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Temps de lecture estimé : 10 mn
17/08/05
Résumé:  Peut-on croire à sa bonne fortune, quand une plantureuse quadragénaire mariée se montre peu farouche ?
Critères:  fh extracon voisins prost grosseins groscul poilu(e)s fête lingerie fellation cunnilingu préservati fdanus fsodo uro
Auteur : XXL  (Peut on croire naïvement à sa bonne fortune ?)
Un rêve tenace

Solange, les mains plongées dans l’eau savonneuse de l’évier, nettoyait délicatement les verres du service en cristal de sa tante qui, à ses côtés, les essuyait avec d’ultimes précautions. La poitrine épanouie de Solange dansait lentement à chacun de ses mouvements, comme si la tension du soutien-gorge était insuffisante.


Accoudé au chambranle de la porte, je dégustais le morceau de tarte offert pour me faire patienter. Solange revendiquait une petite quarantaine sereine et la manifestait par une coquetterie un peu provocatrice : chemisier éclatant de fleurs aux couleurs vives, dont l’ouverture en jabot laissait entrevoir les rondeurs prometteuses ; jupe droite, vieux rose, bien au-dessus du genou, moulant des hanches larges mais pas disproportionnées ; des cheveux d’un noir profond coupés très courts. Elle était parfaitement bien dans sa peau et ne semblait pas du tout troublée par son léger embonpoint, ni par un nez busqué qui rendait un peu disgracieuse cette belle plante de presque un mètre soixante-dix.

Solange sentait mon regard posé sur sa poitrine lourde et me jetait discrètement des regards ravis avant de baisser pudiquement les paupières. Certes, j’avais une dizaine d’années de plus qu’elle, mais on avait sympathisé lors de quelques apéritifs chez sa tante que je connaissais bien (vu qu’elle habitait à deux maisons de la mienne). Solange en profitait alors pour m’inviter à parler de mes voyages, surtout de l’île grecque de Santorin, improbable Atlantide et projet tenace de femme déterminée.

Solange ne voulait plus vivre par procuration. Si son époux avait une peur maladive de l’avion et le mal de mer, même sur un bateau-mouche (!), c’était son problème. Elle en avait marre des vacances dans l’Ardèche profonde et avait décidé de prendre son destin en mains… Quant à son mari, c’était le cadet de ses soucis que son épouse parte seule à Santorin… à condition qu’elle subvienne seule à ses phantasmes paradisiaques.

Ce jour-là, la tante fêtait ses soixante-dix ans avec sa famille : un frère et une sœur accompagnée de sa seule nièce et de son mari. Les frère et sœur partis, sa nièce avait tenu à l’aider pour une vaisselle monstrueuse. La mamie m’avait téléphoné un quart d’heure auparavant, pour convoyer, avec mon monospace, un lit d’appoint pliant avec sommier, impossible à caser dans la BM du mari de Solange.


Avec un « ouf » de soulagement, Solange s’essuyait énergiquement les avant-bras et ma libido s’éveilla inopinément : une touffe abondante de poils bruns m’apparut sous son aisselle droite. Ça, c’était ma perversité : les dames velues, dont à coup sûr la toison pubienne devait être en proportion avec celle implantée sous les aisselles. Solange parut étonnée de mon regard libidineux et n’eut cependant pas le temps de l’analyser. Elle poussa un cri de détresse quand sa tante, dans son élan du dernier voyage de verres en cristal, envoya à terre toutes les bagues que Solange avait posées sur le meuble de cuisine. En gentleman, je me fis un plaisir de récupérer les bijoux. Solange constata qu’il manquait la bague à laquelle elle attachait le plus d’importance sentimentale. Par terre, rien en vue. Je m’allongeai sur le carrelage pour explorer sous les meubles de cuisine. Solange s’accroupit et, munie d’une torche, m’éclaira sous le meuble. Toujours rien… En se déplaçant en canard pour fouiller l’obscurité, elle ne prit pas garde à sa position qui devenait involontairement très scabreuse. À terre, couché sur le flanc, j’eus droit à une superbe vision panoramique : cent pour cent vue de face… Des chaussures à talons rouge vif s’échappaient deux jambes largement ouvertes, aux cuisses musclées, gainées de bas couleur chair. De larges jarretelles noires maintenaient les bas pour, certainement, aboutir à une ceinture "ventre plat", à l’ancienne. L’aperçu furtif de sa petite culotte me ravit : un triangle de satin jaune discrètement bordé de frou-frou noir.


