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Temps de lecture estimé : 6 mn
10/08/05
Résumé:  Histoire vécue d'un homme qui se fait initier par un médecin...
Critères:  hh hbi hplusag médical telnet hsoumis hdomine exhib hdanus hsodo init
Auteur : Oolyon  (H, 31 ans, Lyon, en couple)      
Première expérience chez le docteur

Je me présente, Julien, trente et un ans, marié, de la région lyonnaise. Je n’ai jamais eu de penchant pour les hommes, bien au contraire, j’adore les femmes en général, et j’adore ma femme… Malgré tout, depuis quelques semaines, je parcourais des sites sur Internet où je lisais parfois des petites annonces gays. Les annonces entre hommes sont toujours très directes et précises… J’avoue que cela commençait à me troubler de les lire. Parfois je m’imaginais avec un homme… Puis je chassais vite cette pensée de mon esprit… Mais plus le temps passait, plus j’avais envie d’essayer, de tester…


Mon plus grand fantasme est la visite médicale, que de souvenirs d’enfance, ce mélange de plaisir et de honte à se faire palper à moitié nu par un homme ou une femme inconnus auparavant. Je me décidai donc à passer mon annonce :


H 31 ans souhaite passer une visite médicale poussée, réalisée par un homme mûr, directif et autoritaire


J’ai eu quelques réponses sans grand intérêt, puis une ou deux où, je l’avoue, je n’ai pas osé donner suite. La peur de l’inconnu, la peur de tromper ma femme, la peur de l’acte physique avec un homme. Malgré tout je commençai un dialogue sur Yahoo Messenger avec deux hommes, régulièrement, depuis le travail. Ces dialogues m’excitaient beaucoup, mais encore une fois, le virtuel ne laissait pas la place au réel. Malgré l’excitation provoquée par nos dialogues, je n’arrivais pas à me rendre à un des rendez-vous fixés par ces hommes qui me promettaient de me faire jouir comme jamais, de me palper, m’explorer, etc.


Puis, un jour, un homme prit contact avec moi. Immédiatement il me commanda de me connecter à Yahoo Messenger, son approche était différente, subtile, raffinée mais perverse aussi. Nos dialogues étaient très très chauds, j’avais du mal à travailler, du mal à me concentrer, je guettais le moindre de ses messages, je ne pensais qu’à lui, qu’à me livrer à lui.


Rapidement, il m’avoua qu’il était médecin, un vrai médecin. Et son cabinet était à cinq-cent mètres de mon bureau ! Je n’osais y croire ! Je pris rendez-vous dans son cabinet. Pour la première fois, j’osais ! Je partais dans l’inconnu, la boule au ventre, inquiet, apeuré, mais surtout dans une excitation immense.


Je poussai la porte de son cabinet, cette fois j’y étais, je ne pouvais plus reculer. Des bruits de pas derrière la porte, elle s’ouvre, je le découvre, plutôt beau garçon, sûr de lui, à l’aise; moi pas du tout, très gêné, me demandant pourquoi j’avais accepté ce rendez-vous. Nous entrons dans son cabinet et il me dit :



Nous avions convenu que je lui dise que j’avais mal à l’anus.



J’étais rouge de honte et d’appréhension, mais je me sentis en même temps magnifiquement excité, presque dans un état second.



Je la décris et l’idée de lui montrer des photos de ma femme m’excita beaucoup, surtout que j’en avais quelques-unes où on la voyait un peu dénudée, qu’il me plairait de dévoiler…


Je lui obéis sans retenue, poussé par son autorité naturelle, lui expliquant les positions sexuelles que nous utilisions, la fréquence de nos rapports, mes fantasmes de soumission avec un homme, ma préférence pour la domination avec les femmes, etc.


Puis le moment tant attendu, mais redouté arriva.



Je gardai mon caleçon….et passai dans la pièce à côté. Il m’indiqua la table d’examen et je m’allongeai sur le dos. Son stéthoscope explora ma poitrine, ses mains palpèrent mes tétons, mon abdomen, chacun des ses mouvements déclencha en moi une vague de frissons, je sentis l’excitation monter en moi, ma verge commença à se gorger doucement de sang. Ses mains s’arrêtèrent à la lisière de mon boxer, pour me palper le bas ventre.



Son ordre et le passage au tutoiement résonnèrent dans ma tête. Ça y était, je ne pouvais plus reculer, on passait aux choses sérieuses, j’allais vivre ma première expérience avec un homme, un vrai médecin en plus ! Il m’ordonna de m’allonger sur le dos, les fesses près du bord de la table et de tenir mes jambes écartées.


Je bandais déjà très fort. Il avait une vision très impudique de moi, je m’offrais totalement, poussé par le désir. Il pouvait voir mon petit trou, ma verge gonflée de plaisir, tendue, prête à exploser au moindre de ses gestes. J’étais dans un état second, il prit du gel lubrifiant sur ses doigts et commença à me palper et me caresser l’anus, ses doigts se faisaient de plus en plus insistants, profonds, puis l’un d’entre eux commença à me pénétrer, doucement, mais fermement. Je me faisais enculer par ses doigts, je me retenais de ne pas éjaculer immédiatement !


Puis un deuxième ! Je n’étais plus un patient, et lui plus le docteur, je pouvais lire dans ses yeux son excitation, je devinais dans son pantalon son sexe tendu, gorgé de désir.


Il me demanda de me lever de la table, pendant qu’il enlevait son pantalon; il prit un préservatif qu’il déroula sur son sexe. C’était la première fois que je voyais le sexe d’un autre homme en érection, enfin d’aussi près, à quelques centimètres de moi.



Je n’osais pas bouger, mais il prit ma main et la posa sur son sexe ; je commençai à le masturber timidement, il devint de plus en plus dur. Il me retourna et m’appuya sur la table d’examen et me força à écarter les jambes.


Son sexe se positionna sur mon anus. Lentement, mais très fermement, il poussa. Mon excitation était à son comble ! Ma verge était prête à éclater, je me frottais contre la table d’examen. Il me poussa la tête en avant, la main sur ma nuque et il m’embrocha d’une seule poussée qui me coupa le souffle…



Je n’arrivais pas à lui répondre, seul un gémissement de plaisir et de douleur lui répondit. Il me besogna sur un rythme assez soutenu. Une vague de plaisir traversa mon corps, autant un plaisir cérébral que physique.


Il me demanda de changer de position et de revenir sur la table, sur le dos, jambes écartées. Il rentra de nouveau en moi, mais cette fois-ci avec une grande facilité, il me masturbait en même temps. Je le sentis accélérer ses mouvements, une des ses mains pétrit ma hanche, me colla à lui, l’autre me fit jouir en même temps que lui.


Les jambes coupées, haletant, je n’arrivai pas à me remettre. Rapidement, je me rhabillai. Avant de partir, il me dit:



Dans état second, je lui confirmai dans un murmure que j’allais faire tout ça.


Quelques jours plus tard, je reçus un nouvel e-mail de sa part, il voulait me revoir. Mon apprentissage n’était pas terminé…