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n° 09499Fiche technique38504 caractères38504
Temps de lecture estimé : 23 mn
29/07/05
Résumé:  Envies pressantes, bouffées de chaleur et sexe torride en fin de voyage...
Critères:  fh asie inconnu prost vacances sexshop voyage fsoumise hdomine voir hmast massage fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Rideval  (Homme hétéro fin trentaine à l'imagination débridée)
Memorial day 2000: Dallas exotique...

Memorial day 2000… Une longue route qui sépare Austin et Dallas… Presque cinq heures à passer sous un soleil de plomb à conduire une voiture que je dois ramener à temps afin de prendre l’avion qui me conduira à Washington puis, le lendemain, chez moi.


Je me sens particulièrement affecté par cette chaleur intense, d’autant plus que j’ai moi aussi de fortes secousses intérieures, de terribles pulsions qui me donnent des envies presque inavouables. Évidemment je suis marié, mais ce mariage est terminé et n’attend pour mourir que le verdict que nous sommes sur le point de prononcer. Je me sens seul, et mes sens ont été mis à rude épreuve depuis douze jours. C’est que je voyage en compagnie de ma sœur depuis tout ce temps et que, bien que je n’en aie pas l’occasion, je voudrais bien m’échapper et satisfaire ces érections qui ne cessent de pointer intempestivement depuis le début de ce voyage.


De beaux corps… De beaux culs… J’en ai vu partout en douze jours, et je me sens désormais incapable de contrôler cette excitation qui ignore le bon sens, toutes ces raideurs que mon sexe ressent sans répit me donnent envie d’une femme. Et il ne me reste que quelques heures pour me satisfaire entre les cuisses et les lèvres d’une de ces provocantes femelles. Je ne peux tout de même pas retourner ainsi chez moi, pour retrouver une femme qui ne veut pas plus de moi que je ne veux d’elle ?


Je veux un de ces superbes culs qui me narguent avec ce qui ressemble presque à de l’ironie. Ma main ouverte y atterrira dans un claquement dont les effets nageront entre douleur et plaisir. Je veux plonger ma langue dans une chatte tendre et mouillée et en boire tout l’épais nectar, en emplir mon visage entier et sentir le parfum intime d’une femme ravie. Je veux entrer mon sexe dans une bouche qui saura lui faire honneur et répandre cette sève qui bouillonne jusqu’à blesser ma queue… Il me faut une chienne. Une vraie, sans pudeur, sans retenue.


Après avoir passé la sortie pour Waco, j’aperçois, sur le bord de l’autoroute encombrée, une de ces boutiques pour adultes qui trône en plein désert, avec quelques énormes camions stationnés derrière. Que pourrais-je trouver là ? Toujours est-il que je dois me soulager et laisser sortir un peu de cette lave en éruption qui brûle presque mes entrailles…


Je me gare et j’aperçois une voiture derrière moi. Elle est immatriculée au Nouveau-Mexique. Un couple dans la quarantaine y prend place. Le véhicule roule quelques mètres de plus et se gare dans un espace laissé entre deux camions de transport. Un homme assez grand, vêtu d’un T-shirt et d’un jean, puis une femme rousse de taille moyenne, en jupe et blouse assorties, le suit bientôt en direction de l’entrée de ce « book store » particulier… Son déhanchement léger, les courbes de ce corps mature, bien affirmées mais tout en grâce, me donnent de folles envies.


Je descends à mon tour pour entrer dans l’établissement. Une dame dans la cinquantaine, l’air visiblement blasé, est accoudée derrière un comptoir surplombé d’une étagère de gadgets érotiques divers. Devant elle, des rangées interminables de films X en format VHS et un minuscule rayon de lingerie. Sur le mur opposé, plusieurs portes fermées par de petits rideaux jaunes et surmontées de néons invitent le visiteur en besoin à se soulager pour quelques dollars en y regardant quelques films « spécialisés ».

Une douzaine de personnes, incluant mon couple, quelques camionneurs ainsi que moi-même, déambulent entre les rangées. Je considère l’idée d’aller me masturber en visionnant une de ces productions destinées à stimuler les sens, mais, bêtement, je me sens soudain pris de gêne… Dire que je me suis arrêté dans le but précis de faire cela, et voila que je recule ! Pendant que je regarde toutes ces images qui m’entourent, stimulant mon érection quasi hors proportions, je remarque alors le petit manège du couple aperçu en arrivant : la femme, assez jolie, tient l’homme par la main, affichant un air qui trahit à la fois la hâte et l’inconfort. Son mari - car tous les deux portent la même alliance - lui dit quelque chose à l’oreille et elle sourit en glissant discrètement sa main le long de son sexe qui commence à pointer au travers de son jean. Elle le regarde, ils s’embrassent rapidement et avancent dans la direction d’un jeune homme blond qui regarde avec intérêt une boîte de film.


