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Temps de lecture estimé : 19 mn
20/08/05
Résumé:  Dépucelage en douceur d'une jeune femme par son amant.
Critères:  #initiation fh jeunes amour cunnilingu
Auteur : Alain E  (Alain)      
La première fois

Vivyan lui tournait toujours le dos, face au balcon de la grande chambre. Le cœur battant, elle entendit Tom s’approcher d’elle et sentit qu’il passait ses mains autour de sa taille, la serrant tendrement contre lui. Elle se laissa aller contre son torse musclé et il l’enlaça doucement. Quand elle sentit les lèvres de l’homme sur sa nuque, elle ne put s’empêcher de fermer les yeux et de soupirer d’un air appréciateur. Il embrassait si bien… et ses lèvres, c’était tellement doux… Il continua un instant ses tendres baisers, puis se fit plus entreprenant, l’embrassant avec une passion qu’elle ne lui connaissait pas. D’habitude, il était plus doux avec elle, moins fougueux. Mais cela ne la dérangeait pas, bien au contraire, et elle sentait confusément que quelque chose allait changer cette nuit-là. Elle était tellement bien dans les bras de Tom, en sécurité, et elle souhaitait plus que tout qu’il lui fasse découvrir des horizons encore inconnus…


Vivyan le laissa donc continuer et frissonna sous les embrassades qui parcouraient ses épaules et sa nuque, comme avides de sa chaleur. En même temps, Tom faisait courir ses mains le long de la taille de la jeune femme, lui caressant tendrement les hanches avant de remonter vers sa poitrine. Il explorait les quelques centimètres de son corps qu’il n’avait encore jamais osé toucher, la découvrant avec une joie non dissimulée. Il se rendait bien compte que Vivyan appréciait ses caresses, ce qui ne fit que l’encourager davantage. Il lui caressa alors la poitrine avec une telle passion que Vivyan poussa un gémissement de plaisir. Jamais elle n’aurait pensé que ce soit si bon. Tellement bon…

Plus rien ne comptait pour Vivyan. Seules comptaient les mains de Tom sur ses seins et cette impression si puissante d’amour parfait et de protection totale. Elle ressentit pourtant une bouffée de remords en songeant à Sirius qu’elle trompait depuis déjà plusieurs mois. Mais cette impression fondit comme neige au soleil sous les caresses de Tom. Et puis, avec lui, ce n’était pas la même chose. Elle ne jouait pas la comédie et n’essayait pas de se convaincre. Non, elle l’aimait vraiment. De tout son cœur, de toute son âme…


Tom, de son côté, devenait de plus en plus impatient. Il aimait Vivyan plus que sa vie même et savait bien qu’il faudrait qu’elle soit prête pour lui faire faire le grand saut, mais il la désirait à un tel point ! Jamais il n’avait éprouvé cela pour une femme. Ce n’était plus l’attirance physique de sa jeunesse, non, c’était quelque chose de plus fort, de plus profond. Il avait envie de lui donner du plaisir, d’en avoir en retour et de ne faire qu’un avec elle… Ses mains aux longs doigts s’aventurèrent le long de la fermeture Éclair qui retenait sa robe fendue. Elle était là, contre lui, et il avait tellement envie de…

Soudain, Vivyan, réalisant ce qu’il faisait, eut un petit sursaut et murmura en se tournant face à lui :



Celui-ci arrêta ses baisers de plus en plus passionnés et regarda la femme qu’il aimait plus que tout. Une lueur étrange brillait dans ses yeux noisette et elle semblait avoir pris une grave décision.



Elle croisa le regard si fantastiquement bleu de son amant, et chuchota doucement :



Tom eut l’air passablement surpris :



Vivyan eut un geste impatient de la main :



Oui, il s’en souvenait. Il y a quelques semaines, Vivyan lui avait avoué qu’elle était encore vierge et qu’elle souhaitait attendre un peu avant de connaître sa "première fois". Il avait accepté, comprenant son trouble et sa peur. Mais maintenant…



Elle se rapprocha de lui, sentant son souffle sur ses lèvres nacrées :



Tom l’interrompit en posant un doigt sur sa bouche :



Il la prit dans ses bras et l’embrassa passionnément, glissant sa langue dans sa bouche et effleurant celle de sa compagne.



