n° 09560 | Fiche technique | 28814 caractères | 28814Temps de lecture estimé : 18 mn | 16/08/05 |
Résumé: Cette histoire m'est arrivée en début d'été, alors que j'étais parti en vacances avec un couple d'amis, Sophie et Laurent, et la meilleure amie de celle-ci, Sandra... | ||||
Critères: fh 2couples voir fellation pénétratio hgode jeu | ||||
Auteur : Moixx94 Envoi mini-message |
Cette histoire m’est arrivée en début d’été, alors que j’étais parti en vacances avec un couple d’amis, Sophie et Laurent, et la meilleure amie de celle-ci, Sandra. Nous avions loué une maison avec piscine sur la côte d’Azur pour 3 semaines de farniente bien méritées, loin du stress de la vie parisienne.
Sophie, nous sachant tous les deux célibataires, avait organisé une rencontre « fortuite », en nous invitant tous les deux pour son anniversaire. Elle m’avait dit que Sandra lui ressemblait beaucoup mais je ne m’attendais pas à ça. On aurait dit deux sœurs. Toutes les deux brunes, cheveux longs, les yeux noisettes et un petit air espiègle qui leur donne un charme dont elles savent jouer, mêmes habits, même façon de parler, de bouger. Mais la comparaison ne s’arrête pas là. Au cours de la soirée, j’ai pu constater que Sandra avait les mêmes formes généreuses que Sophie, qui me faisaient fantasmer de temps en temps.
On s’est tout de suite bien entendu, car nous avions beaucoup de points communs, aussi bien dans nos goûts, que dans nos histoire respectives. Nous avions tous les deux vécu pendant plusieurs années, une relation qui n’avait pas résisté à la routine et à l’usure du temps, et qui s’était terminée quelques mois auparavant. Au fil du temps, on s’est appelé et fréquenté de plus en plus.
Elle est devenue ma meilleure amie. On passait des heures à discuter de choses et d’autres, même les plus intimes et je me surprenais à lui faire des confidences très personnelles, moi qui suit d’habitude très réservé. Mais aucun de nous deux n’osait faire le premier pas, malgré une attirance mutuelle évidente, et Sophie qui ne manquait pas une occasion de faire des allusions de plus en plus franches. Les expériences passées étaient peut-être encore trop présentes et nous ne voulions pas gâcher cette relation.
Nous sommes donc partis tous les 4 au soleil, un samedi. Dès que nous sommes arrivés, Laurent et moi avons sauter dans la piscine pour un bain bien mérité après plusieurs heures de voiture en pleine chaleur. Un vrai bonheur ! Sophie et Sandra, ont préféré visiter la maison d’abord, et défaire quelques affaires. Elles nous ont donc rejoint après quelques minutes.
Pendant la soirée et les 2 ou 3 jours qui suivirent, Sophie et Laurent profitaient de moments ou Sandra et moi n’étions pas ensemble pour discuter et essayer de nous convaincre alternativement de sauter le pas. C’est un après-midi où Sophie et Laurent étaient partis à la plage que tout à changé.
Je me baignais dans la piscine, quand Sandra, que j’avais laissé endormie dans le canapé, est venue me rejoindre. Elle avait troqué son deux-pièces noir très classique pour un bikini blanc très sexy. Elle a plongé et s’est mise à nager devant moi. Je n’arrivais pas à décrocher mon regard de son corps déjà bronzé qui glissait sur l’eau. Elle me souriait à chaque passage, faisant semblant de s’offusquer de mes regards insistants sur sa poitrine et ses fesses que le tissu blanc, rendu transparent, ne cachait plus. Nous avons nagé et chahuté un moment jusqu’à ce que je l’attrape par les pieds et l’attire contre moi. Je l’ai enlacé, lui caressant le ventre et les cuisses pendant qu’elle se pressait contre moi. Je sentais ses fesses bouger lentement contre mon sexe déjà en érection. Elle me laissait partir à la découverte de son corps, sans aucune retenue. Les rires et les cris avaient été remplacés par un silence que seules les cigales et quelques soupirs de plaisirs venait rompre. Tout en l’embrassant, j’ai posé une main sur un de ses sein pendant que l’autre se glissait dans son maillot. Elle a écarté un peu les jambes pour me laisser le passage jusqu’à son bouton d’amour déjà gonflé. De son côté, elle n’était pas inactive, elle avait passé une main dans son dos, jusqu’à mon sexe qu’elle branlait doucement. Je l’embrassais dans le cou, lui mordillais les lobes des oreilles tout en continuant à jouer avec ses pointes de seins et son sexe dans lequel j’avais inséré un doigt. Notre excitation était à son comble, elle a enlevé son maillot et m’a dit :
« Prends-moi, j’ai envie de te sentir en moi. »
C’est à ce moment là que nous avons entendu Sophie et Laurent qui revenaient. Elle s’est vite rhabillée pendant que je m’éloignais un peu d’elle en montant sur le bord de la piscine. On aurait dit deux adolescents pris en flagrant délit. Quand Sophie est arrivée sur la terrasse, elle nous a demandé :
« Alors, l’après-midi s’est bien passée ? » Sandra lui a répondu par l’affirmative, en me faisant un clin d’œil discret.
