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Temps de lecture estimé : 9 mn
17/08/05
Résumé:  Dérapage incontrôlé au cours d'une partie de cartes, sur fond de musique soul.
Critères:  fhh collègues intermast facial fellation cunnilingu double sandwich fdanus fsodo hdanus
Auteur : Maître du jeu  (Jeu du hasard et des circonstances)
Atout coeur

L’existence réserve parfois des surprises croustillantes à celui qui sait faire preuve d’un peu d’audace au bon moment. C’est ainsi que j’ai pu découvrir dernièrement une facette inédite et ô combien savoureuse de la personnalité de Mylène, une ancienne collègue de travail.


Je m’appelle André, et je suis maître auxiliaire dans l’éducation nationale. Ce statut fait que je suis « muté » chaque année dans un établissement scolaire différent, en fonction des besoins du rectorat. L’an passé, j’ai ainsi fait la connaissance de Mylène, ravissante professeur d’anglais, jeune femme de vingt-sept ans, blonde, menue mais bien proportionnée, avec un visage illuminé d’un sourire franc, une retenue et une classe « so british », une poitrine appétissante et surtout un fessier divinement sculpté par la rigueur de nombreuses années de danse. Les pauses café que nous avons partagées durant un an dans un établissement difficile nous ont rapprochés sur un mode amical, jusqu’à ce que nous découvrions que nous habitions le même quartier et que nous vouions une même passion pour la littérature fantastique et les jeux de cartes, ce qui a encore resserré nos liens. Néanmoins, durant tout ce temps, nous vivions chacun de notre côté une histoire d’amour, et aucun dérapage n’avait jamais été envisagé. Jusqu’à ce fameux soir d’été…


J’avais programmé une soirée impromptue, petit apéritif copieux agrémenté de quelques bouteilles d’un vin rosé bien frais, et suivi d’une soirée tarot. Pour l’occasion, j’avais convié mon meilleur ami Franck, un couple d’amis communs, et Mylène. Hélas (quoique !), nos amis décommandèrent en milieu d’après-midi pour quelque obscure raison, nous laissant finalement passer cette soirée tous les trois. Pour l’occasion, Franck avait fait un effort de toilette notable, choisissant une chemise de tailleur ample mariée à un pantalon de toile suffisamment moulant pour souligner l’héritage encore vivace de son passé d’athlète. Pour ma part, jouant la partie à domicile et souhaitant minimiser les effets de la chaleur moite des nuits estivales, j’avais opté pour un large pantalon et un débardeur en lin.


Mylène arriva, avec la ponctualité qui la caractérise, vêtue d’un chemisier ivoire très décolleté laissant deviner la dentelle pourpre d’un soutien-gorge raffiné, et d’un pantalon moulant taille basse. Des chaussures à lanières à hauts talons dénudaient ses pieds délicats aux ongles impeccablement vernis et accentuaient encore la courbure affolante de ses reins. Maquillée avec soin, elle était resplendissante, et semblait parfaitement reposée par les quelques semaines de congés d’été qui s’étaient déjà écoulées. L’apéritif fut convivial, joyeux, ponctué de rires, de bons mots et de regards complices. Franck s’intégrait parfaitement à la discussion pourtant parfois imperméable de deux enseignants, et très vite, la déconvenue de n’être que trois s’estompa, pour céder la place à une atmosphère détendue des plus agréables. La soirée s’écoulait délicieusement, de même que le rosé, et c’est dans une euphorie contenue, quoique indiscutable, que nous avons débuté notre partie de cartes.


Les tours s’enchaînaient dans la bonne humeur la plus complète depuis un bon moment, l’un ou l’autre se risquait parfois à glisser un mot coquin ou une allusion un peu grivoise de temps à autre, et récoltait les sourires ou les remarques complices des deux autres, et il planait désormais dans mon esprit et dans le living un vent d’érotisme qui soufflait de plus en plus fort sur mes pensées. À tel point que je laissai mon esprit vagabonder et récoltai en retour une solide érection, qui pouvait difficilement se montrer discrète, compte tenu de mes vêtements. C’est l’instant que choisit Mylène pour se lever et aller chercher un autre paquet de cigarettes dans son sac posé au sol. Nous tournant le dos, elle se baissa pour s’en emparer, dévoilant à nos yeux avides un string coordonné à son soutien-gorge. Raclement de gorge de Franck, dont les pensées étaient visiblement aussi impures que les miennes à cet instant-là.


Je ne pus m’empêcher de faire remarquer à Mylène qu’il allait être difficile pour Franck et moi de nous concentrer sur le jeu après pareil spectacle, tout en tentant de dissimuler, sous le double écran de mes jambes croisées et de la table, cette érection qui désormais déformait mon boxer et mon pantalon d’une manière éhontée. Mylène sourit, en nous fixant tour à tour droit dans les yeux, et revint s’asseoir le plus innocemment du monde entre nous. J’imaginais que dans le pantalon de Franck, la température devait être montée de quelques degrés également, et un rapide échange de regards confirma mon hypothèse.


