n° 09594 | Fiche technique | 12973 caractères | 12973Temps de lecture estimé : 7 mn | 22/08/05 |
Résumé: J'ai connu Christine sur un serveur Minitel. Elle aimait faire pipi dans sa culotte et j'adorais qu'elle le fasse. Nous avons longuement chatté, puis nous sommes passés au téléphone. Nous nous sommes parlé des heures chaque soir... | ||||
Critères: fh telnet volupté cérébral couche fmast uro | ||||
Auteur : Delice Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Christine et nos jeux humides Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Elle s’appelait Christine, elle était étudiante et se faisait un peu d’argent de poche comme animatrice sur un serveur de Minitel rose. Mais en l’occurrence, je l’avais connue sur un serveur presque gratuit (en 36 14). C’était donc avant l’époque Internet. La conversation avait commencé sur le ton de l’humour. Pendant plusieurs jours, nous n’avons pas abordé le sexe, qui n’était d’ailleurs pas le thème privilégié de ce serveur tourné vers la convivialité. Puis, de petite allusion en petite allusion, nous avons commencé à parler de pratiques et de fantasmes. Une partie des miens étant assez orientés « jeux humides », j’ai abordé le sujet en prétextant que j’avais eu une copine qui aimait porter des couches culottes et s’oublier dedans. À vrai dire, cette copine aimait aussi et surtout inonder ses dessous. Et les couches culottes ne représentent pas précisément mon fantasme. Mais je trouvais que cette approche du sujet était la plus soft possible. Je m’attendais à un aimable rejet de la part de Christine.
Christine avait lu attentivement mon petit récit, rapide condensé des pratiques que j’avais avec cette copine. Nous avons un peu développé le thème.
Me sentant en confiance, je lâchai laconiquement cette phrase :
Bien sûr, j’aurais pu rester devant mon minitel à chatter avec elle, me branler sans le dire, ou en le disant. Mais je l’ai senti comme cela.
Le lendemain, elle m’a immédiatement demandé :
Je ne décrirai pas en détails toutes les séances de masturbation que nous avons vécues sur le Minitel. Mais j’adorais le naturel de Christine. Comme si tout cela allait de soi et que tout plaisir était bon à prendre… À chaque fois, nous nous racontions une histoire basée sur des couches culottes qu’elle mouillait. Mais nous parlions aussi de nous. Elle avait 23 ans (et moi 29 ans) et elle vivait encore chez ses parents. Son père, à cause de son métier, était souvent en voyage ou rentrait tard. Sa mère n’était pas toujours là, mais je ne me souviens plus pourquoi.
C’est Christine qui proposa finalement qu’on se téléphone. J’étais un peu ému à l’idée de lui parler, imaginant que nous allions rapidement sombrer dans l’excitation et la masturbation. Il n’en fut rien. Nous avons parlé de tout et de rien. De nos rencontres par Minitel, de nos activités respectives.
J’adorais sa voix. C’était celle d’une vraie femme mais elle tenait un peu de la voix d’une fillette. Elle semblait sourire en permanence. Ce n’est que le deuxième ou troisième soir que nous avons abordé vocalement (et non plus sur le minitel) notre thème favori. Chacun d’entre nous avait quelque chose à avouer. À commencer par moi :
Christine semblait parfois vouloir chercher à sauver encore un peu les apparences. Une attitude bien féminine que j’ai retrouvée encore plus marquée, quelques mois plus tard, avec une autre minitelliste amatrice de jeux humides. En fait, Christine m’avoua progressivement que ses jeux étaient plutôt volontaires.
Puis vint le jour de notre première masturbation téléphonique, qu’elle provoqua en me racontant une anecdote. Je crois qu’elle attendait cela impatiemment.
Elle marqua une longue pause en attendant ma réaction, qui ne vint pas. Puis elle ajouta, avec une voix tremblante et perdue dans le vide :
Puis elle ajouta :
Elle sembla reprendre ses esprits et d’un ton décidé me dit :
Puis elle revint et me dit :
Christine m’a souvent dit qu’elle serait capable de faire en pleine rue. Après tout, elle l’avait déjà fait dans le métro. Plus tard, elle prouvera que son audace est réelle… De même que celle de l’autre « pisseuse » que j’ai évoquée plus haut, qui a osé faire un énorme pipi dans sa culotte en pleine rue. Cette audace toute féminine m’a toujours étonné…
Quelques secondes s’écoulèrent durant lesquelles je l’entendis gémir…
Je fais pipi dans ma culotte
Je fais pipi dans ma culotte
Je fais pipi dans ma culotte
Je fais…pipi dans ma culotte
Je fais…pipi dans… ma culotte
Je… fais… pipi… dans…ma … culotte….
Je… fais… pipi… dans…ma … culotte….
Je… fais… pi…pi… dans…ma … cul…otte….
C’était étonnant comme elle parvenait à se masturber sans enrayer le flot. À chaque fois qu’elle avait une envie, nous n’avions généralement pas à attendre longtemps qu’une tâche se forme dans son entrecuisse. Je soupçonne qu’elle avait une longue pratique ! Alors qu’elle se branlait encore, je lui chuchotais quelques mots :
Tu es une cochonne ma chérie
Tu mériterais une bonne fessée
Tu devrais avoir honte de faire dans ta culotte
Tu as tout mouillé ta culotte
Ecarte les cuisses et regarde le plus près possible ce que tu as fait !
Puis elle explosa dans la jouissance. Et moi aussi. Après quelques instants de silence, elle me dit, sans avoir l’air de s’en inquiéter, avec même une certaine satisfaction :
Chaque jour, nous passions plusieurs heures au téléphone. Au moins les trois quarts du temps, nous parlions d’autres choses. De notre vie, de nos aspirations, de ce que nous aimions. Une complicité et une confiance s’installaient tout doucement. Des sentiments étaient en train de naître entre nous. Ce n’était sans doute pas de l’amour mais au moins une grande tendresse. Elle comme moi, nous connaissions les dangers du virtuel. Nous avions déjà fait pas mal de rencontres. Peu s’étaient vraiment bien passées. Car l’attirance physique mutuelle n’est pas forcément au rendez-vous… Mais nous n’en étions pas là. Et Christine avait le don de revenir brusquement au sujet qui nous avait initialement rapprochés. Très souvent, elle m’annonçait ainsi tout bas, d’une petite voix innocente, alors que je parlais d’autre chose :
Et à chaque fois, j’embrayais au quart de tour…
Fin de la première partie