Pendant que Sophie et Laurent sont allés ranger leurs affaires, elle a repris caresses coquines. J’avais une envie folle de lui faire l’amour, mais c’était impossible, nous pouvions être dérangé à tout instant. Je me laissais faire, elle était là entre mes jambes, sa main dans mon maillot me serrant de plus en plus, et bougeant de plus en plus vite sur mon sexe. Sentant que le point de non-retour était proche, je lui ai demandé d’arrêter.
Pour toute réponse, elle m’a dit avec un regard lubrique : « J’ai envie de ta queue »
Joignant le geste à la parole elle l’a sorti et l’a pris dans sa bouche. De la maison, nos amis ne pouvait pas la voir, car mon dos cachait les mouvements de sa tête, mais les soupirs qu’elle m’arrachait à chaque mouvement de langue ne laissaient que peu de doute sur son activité. Elle m’aspirait à fond, sa langue jouait sur mon gland, je sentais des spasmes me secouer le bas-ventre. Elle faisait ça divinement bien ! Quand elle a senti que j’allais jouir, elle arrêté de me sucer, gardant juste mon gland dans sa bouche en me branlant doucement. Elle a reçu mes giclées de sperme sur la langue et a tout avalé en me faisant prendre un pied d’enfer. Je l’ai ensuite rejoint dans l’eau, je l’ai embrassé tendrement et nous avons décidé de ne rien dire à Sophie et Laurent, cela pouvait être drôle et très excitant d’avoir une relation cachée quelques jours.
Durant les jours qui suivirent, ce fut une succession de caresses à la sauvette, de baisers volés et de contacts un peu plus coquins dans la piscine, masqués par l’eau. Notre attitude avait quand même inconsciemment changée, même en essayant de faire attention, et Sophie cherchait par tous les moyens a nous rapprocher.
Un soir, Sophie nous annonça :
« Cette nuit vous n’allez pas beaucoup dormir, essayez juste de ne pas faire trop de bruit, pour ne pas nous réveiller ».
La connaissant, la soirée s’annonçait amusante. Après un apéro et un barbecue bien arrosé, Sophie, proposa un strip-poker, espérant accélérer les choses entre Sandra et moi. Si elle avait su !
Nous avons un peu protesté pour la forme, et nous voilà les cartes en main pour une partie coquine. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que la chance ne serait pas de son côté, et au bout d’une heure, elle était nu comme un ver, Laurent et moi avions seulement perdu nos tee-shirts et que Sandra était encore totalement habillée. Elle nous a proposé de continuer à trois, mais nous n’étions pas d’accord. On avait commencé à quatre, on devait finir à quatre. Il a donc été convenu qu’elle aurait une gage pour chaque partie perdue.
Elle a eu un répit de quelques minutes durant lesquelles, Sandra s’est retrouvée en sous-vêtements, Laurent et moi en maillot, mais ce qui devait arriver, arriva.