Les deux hommes se parlent… La femme se tient un peu en retrait et tente de mettre tous ses attraits en valeur en se déhanchant lentement et en passant sa main dans ses longs cheveux. Le jeune homme sourit, regarde bien l’épouse de son interlocuteur, puis échange une poignée de main avec le couple. Il laisse soudainement le couple seul et passe à la rangée suivante pour aller s’adresser à un homme portant une chemise semblable à la sienne : je comprends qu’ils travaillent tous les deux pour la même compagnie de transport.


Apres avoir échangé des regards furtifs d’une rangée à l’autre avec le couple, le premier homme sort de l’établissement tandis que le second entre à la salle de bain. Instinctivement, je décide de retourner à mon auto, soupçonnant bien ce qui allait se dérouler. Je monte dans ma voiture, le sexe si bandé que je dois défaire mon pantalon.

Je tourne légèrement mon rétroviseur à droite et je vois l’homme et son épouse qui remontent dans leur voiture. Je suis terriblement déçu. Comme par instinct, ma main est allée prendre mon sexe et je commence à me caresser pour me donner un peu de plaisir, craignant que mon indisposition n’affecte ma conduite sur la route.


Soudain, je vois la femme qui sort de la voiture : elle a changé de vêtements et porte désormais un bustier noir et une jupe rouge. Elle a attaché ses cheveux. Le mari incline son siège vers l’arrière et demeure dans l’automobile. Son épouse cogne furtivement à la porte du transport situé à gauche de leur propre véhicule et la porte se referme…


Je commence à branler mon sexe raidi comme un possédé : l’homme tire son plaisir en offrant son épouse à des étrangers qui s’amusent avec la superbe putain qu’il a la chance d’avoir pour femme. Je râle, je sens tous ces spasmes dans mon pénis que je crosse toujours plus vite. J’imagine la femme se donnant, je pense à ce camionneur qui est sûrement ravi de l’offre et au mari qui, comme moi, éjacule sûrement abondamment en pensant à sa jolie pute en train de s’envoyer en l’air, pour tout venir lui raconter en lui donnant du plaisir à son tour…


Ils sont visiblement à des centaines de kilomètres de chez eux et profitent de l’anonymat que leur procure la distance pour se livrer à leurs fantasmes les plus fous, à l’abri du jugement de ceux qui, chez eux, pourraient les surprendre. Des images folles traversent ma tête : la savoir ainsi en train de prendre ce sexe étranger dans tous ses trous m’excite follement. Tous ces interdits qui volent en éclat alors que, mariée, cette femme se fait mettre pour son plaisir, sans pudeur, sans retenue, comparant les sexes de ses amants d’occasion et avalant le plaisir pour ensuite retourner se faire prendre par son mari, gonflé à bloc par son audace…


J’allais venir quand je vois tout à coup le second camionneur sortir du book store pour monter dans le camion, accompagné d’un autre homme que j’avais aperçu à l’intérieur du commerce… La salope ! Elle va se faire prendre en double pénétration ou fera jouir ses hommes avec sa chatte et sa bouche à la fois, à moins qu’un des deux ne l’encule pendant que l’autre utilise sa chatte ou sa gueule chaude pour s’y soulager…


Au même moment, la femme, les cheveux en bataille, sort de l’immense véhicule et échange quelques mots avec les deux nouveaux arrivants. Aurait-elle changé d’idée ? Les deux hommes sourient et montent pendant qu’elle, le visage humecté de sperme, marche vers l’automobile où son mari prend place, puis se penche, lui montre le résultat de son exploit, et échange un long baiser avec lui, nettoyant de leurs langues toutes traces de cet épais liquide qui commence probablement à figer au soleil.


Cette fois c’en est trop : je laisse sortir un cri rauque et mon sperme blanc, chaud et crémeux explose et vole hors de mon pénis rougi par la friction. Au même moment, la pute d’occasion replace ses cheveux, embrasse son mari à nouveau. Ce dernier lui tend un miroir de poche afin qu’elle refasse son maquillage, et elle repart en direction du camion où les deux complices lui feront à leur tour une fête.


