n° 09555 | Fiche technique | 15360 caractères | 15360Temps de lecture estimé : 9 mn | 16/08/05 |
Résumé: Marie en veut toujours plus. | ||||
Critères: fh ffh hplusag jeunes rousseurs facial fellation 69 pénétratio | ||||
Auteur : Balou (amoureux des femmes) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La balade irlandaise Chapitre 05 | Fin provisoire |
Balou se réveilla ce samedi matin avec un goût étrange dans la bouche, une sensation de gueule de bois, alors qu’il n’avait pas picolé.
Il se souvenait de la nuit de débauche homosexuelle qui l’avait entraîné vers un abîme sans fond.
Comment avait-il pu céder aux envies de Marie aussi facilement ?
Il réfléchissait à cette situation ubuesque, en se disant que son amie irlandaise avait un sens très développé pour des pratiques sexuelles hors normes, du moins à ses yeux.
Celle-ci dormait, allongée à ses côtés. Ils avaient longuement discuté après le départ de Marc. Balou avait fait comprendre à Marie qu’il ne souhaitait plus renouveler ce type d’expérience. Elle lui avait rétorqué qu’une fois un fantasme réalisé, l’humain se sent généralement coupable d’avoir transgressé les règles, règles qu’on se crée soi-même, évidemment.
Balou ne pouvait nier le plaisir que lui avaient procuré les trois bouches anonymes et le corps à corps avec Marc. Mais maintenant, avec du recul, il trouvait ces orgasmes fades, comme un régime sans sel.
Il se retourna vers Marie qui dormait toujours. Elle était nue sous le drap fin, dont seules dépassaient ses épaules blanches aux taches de rousseurs. Il se pencha et déposa un léger baiser sur la peau soyeuse.
Balou se leva, se doucha, but un café noir en fumant une cigarette. Il se demandait si sa vie ne prenait pas un tournant dangereux en acceptant les frasques sexuelles de Marie.
Marie se réveilla, elle tâtonna dans le lit à la recherche de son homme. Du côté de Balou, les draps étaient froids.
Elle s’étira langoureusement, elle aurait bien voulu que son compagnon soit avec elle en cet instant. Elle repensait à la nuit dernière où elle avait admiré Marc se faisant prendre par Balou. Ces pensées l’excitaient, elle sentait son orchidée rousse qui s’humidifiait.
Marie repoussa les draps. Couchée sur le dos, elle se caressait le ventre. Ses cuisses s’écartèrent doucement, ses doigts frôlèrent l’entrecuisse, puis remontèrent progressivement vers son bouton déjà luisant. Elle jouait avec lui tout en insérant un puis deux doigts en son ventre.
Elle pensait à ces deux hommes qui s’étaient livrés aux plaisirs de Sodome devant ses yeux. Marie aurait bien voulu prendre en bouche la verge de Marc, caresser ses bourses et sa peau rasée. Elle pensait à ce plaisir intense, le gland de Marc entre ses lèvres et lui en train de se faire sodomiser par Balou.
Elle se passa la langue sur les lèvres et accéléra les va-et-vient de ses doigts. Marie gémissait seule dans la chambre.
Maintenant, elle avait la hampe de Marc au fond de la gorge. Marie voyait son boss blond gémir sous sa caresse buccale. Elle tenait au creux de ses mains les lourdes bourses revêtues de quelques poils blonds.
Marie se masturbait avec frénésie. Sucer son patron gay était un de ses grands fantasmes. Le faire crier de bonheur, malgré le fait qu’il soit homosexuel, la mettait dans tous ses états.
Le plaisir montait, le feu brûlait. Ses doigts étaient humides. Soudain, elle se redressa, se positionna à quatre pattes, offrant sa croupe à la porte de la chambre.
Une main caressait sa fente luisante, l’autre introduisit deux doigts dans son pertuis. Ainsi pénétrée par les deux côtés, elle s’imagina prise par Balou et Marc.
Elle sursauta. Une bouche venait de déposer un baiser sur ses fesses blanches parsemées de taches de rousseur. Ensuite, deux mains agrippèrent ses hanches, puis elle sentit le gland d’une verge cogner contre son ventre.
Balou se tenait derrière elle. Il inséra un doigt explorateur entre les fesses de sa compagne. Simultanément, il fit pénétrer sa hampe dans le sillon mielleux.
