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n° 09606Fiche technique9888 caractères9888
Temps de lecture estimé : 7 mn
25/08/05
Résumé:  Après quelques tentatives décevantes, j'ai enfin réussi à exhiber et baiser ma femme devant un inconnu.
Critères:  fh vacances plage sauna essayage exhib noculotte pénétratio
Auteur : Tom      Envoi mini-message
Exhibition au Grau du Roi

Nous sommes un couple marié depuis une dizaine d’années. Mon épouse, la trentaine, fait 1m66 pour un poids de 51 kg. Elle est brune et fort mignonne. La pratique régulière du sport lui permet d’avoir conservé une silhouette des plus agréables et un merveilleux petit cul.

Etant moi-même très voyeur, j’avais depuis quelques années le fantasme d’exhiber ma femme devant des voyeurs. Il y a quelques années j’ai fait part de cette envie à mon épouse. N’étant pas exhibitionniste (malheureusement), elle n’a guère été enthousiasmée par mon idée mais, pour mon plaisir, elle a accepté de mettre sa pudeur entre parenthèses lors de quelques-unes de nos sorties.


Nous vivons à Strasbourg et allons de temps à autre dans un établissement de bains, sauna… dans la ville thermale de Baden-Baden située à une demi-heure d’autoroute, en Allemagne. Mon idée était d’exhiber ma femme en dépassant les nombreux camions qui empruntent cette autoroute.

C’est moi qui ai conduit, mon épouse, côté passager, a remonté sa mini-jupe (pour ce type de sortie, elle a accepté de ne plus porter de culotte), dévoilant son sexe et ses magnifiques cuisses bronzées. Une fois sur l’autoroute, j’ai pu libérer ma main droite qui est venue titiller son clito (elle adore ça). Elle était déjà bien mouillée, comme quoi cette situation ne la laissait quand même pas de marbre. Je ralentissais à chaque dépassement de poids lourd, mais vu le trafic, il m’était difficile de rester plus de quelques secondes à hauteur de cabine. Je ne peux pas affirmer que l’un des routiers a su profiter de la situation. C’était assez frustrant, bien que très excitant. En approchant de Baden-Baden, j’ai accéléré mes caresses pour amener mon épouse à l’orgasme.

Dans les bains, nous avons directement pris la direction des saunas, mais tout le monde y étant à poil, on ne peut plus véritablement parler d’exhibition. Il y a bien eu un petit épisode sympathique, lorsque nous nous sommes retrouvés à trois dans un jacuzzi et que j’ai profité des bulles pour caresser la fente de ma femme avec mon pied, ce qui selon elle n’a pas échappé à notre voisin.

Sur le chemin du retour, nous avons recommencé le même manège qu’à l’aller, avec un peu plus de réussite, puisqu’un routier Lyonnais (immat. 69) a clairement manifesté son bonheur en klaxonnant et en faisant des appels de phare. Il a même mis son clignotant pour nous demander de nous arrêter sur la prochaine aire de repos, mais il n’est pas question de laisser participer le voyeur autrement qu’avec ses yeux.


Lors d’une autre sortie, nous avons fait les soldes dans les magasins du centre ville et mon épouse, toujours en minijupe sans rien en dessous, a fait quelques essayages en laissant le rideau légèrement entrouvert. Mais le faible nombre d’hommes présents dans les rayons de vêtements féminins n’a pas donné de résultat satisfaisant. Toutefois, en prenant l’escalator, un veinard semble avoir profité de sa position en contrebas pour se rincer l’oeil. S’est-il rendu compte de l’absence de slip ?


Le soir même, après avoir pris un verre sur une terrasse (le serveur a-t-il vu plus que le haut des cuisses ?), nous sommes allés au parc de la citadelle. J’avais lu sur Internet que c’est un endroit parfois fréquenté par des couples exhibs.

Après un petit tour de reconnaissance, nous nous sommes assis sur un banc dans un coin reculé du parc et ma femme a bien écarté les cuisses pour que je puisse la caresser. Très rapidement, nous avons remarqué que nous n’étions plus seuls et qu’un espion guettait dans la pénombre. Il était suffisamment discret pour que ma femme accepte de le laisser regarder. J’ai masturbé ma femme jusqu’à ce qu’elle jouisse, puis elle s’est assise sur ma bite et j’ai commencé à la baiser. Un nouveau "promeneur" est alors venu nous déranger et nous avons dû interrompre nos ébats. Nous avons cherché un coin plus discret, mais apparemment notre manège avait été repéré et nous étions constamment suivis par un ou plusieurs voyeurs. Comme dit, ma femme accepte d’assouvir mon fantasme, mais il est hors de question pour elle de s’exhiber devant plusieurs mâles, surtout s’ils sont peu discrets et s’approchent de trop. Amis voyeurs, un conseil: sachez rester discrets, les couples qui attendent plus (participation) vous le feront savoir, pour ce qui est des autres, vous les ferez fuir en vous montrant trop entreprenants. Je ferme la parenthèse.