En saisissant un mouchoir pour réparer les dégâts, je me rends compte qu’il est déjà dix heures et que deux heures trente me séparent encore de Dallas. C’est avec regret que je dois partir… à moitié satisfait… J’aurais aimé approcher la jolie chienne et la mettre à mon tour, lui donnant des plaisirs que mon imagination rendait encore plus affriolants, la traitant de traînée devant un mari ravi. Mais je doutais que le couple eût été intéressé : après tout, ce sont eux qui avaient choisi les routiers, et jamais ils ne m’avaient approché. De plus, les Américains étant si xénophobes, je me demande si la candidature d’un Canadien français les aurait intéressé de toutes façons… Je ne le saurai jamais.


Je repars, un peu soulagé, mais encore plus tenté par le corps d’une femme… Le reste de la route qui mène à Dallas se fait sans qu’il me soit possible d’en relater quelque fait d’un intérêt quelconque. Vers les 12 heures 30, j’arrive enfin à l’entrée de la ville, toujours obsédé par l’idée de soulager mon sexe avec une salope prête à tout.


Après avoir tourné sans fin dans un quartier industriel et y avoir remarqué un club de danseuses assez imposant, isolé, tant par sa nature que son apparence, dans cette suite interminable d’édifices à bureaux et d’entrepôts qui se ressemblent tous, j’aboutis finalement devant un local comme les autres, à cette différence près qu’il affiche une minuscule pancarte écrite à la main, indiquant « Adult books and videos, local B365 ».


Je décide d’y penser et de refaire le tour du quartier en prenant bien note de l’emplacement de cet édifice. J’y vais ou non ? Je ne crois pas qu’il faille y penser bien longtemps… Après tout, je recherche des sensations fortes, et il semble bien que le temps passant si vite, rien ne se passera aujourd’hui si je ne prends pas le taureau par les cornes !


Revenant par le même chemin, je tourne lentement dans l’entrée indiquée et je me rends jusque dans la cour de l’immeuble où une quinzaine d’autos est déjà stationnée. Je sors de ma Malibu blanche et j’entre dans l’entrepôt par une énorme porte de garage, laissée ouverte en raison de la chaleur accablante.


Au bout d’un petit corridor se trouve le local B365. J’y entre… L’endroit résonne des jouissances coupables de ces déesses-putains qui, dans les films qui jouent en boucle sur d’innombrables téléviseurs, se font enfoncer par des pénis hors de proportions ou encore qui se lèchent lascivement entre elles. Des vidéos X tapissent les murs et sont rangées, bien alignées, sur des rayons métalliques, partout. Beaucoup d’hommes de tous âges y sont, regardant les boîtiers et cherchant un scénario qui conviendra à leurs préférences particulières.


Déçu ? Oui, une fois de plus. Mais c’est l’histoire de ma vie en matière de sexualité, alors je ne m’y arrête plus vraiment ! Je pousse un soupir et je me dirige vers la sortie, après à peine cinq minutes passées à voir des images qui n’arrangent en rien mon problème. Machinalement, je ramasse en sortant une copie d’un petit journal « alternatif » gratuit, qui est placé sur un présentoir plastifié près du comptoir caisse situé aux abords de l’unique porte d’accès au petit commerce.


Presque 13 heures… Je soupire. Dans trois heures, je dois revenir à l’aéroport Kennedy et rapporter mon véhicule, puis aller enregistrer mes bagages pour le vol de 18 heures en direction de Washington D.C. Ma tête est vide, mon cœur en compote, mon sexe en feu. Je suis confus, déçu, fatigué et désenchanté. Je repense à quelques-unes des femmes que j’ai vues au cours des deux dernières semaines. Je repense à la salope qui a donné du plaisir à trois hommes, sinon plus, ce matin… Un vent de pessimisme et d’amertume me souffle violemment au visage.


Et ce club de danseuses, aperçu plus tôt ? Si j’y allais ? Peut être offre-t-on des services « spéciaux » aux clients, pour un certain prix ? Au point où j’en suis, je n’ai pas beaucoup d’autre choix… Merde, je prends ma chance !


