n° 09603 | Fiche technique | 15682 caractères | 15682Temps de lecture estimé : 9 mn | 24/08/05 |
Résumé: Christine a commencé à faire dans sa culotte à l'extérieur. La dernière fois, elle m'a envoyé sa culotte mouillée par la poste, accompagnée d'une lettre racontant en détail son accident humide... | ||||
Critères: fh telnet volupté intermast pénétratio uro | ||||
Auteur : Delice Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Christine et nos jeux humides Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des deux premières parties
J’ai connu Christine sur un serveur Minitel. Elle aime faire pipi dans sa culotte et j’adore qu’elle le fasse. Nous avons longuement chatté puis nous sommes passés au téléphone. Nous nous parlons des heures chaque soir avec de longues séances de masturbation et de pipi culotte.
Puis Christine a commencé à faire dans sa culotte à l’extérieur. La dernière fois, elle m’a envoyé sa culotte mouillée par la poste, accompagnée d’une lettre racontant en détail son accident humide.
Nous avions très peur de nous rencontrer. Car nous craignions de ne pas nous plaire physiquement. Nous n’avions échangé aucune photo. De plus, mon expérience en la matière était mitigée. Si la plupart du temps, je plaisais, il était rare que ce soit réciproque. Je suis sûrement trop difficile, mais c’est ainsi. J’adorais Christine sur tous les plans. Pas seulement à cause de notre fantasme commun. Elle avait beaucoup d’humour et d’esprit, une certaines insouciance et une joie de vivre. J’adorais sa voix aussi. Mais j’avais peur qu’en un instant, tout s’écroule. Elle le savait. Aussi, peu à peu s’est imposée l’idée que nous pourrions nous rencontrer dans le noir total. Durant une nuit des plus humides, nous pourrions faire l’amour en inondant le lit. Et même si au petit matin nous ne nous plaisions pas, au moins n’aurions-nous pas tout perdu. À force d’évoquer ce scénario, il était évident que nous allions le faire. Il fallait attendre un week-end où ses parents seraient tous deux absents.
L’occasion s’est finalement présentée. Cela faisait environ deux mois que nous nous parlions au téléphone. Deux mois durant lesquels elle avait dû faire plus de cent fois dans sa culotte ! Et moi jamais. Alors que l’idée m’excitait aussi. Mais comme elle n’avait jamais évoqué le sujet, j’avais pensé que cela ne l’intéressait pas. Comme je vous l’ai dit, quelques mois plus tard, j’ai eu une histoire très similaire avec une autre femme qui aimait faire pipi dans sa culotte mais qui était au moins aussi excitée à l’idée que je me mouille moi-même. Ce que j’ai d’ailleurs fait avec plaisir et volupté. Mais c’est une autre histoire.
Donc le grand jour est arrivé. Nous l’avons préalablement scénarisé. Christine avait mouillé une culotte et l’avait glissée devant la porte d’entrée, sous le paillasson. Lorsque je suis arrivé, je l’ai récupérée, tâtée et mise dans ma poche. Ensuite, j’ai frappé à la porte. Elle est venue l’entrouvrir de quelques centimètres puis elle est retournée dans sa chambre. J’ai attendu un peu puis j’ai ouvert la porte en grand. Je suis entré, j’ai claqué la porte, j’étais dans le noir total.
Il était bien étrange d’entendre sa voix en vrai. J’entrai dans sa chambre.
Avant de la rejoindre, je me déshabillais presque entièrement. Je me baissai et m’allongeai près d’elle. L’instant était sublime. J’en avais des fourmillements dans tout le corps. Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement sur les lèvres. Elle y mit plus de fougue que moi. Elle me serra très fort et montra une excitation extrême. Elle tortillait son bas ventre contre moi et respirait rapidement. Encore aujourd’hui, ce démarrage fulgurant m’étonne. Après une trentaine de kilomètres de voiture, en banlieue, je n’étais pas encore bien dans l’ambiance. J’étais assez excité pour bander mais pas assez pour être complètement en phase avec elle. Elle le sentit et se calma un peu. Je suppose qu’avant mon arrivée, elle avait dû fantasmer pas mal. Et son dernier accident humide, quelques minutes plus tôt, n’avait pas arrangé les choses ! L’ambiance n’était pas cassée pour autant. Je commençai à explorer son corps. Je lui touchai le visage puis je descendis vers sa poitrine, plutôt grosse. Et j’atteignis son entrecuisse. À l’évidence, elle était boulotte (je le savais déjà) mais sans être grosse. Elle avait une culotte bien enveloppante et toute sèche.