Son premier gage, choisit par Laurent, fut de se caresser la poitrine. Elle était un peu réticente au début, mais rapidement l’excitation a pris le dessus, elle malaxait ses seins, jouait avec les pointes qu’elle amenait vers sa langue pour les lécher. Quand elle eut fini, le jeu reprit son cours et c’est Laurent qui se retrouva nu. Nous avons pu voir l’effet que le spectacle que nous avait offert Sophie avait eu sur lui. Il bandait et avait un sexe de dimensions très honorables pas très long mais assez épais.
Puis ce fut de nouveau au tour de Sophie. C’est Sandra qui eut le choix de son deuxième gage. Elle lui annonça avec un sourire malicieux :
« Vu l’état de ton homme, par ta faute ne plus, ton gage sera de le soulager. Tel est pris qui croyait prendre, ma belle »
Sophie est devenue rouge pivoine. Elle pouvait s’avouer vaincu et échapper au gage, mais sa fierté l’a poussé à accepter et elle s’est donc mise à l’ouvrage en disant à Sandra qu’elle ne perdait rien pour attendre. Elle s’est installée à côté de son homme, allongé sur le canapé et a commencé à le branler en l’embrassant un peu partout. Passif au début, Laurent s’est mis à lui caresser les seins et les fesses. Leur excitation était de plus en plus grande mais Sophie n’osait pas se lâcher du fait de notre présence, contrairement à Laurent. Il l’a attrapée et l’a positionnée en 69 au-dessus de lui, malgré ses protestations, pour lui lécher son sexe trempé.
Sandra et moi nous étions mis derrière le canapé, de sorte que nous étions aux premières loges pour profiter du spectacle et que nous pouvions nous caresser mutuellement sans être vus. Je n’en pouvais plus, j’avais trop envie d’elle. Je me suis mis à genoux derrière elle, et après lui avoir enlevé sa culotte, je lui ai écarté les jambes pour lui dévorer sa petite chatte. Sa position m’excitait terriblement. Accoudée au dossier du canapé, elle se cambrait au maximum les jambes tendues bien écartées ce qui faisait ressortir son si joli cul. Je la caressais partout en fouillant son sexe de ma langue et de mes doigts et en suçant son clitoris. Puis je me suis allongé sur le tapis, et elle est venu s’asseoir sur ma bouche. Elle avait le même regard que dans la piscine l’après-midi. Ce n’est plus moi qui la léchait, mais elle qui se branlait sur ma langue. J’avais le visage couvert de mouille. Puis elle s’est mise au-dessus de ma queue et s’est laissée glisser dessus. Elle s’est mise à tortiller les fesses, puis les deux mains appuyées sur ma poitrine, elle a entamé de lents va-et-vient. Elle s’est penchée en arrière ce qui faisait ressortir sa poitrine, elle était divinement belle. Nos gémissements, se faisaient de plus en plus fort. Je sentais son sexe se contracter autour du mien. J’avais du mal à me retenir, j’avais l’impression qu’on m’aspirer chaque fois qu’elle remontait. Elle a du le sentir car elle a relâché un peu son étreinte. Nous en avons profité pour changer de position. On s’est remis debout, et je l’ai prise contre le canapé ce qui nous permettait de voir Sophie et Laurent en même temps, qui continuait leur 69 endiablé. Elle était comme folle. Elle venait s’empaler sur moi en poussant des râles de plaisirs le regard fixé sur la bouche de Sophie qui gobait le sexe de son mari. Elle avait passé une main entre ses cuisses pour se branler en même temps. Sophie a joui la première immédiatement suivie de Laurent qui s’est vidé sur son visage et dans sa bouche. Sandra a pris son pied devant ce spectacle de débauche puis, elle a sorti ma queue de sa chatte, s’est mise à genoux devant moi et m’a fait jouir de la même façon que Laurent, en me branlant devant sa bouche grande ouverte, telles les affamées de sperme des pornos les plus chauds. Je savais, d’après toutes les discussions que nous avions eues, qu’elle n’avait aucun tabous sexuels et plein de fantasmes, mais je ne pensais pas si vite m’en rendre compte.
A partir de ce soir-là, nous avons rattrapé le temps perdu. Nous avons fait l’amour deux à trois fois par jour, essayant toutes les pièces de la maison, dans toutes les positions possibles et imaginables. Ça me changeait de mon ex qui n’était pas très branché sexe.