Moins de cinq minutes plus tard, m’y voici… Le parking est presque vide, mais le lieu est impressionnant, ressemblant plus à un chic restaurant qu’à un de ces établissements fréquentés par les camionneurs…


J’ouvre la lourde porte en bois et une jolie Texane en dentelle et porte-jarretelles m’offre le service de vestiaire, même si je n’ai visiblement rien à y laisser, ne portant qu’une chemise et un jean. C’est néanmoins la règle et je dépose cinq dollars dans sa jolie main blanche… en regardant ce superbe corps, scindé en deux en son milieu par une taille fine qui rend son cul et ses jambes encore plus alléchants : la taille !


Si une partie du corps de la femme est essentielle à mon plaisir visuel, c’est bien une taille bien marquée ! Je m’imagine rapidement en train de lui bourrer la chatte avec ma queue qui est au plus dur en ce moment même… Mais je dois me contenter de suivre son sourire et de passer la porte principale, pour me retrouver dans un bar rempli de jeunes femmes qui sont toutes aussi excitantes que ma première hôtesse…


Aucune ne danse et l’on attend visiblement que les clients soient plus nombreux pour commencer les spectacles. L’endroit est vaste, luxueux, et l’on y sert des repas. Mais c’est de l’entrecuisse de ces déesses, dont je voudrais me régaler, et je me contente donc de prendre une bière fraîche en espérant refroidir mes ardeurs.


La serveuse qui m’apporte ma bouteille porte un corset noir et rouge, et ses seins sont si fermes, si bien formés et semble-t-il naturels, que j’en reste muet pour quelques secondes, le temps de me rendre compte que mon désir a laissé une goutte transpercer mon pantalon, ce que la jolie salope a remarqué tout de suite, puisqu’elle m’indique qu’un séchoir mural situé dans la salle de bain des hommes pourrait me débarrasser de cette belle trace, avant de repartir en marchant lentement, exhibant son superbe cul pour narguer mon pénis bandé et surmené. La place est remplie de jolies femmes, mais aucune ne fait plus que ce que le minimum impose et l’établissement n’offre visiblement pas d’extras. Je demande à une des serveuses qui passe derrière moi si quelqu’un peut me donner quelques informations sur les autres « amusements pour adultes », ce qui m’attire un clin d’œil et un large sourire.



Le temps passe et je me dis que je n’ai certainement pas beaucoup de minutes à consacrer à d’inutiles discussions avec un inconnu quelconque. J’ai à peine le temps de me faire cette réflexion que je vois arriver un homme de grande taille, vêtu d’un élégant complet, portant des lunettes fumées.


Le propriétaire, car c’était bien lui, s’avance et me serre la main. Courtois, il m’offre une seconde bière que j’accepte volontiers, espérant refroidir mon corps et, qui sait, peut-être même mon désir, qui brûle bien plus fort que le soleil texan. Mais regardant toutes ces jeunes femmes qui déambulent en lingerie, je sais pertinemment que le breuvage le plus froid qui puisse être n’y fera rien : ces seins effrontés et ces superbes culs bien exposés me tourmentent au point de me donner de réels inconforts. Je ne peux m’empêcher de penser à cette envie que j’ai de fourrer mon sexe dur au fond d’une chatte chaude et mouillée, de laisser éclater mon plaisir brûlant, abondant, dans la bouche experte d’une femme habituée aux plaisirs du sexe : non, la bière ne me rendra certes pas plus raisonnable…



Je me prends à répondre le plus simplement du monde par un « Oui » vif et empressé qui n’a guère l’air de surprendre mon interlocuteur. Ma franchise, au contraire, facilite la conversation, et le propriétaire de ce bar commence à me donner une impressionnante liste d’adresses qui me déroute un peu. Après tout, je ne connais pas Dallas et je ne dispose que de quelques heures tout au plus. La discussion est aimable, mais elle ne s’avère qu’une perte de temps, et ce temps, je ne peux me permettre de le perdre. À peine ma bière terminée, je me lève et remercie ce gentleman de son aide, feignant m’intéresser à ses recommandations, jetant un dernier regard à ce fascinant endroit feutré où le sexe s’affiche dans ce qu’il a de plus tentant : des corps de femmes à demi-vêtues qui s’offrent en spectacle aux yeux envieux d’un homme, qui ne demanderait qu’à soulager son mal au creux de chacun des orifices de ces audacieuses créatures.