Hors de vue, je reculai un peu ma chaise et repris la partie. Soudain, je sentis un pied qui s’immisçait le long de la jambe gauche de mon pantalon et remontait jusqu’à mon entrejambe, largement ouverte afin de soulager mon sexe endolori. Les yeux de Mylène étaient figés dans les miens, ne laissant planer aucun doute sur ses motivations. Elle les tourna vers Franck, sans changer leur expression. Je compris alors qu’il subissait le même traitement de l’autre côté de la table ; je déposai mes cartes sur la table et plaçai ma main sur le pied qui massait mon entrecuisse. Notre état d’excitation ne pouvait plus faire de doute, et pendant que Franck se levait et commençait à caresser les épaules et la nuque de Mylène, je frottai avec gourmandise ma bite contre ce pied vagabond. Puis, concluant que mes deux partenaires passaient leur tour, je me levai et les attirai vers le canapé. Mylène roulait déjà des pelles goulues à Franck et sa main avait au long des quelques mètres que nous avions parcourus remplacé son pied à la recherche de mon sexe. Bien décidé à lui faciliter le travail, je me débarrassai rapidement de mon pantalon et de mon débardeur, et laissai saillir l’objet de sa convoitise. Pas en reste, Franck terminait d’enlever ses chaussettes et s’attaquait avec détermination à la poitrine de notre compagne, qui semblait apprécier cette attention au point d’en être troublée dans la masturbation pourtant remarquable qu’elle m’offrait. Désireux de participer à l’effort collectif, je déboutonnai avec soin le chemisier de Mylène, ce qui permit à Franck de relever son soutien-gorge et de dévorer littéralement ses seins. Les râles de plaisir poussés par notre amie n’étaient contrariés que par ma langue qui s’amusait avec la sienne dans un torrent de salive.


Décidé à passer à l’étape suivante, je laissai ma main explorer la ceinture de son pantalon, et parvins à la glisser sous son string au prix de quelques contorsions, sans pour autant quitter ses lèvres. Sa main gauche ne quittait pas la tête de Franck, tandis que la droite décrivait de ses ongles de divines arabesques dans mon dos. Son sexe accueillit mon majeur avec gourmandise, et j’entamai alors une masturbation lente, jouant avec sa respiration et les mouvements de son bassin. Franck avait senti que l’heure n’était plus à la bestialité du premier assaut et en avait profité pour passer en fond musical une compilation de musique soul qui tombait à pic. Mylène acheva de se déshabiller et se plaça sur le canapé, de façon à ce que je puisse déguster de ma langue sa chatte luisante. Pendant ce temps, Franck s’était placé face à elle et profitait des honneurs de sa bouche. Les bruits de succion et d’aspiration de Mylène se conjuguaient au mien et, bientôt, les gémissements de Franck se firent de plus en plus insistants, à mesure que sa bienfaitrice râlait et s’agitait sous l’effet de ma langue et de mes doigts, qui s’égaraient parfois à l’orée de son anus et y répandaient un peu de sa mouille. Sa chatte avait des saveurs âcres, presque tourbées et salées, qui me rappelaient le premier verre d’Oban que j’avais bu. Franck avait toutes les peines du monde à poursuivre le jeu qu’il avait initié avec les seins de la belle quelques instants auparavant, tant elle s’appliquait à le rendre fou, en chaloupant son corps au rythme de la musique. J’essayai moi-même de rester en rythme, et appuyai ma masturbation sur les temps. Un morceau plus rapide débuta, et je décidai d’augmenter le rythme de mes caresses et de les concentrer sur son clitoris. Elle jouit sans retenue au moment où j’enfonçai mon pouce aussi profond que possible dans son cul, et Franck, rendu fou par cette vision, éjacula dans sa bouche dans une plainte.


Mylène s’écroula sur le dos et un instant après, me regarda avec un sourire qui en disait long. Elle se contenta de me dire de venir, avec dans le regard ce mélange de satisfaction et de fatigue provoqué par son orgasme et une pointe de lubricité qui démontrait qu’elle n’était pas repue. Je l’enjambai en présentant mon sexe devant sa bouche et elle commença à le sucer avec avidité. Quelle chaleur ! Quel savoir-faire ! Sa langue jouait avec mon sexe, le câlinait, le léchait longuement, descendant jusqu’à mes couilles, puis elle engloba d’un coup mon membre, aspira, saliva encore, en me massant les bourses… Je compris mieux pourquoi Franck n’avait pas pu résister à un tel traitement ! D’ailleurs, face à un tel tableau de lubricité, mon ami ne mit pas longtemps à reprendre vie et s’insinua dans le sexe de Mylène, tandis qu’elle avait ma queue au plus profond de sa gorge. Sous le coup, elle poussa un cri et manqua de s’étouffer, mais elle reprit rapidement son œuvre. Franck alternait le rythme comme le meilleur musicien de jazz, sortait sa queue, puis la rentrait d’un coup sec et reprenait ses va-et-vient, ondulait sur la basse entêtante du morceau qui nous accompagnait. Mylène était au diapason et ne marqua une pause qu’au moment où j’eus envie de sentir mon odeur dans sa bouche en l’embrassant longuement, laissant à sa main le soin de remplacer sa bouche autour de mon sexe.


