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n° 09583Fiche technique19574 caractères19574
Temps de lecture estimé : 11 mn
21/08/05
Résumé:  Comment une réservation de location sur internet peut conduire à une nuit d'ivresse avec une inconnue.
Critères:  fh hépilé fépilée vacances volupté fellation pénétratio fsodo
Auteur : Tidalium  (Homme 49 ans, passionné d'érotisme)            Envoi mini-message
Vacances espagnoles

Comme tous les ans, il avait réservé ses vacances sur Internet. Mais cette année, cela avait été plus compliqué : la première agence contactée lui avait semblé bizarre. Il n’avait pas donné suite, persuadé que c’était une arnaque. Il avait tout de même conservé l’adresse, décidé à vérifier son existence une fois sur place.


Le voyage se passa sans souci, le temps maussade avait rendu plus supportable le long trajet jusqu’à Denia. Une fois arrivés, l’installation fut rapide : cela faisait plusieurs années que la petite famille descendait en Espagne et, avec l’expérience, elle ne s’encombrait plus de ce qui était inutile. La villa était plaisante et le jardin assez vaste pour que les enfants puissent se sentir bien. Les vacances s’annonçaient sous les meilleurs auspices.


Le troisième soir, il proposa d’aller faire un tour à Alicante. Les filles acceptèrent avec enthousiasme. Ils partirent donc en fin d’après-midi et, après une heure de route, trouvèrent une place dans un parking proche du centre-ville. Il avait noté, à tout hasard, l’adresse de l’agence sur un papier : Spain.com, 13 Calle de San Firmin.


Ils déambulèrent parmi les camelots et les spectacles de rue. À un carrefour, il chercha sur un plan l’adresse qu’il ne trouva pas. Il en conclut que c’était vraiment une arnaque. La soirée s’écoula dans la douceur espagnole, les enfants étaient fatiguées, il décida de rentrer. En rejoignant le parking, il regarda machinalement le nom des rues, sans illusion aucune, plus par curiosité.


« Calle San Firmin »… Il fut surpris de lire la plaque sur une rue contiguë au parc de stationnement où il avait garé sa voiture. Il chercha le n°13 : c’était une petite maison, toute simple, une petite cour ombragée devant lui conférait une impression de miniature auprès des immeubles qui l’encadraient, tels des gardes du corps. Il s’avança. Aucune plaque sur le mur, rien sur la porte.

C’est au moment où il allait faire demi-tour qu’elle s’ouvrit. Une jeune femme sortit, éteignit la lumière et verrouilla l’entrée. Il la remarqua à peine, il hésitait et ne savait pas ce qu’il devait faire. Il se retourna et fut surpris. Elle était assez grande, brune, les cheveux longs. Elle portait une jupe courte et un chemisier qui laissait deviner une poitrine généreuse. Il s’approcha d’elle.


« Excusez-moi ! Vous parlez français ?



Il s’approcha d’elle et, malgré la faible luminosité, remarqua ses yeux. Ils étaient verts, il avait rarement vu une couleur aussi pure.

« Ce sont des lentilles », pensa-t-il instantanément.


« Vous êtes Vanessa Ibanez ?



Elle semblait agacée de cet interrogatoire. Il s’en aperçut.


« Je ne veux pas vous importuner. J’ai fait une demande de réservation à laquelle je n’ai pas donné suite. J’ai cru que c’était une arnaque.



Elle s’avança, voulant couper court à cette conversation qui commençait à l’ennuyer.


« Puis-je vous offrir un verre ?



Elle lui tendit sa carte et passa devant lui pour rejoindre sa voiture. Elle était presque aussi grande que lui, mince, élancée. Il remarqua ses fesses rebondies qui lui donnaient une allure folle. En montant dans sa voiture, elle se retourna, lui fit un signe de la main en lui adressant un sourire, sans doute dû à la satisfaction d’avoir coupé court à une discussion ennuyeuse.