Il commença à lui caresser sensuellement les hanches sans cesser de la regarder d’un air charmeur. Elle était si bien avec lui, et n’avait plus du tout peur. À présent, ses appréhensions avaient fui, chassées par l’amour de Tom, et elle se sentait prête à faire le grand saut dans ses bras. Elle se laissa aller à la sensation de bien-être qu’elle ressentait et bientôt, enivrée de bonheur, elle sentit une impression étrange lui étreindre le cœur. Soudain, ce fut comme si un feu d’artifice explosait dans sa poitrine. Un vague de désir la submergea de plein fouet, lui coupant le souffle. Jamais auparavant elle n’avait ressenti une telle chose. Elle avait tellement envie de Tom que la tête lui en tournait. Et, à en juger par le regard empli de passion que lui lançait son amant, elle n’était pas la seule à éprouver autant d’impatience.



Vivyan acquiesça d’un signe de tête et, n’y tenant plus, le plaqua contre le mur, à côté de la porte ouverte de la chambre. Elle l’embrassa alors langoureusement en pressant son corps contre le sien. Elle sentit, contre son bas-ventre, que Tom était aussi ardent qu’elle. Elle enfouit la tête dans le cou de l’homme pendant que ses mains s’aventuraient vers ses fesses. Puis elle commença à onduler des hanches, lentement, avec sensualité…



Tom ne répondit pas, la regarda et captura sa bouche pulpeuse en un baiser encore plus vorace et passionné que les précédents, lui faisant pousser un gémissement de plaisir. Elle écarta doucement les lèvres et sentit la langue douce de son amant s’aventurer dans sa bouche, recherchant avidement la sienne. Une décharge électrique lui traversa le corps tandis qu’il effleurait sa langue, la caressant avec une habileté remarquable. Leur baiser dura longtemps, mais ils ne cessèrent de l’approfondir, ne voulant pas cesser cet instant qui n’appartenait qu’à eux. Elle gémit à nouveau quand il lui caressa le bas du dos et enfin leurs lèvres se détachèrent. Tom la fixa longuement, sentant le désir enfler de plus en plus jusqu’à devenir insupportable. Elle se pressa à nouveau contre lui, jouant avec le bouton de son pantalon, et il sut qu’il ne pourrait pas résister plus longtemps à la tentation. Il la serra plus fort contre lui, voulant la sentir toute entière à ses côtés. Enfin, il répondit à sa question d’une voix rauque, enrouée par l’impatience toujours plus forte qu’il éprouvait :



Il glissa une main vers la poignée de la porte de sa chambre et la ferma d’un geste preste, les cachant ainsi au yeux d’éventuels Mangemorts qui n’auraient pas dû se trouver là.



Vivyan s’abandonna alors complètement à son étreinte, heureuse, le désir se faisant chaque instant plus intense. Elle sentit Tom, dont le souffle se faisait maintenant haletant, lui caresser les fesses, et se pressa à nouveau contre lui. Elle rejeta la tête en arrière, se laissant aller à la sensation de bonheur sans limites qu’elle éprouvait, offrant sa nuque aux baisers de son amant. Il ne se fit pas prier et posa ses lèvres tendres à la base de son cou, la piquetant de petits baisers passionnés. Il trouva sans mal les nerfs sensibles de sa gorge et les mordilla tendrement, la faisant frissonner de plaisir et d’anticipation. Le désir lui vrilla à nouveau les reins et une bouffée d’impatience et d’amour se répandit en elle comme une traînée de poudre. Ses mains se promenaient sur le dos de l’homme, le serrant contre elle, cherchant à le sentir davantage. Tom remonta le long de sa gorge virginale et embrassa à nouveau sauvagement sa bouche impatiente. C’en était trop pour elle. Elle en voulait plus, ce n’était pas suffisant…


Toujours plaquée contre le mur de la chambre, soupirant sous les caresses et les embrassades de Tom, Vivyan s’attaqua alors aux boutons de sa chemise noire, les défaisant un à un avec joie. Tom se détacha délicatement de l’étreinte de la jeune femme, fit passer le vêtement au-dessus de sa tête sans laisser le temps à son amante de finir ce qu’elle avait commencé, et envoya la chemise au sol. Il était torse nu, à présent. Les bougies qui éclairaient la pièce soulignaient sa peau plutôt pâle et mettaient en valeur sa musculature souple et avantageuse. Avec ses yeux incroyablement bleus, ses cheveux noirs décoiffés par les étreintes de la jeune femme et sa bouche tendre aux lèvres fines, il était tout simplement sublime. Il se rapprocha alors de Vivyan qui passa ses bras autours de son cou musclé, et ses doigts se posèrent enfin sur la fermeture de sa robe rouge sang. Délicatement, sans se presser, il ouvrit la fermeture, sans pour autant enlever la robe des épaules de Vivyan.

