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n° 09619Fiche technique18692 caractères18692
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Temps de lecture estimé : 14 mn
29/08/05
Résumé:  Un homme, rencontré sur internet, me fixe rendez-vous dans sa maison de campagne
Critères:  fh extracon fgode fdanus fsodo attache bondage ecriv_f
Auteur : Cécile
Le Pal

Je suis loin d’être une sainte-nitouche. À 39 ans, quoique mariée, j’ai eu mon lot d’expériences. Des expériences de toutes natures, mais forcément extraconjugales.

Aussi étrange que cela puisse paraître, j’aime mon mari et pas uniquement pour sa fortune. Certes, il a une très bonne situation et nous avons vraiment une maison splendide : cela aide, mais cela ne fait pas tout. Mais, s’il n’avait été question entre nous que d’argent, je l’aurais quitté depuis belle lurette. Je ne suis pas femme à m’embarrasser de considérations matérielles.

Non, si je l’aime, c’est tout simplement parce que, sentimentalement, c’est l’amour de ma vie. Je lui ai fait deux magnifiques enfants, je l’ai comblé de petites attentions et, quoi qu'il arrive, je ne le quitterai jamais et je resterai toujours à ses côtés pour le soutenir.


Tout ceci ne m’empêche pas de le cocufier depuis toujours, cependant gentiment et dans la discrétion. Avant le mariage, je le trompais déjà. Alors, à plus forte raison depuis que nous sommes mariés. Mon mari a d’énormes qualités, mais il a également un vilain défaut : au lit, ce n’est vraiment pas ça.

Vous allez me dire que j’aurais pu l’aider, que c’était à moi de l’initier aux plaisirs des sens, que j’aurais pu le guider. C'est ce que j'ai fait, mais quand on n’est pas doué, on n’est pas doué. Certains sont irrécupérables ! Après avoir essayé pendant quelques années, j’ai fini par laisser tomber.

Néanmoins, ceci n’est pas réellement grave. J’accomplis mon devoir conjugal de façon très régulière, pour lui faire plaisir, et moi, de mon côté, j’ai mes propres aventures.


Mes petits amis, je les trouve sur Internet. Cela me semble moins risqué que de piocher dans le voisinage, une indiscrétion est si vite arrivée. En règle générale, je fais au moins la moitié du trajet, pour m’éloigner un tant soit peu de mon havre de paix. C’est pourquoi, après plus de vingt ans de tromperies, je pense que mon époux n’a guère plus de soupçons que la plupart des hommes. En tout cas, s’il en a, il ne le montre pas.




Il y a quelques mois, un monsieur me contacte, la cinquantaine bien tassée, charmant, bien fait de sa personne, cadre supérieur dans une grande entreprise. Distingué, élégant, subtil, cultivé, galant. Il m’envoie des photos. Pour son âge, il n’est pas mal du tout. Et, mes goûts étant très éclectiques, je me dis : « Pourquoi pas ? ».

Il habite un peu loin, mais possède une maison de campagne à une centaine de bornes, l’idéal pour moi, et nous décidons de nous retrouver là-bas. Reste à fixer le jour et l’heure. Le sexagénaire a apparemment un emploi du temps de ministre.





Ah, le cochon, je le vois venir. Sodo, uro, j’ai déjà à peu près tout essayé, même les légumes.



Là encore, il approuve.

Cette semaine, c'est impossible pour moi. J’ai déjà un rendez-vous galant ces jours-ci et je ne peux quand même pas m’absenter tous les jours. Nous reportons au milieu de la semaine suivante.




Me voici donc, à l’heure dite, devant une petite maisonnette, un peu à l’écart, à l’entrée d’un petit village. L’endroit est charmant. Mon hôte m’accueille avec galanterie, osant même un baisemain respectueux. Comme quoi les bonnes manières ne se perdent pas ! J’espère, quand même, qu’il n’est pas ainsi au lit, sinon cela risque d’être un peu barbant.

Nous nous installons sous la tonnelle. Mon hôte m’offre une boisson, je prends un Schweppes avec un peu de whisky.


