n° 09568 | Fiche technique | 25531 caractères | 25531Temps de lecture estimé : 15 mn | 17/08/05 |
Résumé: Je rencontre la soeur d'une de mes copines avec laquelle je vais vivre une aventure sous la douche. | ||||
Critères: fh hplusag jeunes douche volupté facial fellation cunnilingu nopéné init | ||||
Auteur : Lux magic (J'adore donner du plaisir) |
Voilà. Enfin je me suis décidé à partager cette histoire… ce récit. Bien que cela se soit passé il y a quelques années, je me souviens encore de chaque seconde comme si c’était hier… et cette aventure restera gravée à tout jamais dans ma mémoire.
On était en plein mois de septembre. Je venais tout juste de reprendre le travail que Dany, une de mes copines, m’appela. Elle insistait pour que je passe chez elle ce soir. Dany était une ancienne copine de classe avec qui j’avais gardé de bons contacts. Elle profitait du départ imprévu de sa mère pour la côte belge pour organiser une raclette-party.
Elle savait très bien que je n’aimais pas du tout qu’on me traite de lavette et que je ne l’acceptais pas, surtout pas venant d’elle. Après de longues minutes de discussion, j’acceptai son invitation non sans lui promettre que je ne resterais pas tard, compte tenu également des autres invités que je n’appréciais pas énormément.
Le soir venu, je sonnai à sa porte. C’est Dany qui m’ouvrit. Je luis fis la bise et me pressai dans sa cuisine d’où j’entendais les discussions des invités déjà présents. On était onze personnes. La soirée débuta avec un apéro assez arrosé et on passa à table après une bonne heure. Dany m’expliqua qu’en fait elle voulait attendre le retour de sa sœur pour qu’elle puisse se joindre à nous, mais comme elle tardait à venir on allait quand même passer à table. Sa sœur Corinne était de plus de douze ans ma cadette et venait de fêter ses dix-huit ans depuis quelques jours.
À peine venait-on de passer à table qu’on entendit la porte d’entrée s’ouvrir. Dany, tout de suite, s’exclama :
Corinne entra dans la salle à manger après avoir fait quelques pas ; quelle agréable surprise ! Plus rien à voir avec la petite fille que j’avais gardée en mémoire ! Corinne faisait à peu près un mètre soixante-dix, elle avait de beaux cheveux noirs et lisses jusqu’aux épaules et surtout elle avait de magnifiques grands yeux noirs. Elle portait un short très moulant, car elle revenait de son entraînement de volley, et un t-shirt près du corps rouge qui, vu son corps magnifique, ne me laissa pas indifférent. Elle fit la bise à tout le monde et se mit à table avec nous.
Très vite, on refit connaissance et après quelques minutes on se taquinait et on rigolait ensemble comme si l’on se connaissait depuis longtemps. Au cours de la soirée, je discutai longuement avec elle et son sourire à chaque fois qu’on rigolait sur des conneries me faisait fondre. On sortit souvent tous les deux pour fumer une cigarette. De dehors, on entendait Danny, sa sœur, rigoler comme une folle avec les autres invités. Corinne me dit qu’elle était sûre que Dany était déjà bien arrangée…
Quelques heures plus tard tout le monde partait en même temps. J’avais proposé à Dany de l’aider à tout ranger, et comme effectivement je voyais qu’elle était bien soûle, je me dis que je n’allais pas laisser Corinne se taper le boulot toute seule. On commença donc à ranger. Je me mis à la plonge pour laver la vaisselle. Dany était une vraie chipie, elle s’amusait tout le temps à me mouiller en trempant sa main dans le lavabo pour m’asperger. Chaque fois que Dany me faisait cela, Corinne attrapait un fou-rire. Alors, pour me venger, je pris une assiette à soupe qui était plongée dans le lavabo et la sortit d’un coup, alors que Dany était juste à côté de moi. Elle se retrouva le haut complètement trempé au beau milieu de la cuisine. Ce fut le point de départ d’une incroyable bataille d’eau à laquelle Corinne n’hésita pas à participer.