Tom passa alors une de ses mains sous le tissu chatoyant de la robe et commença à caresser le ventre de Vivyan. Celle-ci ferma les yeux pour mieux se concentrer sur ce massage si excitant, sentant les doigts de son aimé sur sa peau mise à nu. Bientôt cependant, Tom, n’en pouvant plus, fit glisser les bretelles de la robe sur les épaules de son amante. L’habit glissa au sol sans un bruit et il put enfin contempler la jeune femme face à lui.


Elle portait un ensemble de dentelle noire à motifs floraux : soutien-gorge à large décolleté qui mettait en valeur sa poitrine généreuse, admirablement dessinée, et petite culotte sexy. La couleur foncée des sous-vêtements contrastait agréablement avec le bronzé de sa peau dorée par le soleil, et ses cheveux auburn retombaient en cascade sur ses épaules rondes et parfaites, frémissant de désir inassouvi. Une rougeur laissée par leurs précédents ébats apparaissait sur ses joues et sa gorge pure, ce qui la rendait encore plus désirable aux yeux de Tom. Son regard noisette brillait d’amour et de confiance tandis que sa bouche pulpeuse tremblait d’impatience. La taille souple et mince, les hanches légèrement courbes et les rondeurs de ses cuisses rappelaient les sculptures de jadis. Et, avec son expression qui reflétait à la fois l’innocence et le Désir, elle parvint à enflammer le cœur déjà fou amoureux de Tom.

Elle lui adressa un sourire si tendre, si doux qu’il ne put résister davantage à la passion qui le dévorait. Il l’aimait tellement ! Pendant tous ces longs mois loin d’elle, il avait eu l’impression de ne plus vivre. Son soleil, sa vie, son âme, c’était elle, et nulle autre ! Et enfin, elle était là, toute à lui… Il savait qu’il lui faudrait être patient car c’était sa première expérience et qu’il ne devait rien brusquer. Cela n’allait pas être facile étant donné le désir intense qui le tiraillait sans cesse. Mais, pour elle, il était prêt à endurer les pires tourments… Il prit donc sur lui et essaya de ne pas laisser ses pulsions prendre le dessus.


Tom prit Vivyan par la taille, savourant le contact de son corps presque nu contre le sien. Elle se blottit contre lui, lui caressant le dos de la manière la plus agréable qui soit. Elle tremblait d’impatience et ouvrit ses lèvres douces qu’il captura immédiatement en un baiser profond et tendre. Il sentait la poitrine de la jeune femme se presser contre son torse et se contint avec peine. Puis il cessa de l’embrasser pour enfouir sa tête dans son opulente chevelure de bronze, lui murmurant au passage :



Vivyan eut un petit rire et l’embrassa dans la nuque :



Le regard ardent de Tom la fit rougir et elle l’embrassa à nouveau, consciente que son désir devrait être bientôt assouvi. Tom, de son côté, explorait le haut de son corps, lui effleurant les seins juste assez pour la faire frémir, sans pour autant aller plus loin. Gémissant sous ses caresses et ses embrassades fougueuses, elle descendit alors ses mains vers la ceinture de l’homme et, voulant le faire languir encore quelques minutes, se pressa davantage contre lui, respirant son odeur chaude et caressant au passage le renflement bien visible de son pantalon. Ce qui eut pour effet de le faire gémir à son tour.

Finalement, jugeant sans doute que c’en était assez comme ça, Vivyan glissa ses doigts fins vers la boucle de la ceinture et la défit habilement. Elle fit de même avec la braguette et le bouton du pantalon et, bientôt, le vêtement tomba sur les chevilles de l’homme qui l’envoya valser nonchalamment à travers la pièce. Elle put à son tour le contempler avec bonheur, s’attardant sur le renflement qui apparaissait nettement à travers son boxer noir…

Les yeux brillants de désir impatient, Tom enlaça passionnément Vivyan, la serrant contre lui avec une ivresse amoureuse toute légitime. Elle soupira d’aise en sentant sa peau nue contre la sienne et se frotta contre lui, enivrée d’amour. Lorsqu’il reprit ses baisers, elle enroula ses jambes fines autour de sa taille et, le rassurant d’un regard, se laissa porter jusqu’au grand lit sculpté. Il la souleva sans difficulté et la posa avec précaution sur le matelas moelleux, se couchant au-dessus d’elle, retenant tant bien que mal son impatience. Ce n’était pas le moment de brusquer les choses…

