Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09569Fiche technique18201 caractères18201
Temps de lecture estimé : 11 mn
18/08/05
Résumé:  Thierry me fascine, mais je lutte. Et je vais céder...
Critères:  fh extracon collection photofilm fellation nopéné
Auteur : Laure1      
Comment j'ai cédé...

Je m’appelle Laure, j’ai vingt-neuf ans. Je suis mariée avec Pierre qui a deux ans de plus que moi. Nous nous sommes connus à la fac et il y a six ans que nous sommes mariés. Je suis follement amoureuse de lui ; une tendresse et une affection sans limite nous ont toujours unis et je lui ai toujours été fidèle. Jusqu’à cette année…


En mars dernier, il a commencé à me parler de Thierry, le nouveau directeur de la boîte où il travaille. À l’entendre, ce mec était génial, autodidacte, il avait créé en Nouvelle-Zélande une boîte qu’il avait revendue, faisant de lui un millionnaire en euros à trente-cinq ans. Au début, ça me gonflait d’entendre toujours parler de ce mec, riche, intelligent et qui, d’après Pierre, se faisait toutes les filles qu’il voulait. Pierre et moi vivons dans un soixante mètres carrés dans le quinzième à Paris et je n’avais pas l’impression que cet homme appartenait à notre monde. L’influence qu’il pouvait avoir sur Pierre m’effrayait un peu. Puis ils se sont mis à jouer au squash ensemble. Et, un samedi matin, Thierry a sonné à la porte pour venir chercher Pierre…


J’ai ouvert et ça a été un choc, une vague de chaleur m’a envahie… Il mesurait 1 mètre 85, athlétique, brun, des yeux bleus, profonds ; il portait un costume, une chemise et des chaussures très classe qui lui allaient merveilleusement bien… Il m’a souri :



Je n’ai pas pu répondre, j’ai rougi et j’ai appelé Pierre d’une voix vacillante. Pierre est apparu, a pris son sac de sport, m’a embrassée et ils sont partis.


J’ai fermé la porte et je me suis affalée sur le canapé… Jamais je n’avais été troublée ainsi par un homme. Il était si différent de Pierre… Pierre mesure 1 mètre 75 pour 70 kilos – il s’est un peu laissé aller depuis le mariage et je lui en fait quelquefois le reproche. Il s’habille plutôt en jean et camper. Moi je suis brune, les cheveux mi-longs, je mesure 1 mètre 67 pour 53 kilos, plutôt « bien foutue » - heureusement, vu les séances de gym que je m’impose – et très féminine.


J’ai passé le reste de la matinée à penser à Thierry ; je n’arrivais pas à me concentrer sur quoi que ce soit. Puis Pierre est rentré et notre vie amoureuse a repris le dessus, doucement, paisiblement… jusqu’au mercredi soir suivant où, en rentrant, Pierre m’a annoncé que l’on était invité chez Jérôme (un collègue de Pierre) et Christelle le samedi suivant et que Thierry serait là lui aussi. Les deux jours qui ont suivi ont été un enfer, j’ai couru les magasins pour me trouver une tenue qui soit à la fois sexy et suffisamment neutre pour ne pas éveiller l’attention de Pierre.



Le samedi soir, lorsque nous arrivons, Thierry est déjà là et, à nouveau, cette chaleur dans mon bas-ventre en le voyant. Il me fait la bise. J’adore le parfum qu’il porte. Quant à moi, je suis habillée en escarpins, collants, jupe serrée grise et un chemisier court suffisamment ouvert pour laisser deviner la naissance de mes seins prisonniers d’un soutien-gorge noir en dentelle.