Cette rigolade dégénéra vite. Nous nous retrouvâmes tous les trois à nous arroser de tout ce qui nous tombait sous la main. Moi, personnellement, je pris vite goût à mouiller Corinne qui portait un t-shirt rouge sans visiblement rien en dessous. Cinq minutes plus tard, on était tous bien trempés et c’est en sortant fumer une nouvelle cigarette que Corinne et moi avons vraiment remarqué que Dany était complètement soûle et qu’elle avait bien du mal à se tenir debout.
Soudain, Dany s’emmêla les pieds et tomba. Sa tête heurta le sol en résonnant sur toute la terrasse. Paniqués, nous la retournâmes. Elle venait de se faire une belle bosse sur la tête, mais éclata de rire quand elle vit nos têtes effrayées. Elle ne devait sûrement plus rien sentir avec la quantité impressionnante d’alcool qu’elle avait consommé tout au long de la soirée. Quelques minutes plus tard, Corinne et moi la mettions dans son lit. Elle s’opposa pendant une dizaine de minutes, mais nous réussîmes à la calmer et à la convaincre de dormir un peu… il était temps car l’horloge affichait déjà quatre heures du matin.
Après, Corinne et moi retournâmes nettoyer le chantier dans la cuisine. La fatigue se faisait sentir. Moi aussi j’avais bien arrosé la soirée. En fait, tout le monde avait bien bu. En plus j’étais tout collant et je ne voulais pas rentrer dans cet état. Nous avions juste fini de ranger que je demandai un truc que jamais je n’aurais demandé dans un état normal…
Et là je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui dis spontanément :
Elle prit quelques secondes à me répondre, des secondes qui m’ont paru interminables… et enfin sa réponse retentit :
Dès cet instant, je commençai à m’imaginer ce que ce serait d’être sous la douche avec elle. Bien qu’au cours de la soirée j’avais pu remarquer sa beauté irréprochable, à aucun moment je n’avais pensé à cela, ni même imaginé quoi que ce soit entre nous. Et maintenant, cette fille magnifique de douze ans ma cadette allait venir avec moi dans la salle de bains pendant que je prendrais ma douche. Corinne partit quelques secondes et réapparut dans la cuisine, une serviette à la main.
Pendant que je la suivais dans le couloir, je me rendis compte qu’elle avait une taille d’enfer. Mais surtout elle avait des fesses à faire mourir d’une crise cardiaque celui qui les toucherait. Et elle n’avait que dix-huit ans. Mon dieu, il fallait que je me chasse toute idée de la tête.
Arrivée à la salle de bains, elle me montra la douche d’un geste rapide et marcha un peu plus loin de l’autre côté du mur carrelé de la douche. Faisant comme si j’étais tout seul dans la salle de bains, je me mis à me déshabiller, avec beaucoup de mal bien sûr. Corinne, qui s’était assise sur les WC, détourna le regard, gênée par mon strip-tease. Je m’aperçus quand même que son regard était tourné vers la fenêtre de la salle de bain qui renvoyait mon image, si bien qu’elle ne ratait aucun de mes gestes. Il ne me restait plus que mon caleçon que j’enlevai tant bien que mal en me tenant au lavabo. Je lançai alors un regard vers la fenêtre et mes yeux croisèrent ceux de Corinne. Toute rouge, elle s’empressa de regarder par terre.
Enfin complètement déshabillé, je m’avançai vers la douche. Le premier jet d’eau me fit beaucoup de bien. Pendant que je me lavais, je discutais avec Corinne que je ne voyais plus car la douche était séparée des WC par un mur carrelé qui cependant n’arrivait pas jusqu’au plafond.
Prenant mon courage à deux mains, je lui lançai :
Déjà j’étais assez surpris de sa réponse car elle n’avait même pas l’air choquée par ma proposition. Elle me répondit comme si je venais de lui proposer de boire un verre avec moi.
