voilà, les deux hommes en train de sodomiser gaiement nos épouses respectives, mais pas dans l’ordre. Mon épouse, qui adore la sodomie, ne perd rien du sexe de Thierry et écarte encore plus les fesses pour qu’il pousse plus loin. Nathalie est plus réservée, mais je sens bien que l’effet se fait sentir. Elle lâche des petits cris, et sa respiration est haletante. Je regarde Thierry :

• — Tu ne connaissais pas ta femme sous cet angle-là ?
• — Non, mais par contre, je sens que je vais être un fervent partisan de l’échangisme, désormais.

Stéphanie, quant à elle, mordille le coussin supérieur du fauteuil sous les coups de la queue de Thierry, qui se permet de varier les plaisirs entre l’anus et le vagin de Stéphanie. Mon épouse étant assez expressive, n’arrête pas de proférer des propos grossiers :

• — Vas-y, encule-moi plus fort, salaud ! Quelle bonne queue, il a !

Tout en dandinant son fessier pour sentir la queue de Thierry encore plus profondément. Pendant ce temps, je m’évertue à pousser Nathalie dans ses derniers retranchements, en accélérant le mouvement de ma queue dans ses fesses, tout en lui recommandant de ne pas hésiter à nous faire part de son bonheur. Ainsi, elle lâche quelques phrases dans le genre :

• — Thierry, elle est super bonne, la queue de ton ami ! Il me fait du bien. Vas-y, pousse encore plus !

Dans le feu de l’action, nous n’avions pas fait cas des bateaux alentour, qui jettent l’ancre souvent à proximité d’autres bateaux. Et là, stupéfaction, en regardant sur le côté du bateau, je m’aperçois qu’un homme sur un bateau à cinquante mètres, se délecte de la vision avec des jumelles et des mouvements de bras me laissent penser qu’il se masturbe. Je dis aux filles :

• — Regardez, vous êtes vraiment des stars du X !

Et la situation d’exhib, qui excite ma femme, lui fait porter sa main sur les seins de Nathalie, qu’elle palpe désormais. Je sens que je vais éjaculer, et voulant faire profiter mon épouse, de mon sperme, je relâche mon étreinte sur Nathalie, et viens placer ma queue dans la bouche de mon épouse. L’éjaculation est brutale et je sens sa gorge se remplir avant de tout avaler. Thierry éjacule peu après dans l’anus de ma femme, tout dégoulinant. Nous avons passé un week-end de rêve, chacun pouvant assumer ses fantasmes. Et nous nous sommes promis de retenter l’expérience, mais avec une femme seule.

La suite très bientôt.

NB : Nous avons, bien sur chacun passé un test HIV, car le plaisir doit toujours être sans risque.