Je n’ose pas regarder Thierry de la soirée, cependant je sens qu’à chaque fois que nos regards se croisent, je rougis et je détourne le visage. Il parle beaucoup, raconte ses multiples aventures professionnelles… Il est fascinant… inaccessible… je vis un supplice. Puis, juste avant de partir, alors que je me rafraîchis les mains dans la salle de bains, il s’approche de moi par derrière, pose ses mains sur mes bras, me fixe dans la glace au-dessus du lavabo et me dit à l’oreille :



Puis il se retire sans rien dire d’autre. Mon cœur s’emballe, je sens mon sexe devenir moite, mes jambes flageolent. Je prends appui sur le lavabo pour récupérer. Pierre me voit et me demande si ça va. Je lui réponds que j’ai un peu trop bu. Il m’enlace et m’embrasse. Je l’aime. Nous rentrons. Il me fait l’amour ; je ne jouis pas – comme d’habitude. Il s’endort en me prenant dans ses bras. Je n’arrive pas à dormir, Thierry me hante, je me rappelle ses mots… Que va-t-il se passer ? J’ai peur… pas prête à ça…



Deux semaines passent, les choses reprennent leur cours normal et j’en suis soulagée. Pierre part en mission à Lyon mercredi et jeudi. J’ai décidé d’en profiter pour aller au ciné le mercredi soir avec une copine. En rentrant le mercredi à 18h00, je m’aperçois que le voyant du répondeur clignote. Je décroche le combiné et j’écoute :



Mon cœur à nouveau s’emballe. J’ai rendez-vous avec Sandrine à 20h00, je fais quoi ? Je suis perdue. Le téléphone sonne, je ne bouge pas. Le répondeur se met en route.



Je décroche précipitamment.



On parle dix minutes. Je ne lui parle pas du message de Thierry. Il me dit qu’il m’aime, moi aussi. Son coup de fil ne m’a pas apaisée. 18h45. Je prends le combiné :



Puis, je compose le numéro de Thierry :



Même sa voix me rend folle.


Je me fais un gommage du corps. Je prends un bain moussant. Je me lave les cheveux. Je me passe une crème hydratante sur la peau et je vais dans la chambre choisir ma tenue. Culotte brésilienne en dentelle noire, soutien-gorge assorti, Dim-up, jupe mi-longue moulante en haut et qui s’évase au niveau du genou, chemisier cintré décolleté, paire de bottes. Parfum… Lolita Lempica… Je me regarde… « bandante »… Je suis prête.


23h45. Il arrive. Toujours aussi séduisant. Une Jaguar, j’adore. On parle peu. On arrive à la boîte dans le onzième. Parking privé. On rentre. Les videurs le connaissent. Une table nous attend. Une dizaine de ses amis (hommes et femmes) sont déjà là. Il me présente :



Quelques rires, quelques sifflets. Je suis très gênée, je rougis, honteuse. Je pense à Pierre que j’aime, mon cœur. Thierry me fait asseoir à côté de lui. Il pose une main sur mon genou. Et me parle à l’oreille. Il m’explique ce que font ses amis… essentiellement des financiers. Je me sens un peu mal à l’aise. Un de ses amis m’invite à danser. Ambiance latino. Les autres nous suivent. Les morceaux se succèdent. Les couples tournent, je danse avec tout le monde sauf Thierry que je ne quitte pas des yeux et qui danse sans discontinuer avec une fille d’une vingtaine d’années. J’enrage… quel salaud ! Au moment où je retourne à la table, prête à rentrer en taxi, il me saisit par le poignet :



Je me laisse faire. Il m’attrape par la taille de la main droite, l’autre au milieu de mon dos. Il me serre contre lui en me fixant toujours. Il me rend folle. Je m’accroche à son cou. Le rythme s’accélère. Sa cuisse se place entre les miennes. Sa main droite descend sur mes fesses. Il me fixe toujours. Je suis comme paralysée. Je sens son sexe bandé contre mon ventre. Sa main pétrit mes fesses. J’aime. Je me frotte contre sa cuisse, contre son ventre. Je mouille. Je cache ma tête dans le creux de son épaule. Je me frotte de plus en plus fort. J’aime sa main. Je vais jouir au milieu de la piste de danse. Je sens le plaisir envahir mon ventre. J’enfonce mes ongles dans ses épaules, je mords son épaule pour ne pas crier. Je jouis. Il me prend la main et m’amène au bar. Il me commande un mojito. Sa main caresse mon visage.