Il continua ses baisers et ses caresses, faisant soupirer Vivyan, débordant d’excitation. Ils avaient de plus en plus chaud tous les deux et leur désir ne cessait d’augmenter. L’homme descendit le long du cou de sa compagne, puis arriva doucement à sa gorge, la piquetant de petits baisers. Elle le sentait au-dessus d’elle, se laissant griser par la sensation de son corps sur le sien. C’était si agréable ! Les mains de Tom avaient à présent retrouvé leur place sur ses hanches et la caressaient fébrilement. Ses lèvres descendirent encore plus bas et il enfouit sa tête avec volupté dans sa poitrine généreuse, ce qui eut pour effet de l’électriser davantage. Avec une fougue encore plus passionnée qu’avant, elle se pressa contre lui, le suppliant tout bas de continuer. Il mordilla au passage un téton à la pointe dressée avec provocation, la faisant gémir. Elle arqua le dos, ce qui lui permit de dégrafer délicatement son soutien-gorge qu’il ôta sans peine. Des seins sensuels s’en échappèrent, rassasiant la vue de Tom. Ils n’étaient ni trop gros, ni trop petits, juste de la bonne taille. Absolument parfaits…


Vivyan commença à haleter de plaisir tandis qu’il saisissait un mamelon dans sa bouche et le suçait, comme un enfant qui tète. Vivyan ressentit une vague de chaleur au niveau du bas-ventre et gémit, se demandant combien de temps elle pourrait encore attendre. Pas longtemps, sans doute. Lorsqu’il eut léché avidement les deux seins, aspirant leur pointe avec langueur, Tom aventura ses mains à l’intérieur des cuisses de son amante, guettant la moindre de ses réactions. Il quitta sa poitrine à regret et descendit le long de son ventre, embrassant au passage le nombril et donnant des coups de langue appuyés sur sa peau. Il caressa l’intérieur de ses cuisses, se rapprochant dangereusement de l’endroit si sensible. La peau était douce, tellement douce ! Lorsqu’il posa enfin ses doigts sur l’intimité de la jeune femme et qu’il commença à la toucher tendrement, Vivyan poussa un cri de plaisir, se cambrant sur le matelas et retombant dans un gémissement. Jamais elle n’avait ressenti un bonheur pareil. Avec Sirius, cela n’avait guère dépassé le stade des baisers passionnés mais là, c’était si fort, si… merveilleux !

Tom entendait les gémissements et la respiration saccadée de Vivyan, ce qui ne fit qu’accroître son propre désir. Il n’avait jamais pensé éprouver tant d’impatience. Elle le rendait fou, ivre de désir. Il n’avait qu’une seule envie : être en elle, sentir sa texture douce, son étroitesse, lui appartenir, s’unir à elle… Il continua donc à la caresser à travers la dentelle de sa culotte bientôt trempée de désir. Puis, lentement, comme pour la faire attendre, il s’empara du vêtement, le fit glisser le long de ses fesses pour finalement le laisser choir à terre.

Vivyan était entièrement nue à présent, et n’essayait plus de contenir son désir. Elle savait que Tom la voulait et il n’y avait qu’une chose qu’elle désirait : LUI. Pourquoi la faire attendre, alors ? Quand il releva la tête pour la regarder, elle lui lança un long regard suppliant, souhaitant de tout cœur qu’il continue ce qu’il avait commencé. Elle ondula sensuellement les hanches devant le visage de son amant qui ne se fit pas prier davantage. Il caressa tendrement son intimité mise à nu, la sentant trembler sous ses doigts impatients. Doucement, il se rapprocha de l’endroit sensible et, sous les gémissements de sa compagne, effleura alors ses lèvres intimes d’où perlaient des gouttes de désir. Quand il posa enfin sa bouche sur cet endroit si secret, Vivyan ne put retenir une exclamation de surprise qui se mua bien vite en cris de plaisir.