Une superbe blonde aux jambes interminables me passe le bras autour de la taille à ma sortie et m’invite à revenir visiter l’endroit. Regardant ces cuisses effilées, je me laisse aller à imaginer ma bouche ouverte sur son sexe, ma langue labourant sa chatte humide… Je peux presque goûter ce plaisir délicieux rien qu’à y penser…


Il est 13 heures 30 : il ne me reste que deux heures et demi, et me voilà condamné à repartir de ce lieu de liberté pour retourner à une vie sans plaisir, sans sexe, une chance manquée… Le découragement commence lentement à l’emporter, et je m’en sens assez mal, triste. Je commence à mettre un peu d’ordre dans la voiture de location que je devrais rapporter dans quelques heures quand je mets soudainement la main sur ce journal, ramassé au dernier book store…


Et pourquoi pas? Je me mets à parcourir les annonces classées, sans trop y croire, puis je tombe soudainement sur une annonce vantant les mérites d’un endroit situé sur une rue avoisinante, aux limites de la banlieue et du quartier industriel : Miko’s place…


Sitôt rassuré quant à la proximité de l’endroit, je démarre la voiture et entreprends un court trajet d’une dizaine de minutes, remontant patiemment les rues qui traversent ce quartier gris et morne, parsemé de bureaux et de locaux industriels. J’arrive enfin devant ce curieux édifice où se côtoient un restaurant familial, un bureau de tabac et, enfin, un local propre mais sans tapage publicitaire, où je lis avec un certain scepticisme la mention « massage ».


« Je ne suis pas venu jusqu’ici pour me faire donner un massage du dos ! » me dis-je, sentant mon érection atteindre des proportions qui me surprennent moi-même.


Dubitatif, je me décide à risquer le tout pour le tout et à entrer inspecter les lieux.


Derrière la porte principale se trouve un parloir sobre, sans aucun décor. Un comptoir surplombé d’une fenêtre fermée par une porte glissante se trouve sur le mur de droite et une porte opaque est située juste à son côté. La minuscule porte glissante s’ouvre soudain et je me retrouve face à une dame d’origine asiatique dans sa cinquantaine avancée, l’air sévère, qui me demande en quoi elle peut m’aider… Surpris? Je le suis… Car il ne m’est pas possible de deviner ce qu’est cet établissement et encore moins ce qui se cache l’autre côté de cette intrigante porte… Et cette dame est-elle celle qui « effectue » le travail annoncé dans les pages de mon journal ? Je ne sais vraiment plus que penser.



Puis j’ajoute :



Sans dire un mot, l’hôtesse referme la porte… Que se passe-t-il donc ? Avant même que j’aie pu trouver réponse à ma question, la porte s’ouvre et j’entrevois un long couloir bordé de nombreuses portes. On m’invite à entrer et à prendre place sur une des chaises alignées le long du mur. Nerveux, je m’assois et je regarde la dame partir en direction d’un local situé tout à la fin de ce corridor décoré de motifs orientaux. Dans ma nervosité, j’ai perdu mon érection ! En fait, à bien y penser, il me semble que j’ai bandé depuis au moins cinq heures et que, maintenant que j’ai probablement trouvé une issue à mon désir, paf ! Tout est parti…



Je lève la tête à ces mots et mon pénis gonfle à nouveau en une fraction de seconde : une superbe Japonaise aux courbes plus qu’inspirantes se trouve debout devant moi, vêtue d’une robe de chambre de soie rouge vif. Elle doit avoir environ vingt ans. Ses seins, petits mais bien ronds, pointent sous la soie et sa taille fine amplifie encore la courbe de ses hanches bien découpées par le fin tissu. Sa bouche est épaisse et maquillée d’un rouge luisant et ses jolis yeux sont soulignés discrètement par un maquillage noir parfaitement dosé. Ses cheveux, d’un noir profond, traversés de quelques mèches rousses, sont attachés sommairement et dégagent ce visage enjoué et accueillant…


Du coup je n’ai qu’une seule envie : fourrer cette jeune femme jusqu’à éclater en elle et sur elle à répétition, afin de prendre le plus de plaisir possible. Je réalise à quel point l’idée de baiser une jeune Asiatique m’excite, ce à quoi je n’avais jamais pensé auparavant.


Me regardant et remarquant mon érection bien évidente, elle me prend la main puis m’entraîne doucement vers une pièce emplie de tuiles du plancher au plafond… Au milieu de cette chambre tuilée se trouve un matelas caoutchouté posé sur un tapis plus large, fait lui aussi de latex.