Je hoche la tête sans répondre, je suis rouge de honte. Je n’ose plus regarder qui que ce soit.



Sans un mot, il me reconduit. Je regarde par la vitre tout au long du trajet. Je pense à Pierre. Il me laisse devant la porte de l’immeuble.



Je descends sans le regarder, honteuse.


J’ouvre la porte de l’appartement. Je me dirige vers la chambre. Je m’effondre sur lit en fondant en larmes. Je reste comme ça pendant une heure à pleurer.


Le lendemain matin, jeudi, je suis épuisée et terrorisée par le retour de Pierre. Dois-je lui avouer ma faute ? Si je ne le fais pas, Thierry lui racontera-t-il notre aventure ? Je suis dans un tel état que je suis incapable d’aller travailler. Je téléphone au boulot pour dire que je suis malade. Je reste au lit jusqu’à midi. Pierre doit rentrer vers 17h00. Je choisis de ne rien lui dire. Je parie sur le silence de Thierry. Le soir, je suis adorable avec Pierre. Je lui prépare un petit festin. Il me fait l’amour. J’aime sa tendresse mais je ne jouis pas. Il s’endort. Moi pas. Thierry va-t-il tout lui raconter ?


Le vendredi est interminable. Je rentre vers 18h30, terrorisée. Pierre est déjà là. Il étend le linge. Un bouquet de fleurs est posé sur la table. Comme tous les vendredis soirs.


Je l’aime.


Tout va à nouveau bien. Thierry n’a rien raconté et je n’ai plus eu l’occasion de le revoir. En effet, Pierre n’aime finalement pas la nouvelle mentalité insufflée par Thierry. Pierre songe même à quitter la boîte. Mon boulot me tanne aussi et, par la grâce des trente-cinq heures, je m’octroie une semaine de vacances. Pierre lui n’a pas pu prendre de vacances à cause de retards pris dans un contrat. Je profite de ma liberté pour faire du shopping, voir des copines et préparer des petits plats pour mon amour. C’est le dernier jour de mes vacances, on est vendredi. Il est 10h30. Le téléphone sonne.



Il a raccroché. Tout me revient. Le plaisir pris dans ses bras. Sa façon de me caresser. Son odeur. Tenir bon. Il faut que je tienne bon. Trouver un moyen pour tenir bon. Je décide d’aller au cinéma à 14h00 en bas de chez moi. Je m’habille confortablement. Il fait froid. Un manteau, un pantalon tailleur gris, un pull, des bottines. La séance débute à 14h10. Je m’installe. Il n’y a pas beaucoup de monde. 14h25, le film commence. 14h35, je sors de la salle. Je me précipite vers la station de métro. Mon cœur bat la chamade. 15h10. Je sonne. Il m’ouvre.



Il porte un pantalon de costume et une chemise ouverte sur son corps musclé. J’adore.



Je luis obéis.



Il s’approche de moi. Il me prend par les cheveux, les tire légèrement en arrière. Sa bouche approche la mienne. Ses lèvres se posent sur les miennes. Mes lèvres s’ouvrent. Sa langue pénètre ma bouche, viole ma bouche, caresse ma langue.



Il me prend par la main, me dirige vers le coin salon : deux canapés et un ensemble hifi-vidéo. Il met en marche la télé et un caméscope. Il s’installe dans un canapé.



Je luis obéis. Mes mouvements sont reproduits en direct sur l’écran de la télé. Je porte un soutien-gorge blanc en dentelle. Il sourit, me regarde. Je rougis. Il me fixe.



Son ordre a pour effet de rétablir un semblant d’équilibre. Je me rends compte de la stupidité dont j’ai fait preuve en venant ici.



Je remets mon pull. Il se lève brusquement pour m’en empêcher.



Il me bâillonne avec sa main. J’essaie de résister.