En posant cette question, je commençai à la branler tout doucement à travers sa culotte.
Puis elle a pris mon sexe dans sa main et nous nous sommes masturbés mutuellement en prenant soin de ne pas aller trop vite. Il n’était pas question de « gâcher » un orgasme alors qu’elle n’avait pas encore fait pipi dans sa culotte ! Durant une demi-heure, ce fut une torture. Nous ne pouvions pas aller jusqu’au bout du plaisir ! Christine me tenait au courant. Elle a d’abord eu un peu envie puis un peu plus. Elle m’a finalement annoncé très calmement qu’elle allait faire pipi dans sa culotte. Elle était allongée sur le dos et j’étais à côté d’elle. J’ai plaqué ma main entre ses cuisses sur le tissu en coton puis j’ai attendu. Elle m’a dit :
Et j’ai senti un flot traverser sa culotte et mes doigts avant de se répandre sur le lit. Elle ne disait rien. Elle faisait juste pipi dans sa culotte. J’ai attendu qu’elle ait fini puis je lui ai dit très gentiment. :
Je m’adossais sur le mur et elle vint se mettre sur son ventre, en travers de mon bas-ventre. Mon sexe passait entre ses cuisses et effleurait le sien. Ses fesses étaient à ma merci. Les miennes étaient sur le matelas mouillé mais ce n’était pas inconfortable car il est effectivement équipé d’une sorte de matière (en serviette-éponge ?) qui absorbe très bien. Elle portait toujours sa culotte trempée. Je malaxai ses fesses et son entre cuisses, j’écartai l’élastique de sa culotte, introduisit deux puis trois doigts dans sa chatte, les retirai puis cherchai son clitoris pour la branler. De l’autre main, je commençai à la fesser, pas très fort. Son excitation était à son comble et cette fois, le mienne aussi ! Le sexe coincé entre ses cuisses serrées et contre sa chatte, j’essayais de me faire du bien. Puis d’une voix presque suppliante, elle me dit :
Je la pris dans la plus classique des positions, celle du missionnaire. Elle avait toujours sa culotte qui mouillait mon bas-ventre. J’écartais l’élastique pour accéder à sa chatte et la pénétrai. Elle était très mouillée (je ne parle plus de pipi). Son excitation était telle que je n’avais pratiquement pas d’effort à faire. Son ventre, ses bras et ses cuisses me faisaient aller et venir en glissant sur elle. Nous nous sommes totalement laissés aller en hurlant notre plaisir, sans nous soucier des voisins.
Certains disent parfois qu’un fantasme doit rester un fantasme. Qu’il ne faut pas le réaliser sous peine d’être très déçu. Ne les écoutez pas ! J’étais en train de passer un des instants les plus intenses de ma vie !
Je n’ai aucun souvenir de ce dont nous avons parlé entre nos ébats. En tout cas, elle buvait beaucoup d’eau ! Il a du se passer au moins une demi-heure entre chaque pipi culotte, donc entre chaque jouissance. La deuxième fut très différente. Mais comme à chaque fois, elle affichait une certaine soumission. Elle ne discutait jamais mes « ordres ». Elle avait gardé sa culotte.
Le pipi ruissela à travers sa culotte puis sur mon ventre et finalement sur le lit. De temps en temps, je mettais ma main quelques centimètres sous le flot tout chaud. Dans la même position que tout à l’heure, je lui administrai à nouveau une fessée mais cette fois, je la branlais en même temps jusqu’à la faire jouir. Et le sexe coincé entre ses cuisses, je me branlais moi-même, comme je pouvais et je la rejoignis dans son orgasme.