Dès le lendemain, il appela SPAIN.COM.


« Bonjour, pourrais-je parler à Vanessa Ibanez ?



Il hésita, déçu de la proposition.


« Quel jour ?



Mel donna les informations demandées.


« Elle vous rappelle.



Vanessa semblait contrariée de la proposition que Viktor venait de faire à cet inconnu de la veille. Son regard fut suffisamment explicite et Viktor le comprit lorsqu’il lui tendit les coordonnées de Mel. Elle décida de chercher dans ses demandes de réservations. En quelques secondes, elle trouva sur son ordinateur le dossier de son client : Mel Chervente, directeur de société, 45 ans, veuf, deux enfants, recherche villa avec piscine. Elle ne se souvenait même pas de son visage. Il faut dire qu’elle avait quitté tard son agence hier soir, à cause de son ex-mari qui, pour la énième fois, la relançait. Il l’avait énervée, elle avait rompu quelques mois avant et le divorce venait d’être prononcé, mais il continuait à la harceler à l’agence. Elle avait alors décidé de déménager à Denia et de changer le numéro de téléphone de l’agence après la saison. Elle relut le dossier et prit son téléphone. Elle composa le numéro que Viktor lui avait donné.


« Allo !



Elle avait trouvé la voix plus détendue que la veille. Elle-même s’était surprise à utiliser un ton très amical. Elle passa sa journée à recenser les locations correspondant aux souhaits que son client avait émis quelques mois avant.


Vers 20 heures, Mel prépara le repas pour ses filles. Depuis le décès de sa femme, deux ans plus tôt, il tenait à s’occuper lui-même de Juliette et Chloé. Il essayait de leur consacrer un maximum de temps et ce malgré son travail très prenant. Les filles dînèrent tranquillement. Elles demandèrent à sortir. À 17 et 16 ans, elles avaient gagné la complicité et la confiance de leur papa qui, bien que très conciliant, restait intransigeant sur le respect des horaires de sortie.


Vers 21 heures, on sonna à la porte. Chloé alla ouvrir.


« Bonsoir, je suis Vanessa Ibanez, j’ai rendez-vous avec Monsieur Chervente.



Mel arriva.


« Bonsoir, Mademoiselle Ibanez ».


Il lui serra la main. Elle avait une tenue similaire à la veille. La lumière plus intense lui permit de constater la beauté de ses traits et son allure.


« Bon, papa, on y va ! Tu nous autorises jusqu’à quelle heure ? »


Juliette et Chloé attendaient près de la porte la réponse


« 23 heures !



Mel proposa à son invitée de passer sur la terrasse. Ils s’installèrent autour de la table. Elle remarqua son élégance et se dit qu’il ne faisait pas son âge.


« Je vous offre un verre ?



Il fit demi-tour, elle se retourna pour l’observer. Grand, mince, il était plutôt bel homme, pensa-t-elle.


Il revint avec un plateau qu’il posa sur la table. Il lui tendit un verre. Ils trinquèrent.


« Merci de vous être déplacée.



Elle se pencha pour prendre son dossier dans son sac. Il remarqua qu’elle ne portait rien sous son chemisier et que l’éclairage feutré laissait percevoir la pointe de ses seins.


« J’ai sélectionné quelques villas selon les critères de votre courriel. J’espère qu’ils n’ont pas changé ?



Elle ouvrit son classeur. Il se rapprocha d’elle pour mieux voir. Il sentit son parfum, discret et très agréable. Elle commenta les fiches au fur et à mesure qu’elle les lui présentait. Il l’écoutait tout en la regardant. Il était bien et sentit monter une envie irrésistible de lui faire l’amour.


« Voilà, j’en ai fini de ma présentation, qu’en pensez-vous ? »


Il eut l’air surpris de sa question.


« Elle sont toutes bien. Que me conseillez-vous ? »


Il la regardait dans les yeux.


« Ils sont vraiment verts, vos yeux ?