Au bout d’un moment, Franck revint se faire sucer, me laissant le plaisir de pénétrer ce sexe brûlant et désormais bien élargi par ses soins. Je repris avec application son travail, tentant de mener notre partenaire à un nouvel orgasme, tandis qu’elle le suçait furieusement en lui enfonçant un doigt dans le cul, ce qui semblait décupler son érection. Je repris aussi mes caresses anales et, rapidement, j’estimai son orifice suffisamment préparé pour présenter mon gland à son entrée. Avec précaution, je m’immisçai dans ce conduit serré et chaud, bandant encore plus fort en contemplant la perfection du cul que je possédais désormais jusqu’à la garde. Les râles de plaisir de Mylène se transformaient petit à petit en encouragements d’une vulgarité qui tranchait avec la jeune fille timide que j’avais l’habitude de côtoyer. Visiblement excitée au plus haut point par le traitement que je lui faisais subir, elle jouit en hurlant, sans que je cesse mes mouvements. Je la relevai contre moi et lui roulai une série de pelles sans aucune retenue, cherchant d’une main à caresser sa chatte. Mais la main de Franck m’avait précédé et je dus me contenter de la maintenir plaquée contre mon torse.


Franck continuait à la masturber avec énergie et elle criait toujours son plaisir, ma bite fichée le plus profondément possible dans ses fesses. Soudain, Franck s’allongea sur le dos et se glissa sous elle, de façon à présenter sa queue à l’entrée de son sexe. Lorsqu’il la pénétra pour la seconde fois de la soirée, Mylène fut parcourue d’un tressaillement fulgurant et reprit ses cris et ses invitations pendant que nous débutions nos mouvements, toujours calqués sur le rythme de la musique que distillait la chaîne. Petit à petit, sentant le plaisir de notre partenaire monter cran par cran, nous avons accéléré nos coups de reins, tentant d’être le plus synchrone possible. J’imaginais la mince épaisseur de chair qui séparait ma queue de celle de mon ami et cette vision m’excita tellement que je ne pus retenir très longtemps ma jouissance. J’éjaculai copieusement dans le cul désormais béant de Mylène et me retirai afin de céder la place à mon ami qui s’enfonça dans ses chairs, puis s’y libéra quelques instants plus tard, tandis que Mylène achevait de me nettoyer la queue à petits coups de langue tendres. Franck s’écroula sur le dos de notre merveilleuse compagne et commença à lui embrasser le dos, les reins, léchant sa peau, puis soufflant pour la rafraîchir et la reposer… De mon côté, je marquai un temps de repos, contemplant le visage radieux d’une Mylène que je n’aurais jamais imaginé si chienne.


Au bout d’un moment, elle fit signe à Franck de venir s’asseoir face à elle et commença à le branler avec délicatesse. Après ces deux saillies, mon camarade n’était plus fringuant, et elle concentra ses efforts sur mon sexe, le suçant avec une avidité incroyable, compte tenu de tout ce qu’elle avait vécu jusque-là. Tandis qu’une de ses mains fouillait avec frénésie sa chatte, mon cul fut à son tour investi par son index et son majeur inquisiteurs, ce qui redonna à mon érection une vigueur inattendue et provoqua une décharge de plaisir qui me traversa le dos… Je quittai alors précipitamment sa bouche et me masturbai frénétiquement devant son visage, ses doigts toujours plantés dans mon cul. Je lâchai dans un râle rauque cinq longs jets de foutre sur sa bouche, son nez, ses joues et ses yeux, parcouru par une lame de jouissance que je sentis jusque dans ma cage thoracique.


Epuisé, je tombai en arrière sur le tapis, tandis que Franck, excité par la vision du visage de Mylène souillé de sperme, avait pris ma place face à elle et inondait rapidement ses cheveux et son visage d’un nouvel hommage blanchâtre, avant de s’asseoir à son tour, terrassé par les plaisirs successifs. Mylène jouit encore une fois sous l’action de ses caresses, puis vint se lover dans nos bras, pour y être embrassée et câlinée, avant d’aller goûter aux joies d’une douche chaude bien méritée…