Discussions anodines, il se veut séducteur :



Je le remercie de tant d’attentions. Cela me fait un peu penser à la fois où j’étais tombée sur ce jeune puceau qui m’avait tenu le crachoir pendant quatre heures. J’étais repartie avec un sacré mal à la tête, à défaut de repartir avec un sacré mal aux cuisses. Mais Raymond n’a pas le même âge, il ne doit plus être puceau depuis belle lurette.

Il veut savoir si je suis mariée, si je trompe souvent mon mari, si je pense qu’il va être à la hauteur : « Oui, oui et oui, je l’espère ! ». Il me demande si je suis sensuelle, si j’ai le bout des tétons sensibles, si je suis clitoridienne ou vaginale, si j’aime être caressée longtemps ou si je préfère les mouvements profonds et puissants. Eh bien, il n’a qu’à essayer, il le constatera par lui-même !


Depuis mon arrivée, je suis agacée, je suis venue ici pour me faire baiser, pas pour perdre mon temps à discuter. Cette atmosphère mielleuse, je ne la sens pas du tout. « Bon, calme-toi, ma fille, c’est un vieux, il prend son temps, c'est normal ».


Il m’entraîne enfin dans le living, pose un baiser bien chaste sur ma bouche, puis se recule :



L’obligeance, bien sûr ! et même l’extrême obligeance, monsieur. C'est tout ce qu’il veut pour commencer, un petit déshabillagetrès langoureux et très sensuel.

Mais, alors que je commence, genre strip-tease de cabaret :



« Comme tu veux, papy », encore un vieux maniaque ! Cela aurait été plus sexy autrement, mais bon, puisque ce sont ses désirs.

Il a saisi une baguette. J’espère qu’il ne va pas frapper trop fort. « S’il me fait mal, je m’en vais. » J’ai horreur de la violence. Mais non, il ne frappe pas. En tout cas pas pour l’instant. Devant mon regard un peu inquiet, il me dit :



Je me retrouve nue devant lui, avec juste mes chaussures et mes mi-bas.



Il tourne autour de moi.



Il utilise le bout de sa baguette pour titiller mes tétons. Le contact est un peu froid, mais pas désagréable. Puis il vient derrière moi et, toujours avec la badine, me tapote sur les cuisses afin que je les écarte légèrement. Le bout glisse le long de ma raie. Ensuite il fait de même de l’autre côté sur ma vulve.



L'espace d'un instant, je me dis : « Tiens, ce vieux est monté comme un âne ». À moins que, tout simplement, il ait besoin de donner cette impression pour exister, qu’il ait besoin de se sentir supérieur aux autres hommes pour tirer son coup.



Il ouvre la porte et s’efface pour me laisser passer.

Ce n’est pas réellement une chambre, on dirait plutôt une salle de gym. Maintenant que je vois l’appareillage, je commence à comprendre : ce sont des espèces de machines à plaisir. Je n’ai encore jamais essayé ce genre de choses, cela me fait bizarre. J'ignore si ça fait mal. Pourquoi cela ferait-il mal, ce ne sont finalement que des espèces de godes reliés à des automatismes. Oui, mais si la machine va trop vite, si les mouvements sont trop violents ou s’ils sont trop désordonnés ?


Raymond a compris mes inquiétudes et vient à mon secours :



Il vient près de moi, prend un de mes poignets et y attache un bracelet de cuir. Même chose de l’autre côté. Puis il passe derrière, j’entends des bruits métalliques. Je le vois revenir avec des chaînes qu’il va attacher aux bracelets.

Machinalement, je retire mon bras, j’ai un geste de recul.



Je le regarde droit dans les yeux… Après, il sera trop tard. Le vieil homme n’a pas l’air bien sadique.



Un poignet, puis un autre. À peine attachée, je le regrette déjà. J’ai presque envie de dire « Stop », rien que pour tester son honnêteté. Mais, à présent, je dois lui faire confiance.

Ensuite, il m’attache les pieds avec des cordelettes, ensuite les cuisses avec des bandes de tissu. Il tire fermement dessus jusqu’à ce que je sois largement écartelée. Désormais, je suis en grande partie immobilisée, même s’il me reste une petite liberté de mouvement. Cependant, la situation n’est pas trop inconfortable.