Un soir, elle est restée plus longtemps que d’habitude dans la salle de bain. Je me demandais ce qu’elle pouvait bien faire, mais ça valait le coup d’attendre. Avant de rentrer dans la chambre, elle m’a demandé de baisser un peu la lumière, de mettre de la musique et de m’installer confortablement. Quand elle est arrivé dans l’encadrement de la porte, j’ai compris pourquoi elle avait mis autant de temps. Elle s’était rhabillée et maquillée, de façon très sexy avec un tailleur noir et des chaussures à talons aiguilles noirs qui sans être vulgaire lui donnait un air très provoquant. Elle s’est mise à onduler lentement au rythme de la musique, tout en commençant à déboutonner la veste de son tailleur. Après un strip-tease langoureux pendant lequel j’avais commencé à me branler, elle m’a dit que ce soir-là on allait échanger les rôles, et que je devais lui obéir et accéder à tous ces désirs, et pour en être sure, elle m’a attaché les poignets aux montants du lit. Elle ne portait plus que ses bas noirs auto-adhésifs, et ses talons aiguilles. Elle est montée sur moi et s’est mise en 69, mais j’avais interdiction de la toucher. J’avais son sexe trempé à quelques centimètres de ma bouche sans pouvoir y posé la langue. Elle tortillait ses fesses au-dessus de mon visage, j’avais l’impression que mon sexe allait explosé. Elle me caressait les cuisses et le ventre se rapprochant toujours plus de ma queue. Elle a fini, au bout d’un temps qui m’a paru interminable , par la prendre dans sa main, puis après quelques coups de langue, la faire entrer dans sa bouche. Elle m’a demandé de relever les jambes pour pouvoir mes caresser les fesses, et j’ai senti son doigt s’aventurer vers mon anus. Elle s’est penché un peu plus, pour y déposer un peu de salive, puis est revenu s’occuper de ma queue. Elle m’a massé mon petit trou en appuyant de plus en plus, pour finalement y introduire son doigt. Il rentrait et ressortait au rythme de sa bouche sur ma bite, et assez rapidement un deuxième puis un troisième doigt ont pris possession de mon cul. Elle m’avait dit que je ne devait pas jouir avant qu’elle me l’autorise, sinon je serai puni. J’avais du mal à contenir mes gémissements, et pour atténuer le bruit j’avais commencé à la lécher. Mais, ses talents de suceuse et les nouvelles sensations procurés par ses doigts inquisiteurs ont vite eu raison de ma résistance. J’ai joui dans sa bouche en prenant un pied fabuleux. Elle s’est relevée et est venue m’embrasser en laissant couler dans ma bouche tout mon sperme qu’elle avait gardé dans la sienne. Puis elle m’a dit que je n’avais pas respecté les règles du jeu, et que j’allais donc avoir droit à la punition promise, puisque j’avais enfreint les deux règles imposées. J’ai un peu protesté pour la forme, mais de toute façon ainsi ligoté je n’avais pas trop le choix.
Elle s’est levé du lit, a ouvert un tiroir, et en a sorti un gode-ceinture. Ce gode était double. Les dimensions des deux sexes de plastiques étaient assez différentes. Le côté qui visiblement m’était destiné, était de la taille d’un sexe moyen. Celui qui lui était réservé était nettement plus long et plus gros, genre acteur de films pornos. Après se l’être enfoncé dans la chatte, elle a attaché la ceinture. Je n’avais jamais vu quelque chose d’aussi excitant. Ce corps féminin, surmonté de ce sexe qui me faisait envie.