Solange ne pouvait ignorer que j’étais en train de me rincer l’œil, et pourtant elle ne referma pas ses cuisses imposantes… Ceci m’incita à lui caresser délicatement le genou puis à remonter ma main baladeuse, en de légers effleurements, vers le haut de la cuisse dénudée. Solange frémit mais, à ma grande surprise, ne repoussa pas deux doigts téméraires qui s’immiscèrent sous le fin textile et épousèrent lentement sa fente sur toute sa longueur. Son cher mari l’interpella alors vivement du salon pour lui rappeler qu’il était pressé. Monsieur devait emmener ses copains assister à un derby footballistique de la Coupe de France. Je trouvai, en catastrophe, un prétexte plausible pour expliquer à ce supporter que je ne pouvais déposer la literie chez lui que vers dix-neuf heures (heure à laquelle, bien entendu, monsieur serait absent du domicile conjugal). Cela lui était parfaitement indifférent, mais son épouse accueillit ma suggestion avec un discret sourire complice.


La porte du garage se referma alors que je prenais à bras le corps ce matelas encombrant pour suivre Solange qui, en roulant le lit d’appoint plié en deux, m’entraîna vers un petit cagibi attenant au local. Elle tint à placer elle-même, à bras le corps, le matelas déployé contre le mur. Je profitai du fait qu’elle me tournait le dos pour lui parcourir le cou de petits baisers humides tout en caressant ses bras dénudés qui soutenaient encore le matelas. Solange ne joua pas à la femme honnête et fidèle qu’on dépravait sournoisement. Elle se laissa aller au plaisir éphémère de l’instant et apprécia beaucoup qu’une main masculine s’empare de son sein gauche, moelleux à souhait. En plusieurs étapes, sans opposition véritable, j’arrivai à la trousser jusqu’à la taille avant d’aventurer la main droite entre ses jambes légèrement écartées. Debout, collé contre la croupe féminine, je ne pouvais rien voir, mais ma main découvrait une petite culotte satinée, libre de toute contrainte élastique latérale. Mes doigts curieux se noyèrent dans une toison abondante. Mon index revisita profondément la fente interminable qui se frayait un chemin entre deux collines renflées et fermes. Solange me confirma sa satisfaction en cambrant sa croupe pour la coller contre mon sexe qui se réveillait d’une abstinence monacale. Ce n’est qu’au moment où je descendis l’élastique ventral de sa petite culotte que Solange suggéra de continuer nos ébats dans un endroit plus confortable.


Elle me saisit les bras et m’entraîna dans un coin du grand salon obscur, au pied d’un escalier qui était, lui, très éclairé. Elle avait à peine monté trois marches que je l’arrêtai en la menaçant de porter plainte contre elle : je lui affirmai, en termes élégants, que c’était un scandale, avec une telle croupe, de monter un escalier avec une jupe, fût-elle rose et moulante. Solange rigola et dézipa elle-même sa jupe en agitant volontairement les fesses tout en guettant ma réaction. Je compris vite pourquoi elle avait accepté ma proposition d’exhibition, car la petite culotte était très coquine, surtout à l’arrière où un simple cordon noir séparait ses deux fesses rebondies. La coquine se montra enchantée de l’effet produit, exécutant même un tour complet sur elle-même. Elle m’expliqua aussi que c’était un vieil achat, supposé augmenter les ardeurs de son mari, mais que celui-ci avait trouvé la lingerie vulgaire, et qu’en conséquences elle ne la portait que très rarement…