Raymond me laisse un court moment toute seule, ce qui me permet de regarder autour de moi. Tous ces appareils semblent terrifiants et surtout inhumains. Il revient avec une espèce de petit aspirateur qu’il pose pour l’instant sur la table. Je sens que les hostilités vont bientôt commencer, j’ai un peu peur, je suis stressée. Il est en train de bricoler quelque chose, je ne vois pas trop ce qu’il fait. Je sens comme un liquide entre mes cuisses, c’est gélatineux, c’est froid. Je comprends qu’il est en train de me lubrifier en abondance. Puis je sens un gode qui s’enfonce en moi. Lubrifiée comme je suis, l'objet s’enfonce comme dans du beurre et je le sens à peine. Enfin, je perçois le cliquetis d’une machine que l’on vient de démarrer et le gode se met à aller et venir en moi, pas très vite, mais assez profond.


Au bout d’un certain temps, Raymond revient vers moi :



Il branche l’aspirateur, je viens de comprendre à quoi ça sert. Il y a deux cloches au bout d’un long fil, il en pose une sur chacun de mes seins. Ça va, c’est supportable, l’aspiration n’est pas trop forte.

Bientôt un troisième élément vient s’ajouter : un appareil vibrateur qu'il pose sur moi au niveau de mon clito. Je commence à être sérieusement stimulée, sinon excitée. À ce rythme-là, je vais jouir très vite, le clito plus le dildo qui me ramone, infatigable.


Raymond tourne un bouton, il augmente la cadence. L’instant d’après, c’est l’aspiration sur mes seins qui s’accroît. Cette fois-ci, je sens nettement la pression dans mes tétins, ils durcissent, ils s’érigent. Je vais jouir très très vite.


Mais le vibrateur s’arrête, suivi de l’empaleuse, il n’y a plus que mes seins qui sont sollicités.



Il bricole encore et, quelque temps plus tard, il rebranche la machine. Vitesse très réduite, mais l’engin est de taille. Je le sens bien, il me laboure le vagin. Il est fort, imposant et toujours infatigable. Les minutes s’écoulent : toujours aucune stimulation sur mon clito, j’ai presque envie de la demander, en revanche la pression s’accroît au niveau des seins. Des spasmes de plaisir me traversent la poitrine et mon sexe est en feu. Le rythme s’accélère un peu, encore un peu plus, je suis hors de moi, mon corps est arc-bouté, cette jouissance qui ne vient toujours pas !

Enfin le retour du vibrateur, pas besoin de le laisser longtemps : je crie, je hurle, je me débats, je jouis de tout mon être. Mais la défonceuse est infatigable. Elle continue sa cadence infernale, à laquelle s’ajoutent les vibrations et l’aspiration de mes seins tuméfiés. Mon Dieu, je jouis encore et encore une autre fois à la suite. Cette jouissance est infernale, j’ai envie que ça s’arrête, je n’en peux plus, je vais dire « Stop »…


Mais, non, la pression vient de retomber au niveau des tétins et les vibrations ont de nouveau disparu. Ne reste plus que le lent va-et-vient de l’engin qui me pistonne. Sa vitesse décroît graduellement : tout est fini, quelle jouissance !



Je n’en crois pas mes oreilles, ce type est fou, je n’en peux déjà plus.

Il retire le piston, je dois être béante, ouverte comme jamais. Je sens un liquide visqueux qui rentre dans ma chatte. Ça me chauffe un peu. Et une crème qu’il étale sur mes lèvres. Mon petit trou lui aussi est à l’honneur, il est lubrifié, inspecté, pluggé. Le plug reste bien enfoncé dans mes fesses.


Puis la machine redémarre et je sens un truc énorme glisser entre mes cuisses. Trop gros, ça ne va pas passer, je me mords les lèvres. Contre toute attente, cela rentre en moi, c’est en train d’exploser mon vagin. Et, le pire, c’est que ça bouge lentement…

Ce pal démesuré me transperce et me ramone. C’est horrible, j’ai l’impression d’être fendue en deux. Mais la douleur ne dure que quelques secondes. La crème chauffante fait son effet. J’ai l’impression que je vais déjà jouir. Il suffirait d’un rien, d’une petite vibration, mais le va-et-vient est imperturbable. Quand la trayeuse de seins redémarre, je jouis presque instantanément. Quelques minutes plus tard, c’est au tour du clito vibrant de me terrasser.