Corinne mit quelques secondes à trouver une réponse et me lança alors :
Je continuai à lui répéter de venir prendre une douche sans plus trop y croire jusqu’à ce qu’elle me dise :
Là je faillis avoir un arrêt cardiaque. Elle venait d’accepter de prendre une douche avec moi… Aussitôt les images se bousculèrent dans ma tête et j’imaginai déjà Corinne, nue, à mes côtés. Je ne tardai pas à avoir une bonne érection, rien qu’en y pensant. Je tournais le dos à l’entrée de la douche pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
Ne voulant pas trop la taquiner à cause de cette dernière phrase, je lui lançai :
Je me disais que, pour elle, le fait de venir dans cette douche avec moi relevait déjà de l’exploit, moi qui étais de douze ans son aîné et elle qui s’apprêtait sûrement à vivre la première expérience coquine de sa vie…
Comme l’eau coulait, je ne pouvais pas entendre si Corinne était en train de se déshabiller ou non. Ce n’est que lorsque la lumière s’éteignit que j’y crus vraiment. Mes battements de cœur s’accéléraient et, faisant mine de rien, je continuais à faire semblant de me laver. Peu à peu mes yeux s’habituèrent à la lumière et j’aperçus une silhouette à mes côtés. Comme on était en plein été la lumière extérieure éclairait assez bien la salle de bains.
Très vite je commençai à distinguer ce corps de jeune fille, nu, à mes côtés. Je n’en pouvais plus, j’avais une énorme érection. Je commençais à distinguer son visage d’ange, ses seins, son ventre plat. Dommage… j’avais du mal à distinguer tout ce qui était plus bas. Timidement, je lui dis :
Elle avança et, lors de son mouvement, sa hanche ou ses fesses effleurèrent mon membre qui est devint encore plus dur. Mon Dieu, quel supplice, et quel délice en même temps ! Et puis, sans me répondre, elle vint se placer devant moi entre le robinet de douche et moi, mais resta le dos tourné.
Prenant mon courage à deux mains, j’attrapai le savon et me mis à lui laver le dos. Elle eut d’abord un geste de surprise, mais elle ne se défendit pas. Lentement, je lui passai le savon sur le dos, remontant jusqu’à ses épaules, d’un côté à l’autre. Puis je descendis à nouveau vers le bas, lentement. Arrivé au creux du dos, je remontai par de lents mouvements vers les épaules. Corinne avait un corps magnifique, je ne pouvais m’empêcher de fixer ses fesses, fermes et bien rebondies. Après plusieurs passages jusqu’au creux du dos, j’osai descendre plus bas, je commençai à lui passer du savon juste là où naissaient ses fesses, puis encore plus bas, jusqu’à les palper complètement des deux mains. J’étais au bord de l’extase.
J’entendais la respiration de Corinne devenir de plus en plus forte et, sachant qu’elle venait d’accepter que je touche ses fesses, je ne voulais pas m’arrêter là. Je remontai avec mes mains tout en laissant tomber le savon. Mes mains allèrent jusqu’au dos et là je recherchai ses seins. Quand mes mains les englobèrent et se mirent à les caresser, sa respiration devint encore plus rapide. D’elle-même, elle tourna la tête en arrière, la bouche entrouverte, la respiration haletante. Ma réaction fut de m’approcher et de l’embrasser à pleine bouche. Ce fut comme une décharge électrique car, lorsque je touchai sa bouche, le reste de mon corps se colla à son jeune corps nu. Je sentis mon membre glisser dans la raie de ses fesses pour se positionner tourné vers le haut contre le bas de son dos. Je serrai Corinne très fort contre moi, agrippant ses seins à pleines mains, me collant tout fort contre elle et mélangeant ma langue à la sienne.
Corinne commença à frotter ses fesses contre moi. Elle sentait sûrement mon sexe sur ses fesses gonfler à chaque mouvement. Je commençai alors également à faire de légers mouvements du bassin, descendant avec mon membre le long de ses fesses jusqu’au milieu et remontant aussitôt. Je n’en pouvais plus, je croyais que j’allais éjaculer tout de suite.
Je marquai donc un temps d’arrêt. Je pris Corinne par les épaules et la retournai de façon à pouvoir la regarder dans les yeux.
Et je l’embrassai à nouveau. Nos corps se rapprochèrent encore. Cette fois-ci, je sentis ma poitrine contre la sienne et je sentis mon membre toucher ses poils pubiens. Je massai ses fesses pendant que nous nous embrassions et Corinne entoura mon dos de ses bras.
Ensuite, je me dégageai de sa bouche, l’embrassai sur les joues et descendis le long du cou jusqu’à ses épaules. Mes lèvres la couvrirent de bisous ; arrivé à sa poitrine, j’en profitai pour lécher le bout de ses seins qui étaient déjà très durs. Corinne soupirait. Ma langue fit le tour, puis se mit à descendre le long de son ventre. Corinne me caressait à présent les cheveux. Ma langue continuait sa descente. Arrivée au nombril, elle se mit à faire des cercles autour. Je lui fis encore quelques bisous sur le nombril et autour avant de m’agenouiller devant ce corps si jeune, nu, offert à ma langue. Corinne en profita pour fermer l’eau de la douche.