Je sens toute sa force, sa virilité. Sa main me caresse à travers mon pantalon.



Je mouille. Je suis en train de m’avouer vaincue. Il le sent. Doucement, il retire sa main de ma bouche. Il m’embrasse, me lèche l’oreille, me mords le cou. Il se recule vers le canapé en me tenant les mains.



Il s’assied. Je m’agenouille devant lui. Je le regarde, implorante. Il me sourit.



Il descend sa fermeture éclair. Il est nu sous son pantalon. Il extrait son sexe bandé et ses testicules. Il est épilé. Ses testicules me semblent énormes. Son sexe est brun et large ; il doit faire cinq ou six cm de plus que celui de Pierre qui fait quinze cm. Ses veines ressortent sur toute la tige. Son gland est violacé.



Je n’ai jamais aimé sucer mon mari ou mes trois amants précédents, mais je n’avais jamais vu un homme aussi bien fait. Je pose délicatement ma main sous ses testicules ; elles sont si lourdes, si grosses.



Je jette un coup d’œil à l’écran télé qui ne perd pas une miette du spectacle. J’ai l’impression d’être agenouillée devant une statue. J’approche ma bouche de son gland. Je passe ma langue dessus. Ma salive le fait briller. Je jette des coups d’œil à l’écran, je me vois lécher cet homme et je trouve ça terriblement excitant. Je ne quitte pas l’écran des yeux lorsque j’ouvre la bouche pour engloutir son gland. Je sens dans mes cheveux les doigts de Thierry qui m’incitent à le prendre plus en bouche. Je vois un tiers de son sexe dur comme du marbre disparaître entre mes lèvres. J’ai l’impression que je vais étouffer. Je libère le sexe de ma bouche pour lécher les testicules gonflés de mon amant. L’absence totale de poils rend cette caresse que j’ai toujours effectuée par obligation très agréable. Je masturbe lentement le sexe dressé dans ma main en léchant les testicules énormes. Thierry râle de plaisir, ce qui m’excite plus encore. Il me tire sur les cheveux.



Je lui obéis. Son gland envahit à nouveau ma bouche. Ma langue caresse cette énorme boule. Je poursuis doucement la masturbation de sa tige. La main de Thierry sur ma nuque m’invite à accélérer la masturbation au moyen de ma bouche. Ma bouche et ma main vont et viennent sur le sexe dressé. Ma deuxième main masse les testicules que je sens prêtes à éclater. Bientôt je sens la tige être prise de soubresauts. Je veux libérer la tige prête à exploser. Thierry me laisse faire mais, au dernier moment, m’en empêche : seule la moitié de son gland reste dans ma bouche. Deux secondes plus tard, une éternité ! une giclée de sperme gluant vient cogner mon palais, puis une deuxième vient tapisser mon gosier, enfin une troisième et une quatrième se posent sur ma langue. Thierry s’affale sur le canapé, relâche sa pression, ce qui me permet de me dégager.


Toujours à genoux, je pose ma tête sur le canapé. J’essaie de récupérer. C’est la première fois qu’un homme éjacule dans ma bouche. Je n’ai jamais laissé Pierre le faire et il ne m’a jamais forcée. J’ai pris un plaisir inconnu à être ainsi forcée. Thierry caresse mes cheveux. Je ne me suis jamais sentie aussi femme, aussi femelle qu’en ce moment avec le sperme de mon amant plein la bouche. Je m’aperçois que j’ai posé une main sur le ventre de Thierry. Je jette un coup d’œil à l’écran. Deux amants épuisés. Thierry se lève, ferme son pantalon.



Tout à coup, je m’inquiète :



J’enfile mon pull et mon manteau et disparais. Au moment de franchir la porte, Thierry m’attrape par le poignet.



Je prends dans mon sac à main un bout de papier et je griffonne mon numéro.


Dans le métro, assise sur la banquette, je regarde par la fenêtre les murs noirs des tunnels, le goût du jus gluant de mon amant dans la bouche.