Elle fut étonnée de la tournure de la discussion. Il était surpris des questions qu’il posait. Elle le troublait terriblement. La chaleur montait en lui, il se contrôlait difficilement. Elle remarqua son trouble et lorsqu’il se leva pour lui servir un autre verre, elle put le mesurer à la grosseur de la bosse de son pantalon. Il faisait bon sur la terrasse abritée du vent et des regards indiscrets.


La tentation fut trop forte et l’emporta. Elle caressa la bosse que son sexe en érection avait provoquée. Surpris, il faillit renverser le jus de fruit. Elle se le leva, se glissa entre ses bras et l’embrassa fougueusement. Sa langue s’immisça dans sa bouche. La chaleur monta dans leurs corps en ébullition. Ses mains se posèrent sur ses fesses. Elle sentit mieux son sexe bandé qui s’appuyait contre son pubis.


L’étreinte se desserra. Ils se regardèrent, les yeux noyés par l’envie du mélange de leurs corps. Il ôta son chemisier, elle lui retira son tee-shirt. Ses seins dressés, les tétons en érection, elle se précipita vers son pantalon qu’elle dégrafa promptement. Elle ne prit pas le temps de remarquer son corps musclé. Elle s’accroupit et sortit le membre du string qui le comprimait. Il gonfla encore. Sa langue commença à le lécher délicatement. Le membre durci avait maintenant une bonne taille. Il était doux et ses mains ne pouvaient pas s’empêcher de le caresser. Il était vraiment doux et c’est au moment où elle décida de l’enfourner dans sa bouche qu’elle comprit l’origine de cette douceur. Son sexe était imberbe, épilé de près. Ce constat décupla son excitation. Sa bouche se déchaîna, ses mains fouillaient ce corps qui la mettait en transe. Il restait debout, les mains appuyées contre sa taille pour mieux offrir son sexe à la furie de sa partenaire.


Il n’avait pas touché de femme depuis la mort de la sienne. Son excitation était totale et il ne fallut pas longtemps pour que les gémissements qu’elle lui provoquait se transforment en râles de plaisir. Les spasmes et le cambrement du corps de l’homme qu’elle suçait gloutonnement lui firent comprendre que l’orgasme était proche. Elle s’activa davantage et s’arrêta lorsque le sexe, bandé comme jamais, projeta un jet violent de sperme au fond de sa gorge.


Elle conserva le sexe dans sa bouche dégustant chaque goutte. Elle aimait le goût salé de son sperme et ne voulait rien en perdre. Après le dernier spasme, sa langue s’attarda encore pour nettoyer le sexe qui reprenait peu à peu sa taille normale. Elle se releva tout doucement, promenant sa langue le long du corps de cet homme qu’elle connaissait à peine. Il sentait bon, il était ferme et musclé. Il la saisit dans ses bras, elle ressentit sa force. Leurs bouches se rencontrèrent pour un nouvel échange fougueux.


Il était nu, elle avait conservé sa jupe. Il la fit glisser lentement, découvrant un joli string blanc en dentelle. Il la prit dans ses bras et la transporta sur un des transats rangés dans le coin le plus sombre de la terrasse. Il la déposa lentement sur le coussin, s’allongea sur elle tout en continuant de l’embrasser. Il glissa sa bouche lentement vers sa poitrine, généreuse et ferme. Sa langue commença à sucer délicatement ses tétons qui durcirent sous les caresses. Il accéléra la cadence, mordillant parfois les mamelons en érection, provoquant à chaque fois des frissons qui l’envahissaient. Elle se sentait flotter. Elle se souvenait de la dernière fois qu’elle avait fait l’amour ou, plus exactement, de la dernière soirée où son ex-mari l’avait baisée, sans lui donner le moindre plaisir.