Je me plaçai devant elle, admirant sa toison peu fournie, magnifique zone interdite que j’avais envie d’aller explorer. Lorsque je m’approchai à nouveau d’elle, Corinne me repoussa légèrement la tête.
Je lui souris et la forçai d’un mouvement de tête à me libérer le passage. Mes mains lui prirent à nouveau les fesses pour les caresser.. Je nichai ma bouche entre ses cuisses, là où la peau est la plus douce…D’abord, je lui fis des bisous, puis je sortis la langue de ma bouche pour la faire glisser de haut en bas. Le corps de Corinne trembla aussitôt.
Ma langue monta légèrement, frôlant la frontière entre sa peau et son pubis. Elle fut électrisée. Elle plongea aussitôt les deux mains dans mes cheveux et lâcha un long râle. Ma langue continua son exploration. Elle s’aventura sur ses poils pubiens, se dirigeant de plus en plus vers le centre, là où ses lèvres intimes inexplorées l’attendaient. Je sentis sous ma langue ses lèvres gorgées de plaisir. Corinne commença à émettre des petits cris sensuels. Mon érection était à son paroxysme. Elle m’excitait, je réalisais l’inimaginable ; je plongeai ma langue entre ses lèvres qui aussitôt s’ouvrirent comme une fleur. Je la léchai tout le long, de chaque côté, Corinne lâcha des cris de plus en plus longs. Je lâchai ses fesses, me positionnai encore plus près d’elle. Mes deux mains plongèrent au milieu de ses hanches et vinrent l’enlacer, une de chaque côté. Corinne écarta machinalement les jambes et poussa ma tête encore plus contre elle. Mes lèvres touchèrent ses lèvres intimes, ma langue la pénétra profondément. Elle laissa échapper un long cri.
Je voulais aller encore plus en elle, je soulevai ses hanches et les fis passer sur mes épaules. Corinne était plaquée contre le carrelage de la douche. Ses pieds ne touchaient plus le sol. Ma tête s’enfouit encore plus entre ses jambes. Je tirai ses hanches vers moi, ma langue était maintenant profondément en elle, je la fis aller et venir, me servant d’elle comme d’un sexe qui la pénétrait de plus en plus vite. Corinne bougea sur moi, elle claqua son pubis contre ma bouche à un rythme diabolique, elle tira sur mes cheveux, elle respira comme si elle était en train de suffoquer. Ma langue la baisa, la pénétrant à chaque fois plus profondément, mes lèvres étaient collées aux siennes. Soudain, n’en pouvant plus, elle se crispa. Son corps se tordit, elle s’étira en écrasant ma tête tellement fort contre son sexe que j’eus l’impression d’être englouti. Elle cria un interminable « Ooohh ». J’essayai de garder ma langue le plus profondément possible dans son sexe. Je sentis un liquide s’y répandre, je le bus. Quelle merveilleuse sensation, quel foudroyant orgasme ! Je bus tout le liquide abondant qui coulait de son puits d’amour. Son râle s’estompa, Corinne reprit lentement ses esprits. Dès que Corinne eut ouvert les yeux, je me dégageai de ma prison de chair. Elle descendit de mes épaules et je me levai pour venir l’embrasser à pleine bouche.
Avant que j’aie pu lui répondre, elle s’était agenouillée devant moi.
