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Temps de lecture estimé : 6 mn
11/08/05
Résumé:  Rencontre très, très attendue. On dit que l'attente en vaut la chandelle entre ces deux amants, c'est le cas !
Critères:  fh jeunes gros(ses) hotel amour volupté préservati tutu ecriv_f
Auteur : Lovagirl  (Débutante qui ne cherche qu'à progresser.)            Envoi mini-message
Rencontre intense et torride

Ça fait quatre ans que nous nous sommes rencontrés sur le Net, quatre ans que je rêve de toi secrètement, quatre ans que tu es mon fantasme. Toi le beau cycliste brun, au regard foncé et mystérieux, mais avec un sourire d’ange et un corps de rêve, tu m’avais promis qu’un jour on se rencontrerait. Ce jour sera bientôt là et voilà comment j’aimerais que cela se passe.


Après une journée passée à faire connaissance, à se découvrir physiquement, à s’observer, à devenir complice, nous pourrions continuer par une soirée de séduction, de provocation et de confidences. On se retrouverait alors dans une chambre d’hôtel, tard le soir. À peine le palier de la porte passé, la fougue nous prendrait. Lumière tamisée pour ne pas se dévoiler complètement dès le début, pour laisser le mystère et le désir grandir, éveiller les autres sens, on commencerait par s’embrasser langoureusement, on se caresserait à travers les vêtements. Mes mains dans ton cou descendraient sur le devant de ta chemise, et commenceraient à la déboutonner. Nos langues s’enlaceraient, danseraient, tes lèvres douces ne lâcheraient plus les miennes.


Une fois torse nu, mes mains te caresseraient, mes doigts feraient le contour de tes pectoraux, de tes abdos finement dessinés. Mes lèvres prendraient alors le flambeau et commenceraient à glisser dans ton cou, puis sur ton torse légèrement poilu et bronzé. Ma bouche sentirait la douceur de ta peau, mais surtout la chaleur de ton corps qui monterait de plus en plus au fur et à mesure que je descendrais vers ton bas ventre. Arrivée au niveau de ton nombril, ma langue partirait te chatouiller tandis que mes mains commenceraient à défaire ta ceinture et les boutons de ton jean au-dessus de cette bosse qui se dessinerait. Les sensations nouvelles de ma langue dans ton nombril te contracteraient, mêlant rires et gémissements. Je prendrais un malin plaisir à te titiller pendant que mes mains, après avoir fait glisser ton jean au niveau de tes chevilles, viendraient se promener sur la bosse voluptueuse se dessinant sous ton boxer. Mes doigts la parcourraient sur toute sa longueur, apprenant toutes les veines et les points sensibles de ce roc durci par l’excitation. Mes lèvres descendraient alors vers cette bosse, elles commenceraient à caresser ton membre dur par-dessus ton boxer. À son tour, ma main viendrait sur l’élastique, commencerait à jouer avec pour avoir accès au mystérieux objet.


Nos regards se trouveraient et ne se lâcheraient plus jusqu’à ce que la situation l’exige. Le désir et l’excitation que je lirais au fond de toi seraient l’amorce de cette bombe à retardement que je déclencherais. C’est alors que mes doigts exécuteraient cet ordre en caressant le bout que je sortirais de ton boxer. Je ferais rejoindre celui-ci lentement avec ton jean. Ta fierté dressée, je la prendrais délicatement dans la paume de ma main, je commencerais un va-et-vient en douceur en n’oubliant pas un seul centimètre. Petit à petit, je resserrerais l’emprise, comme des griffes sur leur proie. Les va-et-vient deviendraient plus nombreux, plus saccadés, plus envoûtants. Pour rendre ces caresses plus attrayantes, j’y joindrais quelques baisers, délicatement, sur le bout de mes lèvres humides, puis je le prendrais entre mes lèvres, tendrement, je commencerais à l’embrasser sensuellement. Tes mains me caresseraient les cheveux en même temps. Je prendrais alors ton sexe entre mes lèvres et commencerait de lents mouvements pour remplacer mes mains. Tout en caressant tes bourses, je resserrerais l’emprise pour t’arracher ces gémissements qui m’exciteraient grandement. Je ferais des pauses pour reprendre mon souffle, mais sans te laisser au dépourvu. Ma langue ferait le tour de ton gland que j’embrasserais délicatement, j’insisterais sur ce canal que je sentirais se contracter par à-coups, signe de ta jouissance prochaine. Les yeux mi-clos, tu te laisserais envahir par le plaisir que je te procurerais.