Elle est remontée sur le lit, et s’est occupé de me refaire bander, ce qui n’a pas été très difficile. Puis, elle est venue se mettre au-dessus de moi, et m’a posé le bout du gode sur les lèvres. Elle m’a dit :
« Lèche le, et suce le bien, avant que je te le mette dans le cul, petite salope »
Je l’ai pris dans la bouche. Le contact du plastic n’était pas très agréable, mais la situation était tellement excitante, que j’y prenais un plaisir fou. Je le suçais comme s’il s’agissait d’une vrai et de temps en temps je le coinçais entre mes dents, pour qu’elle profite de celui qui était au fond de sa chatte. Puis, elle m’a ramené les jambes sur ma poitrine, s’est positionnée, à genoux devant mes fesses, et a mis le bout du gode contre mon cul. J’étais partagé entre l’excitation et la peur de la douleur que pourrait occasionner cette pénétration. Elle a commencé à presser de plus en plus. J’ai senti mon cul s’ouvrir petit à petit sous ses assauts. À chaque fois elle allait un peu plus loin, et ce n’était pas désagréable, jusqu’à ce qu’elle force un peu plus pour faire passer entièrement le gland du gode. Je n’ai pu retenir un petit cri, la douleur a été aussi soudaine que violente, mais ça y était en moi, mon cul avait complètement gobé ce membre de plastique. Je voyais dans ses yeux une lueur lubrique et son envie de jouir, mais elle a attendu un moment que ma douleur s’estompe. Puis elle a entrepris de me « bourrer le cul » pour reprendre ses propres termes. En s’enfonçant en moi, elle se pénétrait encore plus avec le gode qui li remplissait la chatte. L’excitation et le plaisir aidant, elle a accéléré ses mouvements, et pour mieux me défoncer, elle m’a détaché et m’a pris en levrette. Je sentais ses mains agrippées à mes fesses, et ses hanches qui venait buter sur mon cul. Elle était déchaînée, on prenait tous les deux un pied d’enfer, et on ne s’est pas aperçu que Sophie et Laurent avaient discrètement ouvert la porte et nous mataient sans vergogne. Sophie a joui, puis après avoir repris ses esprits, elle m’a dit que 2 fautes méritait 2 punitions. Elle a détaché la ceinture, et s’est retiré le gode de la chatte, en me laissant l’autre planté dans le cul. Elle m’a demandé de me mettre sur le dos puis m’a tiré un peu vers le bas du lit. Elle m’a attrapé les pieds, les a fait passer au-dessus de ma tête et m’a attaché les chevilles au lit. Je me retrouvais avec le sexe au-dessus de la bouche, mais mon manque de souplesse ne me permettait pas d’assouvir son fantasme et de me prendre la queue dans la bouche. Sophie et Laurent, étaient maintenant entrés et s’étaient assis sur le lit l’air très intéressé. Sandra a empoigné d’une main le gode qui l’avait fait jouir tout à l’heure et qui donnait l’impression maintenant de sortir de mon cul, et de l’autre ma bite qui ne demandait qu’à gicler mon plaisir. Elle m’a enculé et branlé à un rythme effréné, jusqu’à ce que j’éjacules dans ma bouche qu’elle m’avait demandé de garder ouverte. De toute façon le plaisir d’être comblé des deux côtés était tel, qu ’elle aurait pu me demander n’importe quoi je l’aurais fait. Sophie et Laurent son partis précipitamment et nous n’avons pas tardé à entendre des gémissements provenant de la chambre voisine. Quand à nous, après m’avoir détaché et « desengodé », nous nous sommes endormis dans les bras l’une l’autre, fatigués mais heureux. Autant vous dire, que mon cul a eu droit à beaucoup d’autres séances avec ce gode, ils sont même devenus inséparables.
Cet épisode a donné des idées à Sophie et Sandra.