Sa tête glissa plus bas vers le nombril. Il conserva une main sur ses seins, continuant de les masser et de les pincer délicatement. Son autre main chercha et trouva les deux clips qui, une fois défaits, lui permirent de faire glisser le string délicatement. Il sourit. Malgré la pénombre, il découvrit avec plaisir la chatte imberbe de la jeune femme. Ses lèvres luisaient du plaisir donné et reçu. Sa langue commença à titiller son sexe. La réaction fut spontanée, elle ouvrit ses cuisses plus largement, laissant un filet de cyprine couler le long de sa chatte. Il le but délicatement, appréciant le goût unique de son jus de jouissance. Il était de nouveau excité.


Il plongea la tête entre ses cuisses et mangea goulûment le sexe humide. Elle se cambra, facilitant la pénétration de sa langue. Elle sentit la transe monter en elle. La jouissance fut violente et son orgasme déchira son bas-ventre. Elle était ivre, ivre de sexe ! Sa langue remonta le long des courbes parfaites de son corps, provoquant des frissonnements délicieux et insupportables.


Il bandait de nouveau et son sexe n’eut aucun mal à la pénétrer. Les premiers va-et-vient furent lents et la cadence s’accéléra doucement. Les mains posées sur ses fesses, elle l’incita à pénétrer plus profond en elle. Ses ongles, tels des aiguillons, se plantèrent dans la chair, produisant l’effet escompté. Il accéléra encore. La violence des coups de boutoir qu’il donnait ébranlait le transat.


Il se retira et l’invita à se mettre à quatre pattes sur un coussin jeté à même le sol. Elle s’exécuta immédiatement, trop pressée de sentir de nouveau sa chatte remplie du membre de son amant. Il saisit ses hanches et s’enfonça jusqu’à la garde d’un seul coup, lui arrachant un cri de jouissance bestiale. Il s’activa, provoquant rapidement le second orgasme de sa partenaire.


Il allait se retirer lorsqu’elle guida le membre bandé vers la rosette de son anus. Elle était en transe, ses mains fébriles écartaient ses fesses pour mieux conduire le braquemart vers son petit trou. Il appuya le gland sur son anus. C’est le moment qu’elle choisit pour se redresser, en s’appuyant sur ses bras, forçant le membre à pénétrer son intimité. Son geste s’accompagna d’un râle animal. Telle une femelle en chaleur, elle se déchaîna. L’effet sur lui fut instantané, il se mit au diapason de sa partenaire, il lui laboura les reins, s’enfonçant en elle au plus profond. Il lui défonça ainsi l’anus pendant plusieurs minutes, avant d’éjaculer en même temps qu’elle jouissait une nouvelle fois. Le cri de jouissance qui accompagna l’orgasme conjoint ne dut pas laisser les voisins indifférents !


Il leur fallut quelques minutes pour récupérer. Allongés l’un sur l’autre, enlacés en position fœtale, ils dégustaient ce moment d’intense plaisir. Il se leva le premier, rassembla leurs affaires, l’aida à se relever et l’accompagna vers l’intérieur. Sous la douche, qu’ils prirent ensemble, il continua à la caresser, provoquant des tressaillements de plaisir. Ils firent encore l’amour avant de se sécher et de se rhabiller.


Ils revinrent sur la terrasse, la nuit était sombre. Ils ne savaient plus ni l’un ni l’autre s’ils devaient se vouvoyer, s’appeler par leur prénom, se prendre la main, s’embrasser. La raccompagnant à sa voiture, il lui proposa de l’appeler le lendemain. Elle refusa. Il l’accepta, ne sachant pas vraiment lui-même s’il fallait donner une suite à cette nuit d’ivresse.


Il allait se coucher, lorsque Juliette et Chloé rentrèrent. Il les entendit rire sur la terrasse et lorsqu’elles entrèrent dans le salon, Chloé lui lança :


« Tu n’as pas dû t’ennuyer, Papounet ! »


Elle sourit en brandissant le string blanc en dentelle.


Il comprit qu’il y aurait forcément une suite et éclata de rire en prenant ses filles dans ses bras.