Solange essaya alors de monter mais, devant ce fessier extraordinaire qui s’agitait sous mes yeux, j’interrompis son entreprise. Assis sur une marche en contrebas, j’introduisis ma bouche dans son intimité en écartant le fond de la culotte pour accéder directement aux petites crêtes charnues qui hérissaient la fente rose sombre… Je me permis d’ouvrir délicatement les lèvres pour goûter abondamment toutes les saveurs féminines que ma langue explorait avec délice. Solange fut si satisfaite de ma prestation qu’elle monta sa jambe droite d’une marche pour me permettre un accès plus facile. En contre-plongée, le spectacle était dantesque : Solange écartelée, la chatte béante et une allée de poils hirsutes qui envahissaient la raie profonde de son gros cul. Quand j’engloutis son petit bouton rose, Solange bloqua ma tête sur sa chatte de peur que je n’arrête la caresse qui semblait lui convenir parfaitement. Elle commença à pousser de discrets cris de contentement puis son excitation monta crescendo : elle ondula d’abord des hanches puis m’aida à faire disparaître sa petite culotte qui pendouillait maintenant sur sa cheville. Le rythme des râles féminins doubla d’intensité quand ma bouche et ma langue alternèrent leurs actions sur le bouton rose durci.

Je sentais physiquement Solange au bord d’un petit orgasme et, instinctivement, je lui enfilai délicatement mon gros index, bien au fond de son petit trou du cul. Elle poussa un feulement étouffé, bloqua ma bouche sur son clitoris tendu, agita son large bassin contre mon visage et rafraîchit ma langue d’un liquide acide et suave. Solange savourait sa petite éjaculation sans aucune honte. Elle m’intima même l’ordre de continuer à lécher sa chatte enflammée.


Elle m’accorda un court instant de récupération et en profita pour faire, au moyen de la culotte en satin, une rapide toilette de sa chatte béante. Elle m’entraîna ensuite dans la chambre conjugale en me demandant d’utiliser le préservatif qui apparut magiquement dans sa main ! Les restes d’un croissant et des pots de confitures et de miel occupaient un plateau posé sur la table de chevet.

Solange tint absolument à me dévêtir elle-même en parcourant mon corps de petits baisers baveux. Je fis de même avec son chemisier et son soutien-gorge. Solange m’imposa de suite de goûter les épaisses tétines de sa poitrine un peu affaissée, et avoua qu’elle aimait beaucoup qu’on lui caresse et lui tripote la poitrine. Elle se montra très satisfaite et n’opposa aucune résistance quand je la fis se placer en travers du lit et à quatre pattes. Elle ne joua pas à la pudique outragée quand je lui enfilai mon sexe dans la bouche en m’amusant à balancer ses mamelles qui dansaient comme les balanciers d’une horloge comtoise. Sa petite main commença un massage délicat de mes bijoux de famille alors que sa bouche redoublait d’activité. Savourant cette divine fellation, j’entendis à peine le message d’accueil du répondeur téléphonique… et Solange encore moins. Ce ne fut qu’après des hurlements du mari dans le haut-parleur que ma partenaire, les lèvres humides, daigna se diriger vers le combiné et le décrocher.


Quand son cher époux lui demanda des comptes sur son retard, elle lui répondit qu’elle était occupée à faire une pipe au voisin ! La plaisanterie ne fut pas du tout du goût de monsieur. Fort en colère, ce dernier lui ordonna sèchement d’enregistrer les infos du soir de FR3, car ses copains supporters et lui avaient été interviewés à l’entrée du stade.

Maintenant assise dans le fauteuil qui faisait face à une commode débordant de produits de beauté, Solange prenait en note les instructions d’utilisation du magnétoscope transmises par le mari excédé de son ignorance.

