n° 09620 | Fiche technique | 15241 caractères | 15241 2506 Temps de lecture estimé : 9 mn |
29/08/05 |
Résumé: Mon amie refuse la sodomie; elle me présente une copine qui n'aime que ça ! | ||||
Critères: fh anulingus fgode fdanus fsodo | ||||
Auteur : Gérard B |
Cela faisait une bonne dizaine de fois que je sortais avec Virginie, une très jolie jeune femme rencontrée en boîte. Et, pour la deuxième fois en quelques jours, profitant de notre relative ébriété à tous les deux, je venais d’essayer d’abuser de son petit trou.
Elle me repoussa violemment et commença à se rhabiller :
À force de palabres, je finis par avoir raison d’elle.
« Ok, ok, comme tu voudras, ma belle ! », ai-je pensé, dépité.
Je suis allé chercher des bières et nous nous sommes mis à discuter sur le sofa. Virginie, c’est le genre de fille ouverte, très éclectique, avec qui l’on peut discuter de tout. Elle ne se prend jamais la tête et l’on peut vraiment aborder tous les sujets.
J’aurais dû dire « pas souvent », cela aurait été plus proche de la réalité.
J’ai failli m’étrangler.
Le lendemain, à l’heure dite, je me gare face au supermarché. Virginie est déjà là, elle m’attend devant la porte.
Elle m’entraîne dans le magasin, elle en profite pour faire ses courses. Je ne comprends pas trop pourquoi elle m’a donné rendez-vous ici.
Nous faisons la queue, il y a pas mal de monde, c’est d’un chiant !
J’ai l’impression qu’elle se moque de moi. Mais j’acquiesce du bonnet. Après tout, on verra bien.
C’est alors que je comprends que la caissière en question c’est la fameuse Christine, Christine la sodomite, dite Cricri. Pas spécialement jojotte la caissière, et surtout pas souriante. Ça ne m’étonne pas trop qu’elle vive seule avec cet air renfrogné.
Christine tourne les yeux vers moi, un petit signe de tête mais pas le moindre sourire et simplement un « bonjour », hospitalier comme une porte de prison.
« Avec plaisir » : je ne sais pas, elle a l’air tellement aimable !
À la sortie du magasin, Virginie me demande ce que j’en pense :
20 h 15, j’arrive devant la porte du magasin. Elle est là, elle m’attend. Tout juste si je ne me fais pas engueuler parce que je suis à l’heure. Elle s’engouffre dans la voiture sans faire de commentaire.
Elle ne répond même pas. Mais, tandis que je prends les boulevards, elle me lance :
Ça met tout de suite dans l’ambiance. Aucun sentiment, elle est froide et distante. Rien de bien emballant. Nous arrivons enfin chez elle. Elle habite deux étages au-dessus de Virginie, juste en dessous des toits, deux petites pièces presque pas meublées, elle doit se faire chier à cent sous de l’heure.
La porte à peine fermée qu’elle laisse tomber sa jupe. Elle ne s’embarrasse pas de préliminaires et il lui faut aussi peu de temps pour retirer sa culotte. Elle va directement s’agenouiller sur le canapé en me tendant son cul. Ses fesses, un peu plates, sont malgré tout appétissantes. Elles sont d’une blancheur immaculée.
Au moins c’est explicite. Elle écarte ses fesses et me présente son petit trou brun. À genoux derrière elle je glisse ma langue dedans. Un goût assez âpre, une odeur assez forte, mais pas désagréable. Je n’ai guère l’habitude de sucer des culs, même ceux qu’il m’est arrivé de défoncer. Je m’applique néanmoins, je ne veux pas passer pour un incapable. J’enfonce la pointe de la langue, elle a l’air d’apprécier. Elle pousse son cul vers moi et m’encourage à aller plus loin.
Je comprends bientôt qu’il faut que je rajoute mes doigts. Ils rentrent dans son œillet comme dans du beurre. Un doigt, deux doigts, son anneau semble très souple.
C’est une vraie obsédée qui ne parle que de son petit trou. Dans la commode, il y a aussi des plugs, des godes, des boules anales, un spéculum, une poire à lavement, tout l’attirail de la parfaite sodomite.
Je reviens vers elle, je bande comme un sagouin… rien que de savoir qu’elle se cherche des mecs pour se faire trouer les fesses… Et puis, si ça se trouve, ceux qui ne le font pas, elle les largue illico.