Marie cria d’abord de surprise. Ses pensées se télescopaient, fantasme et réalité se mêlaient. Mais c’était si bon que Marc soit venu juste à cet instant. Elle le sentait bien en elle, de plus son doigt la sodomisait gentiment. Elle poussa sa croupe pour venir davantage à sa rencontre. La verge l’emplissait, elle allait et venait de plus en plus vite.
Ses pensées divaguèrent vers Marc, son chef homo, elle le voyait qui la prenait à grands coups. Oui, c’était lui qui coulissait en son ventre, là en ce moment. « Quelle divine pensée », se dit-elle, en jouissant sous les premières vagues de l’orgasme.
Balou souriait, il était ravi de cet intermède matinal. Il donna plusieurs claques sur les fesses blanches de Marie en gémissant « Oui ma belle, Marc va te défoncer »
À ces mots, Marie lâcha un rugissement de lionne. Son corps se crispa, son ventre explosa en une multitude d’orgasmes.
Balou sentit les muscles intimes de sa compagne se refermer sur sa hampe, comme pour le happer. Il ne put se retenir plus longtemps, l’éjaculation vint lui ouvrir la porte du bonheur.
Plus tard, allongés côte à côte, tous deux devisaient.
Marie se mordit la lèvre inférieure. « Mince j’ai gaffé » se dit-elle.
Balou la regarda intensément dans les yeux et répondit :
Marie se leva prestement.
« Cette jeune femme rousse est sacrément particulière » pensa Balou en se dirigeant vers la cuisine.
Après l’épisode d’Angela, Marie avait emménagé chez Balou (cf. la série « la dolce vita »). Elle avait relooké l’appartement, redonné une âme à ce logement. Puis elle avait décroché un job dans un service de communication dirigé par Marc.
Marie et Balou filaient le parfait amour. Cependant les caprices sexuels de sa compagne commençaient à agacer Balou. Non pas qu’il fut prude ou coincé, mais la multitude de partenaires noctambules dont Marie avait envie n’était pas compatible avec ses aspirations.
Ils discutèrent de ce sujet une bonne partie de la matinée.
Balou était peiné. Evidemment il savait tout cela, mais il pensait qu’avec le temps et l’amour qu’il portait à Marie, ses « écarts » s’amenuiseraient.
Balou ne pipa mot.
Marie continua sur sa lancée :
Marie se leva de sa chaise pour s’agenouiller aux pieds de Balou.
D’autorité elle déboutonna le pantalon qu’elle jeta dans un coin. Sa blanche main caressait la bosse qui se formait sous l’étoffe du caleçon.
Balou haletait. « Elle me rend dingue, mais j’aime ». Il ferma les yeux lorsqu’il sentit la chaude bouche de Marie l’avaler progressivement.
Le silence dans la cuisine. Seuls les bruits de succion d’une voluptueuse jeune femme rousse emplissaient la pièce. Quelques soupirs de-ci de-là accompagnaient la belle fellatrice dans son œuvre.
Marie avait les lèvres distendues par l’imposant diamètre de cette verge qu’elle aimait. Ses pulpeuses lèvres rouges étaient soudées au tronc, elle pompait.
Sa longue langue rose s’enroulait autour du membre dressé, pour ensuite lécher délicatement les bourses poilues et le doux gland couleur framboise.
Marie adorait sucer Balou. Elle aimait plus que tout l’emporter au bord du précipice du bonheur en ralentissant sa caresse. Elle reprenait également son souffle de cette manière. Puis elle masturbait le menhir entre ses soyeux cheveux roux. Balou raffolait de cet attouchement.
Lorsqu’elle sentait les soubresauts annonciateurs de l’éjaculation, elle stoppait tout contact, attendant que la tension baisse d’un palier. Puis elle reprenait sa succion pour emmener Balou dans un cran supplémentaire vers la limite ultime avant l’orgasme. C’était un exercice qu’elle maîtrisait parfaitement.
Palier après palier, elle guidait son compagnon vers la jouissance suprême. Langue, bouche, doigts devenaient alors insupportables, tant le membre était tendu à l’extrême. Tout le plaisir se concentrait dans cette hampe, la sève se mettait à bouillir dans les bourses. Le plaisir montait crescendo du creux des reins de Balou pour aboutir dans sa verge.