La troisième fois, nous avons attendu assez longtemps. D’abord parce que j’étais sexuellement crevé, ensuite parce que nous voulions qu’elle fasse encore plus et en faisant l’amour en même temps. Une situation que nous avions déjà souvent évoquée au téléphone, de même que la fessée (je ne vous ai pas tout dit !).
Cette fois, elle avait retiré sa culotte. J’étais sur elle, à nouveau dans la position du missionnaire. Je l’ai pénétrée. Puis j’ai commencé à aller et venir.
J’ai senti la puissance de son jet entre mes cuisses, sur mon sexe, mes testicules… je ne sais pas très bien où en fait. Disons que j’ai senti une chaleur mouillée et bouillante m’envahir quelque part vers mon bas-ventre et entre mes cuisses. Cela a duré assez longtemps. J’ai accéléré mon va-et-vient. Tout s’est passé très vite tant nous étions excités. Peut-être faisait elle encore pipi lorsque nous avons joui. Ou peut-être avait-elle arrêté, bloquée par les contractions.
Nous étions épuisés. Il était temps de dormir ! Et nous savions qu’au petit matin, la lueur du jour percerait malgré les rideaux fermés. Je dormis très mal. Et vers cinq ou six heures du matin, je me suis réveillé pour la troisième ou quatrième fois. Je devinais la silhouette de Christine, allongée à côté de moi. Je compris ensuite qu’elle était réveillée depuis un moment. Elle me dit tout simplement :
J’étais encore à moitié endormi et la chambre sentait le pipi, ce qui n’était pas spécialement fait pour me plaire. Mais Christine avait prononcé notre phrase clé qui déclenchait toujours les événements.
Je la pris dans mes bras. Elle était toute habillée ! Elle avait un short par-dessus un collant. Pour le haut, je ne sais pas ou plus. Je mis ma main entre ses cuisses.
En fait, Christine s’étant réveillée avant moi, elle était allée s’habiller discrètement. Je la soupçonne même d’avoir bu abondamment. Elle voulait certainement expérimenter avec moi un pipi culotte dans une « tenue de ville ». Après plusieurs orgasmes depuis la veille au soir, elle n’était pas rassasiée et son excitation était très communicative.
J’étais sur le dos, elle se mit à cheval sur mon sexe en le plaquant sur mon ventre. Elle avait gardé sa culotte.
Elle n’avait pas fini de prononcer cette phrase que son pipi bouillant coulait sur mon sexe et inondait mon ventre.
J’écartai l’élastique de sa culotte et la pénétrai bien profondément…
Quand un filet de pipi vint mouiller la base de mon sexe et mon ventre, je partis instantanément dans un puissant va-et-vient, entraînant en quelques secondes Christine dans ma folle excitation.
En seulement quelques va-et-vient, nous avons été emportés dans un dernier orgasme.
Mon histoire tire à sa fin. Je l’ai vraiment vécue. Si Christine se reconnaît et note des imprécisions, elles ne sont dues qu’à ma mémoire imparfaite mais néanmoins excellente, ou à ma perception différente de la sienne. Je ne vous raconterai pas en détails la suite qui ne présente guère d’intérêt. Sachez juste que nous nous sommes finalement quittés sans vraiment nous voir au grand jour. Que nous nous sommes téléphonés deux ou trois fois. Que nous ne nous sommes jamais vus.
J’ai rédigé cette histoire en utilisant le vrai prénom de l’héroïne, par nostalgie et afin de me remettre dans l’ambiance. Mais je l’ai changé avant de la poster car il est assez original, au point qu’un lecteur la connaissant et connaissant son penchant pourrait peut-être l’identifier. Le risque est faible mais je ne le prends pas.
Comme je l’ai dit, quelques mois plus tard, j’ai vécu une expérience assez similaire avec une autre femme dont j’ai, à ma grande honte, oublié le prénom. Je crois que je l’ai plus aimée que Christine, bien que, ou peut-être parce que nous ne nous sommes jamais rencontrés. Elle aimait aussi faire dans sa culotte mais adorait aussi que je fasse. Peut-être vous raconterai-je aussi cette histoire.
Fin de la dernière partie