Mais le rythme s’accélère encore. Je ne suis plus qu’un trou énorme pourfendu de toutes parts par un mandrin surdimensionné : « Non, non, non… Arrêtez, je vous en supplie… ». Je crie, je hurle, je jouis. Oh, non, cela recommence déjà. Non, stop. Non, je n’ai pas dit « Stop », je ne dois pas le dire. C’est insupportable, je jouis encore, je suis à fleur de peau. Ça va toujours plus vite. Je crie, je me débats. « Non, non, non, arrêtez, j’ai mal, je n’en peux plus ».


Je mets un point d’honneur à ne jamais dire « Stop », le mot fatal. Mais, quand le vibrateur revient sur mon clito et que tout s’accélère et que tout devient fou, et que je jouis, que je jouis, que je jouis… je ne suis plus que jouissance. Alors là non, je suis à bout, je n’en peux plus, je vais crever :



Toutes les machines s’arrêtent presque en même temps. Le silence revient tout à coup dans la pièce. Ne reste que le bruit des chaînes de mes bras endoloris. Je me sens courbaturée de partout, déchirée de partout, tuméfiée de partout. Je me sens comme une petite vieille… qui vient de jouir une bonne vingtaine de fois.



À ce moment précis, je ne suis pas sûre d’avoir envie de recommencer une autre fois.

Il me détache, je peine à me rétablir. Je me redresse enfin, je suis fourbue. Le cylindre qui vient de me transpercer est véritablement énorme. Je suis stupéfiée d’avoir eu ça en moi. J’essaie de me mettre debout, mais je titube un peu. Il me faut du temps pour me réhabituer. Je suis tellement groggy que je ne m’aperçois même pas que j’ai encore le plug anal en moi. Ce n’est qu’au bout de quelques pas… Je le ressors péniblement, lui aussi est de bonne taille.


Je suis encore toute retournée quand j’entends Raymond me dire :



Je me retourne, effarée, je lui fais « Non » de la tête.



J’en doute. En attendant, nous repassons sous la tonnelle. J’avale un litre d’eau, je suis totalement déshydratée.

Une impression d’irréalité flotte en moi. Dire que l’instant d’avant, j'étais torturée par cette machine et que désormais, je me prélasse sous la tonnelle.



Je n’en ai pas trop envie, que va-t-il encore me faire ? J'ai le sexe cassé, il va me falloir plusieurs jours pour m’en remettre. Mais, il me rassure, il m’embobine avec sa voix monocorde et je finis par le suivre.


Il me fait mettre à quatre pattes sur des coussins. Le lit est doux et agréable. Ensuite, il ferme les lumières. La pièce est particulièrement sombre, on ne voit rien du tout. Je l’entends se déshabiller derrière moi. Je n’ai guère envie de cette pénétration.

Mais, il s’approche derrière moi, pose ses mains sur mes fesses, c’est le premier contact physique réel que nous ayons ensemble. Puis je sens quelque chose s’enfoncer entre mes fesses, dans mon petit trou : un tout petit sexe. Après le passage du plug anal, je le sens à peine.

Raymond me sodomise à son rythme, sensuellement, en me caressant doucement la croupe. Après la fureur de l’empalement, cette sodomie est délicieuse. Cela dure quand même un bon moment, jusqu’à ce qu’il jouisse enfin entre mes fesses. Je sens les spasmes de son sexe qui se vide dans mon anus. Ensuite, il se retire. Je l’entends se rhabiller. Il rallume la lumière : c’est fini, je peux rentrer chez moi.


Je récupère mes habits au salon. Il me demande si je reviendrai, si je suis prête à recommencer et même à aller plus loin. Nous reprenons rendez-vous deux mois plus tard pour une nouvelle séance, je dois être totalement folle d’accepter ça…




Depuis, je suis retournée là-bas deux fois. À chaque fois, la jouissance a été magnifique, encore plus forte que la première fois. Le seul petit problème, c’est qu’à chaque fois, je mets bien une semaine à m’en remettre. Pendant huit jours, pas d’amant, pas de mari, repos total. Cependant, le jeu en vaut bien la chandelle et j’attends avec impatience… la prochaine fois.