Ma compagne commence à me retirer mes vêtements puis caresse mon corps avec ses ongles vernis, égratignant lentement mon cou, mon dos et enfin mon pubis. Elle lèche mon épaule, puis mes mamelons et passe son entrecuisse contre ma hanche en se frottant langoureusement. Elle ramasse ensuite mes vêtements, les pose sur une table et revient vers moi en laissant tomber sa robe de chambre, dévoilant des sous-vêtements de dentelle rouge et noire : son cul attire mes yeux, bien rond et rebondi… Je ne pense déjà qu’à y fourrer ma queue, qui est redevenue enflée et longue, palpitant à l’idée de sauter ma petite salope orientale. Ses seins bien lourds débordent de son soutien-gorge et je voudrais les goûter tout de suite, sur-le-champ, pendant que je jouerai avec son clitoris que j’ai désormais si hâte de crosser… de sucer… J’ai l’eau à la bouche rien qu’à imaginer ma bouche affamée sur sa chatte de putain… Mais je n’en suis pas là, pas encore…


En agitant lentement et sensuellement son magnifique cul, ma Japonaise fait quelques pas et déclenche une douche manuelle qu’elle approche de moi et avec laquelle elle m’arrose abondamment de la tête aux pieds, réchauffant ainsi mon corps au grand complet… D’un gant de crin, elle frotte mon torse, mon dos, mes jambes et mon pubis en prenant soin de ne pas effleurer mon sexe qui pointe vers elle en dégouttant un liquide clair et collant qui marque mon désir. Elle enduit mon corps d’un savon chaud et parfumé qui ressemble à s’y méprendre à de longues coulées de sperme. La salope en prend sur sa main libre puis en laisse couler sur son ventre et ses seins, puis elle me regarde en levant légèrement les yeux, le doigt descendant sur mon pénis et me dit :



Mon sexe bondit et je suis si bandé que ma queue en pleine extension vire au rouge foncé… Je voudrais la précipiter par terre, lui arracher sa culotte et la sauter comme une cochonne, une chienne en chaleur, mais je la laisse continuer…


Elle me dit de prendre mes vêtements qu’elle a soigneusement pliés, puis de la suivre jusqu’à une pièce située à quelques pieds de l’endroit où nous sommes. Je remarque que, pendant qu’elle marche, elle frotte doucement son clitoris par-dessus sa culotte, sans doute afin de bien lubrifier son sexe. La petite chambre est décorée sobrement, mais les couleurs sont relaxantes et une fine odeur de jasmin domine le lieu. En se mettant à quatre pattes, cambrant bien son joli cul, ma chienne lèche ses lèvres épaisses et m’invite à m’étendre sur un autre matelas de caoutchouc qui gît sur le sol. Puis, n’attendant pas que je réagisse, elle pose sa main sur mon pénis durci et le masse lentement, en insistant enfin pour que je m’étende, sur le dos, au sol. Je me précipite et flatte immédiatement son cul magnifique qui laisse deviner les contours d’une chatte parfaite…


Devinant mon envie pour son sexe chaud, la jeune femme retire doucement sa culotte et me montre sa chatte dans toute sa splendeur : sa fente bien galbée est mouillée de haut en bas et je devine la chaleur et la texture collante de son intérieur que je veux fourrer plus que jamais. Je n’ai cependant pas le temps d’apprécier puisque la salope se lève en souriant et me demande de me retourner sur le ventre… Je me retrouve inconfortablement allongé sur ma queue bandée. Je suis devenu obsédé à l’idée de pénétrer cette jeune Asiatique qui, je le réalise, est là pour réaliser tous mes fantasmes…


Elle descend, féline, et s’assied sur mes jambes pendant qu’elle enduit mon corps d’une huile chaude qui met mes sens en alerte, puis elle commence à se glisser de bas en haut sur mes mollets, jusqu’à mes fesses, glissant sa chatte mouillée tout au long de ma peau huilée, en me disant les pires cochonneries…



La chaleur de son sexe glissant sur moi, ses seins encore enveloppés de dentelle qui me massent le dos, sa langue qui se promène de mes reins jusqu’aux épaules en suivant ma colonne vertébrale, ses ongles qui labourent mon dos, et ces mots, ces paroles qui me rendent fou, tout cela me fait légèrement éjaculer sur le matelas contre lequel ma queue frotte depuis qu’a commencé ce traitement, qui dure depuis maintenant près de cinq minutes… Ma pute remonte désormais pour me monter comme un animal et se met en position assise sur mon cul, frottant désormais son humidité contre mes fesses pendant que ses mains huilées massent énergiquement mos dos… Ce traitement dure quelques minutes, puis elle me dit de me retourner sur le dos…