Pendant plus d’une heure, nous avons essayé de trouver une situation favorable pour reprendre nos ébats amoureux, mais à peine je relevais la jupe de ma femme et que je la prenais en levrette contre un arbre, que déjà la meute se rapprochait pour tout gâcher. Finalement, nous avons abandonné et je suis resté sur ma faim.


Cet été nous avons passé nos vacances au Grau du Roi. Sur Internet, j’avais appris qu’on y trouvait une plage naturiste de réputation assez sulfureuse. J’en ai avisé mon épouse et dès notre arrivée, je suis allé vérifier le bien fondé de cette réputation. En me baladant dans les dunes à l’arrière de cette plage, j’ai compris que je n’étais pas le seul "chasseur" sur les lieux. En effet, des dizaines d’hommes seuls se baladaient, certains la queue dans la main, à la recherche d’un éventuel "gibier". Mais lors de mes différentes "excursions" dans ces dunes, je dois avouer que je suis resté bredouille, ne débusquant que quelques couples d’un âge assez avancé, se livrant à des attouchements devant une horde de mâles qui s’astiquaient le manche. J’avais également constaté que dès qu’un couple se risquait dans ce "no mans land", il était immédiatement pris en chasse par tous les gars présents sur le secteur, ce qui décourageait systématiquement les candidats à l’exhib.

Pour pouvoir réussir mon plan, il fallait la jouer fine et trouver le moyen d’accéder discrètement aux dunes avec ma femme. Nous sommes partis du parking en empruntant un petit chemin et sommes arrivés dans le secteur que j’avais repéré sans passer par la plage. Nous nous sommes alors discrètement déplacés dans ce labyrinthe de chemins et de haies à la recherche d’un petit coin sympa, à l’écart des sentiers les plus courus. Nous avons bien croisés deux ou trois promeneurs, mais après une dizaine de minutes de marche, nous avons trouvé un endroit qui nous donnait satisfaction. J’ai déposé la serviette sur le sable et nous nous sommes allongés entre deux haies. Les éventuels arrivants ne pouvaient nous surprendre que par un seul côté, ce qui me permettait une surveillance optimale. J’ai relevé la jupe de ma femme et j’ai commencé à la caresser en lui suçant le sein, ce qu’elle adore.

Au bout de quelques minutes, il m’a semblé entendre un craquement et mon épouse s’est immédiatement raidie, me demandant si quelqu’un approchait. Mais je ne vis personne. Nous avons poursuivi nos attouchements et d’un coup, derrière les haies qui nous entouraient, j’ai vu dépasser la tête d’un homme d’une cinquantaine d’années. C’était l’un de ceux qu’on avait croisés auparavant, mais maintenant il était complètement nu, alors que tout à l’heure il était en short et tee-shirt. Mon épouse, couchée sur le dos, ne l’avait pas repéré et je me gardais bien de le lui faire remarquer. Je fis un signe de la main au gars pour lui indiquer qu’il devait se faire discret et ne pas se rapprocher plus près. Il était à guère plus de trois mètres de nos pieds et avait une vue imprenable sur les jambes écartées de ma femme. Je vivais enfin la situation dont je rêvais depuis des années.

Tout en continuant à caresser mon épouse, je pouvais observer notre voyeur qui, accroupi dans le sable, se paluchait à grande vitesse, les yeux lui sortant littéralement de la tête. Au bout d’un moment, ma femme remarqua cette présence, du fait de la respiration haletante de notre complice. Elle me demanda en murmurant s’il y avait quelqu’un et s’il était seul. Ce que je lui confirmai. Elle accepta de poursuivre notre jeu et eut un violent orgasme quelques minutes plus tard. Notre voyeur apprécia. Je me suis alors couché sur le dos, demandant à ma femme de venir me chevaucher. Ce qu’elle fit, sans jamais se tourner vers l’homme. Elle ne voulait surtout pas le voir. Notre nouvelle position permettait au voyeur grisonnant de découvrir le superbe petit cul de mon épouse. Il l’avait pratiquement à portée de mains et par-dessus l’épaule de ma femme, je le voyais se contorsionner pour encore mieux la regarder entre les fesses, que j’écartai d’ailleurs au maximum pour son plus grand plaisir. Ma femme ne voulant pas que la situation s’éternise, me demanda de venir me positionner derrière elle pour la prendre en levrette. Elle se mit à genoux, cul toujours tourné vers le voyeur et je l’ai chevauchée dans un état d’excitation maximal. Je tournais la tête pour fixer le veinard qui, visiblement n’en revenait pas de voir une si belle nana se faire troncher devant ses yeux. À ce rythme-là, je savais que je n’allais pas tenir bien longtemps et j’explosai rapidement entre ses fesses. Le temps de tendre un essuie-tout à ma femme, nous avons entendu des voix se rapprocher. Récupérant en toute hâte nos affaires, nous avons déguerpi au moment où trois jeunes hommes apparurent. Ils eurent tout juste le temps de voir un p’tit cul s’enfuir, accompagné d’un gars portant un short à la main, ainsi qu’un autre homme, le sexe encore tendu, courant récupérer ses fringues.