Ces allers et venues duraient depuis un long moment déjà. Balou voyait sa verge humide de salive apparaître puis disparaître entre les lèvres de son amante. Il avait été plusieurs fois à deux doigts de jouir, mais à chaque fois Marie réussissait, grâce à son talent, à contenir le bonheur libérateur.
La porte de la cuisine grinça. Du coin de l’œil, Marie vit la blonde tignasse de Magali dans l’embrasure de la porte. Balou n’avait rien remarqué, il haletait comme un damné.
Balou céda une nouvelle fois à ses caprices.
Magali voyait Balou assis sur une chaise dans la cuisine, Marie entre ses cuisses lui offrant une fellation amoureuse. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe, certes, mais ce n’était pas de sa faute si la sonnette de l’entrée ne fonctionnait pas. …..
Elle savait que Marie avait détecté sa présence, alors que Balou ahanait sur son siège, sexe fièrement érigé.
Balou attendait fébrilement la suite. Cette fellation lui avait procuré mille plaisirs, mais il savait pertinemment que l’orgasme qui allait suivre le ferait une nouvelle fois décoller vers le paradis.
Les yeux clos, il sentit la bouche reprendre sa caresse. Celle-ci lui semblait timide au premier abord.
Magali suçait enfin son Balou chéri. Cela faisait une éternité qu’elle n’y avait plus goûté. Elle savourait ce moment de tendre complicité.
Soudain, Balou comprit que ce n’était plus Marie qui le caressait. Il sentit que des mains se posaient sur ses paupières.
Il gémit de plus belle.
Magali, nue, agenouillée aux pieds de son aîné, vit Balou ouvrir les paupières en gémissant. Il la regardait tendrement, comme il l’avait si gentiment fait par le passé. Son regard était rempli de tendresse et d’amour. Il lui souriait béatement.
Magali s’activa sur le membre comme elle avait appris à le faire à ses jeunes amants de la fac. Marie également lui avait montré la voie en l’observant tout à l’heure.
Balou vit Marie rejoindre Magali à ses pieds. Toutes deux maintenant se relayaient alternativement. Deux femmes nues devant lui, « Mon dieu, je rêve » pensa-t-il.
Un cri.
Le hurlement ravagea la petite cuisine. Une chaise se renversa. Deux déesses tentaient de boire la semence de l’homme qui jouissait ardemment, les yeux injectés de sang. Elles pompaient le dard qui crachait sa lave blanche, des jets s’écrasèrent dans leurs cheveux, sur leur menton, sur leurs poitrines.
Magali fut la première à recueillir dans sa bouche la semence de Balou. Lui poussait des hurlements de dément, jamais elle ne l’avait vu dans un tel état. Marie lui prêta main forte et prit sa place pendant qu’elle branlait la hampe.
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Balou reprit ses esprits. La cuisine vidée de sexe lui semblait bien calme.
Il tendit l’oreille. De la chambre à coucher lui parvenaient des râles étouffés……
Il se rajusta et, à pattes de velours, se dirigea vers le fond de l’appartement.
Tête-bêche, Magali et Marie étaient imbriquées. Coups de langues, doigtés, caresses, gémissements agrémentaient le spectacle. Les jeunes femmes s’en donnaient à cœur joie.
Balou était stupéfié de voir ainsi ses deux amies prendre un plaisir certain dans leurs ébats, mêlés d’amour et de sensualité.
Magali jouit la première sous la bouche de Marie. Elle sentit la langue de sa rousse amante bien en elle, de plus Marie jouait admirablement des doigts sur son bouton d’amour.
Marie était couché sur elle, sa chevelure bien ancrée entre ses cuisses. Le plaisir fut à la fois violent et rapide, enfin elle redécouvrait les joies de Sapho.
Balou admirait sa blonde protégée de 19 ans jouir sous les caresses de sa compagne. Il lui semblait que les seins de Magali étaient dressés comme jamais ils ne l’avaient été ; en effet les bouts roses tendus dardaient comme un appel.
Marie se redressa la première en se léchant les lèvres, telle une lionne dégustant sa proie.
Marie vit Balou, elle se releva. Comme une divine apparition, elle lui prit la main et le guida vers la couche où Magali reposait.
Magali, toute émoustillée par la venue de son Balounet chéri, le regardait venir à elle avec envie. Marie le guidait gentiment.
À suivre…