Nous étions souvent seul l’après-midi, car Sophie et Laurent préféraient la plage, donc après un bain dans la piscine, on donnait libre cours à nos fantaisies sexuelles sur le canapé. Mais ce jour-là, alors que Sandra me faisait une gâterie dont elle a le secret, Sophie et Laurent sont revenus plus tôt de la plage et nous ont surpris dans cette posture compromettante. Après quelques commentaires ironiquement salaces, Sophie a dit à Sandra de continuer et s’est assise juste à côté de moi. Sandra a repris son œuvre sur mon sexe en regardant Sophie, je ne savais pas trop jusqu’où ce petit jeu allait nous mener. Celle-ci s’est mise à me caresser la poitrine, puis à m’embrasser d’abord tendrement, puis à pleine bouche, nos langues se mélangeant avec envie. Laurent, de son côté, n’était pas resté inactif. Après avoir caresser un moment le dos et mes fesses de Sandra, il lui a retiré son maillot, s’est allongé de telle sorte qu’il avait la tête entre ses cuisses, et a entamé un broute minou qui lui arrachait des râles de plaisir. Nous nous sommes rapidement tous retrouvés sur le tapis, formant une chaîne sexuelle. Puis les filles se sont relevées, Sandra s’est avachie dans le canapé attirant Laurent contre elle. Il lui a posé les chevilles sur ses épaules et son sexe a disparu dans la chatte trempée de Sandra. Dans le même temps, Sophie m’a poussé à côté de Sandra et monté sur moi et s’est empalée sur ma queue. C’était génial, voir ma copine se faire prendre par mon meilleur pote pendant que je baisais sa femme ! ! ! Je n’avais jamais été autant excité, je me retenais du mieux possible, mais quand j’ai vu Laurent sortir du ventre de Sandra, venir se mettre à califourchon sur elle, et lui inonder le visage et la bouche, je n’ai pas pu résister. Je me suis vidé dans le sexe de Sophie qui était la seule à ne pas avoir encore joui. Pour me faire pardonner, je l’ai attrapé par les fesses pour amener sa chatte sur ma bouche. Je l’ai dévoré, passant de son clitoris que je suçais avec avidité, à sa fente dans laquelle j’enfonçais ma langue au plus profond. Elle a pris son pied, me gratifiant, d’un mélange de cyprine et de sperme délicieux.
Pendant ce temps, Sandra s’était occupé à redonner un aspect plus viril au sexe ramolli de Laurent. Je voyais sa queue entrer et sortir de sa bouche qui l’aspirait bien à fond. Je me suis penché vers elle pour l’embrasser, et nettoyer les coulées blanchâtres qui dégoulinaient su ses joues. Sophie me branlait lentement en regardant la scène. Sandra a retiré la bite de Laurent de sa bouche pour venir m’embrasser goulûment, et pendant que nos langues s’entremêlaient, elle nous a attiré vers Laurent, si bien que sa queue nous frottait le visage. Drôle de sensation, c’était la première fois que je sentais le contact d’un sexe masculin. J’avais beaucoup fantasmé sur des relations avec des mecs, mais je n’avais jamais osé sauté le pas, et voilà que je me retrouvais avec se sexe bien bandé à quelques centimètres de la bouche. Je n’ai pas eu trop le temps de réfléchir, Sandra a dirigé cette queue vers nos lèvres qui se sont écartées pour lui laisser le passage. Après quelques secondes, elle me l’a mis vraiment dans la bouche pendant que Sophie aidait Laurent à se décaler face à moi. La situation dérapait, mais j’aimais ça. Je branlais et suçais mon pote pendant qu’elles nous regardaient en faisant de petits commentaires qui m’excitaient encore plus. Laurent a pris petit à petit les choses en main, il me tenait la tête et c’est lui qui imprimait le rythme. Il me baisait la bouche de plus en plus vite pendant que je lui caressais les couilles et les fesses. Il me traitait de « petite salope qui aime la bite » en me défonçant la bouche. Je l’ai senti se contracter, sa queue s’est gonflée encore plus et il m’a déposé de longues giclées de sperme sur la langue dans un cri de jouissance.
Les deux filles étaient aux anges, mais ne comptaient pas s’arrêter en si bon chemin. Sandra s’est absentée une ou deux minutes pour revenir, avec son gode-ceinture attaché autour de la taille. Pendant que Laurent récupérait, Sophie s’était mise à quatre pattes entre mes jambes pour une pipe du tonnerre. Sandra s’est mis derrière elle, a positionné le gode devant sa chatte dégoulinante d’excitation. Il est rentré comme dans du beurre, et elle s’est mise à défoncer sa copine. Sophie m’avait fait relever les jambes pour pouvoir s’occuper de mon cul. Elle appuyait sa langue sur mon anus qui ne demandait que ça. Elle avait du mal à coordonner ses mouvements à cause des coups de reins de Sandra et de la jouissance qui l’envahissait, mais cela suffisait pour me donner envie de me faire prendre. Quand elle a eu pris son pied, elle est allé s’occuper de Laurent, qui au vu de la situation avait déjà retrouvé sa rigidité. Sandra est venue jouer avec le bout du gode sur mon anus déjà un peu ouvert, je n’en pouvais plus, j’en avais trop envie, mais elle n’allait pas plus loin, en me regardant avec des yeux plein de vice. Elle me rendait fou, je me suis mis à genoux sur le canapé, appuyé contre le dossier en me cambrant au maximum et je lui ai demandé de me prendre. Elle m’a attrapé par les hanches, s’est enfoncé d’un coup en moi, et s’est mise à me défoncer au même rythme que sa copine quelques instants plus tôt.