Mon pénis est magnifiquement dur, comme un rocher, et je lui ordonne de venir s’y enfoncer… prenant moi aussi plaisir à lui parler durement…



Elle arrache son soutien-gorge, laissant rebondir une paire de sein à faire venir un impuissant, m’enfile un condom qu’elle cachait dans sa brassière, et s’enfonce ma queue en la glissant lentement, centimètre par centimètre, au fond de sa fente bouillante et collante…


La vue de son corps frisant la perfection me rend plus dur encore et je commence à la ramoner avec vigueur, en profitant de chaque seconde de ce plaisir que j’ai espéré pendant tant d’heures en pensant ne jamais le trouver. Je glisse en elle, je bouge, je me déhanche, la suivant, alors qu’elle m’entraîne dans une sorte de danse au sol en me donnant une succession de coups de bassin qui m’emmènent droit au ciel…


La salope bouge bien, très bien… J’écarte grand ses jambes et je dirige mon regard sur son clitoris : quelle surprise ! De la grosseur du bout de mon pouce, il est le plus gros et le plus impressionnant qu’il m’ait été donné d’admirer… Je me sens gourmand et, sans lui dire pourquoi, je demande à ma jeune chienne de se coucher à son tour sur le dos. Pensant bien que j’allais la prendre à fond en la grimpant, ma pute vient au sol, écarte ses superbes cuisses et me lance un « Fuck me harder » que j’ignore… Ce clit m’a rendu fou et je glisse ma tête entre ses cuisses, passant ma langue raidie entre ses lèvres charnues et humectées par nos ébats, puis je me lance sans avertir pour sucer ce bouton que je n’oublierai sûrement jamais de ma vie.


Elle fait mine de me retenir, mais je saisis ses poignets et les colle au plancher pendant que j’entre sa bosse charnue, d’au moins un pouce de longueur et de largeur, entre mes lèvres que je resserre en suçant… Sa résistance s’estompe aussitôt et ma salope, abandonnant sa lutte, pousse un cri accompagné par un grand frisson…


À mesure que je lèche et suce son clitoris, ma chienne branle son bassin et gémit à grand bruit… Je la goûte, en sachant avec certitude que je savoure probablement le plus beau clitoris de toute ma vie passée et à venir… La putain bouge tellement bien, son clit est si bombé et dur et ma langue la torture si efficacement que des jets épais et savoureux sortent violemment de son sexe…


La jeune femme crie, enfonce ses longs ongles dans mon cou, me blessant, écarte ses jambes bien ouvertes et, en poussant un ultime gémissement accompagné d’une coulée épaisse, elle crie, au point que la dame plus âgée entrouvre la porte pour voir si tout est sous contrôle !


Alors que je lèche ce jus délicieux, ma Japonaise se relaxe et ferme les yeux, tentant de reprendre ses esprits… Je saisis ma chance et commence à bourrer sa vulve avec deux puis trois doigts, et les mouvements de bassin reprennent de plus belle… Cinq minutes plus tard, alors que tous mes doigts, à l’exception du pouce, travaillent l’intérieur de son vagin plus glissant que jamais, ma chienne lance un « Yes ! » qui s’étend sur cinq secondes et tombe, épuisée, ne pouvant plus dire un seul mot…


Bandé comme un animal en chaleur, la queue étendue de toute sa longueur, je décide de monter mon sexe pour enfin la mettre à fond et la défoncer jusqu’à me faire venir…

Celle qui devait me donner du plaisir est prise au piège et se laisse combler par son client qui en profite aux limites de l’abus pur et simple ! En sueur, le visage en extase, la salope se laisse ramoner en gémissant péniblement, vidée qu’elle est de toute énergie… Puis elle ouvre la bouche et murmure difficilement :



Je me retire, excité par cette proposition et, saisissant la bouteille de lubrifiant qu’elle me montre, les yeux mi-ouverts, je masturbe ma verge en l’huilant, puis remontant son cul, je l’enfonce progressivement, à quatre pattes comme une chienne, une vraie…


Je pousse ma queue au fond et j’y glisse si facilement que je ne mets pas longtemps à comprendre pourquoi la chose est si facile : la vache se déhanche en hurlant, poussant avec insistance sur mon pénis pour l’amener le plus loin possible en elle : toute jeune encore, ma salope a assez de métier pour s’être vraisemblablement convertie aux plaisirs de la sodomie.