La langue de Tom explorait chaque crête, chaque repli, chaque recoin, goûtant avidement à ce premier contact et traçant des arabesques de feu sur son bas-ventre. Les mains de la jeune femme se perdirent dans la chevelure sombre de son amant et elle se laissa aller à cette douce torture, sachant qu’il lui faudrait encore attendre. Enfin, il trouva ce qu’il cherchait. Au cœur de son intimité, il dénicha le tendre bouton de chair rose qui était un aller simple pour le paradis. Lorsqu’il posa la bouche dessus, ce n’est pas un gémissement que Vivyan poussa, mais un véritable cri de plaisir. Ne pouvant se retenir, il commença alors à lécher son clitoris gorgé de désir, la faisant crier de plus en plus. Il l’aspirait, le suçant avidement, tournait autour avec empressement, enivré par les effluves cachées de son amante et par ses gémissements.



Tom introduisit alors deux de ses doigts en elle, espérant de tout coeur lui donner le maximum de plaisir. Vivyan le sentit à l’intérieur d’elle, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Il débuta alors de longs et langoureux va-et-vient, la caressant de l’intérieur, sa bouche titillant toujours son clitoris. Les mouvements se firent plus rapides et elle ondula des hanches pour suive son rythme, la passion l’emportant toujours plus haut et la faisant pousser de petits cris incontrôlables. Soudain, Tom sentit les parois étroites de son vagin se contracter sur ses doigts et il sut qu’elle venait d’atteindre son premier orgasme.

Vivyan n’en pouvait plus. Elle sentait confusément que ce n’était pas tout, qu’il fallait continuer. Tom avait réveillé en elle des appétits fulgurants qu’il fallait à présent satisfaire. Encore sous le coup de son récent orgasme, elle le supplia en haletant :



Il remonta vers son visage et contempla un instant ses joues rougies par son plaisir récent, sa bouche quémandant des caresses, cette femme si belle qui attendait qu’il achève ce qui était commencé. Le désir était trop fort, à présent. Il embrassa fougueusement Vivyan et enleva rapidement son boxer, révélant son sexe en érection au regard ardent de Vivyan. La taille impressionnante de son membre dressé ne l’effraya pas, elle qui pourtant n’avait encore jamais vu d’homme nu. Au contraire, elle fut émue de voir ce touchant témoignage d’amour à sa féminité et cela ne fit que renforcer son propre désir. Elle se pressa à nouveau contre lui, écartant les jambes pour lui ménager de la place. Elle sentait son érection contre sa cuisse et se demanda ce qu’attendait Tom. Celui-ci paraissait hésiter :



Tom embrassa alors Vivyan qui sentit quelque chose de dur à l’entrée de son vagin. Avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qui se passait, elle le sentit en elle. C’était un peu étrange, pourtant. Mais bientôt elle se cambra et poussa un cri de douleur. Il venait de franchir son hymen. Elle avait l’impression d’avoir été déchirée en deux et une larme perla le long de ses cils. Tom arrêta sa progression et la fixa d’un air inquiet :



Elle l’en empêcha d’un geste :



Ce n’était qu’un demi-mensonge : la douleur n’était pas aussi fulgurante qu’au début, mais restait toujours présente. C’était la première fois qu’elle mentait à Tom. Heureusement, celui-ci, fort de ses expériences passées, s’aperçut bien que quelque chose n’allait pas. Il se pencha donc doucement vers elle et lui murmura à l’oreille :



Ce qu’elle fit sans se faire prier. L’homme répondit délicatement à son baiser, caressant doucement sa langue en attendant qu’elle se calme. Progressivement, elle se détendit et, bientôt, sentit la douleur s’en aller, remplacée par une merveilleuse sensation de plaisir. Elle soupira de contentement, et Tom lui demanda tendrement :



Incapable de répondre tant elle se sentait bien, Vivyan se contenta d’acquiescer d’un signe de tête tandis que Tom reprenait sa lente progression. Elle le sentait se mouvoir en elle et en éprouvait un profond plaisir, une sensation totalement nouvelle. Tom accéléra imperceptiblement le mouvement et, bientôt, la pénétra totalement. Il se retira pour mieux la pénétrer à nouveau, débutant un lent manège de va-et-vient. Il prenait bien garde de ne pas aller trop vite, plus désireux que jamais de lui apporter du plaisir. Ce qui ne se fit pas attendre. Vivyan commença à gémir doucement sous les assauts de Tom qui devenaient de plus en plus fougueux. Jamais il n’aurait imaginé éprouver un tel bonheur, bien au-delà de l’attirance physique. Il voulait ne faire qu’un avec elle, l’emmener au septième ciel.