Laurent avait le regard fixé sur mon cul et ce gode qui le labourait. Tout en continuant à le sucer, Sophie lui a fait comprendre de s’allonger sur le canapé, pour qu’il se retrouve la tête sous mon ventre. Elle n’a pas eu besoin de lui en dire plus. Entre l’excitation procurée par Sophie qui le pompait à fond, et celle de me voir me faire enculer par Sandra, il ne s’est pas fait prier et j’ai senti sa bouche se refermer autour de mon sexe. À chaque fois que Sandra m’enfonçait le gode dans le cul, ma queue allait buter contre la gorge de Laurent, et quand elle ressortait, il m’aspirait à fond. Sophie a changé d’activité, délaissant le sexe de son homme pour son cul. Pendant plusieurs minutes elle lui appliqua le même traitement que celui qu’elle m’avait administré. Il avait l’air d’apprécier. Puis elle s’est relevée, Sandra est sortie de mes fesses, et Sophie a amené Laurent derrière moi en lui disant :
« Regarde ce beau petit cul, il ne demande qu’à se faire défoncer, mets lui bien à fond à cette petite chienne »
Il a posé une main sur chacune de mes fesses et m’a embroché, guidé par la main de Sandra. Il s’est mis à faire des allers-retours de plus en plus rapides. À chaque fois, ses hanches venaient taper contre mes fesses et m’arrachaient des gémissements plus aigus. Sandra m’avait déjà pris de nombreuses fois comme ça, mais ne m’avait jamais donné de telles sensations. Sophie avait pris la place de Laurent sous moi et suçait ma queue au rythme de ma sodomie.
Tout à coup, les mouvements dans mes fesses se sont arrêtés, alors que Laurent n’avait pas encore pris son pied.
J’ai ouvert les yeux, et en tournant la tête, j’ai pu voir dans un miroir, Sandra derrière lui en train de lui enfoncer son gode dans les fesses. Elle poussait très doucement, mais Sophie a passé sa main entre nos cuisses et l’a attiré d’un coup contre les fesses de Laurent. Il a poussé un cri de douleur et s’est effondré sur mon dos. On est resté un moment comme ça, immobile, seule Sophie avait quelques mouvements de langues sur mon gland qui me donnaient des spasmes très agréables. Puis Laurent a recommencé à bouger un peu. On l’a laisser faire, et petit à petit ses mouvements se sont fait de plus en plus amples et saccadés et il avait l’air de prendre son pied. C’est à ce moment que les filles ont décidés d’accélérer les choses. Sandra a passé ses bras autour de Laurent pour m’attraper par les hanches, et Sophie a fait de même autour de moi pour saisir Laurent. Elles ont coordonné leurs mouvements de telles sorte qu’elles nous attiraient l’un vers l’autre de plus en plus violemment. Sa queue me perforait littéralement à chaque fois. De la même façon, Sandra empalait Laurent sur le gode alors que Sophie m’enfournait en plaquant son visage sur mon ventre. À ce rythme, nous n’avons pas tenu longtemps. Quand Laurent a été sur le point de jouir, Sandra l’a sorti de mon cul et l’a branlé jusqu’à ce qu’il inonde mes fesses, et pendant que Sophie recevait ma jouissance et l’avalait avec gourmandise, Sandra me nettoyait en léchant tout le sperme de Laurent qui me maculait le cul.
Nous étions épuisés. Après un apéro et un repas bien arrosé, les filles nous ont proposé de regarder un film. Et quel film ! ! Ces deux petites vicieuses avait bien préparé leur coup et avait filmé nos ébats de l’après-midi qu’elles avaient donc prémédité. Cela méritait une punition exemplaire, mais cela est pour le prochain épisode.