Son beau cul bien rond se balance devant moi en roulant et je ne résiste pas à l’envie grandissante de le claquer à plusieurs reprises, nous donnant à l’un comme à l’autre d’intenses plaisirs. Ses cris augmentent, et la prenant comme une sale bête, je rassemble ses cheveux d’une main et tire sa nuque vers moi, la forçant à cambrer son cul et à sortir ses seins bondissant que je masse vigoureusement de ma main libre, mouillant mes doigts de ma salive pour lui masser les mamelons qui sont durs et qui pointent en s’allongeant.



Je la regarde s’extasier alors qu’elle me force violemment, de ses mouvements de bassin déchaînés, à la défoncer, presque malgré moi. Je réalise que cette femelle est en fait en train de me faire vivre l’expérience sexuelle la plus intense de ma vie à ce jour et que toute cette vigoureuse pratique m’échauffe les sangs et l’esprit, en me donnant les plus délicieuses des sensations, à vie.


Un peu épuisé, je reste planté en elle, la tire vers moi par-derrière et la pousse à s’asseoir sur mon pénis pendant qu’elle continue à se donner du plaisir anal en montant et descendant sur ma solide érection. Nous sommes au bord de l’extase alors que je la retourne face à moi et entreprends de lui sucer les seins alors que je sens monter en moi le plaisir prêt, bientôt, à gicler pour elle… Ma bouche bien remplie, je la regarde sauter tout en égratignant mon dos déjà marqué par ses précédentes attentions… Elle se penche vers moi et me dit que le temps est pour elle venu de me goûter à son tour…


Se levant doucement, elle laisse sortir mon sexe prisonnier dans son cul, retire doucement le condom qui le recouvre, puis s’agenouille devant moi en me regardant fixement. Son corps est luisant de sueur et d’huiles mêlées en un excitant dosage. Elle saisit mon sexe bandé à la base, embrasse d’abord mon gland, laisse balader sa langue sur la longueur entière de ma virilité qui lui est offerte, et tripote sans serrer mes testicules, léchant celles-ci d’abord, puis mon anus ensuite, pour enfin remonter le long de ma queue et venir agacer son extrémité à nouveau.



Dans un élan de fougue, ma petite salope pousse mon pénis au fond de sa gorge et commence à le pomper sensuellement, prenant soin de laisser sa salive ruisseler le long de ma tige, ce qui créé des sons de plaisir qui augmentent mon excitation déjà pourtant à son comble. Ma pute pompe et pompe encore mon sexe, passant ses doigts agiles en périphérie de mon anus, y risquant même quelques intrusions indiscrètes, qui ne sont pas déplaisantes, bien au contraire… Me suçant comme une déesse, ma partenaire du moment commence à ressentir mes spasmes et saisit ma queue qu’elle crosse maintenant de toute son énergie en émettant des gémissements qui achèvent de me faire passer dans le monde orgasmique : je crie violemment alors que s’échappent de puissants jets blancs et brûlants que la jeune femme s’empresse de diriger vers son visage d’abord, puis ses lèvres enfin… Elle lèche ce jus versé par sa faute et en avale de longues coulées avant de se lever et de me signifier en souriant que je ne devrais plus faire de cunnilingus aux femmes exerçant son métier :



Nous sourions et cette référence au temps me ramène brutalement à la réalité : cette session de sexe bestial et exquis à la fois me coûtera 120 $ américains et mon hôtesse exige en plus 40 $ de pourboire, qu’elle n’entend pas déclarer à sa patronne, laquelle, ajoute-t-elle, lui en veut déjà d’avoir accepté le plaisir alors qu’elle ne devait que le donner…


Bah… Mon plaisir ? Il consistait à soulager mes envies, et manger le sexe doux et chaud d’une femme en faisait partie intégrante…


Un baiser sur chaque joue, une douche prise seul, une érection enfin calmée et un empressement évident à retourner ma Malibu 2000 à l’aéroport de Dallas conclurent cette aventure qui avait finalement duré des heures, me faisant gravir les échelons du désir jusqu’à sa plus intolérable limite pour enfin m’amener à vivre une des plus intenses expériences érotiques et à réaliser un fantasme que j’ignorais alors : me lancer dans de vicieux ébats avec une jeune Japonaise… Mon esprit et mon imaginaire allaient longtemps en porter la trace, et le récit que j’en fis à la femme de ma vie allait aussi ouvrir pour elle un monde fantasmatique, qui lui était jusqu’alors étranger.


FIN