Un ange était là agenouillée devant moi. Est-ce qu’elle allait me faire une pipe ? Mon excitation était énorme. Mon membre dressé et au plus haut de sa forme pointait là, devant ce visage si innocent. Ce furent mes bourses pleines qu’elle agrippa en premier des deux mains. Elle les caressa lentement comme s’il s’agissait de grenades prêtes à exploser. Ses mains remontèrent ensuite chercher la base de mon membre. Elle passa lentement ses paumes le long de ma tige. Mon dieu, je crus que j’allais éjaculer sur-le-champ. Puis, enserrant délicatement mon membre elle le décalotta très lentement. Je sentis mes veines palpiter sous ses doigts. Elle commença un léger mouvement de va-et-vient. Ma respiration s’accéléra…. Soudain sa bouche inexpérimentée s’approcha de mon gland. Après une ultime hésitation, Corinne posa les lèvres sur le bout de mon gland et, tout doucement, l’avala en entier. Elle le laissa s’échapper puis le reprit, plus profondément cette fois-ci… Le mouvement s’amplifia, s’accéléra… Avec mon sexe, je caressais le fond de sa langue, puis sa gorge, puis ses lèvres, sa langue, ses lèvres, sa langue… Je faillis de nouveau éjaculer sur-le-champ et perdre l’équilibre en même temps. Heureusement que, juste devant moi, je pus poser les mains sur le mur carrelé de la salle de bains.
J’entendais les bruits de succion, Corinne m’honorait d’une pipe magistrale. Ses lèvres allaient et venaient le long de mon membre. Elle tenait ma tige de ses deux mains qui le recouvraient ainsi tout du long. Ses lèvres englobaient mon gland et je sentais sa langue le parcourir. Je devenais fou, j’étais excité comme jamais je ne l’avais été auparavant. Machinalement, je commençai à bouger mon bassin. Mon membre allait et venait dans cette bouche adorable. Corinne continuait à étreindre mon sexe de toutes ses forces. Je bougeais dans sa bouche, toujours plus profondément, je baisais carrément sa bouche. Elle avait du mal à respirer, elle essayait de reculer car mes pénétrations se faisaient de plus en plus profondes. Sa tête toucha le mur derrière elle. Elle ne pouvait plus se dégager. Je bougeais de plus en plus vite. Corinne faillit à chaque fois s’étouffer, mon membre occupait toute sa bouche. Je sentais que mon membre tapait à chaque pénétration le fond de sa gorge.
Je sentais que j’allais exploser. Ce traitement était top bon. Je sentais cette lave monter du fond de mes entrailles. Mes mouvements se faisaient de plus en plus rapides. Juste au moment où je donnais à nouveau un mouvement de bassin vers l’avant pour bien faire aller mon membre tout au fond de sa gorge, mon sperme monta le long de mon sexe, et soudain un énorme jet frappa le fond de la gorge de Corinne. Je perdis l’équilibre tellement mon plaisir était intense. Corinne, sentant mon sperme tapisser sa gorge, me fit de grands yeux, avec une expression de surprise. Elle essayait de me repousser, de me sortir de sa bouche. C’était trop tard, le mal était fait. Comme je perdais l’équilibre, je vins en une fraction de seconde taper contre le mur d’en face. Je ne pus m’empêcher de continuer à éjaculer dans sa gorge. Elle fut forcée d’avaler le premier et le second jets de sperme, tous deux incroyablement puissants et abondants. Elle tentait de se dégager, plaquant ses deux mains contre mon ventre et tentant de me repousser en arrière. Reprenant pied après les deux premières giclées, je m’écartai en prenant appui sur le mur. Mon membre sortit complètement de sa bouche. Aussitôt un quatrième jet vint s’écraser sur son visage. Corinne avait les yeux fermés et essayait de diriger mon membre dans une autre direction, mais elle n’arrivait pas à l’attraper. Elle était aveuglée par la quantité de sperme. Mes giclées avaient été énormes et recouvraient son visage. C’est un visage maculé de sperme que je découvris agenouillé devant moi.
Corinne avait les larmes aux yeux lorsqu’elle les ouvrit, elle respirait très fort, comme si elle avait passé des minutes entières sous l’eau. Je la regardai d’un air désolé. Je savais qu’elle était choquée de la tournure de ma jouissance. Les longues giclées de sperme dégoulinaient sur son visage et je lisais dans ses yeux comme du dégoût.
Après un moment de discussion, elle se calma. En fait, elle avait peur de tomber enceinte ou d’attraper le sida. Pour elle, avaler était une chose à laquelle elle n’avait jamais songé. Mais, finalement, elle me confia que le plus important avait été de me faire jouir aussi fort que je l’avais fait jouir.
Pendant qu’on parlait, elle me caressait, et moi de même. Très vite nous fûmes à nouveau excités.
La suite est une autre histoire… je vous la raconterai après avoir reçu vos commentaires.