Ma perversité chronique se réveilla à nouveau… Le sexe raidi et protégé du préservatif à la framboise, je m’approchai de l’épouse docile pour lui saisir les mollets et les déposer sur chacun des accoudoirs du fauteuil. Les cuisses béantes, elle émit un sourire pervers quand mon sexe la pénétra lentement et étouffa un petit cri de bonheur dans le téléphone. Je ne savais pas ce qui la ravissait le plus : ma queue qui glissait bien au fond de sa chatte moite ou le fait de s’envoyer en l’air alors que le mari cocu continuait à égrener ses instructions rigoureuses. Bien après que notre supporter eut raccroché, mon membre était toujours bien gorgé de sang, mais l’éjaculation ne se produisit pas… La petite forme peut-être ? Ma partenaire se permit alors, ironiquement, quelques petites réflexions désobligeantes sur ma virilité.


Solange s’en mordit les doigts quand, ayant sorti mon membre de sa fente béante, je la retournai sans ménagement sur le fauteuil et lui introduisis à l’intérieur de l’orifice anal deux doigts trempés dans le pot de miel voisin. Solange protesta et insista sur le fait que ce n’était ni très convenable ni dans ses habitudes… à moins… qu’une compensation financière idoine vienne alléger sa bonne conscience. Sidéré de cette proposition inattendue, je restai figé et désappointé, ne sachant comment réagir.

Assise sur la moquette, Solange m’expliqua, le plus naturellement du monde, que j’étais certes bien gentil, mais qu’à mon âge il ne fallait plus croire au père Noël ! Cela lui semblait évident que les privautés qu’elle m’accordait étaient forcément payantes. Sans la moindre gêne, ma partenaire m’expliqua que la caissière de supermarché qu’elle était ne pourrait jamais économiser assez pour s’offrir le voyage dont elle rêvait depuis l’adolescence. Elle tint même à me préciser, naïvement, que les messieurs d’un certain âge qui avaient bénéficié de ses faveurs s’étaient montrés satisfaits de sa prestation et donc généreux…

J’étais sur le cul…

Solange se permit alors de railler mon avarice tout en se réinstallant à genoux sur la moquette. Elle ouvrit largement ses cuisses avec les mains, la croupe grand ouverte :



Vexé, mais presque convaincu de participer à une bonne oeuvre, mon membre impatient me suggéra de passer outre mes principes. Je m’introduisis donc dans le trou du cul de Madame-la-reine-des-entourloupes en négociant, fermement quand même, un petit bonus qu’elle accepta de très mauvaise grâce. Solange se montra discrète : de petits râles de douleur se mêlaient à de petits cris de satisfaction. Un « waoouh » de soulagement (ou de bonheur) se joignit à mes halètements quand un million de spermatozoïdes inonda le fond du préservatif. Solange ne fit aucun commentaire mais elle se montra manifestement contente d’avoir pu me satisfaire (la conscience professionnelle sans doute…).


Après des ablutions rapides, je lui rappelai le petit bonus qu’elle m’avait promis (pour 150 €, j’avais bien le droit de réaliser un vieux phantasme de voyeur chronique !). Sur mes directives, Solange escalada les rebords de la baignoire et installa tant bien que mal un pied de chaque côté de la largeur. Elle surplombait maintenant, de son mètre soixante-dix, la cuve en faïence. Son gros pipi produisit un jet aussi abondant que celui d’une génisse. Il jaillit de sa toison encore perlée de gouttes d’eau en formant un grand arc de cercle et rebondit sur le fond de la baignoire (l’émail bleu azur ne sembla d’ailleurs pas outragé par cette humiliation incolore mais très sonore). La cascade qui sortait de sa touffe hirsute avait des allures amazoniennes. Solange, les yeux fermés, ne me vit pas monter à ses côtés et poussa un hurlement quand elle sentit un gros pipi masculin s’écouler entre ses cuisses. Elle me traita de porc fétide, se retourna humiliée et inonda mon sexe d’eau glacée en vociférant sa haine.


On se sépara quand même bons amis, mais elle refusa énergiquement l’éventuelle seconde rencontre libidineuse que j’eus la hardiesse de lui proposer : Solange s’en tenait, depuis cinq ans presque, à une parenthèse lucrative occasionnelle dans sa vie de bobonne au foyer et refusait d’entretenir une relation suivie avec le même partenaire.



Comprenne qui pourra !


« Le discours de la femme est imparable car profondément illogique… »