Au bout de quelques secondes, tu reprendrais tes esprits, m’aiderais à me relever, puis me serrerais dans tes bras pour me faire vibrer en m’embrassant. Tout en le savourant, tes mains glisseraient dans mon dos, me faisant frissonner, pour venir dégrafer mon soutif et libérer cette poitrine opulente que tu aimerais tant. Petit à petit, tu me conduirais jusqu’au lit, tes mains délicates sur mes fesses auraient passé la barrière de ce pantalon moulant. Tu découvrirais alors le string en dentelle bordeaux assorti au soutien-gorge. Après m’avoir allongée sur le dos, tes lèvres brûlantes dégusteraient chaque partie de mon corps. Tu commencerais par mon cou, puis tu descendrais lentement vers ma poitrine, pour te consacrer à mon sein gauche. Ta langue jouerait délicieusement avec, pendant que tes doigts s’occuperaient de l’autre pour ne pas faire de jaloux. Ces caresses me rendraient encore plus humide que je ne le serais déjà. Chacun ayant subi le même sort, tes mains caresseraient ce ventre rond et difforme que je n’aime pas, mais que tu aimerais sentir sous tes mains. Ta bouche trouverait mon nombril et par vengeance ta langue me titillerait, en même temps, tu me déshabillerais complètement.


Ne s’arrêtant pas là, tes mains viendraient jusqu’à mon mont de Vénus, à la toison foncée, taillée correctement. Tes doigts frôleraient mes grandes lèvres entrouvertes, déjà brûlantes et humides, puis tu en immiscerais un, lentement, à l’intérieur de ce buisson ardent pour y trouver cette récompense tant attendue. Tu le sentirais sous tes doigts, dressé, rouge et hors de son capuchon, ce bourgeon que tu caresserais tendrement du bout des doigts. Les effets de ces cadeaux exquis se feraient vite sentir, la tête commencerait à me tourner, la température à monter et mes mains à s’agripper furieusement aux draps. Ta bouche embrasserait tendrement ma rose éclose, mon odeur t’enivrerait et mon nectar te saoulerait de plaisir. Ta langue trouverait ce bouton de l’extase et commencerait à le lécher, tendrement, tu l’embrasserais, le goberais, l’aspirerais jusqu’à me faire gémir de plaisir, me posséder. Un doigt viendrait délicatement explorer mon puits d’amour en même temps, puis un deuxième ; tes caresses me feraient me cambrer tellement le plaisir serait fort et intense.


Ce serait à mon tour de prendre les commandes. Allongé, appuyé contre le mur, je te volerais un baiser fou et brûlant, à genoux au-dessus de tes cuisses, mes mains passant dans tes cheveux, les tiennes sur ma poitrine, ton sexe contre le mien. Je ferais de légers va-et-vient, pour t’exciter encore plus, les frottements te rendraient dingue, à tel point que tu me mordrais légèrement la langue de passion. Après avoir mis le préservatif en place, je te dirigerais, lentement, profondément, en moi, pour nous unir dans notre passion charnelle et torride. Je descendrais lentement sur ta hampe dure et dressée pour te sentir m’habiter, m’obtenir comme un trésor. Tes mains sur mes hanches, tu m’accompagnerais dans ces mouvements de va-et-vient qui prendraient un rythme endiablé. Enlacée dans tes bras, tout contre toi, je sentirais ton cœur s’emballer autant que le mien, et ta respiration s’accélérer. Tes coups de reins, profonds, envoûtants, enivrants m’emmèneraient au septième ciel, me feraient gémir encore plus. Je sentirais cette sensation chaude, brûlante, torride partir du bas de ventre et s’emparer de tout mon corps jusqu’à me faire crier ma jouissance. L’extase totale, je me délivrerais sur toi, et à ton tour, ton membre au plus dur, tu me rejoindrais dans ce palais du plaisir extrême. Tes râles et tes gémissements me feraient atteindre ce moment ultime et si bon où l’on est uni, cet instant où l’on ne fait qu’un, qui dure quelques secondes, mais qui semble une éternité.


Petit à petit, nous reprendrions nos esprits, serrée tout contre toi, mes cheveux bruns te caressant les joues, mon regard foncé plongé dans le tien, nous nous embrasserions une dernière fois avant de nous endormir, l’un contre l’autre, unis, sans nous quitter, en nous caressant légèrement. Morphée viendrait alors nous chercher, pour nous emporter au pays des rêves et des fantasmes… Le mien réalisé.