Lorsqu’elle poussa un cri de plaisir, quelque chose se brisa en lui et il s’abandonna alors complètement à ses étreintes, oubliant toute retenue. Il la pénétrait passionnément, alternant le tendre, le doux avec le fougueux et le brutal. Vivyan gémissait sous ce pilonnage intensif, ondulant des hanches, courbant le dos pour aller à sa rencontre. Chaque entrée de son amant lui procurait un plaisir inouï et chaque sortie lui laissait un profond manque… Elle rejeta la tête en arrière, ne pouvant contrôler le souffle précipité et les petits cris qui sortaient de sa bouche. Tom poussait des sons rauques tandis qu’il la pénétrait jusqu’au point de non-retour.



Soudain, elle enroula ses jambes autour des hanches de l’homme, le propulsant au plus profond d’elle-même. Avec un cri de jouissance, elle poussa enfin les portes du paradis, atteignant l’orgasme et découvrant pour la première fois cette sensation si intense et passionnée. Tom ne tarda pas à la rejoindre au septième ciel et, pendant plusieurs secondes, leurs voix se mêlèrent, criant leur amour et leur plaisir. Enfin, Tom, se libérant de la pression accumulée avec un sentiment de délivrance exquis, s’écroula sur Vivyan. Elle sentit une douce vague de chaleur se répandre en elle et comprit que pour lui, c’était fini.



Leurs respirations haletantes résonnèrent longtemps dans la pièce, tandis qu’ils essayaient de reprendre leurs esprits. Ils s’étaient donnés totalement l’un à l’autre, sans aucune retenue et avec une passion débridée, réalisant ainsi une fusion parfaite de leurs corps et de leurs âmes… Même s’ils savaient que cette fantastique expérience était finie, ils n’avaient aucune envie qu’elle se termine. Ils auraient souhaité rester là à tout jamais, enlacés, l’un contre l’autre…


Au bout d’un moment pourtant, Tom se releva, délivrant Vivyan de son poids, et se coucha à côté d’elle. Elle vint enfouir sa tête au creux de son épaule et ils restèrent un moment ainsi enlacés, ne brisant pas le silence. Finalement, Vivyan leva les yeux vers son amant et chuchota :



Elle acquiesça et l’embrassa tendrement :



Il l’embrassa à son tour avec passion, fouillant sa bouche à la recherche de sa langue qu’il caressa ensuite fébrilement.



Quelques larmes coulèrent sur ses joues à la pensée qu’elle devrait à nouveau le quitter dans peu de temps. La nuit étant déjà bien entamée, elle devait se dépêcher de retourner au QG de l’Ordre, sinon, ILS s’apercevraient de son absence. Avec regrets, elle se leva, s’asseyant sur le lit qui avait été témoin de leurs ébats.



Elle allait se lever quand Tom, encore couché sur le lit, la retint tout à coup par le bras :



Vivyan secoua la tête, déchirée par le chagrin de le quitter si vite :



Il l’interrompit en l’attirant à lui et en l’embrassant tendrement :



Elle fixa intensément ses merveilleux yeux bleus et y vit la vérité et l’amour. Elle aurait donné tout l’or du monde pour rester avec lui mais… Et pourtant, il avait raison, personne ne se rendrait compte de rien ! Et elle le désirait à nouveau, elle aussi ! Le désir était revenu au galop et l’assaillait encore plus qu’avant. Elle se laissa donc tenter et, s’asseyant sur le lit :



Il lui sourit avec tant de reconnaissance qu’elle éclata de rire, l’embrassa fougueusement et se laissa aller à ses étreintes passionnées, voulant de tout cœur recommencer leurs ébats inachevés.


C’est ainsi que Vivyan Dumbledore, petite-fille du célèbre Albus et Aurore de profession, se retrouva dans les bras de Tom Elvis Jedusor, alias Lord Voldemort et se donna à lui avec la plus grande passion pour le reste de la nuit et bien peu… Le Destin est effectivement parfois cruel, et la malédiction qui les avait rapprochés l’un de l’autre, les enchantant à tout jamais des charmes de l’Amour Eternel, ne s’arrêterait pas là. Car, si les choses semblent aller bien au début, se dégradant par la suite et s’améliorant avec le temps, la Vie joue parfois des tours bien cruels, ce qui arriva malheureusement aux deux amants. Mais, ceci est une autre histoire. Pour l’instant, ils continuaient de se donner amoureusement l’un à l’autre, au cœur même de la nuit…