Deux doigts, trois doigts, son petit trou percé, je l’assouplis, je le prépare :
Je rentre sans trop forcer, entièrement, jusqu’à la garde. Je suis accueilli par un « Hummm » de reconnaissance. D’habitude les filles montrent certains signes de douleur lors de cette pénétration. Mais elle, non, pas du tout. Elle a l’air de vraiment aimer ça, son visage reste serein sur le coussin, alors j’y vais de bon cœur dans ses entrailles. Je la pilonne, je la martèle. Elle commence par gémir, elle finit par crier. La fenêtre est ouverte, les voisins doivent entendre. Elle me sent venir, elle jouit presque en même temps que moi.
Ensuite elle se dégage. Je vois le gros trou que j’ai fait à son cul. Je trouve ça excitant de la voir ainsi percée.
Je saisis le plus gros, celui de plus gros diamètre. Celui-là va avoir de la difficulté à rentrer, en tout cas entièrement. Je commence à branler son cul avec. J’y vais fort, j’appuie bien.
Finalement, petit à petit, il rentre plus à fond. Elle semble comme folle, elle crie, elle mord le coussin, j’ai peur de lui faire mal, mais non : « Vas-y, à fond, qu’elle me répète ». Je finis par rentrer l’engin surdimensionné jusqu’au fond de son cul. Elle exulte, elle aime ça. Je tourne l’objet dans son fondement. Et avec l’autre main je frotte sa chatte clairsemée. Elle n’en peut plus : elle crie de toutes ses forces, une jouissance inhumaine sort de ses entrailles.
Ensuite, je contemple un bon moment ce gros plug obscène qui émerge de son fessier.
Cette fois-ci, je l’installe sur le dos. Je sors le plug et glisse en elle comme dans du beurre.
Je la bourre bien fort. Elle me regarde avec des yeux particulièrement lubriques. Elle en veut encore, j’accélère la cadence, je lui explose l’anus. Encore dix bonnes minutes et je m’épanche en elle.
Sa chatte est intacte, inviolée. Alors que je me retire, et elle commence à se la branler.
Je viens à son secours pour la lui lécher. Tout en lui dévorant le sexe, je sens l’odeur forte de son cul troué, particulièrement excitante. J’ai presque envie de recommencer. C’est elle qui m’en empêche, elle est un peu ulcérée après un tel traitement.
Après avoir bien joui en se faisant bouffer, elle va chercher de la pommade réparatrice et s’en enduit les fesses.
Mince alors, c’est une vraie obsédée.
Le soir en question, je la retrouve déjà engodée sur un engin de fort diamètre.
Je vois qu’elle a sorti la grosse artillerie : des gods, des plugs, il y en a plein sur la table. Je vais l’aider à se branler le cul. Elle est à quatre pattes sur le tapis, dans le salon.
Le trou de son anus est imposant, largement béant quand je retire le gode. Je lui enfonce un autre dildo. Il est plus long, je vais plus loin. Elle apprécie d’être bien remplie.
Après cela, mon sexe nage dans son fondement, il est ridiculement petit face à l’énormité de l’ouverture. Alors je lui claque les fesses pour compenser. J’accélère la cadence comme un malade et ça lui fait de l’effet. Elle hurle sa jouissance par la fenêtre grande ouverte pour en faire profiter tout le quartier.
Lorsque je retrouve Virginie quelques jours plus tard, elle me semble bien fade. Toutes les femmes, désormais, me semblent d’ailleurs bien fades. Je me suis peu à peu habitué à l’anus éclaté de Christine et à ses pénétrations hors normes. Son délire, maintenant, ce serait de se faire fister les fesses, mais nous n’avons pas encore essayé. D’autre part, elle aimerait aussi beaucoup me défoncer l’anus, mais j’ai encore un peu de mal à sauter le pas. Je la laisse me lécher et enfoncer ses doigts mais, pour l’instant, pas plus loin… bientôt peut-être.
Je l’ai même présentée à mes potes, ainsi qu’à mes parents. Je crois que tout le monde se demande un peu ce que je fais avec cette fille-là. Elle n’est pas vraiment belle, pas spécialement intelligente et, il faut bien le reconnaître, complètement inculte. Qui plus est, elle n’est pas spécialement aimable avec mes amis.
Mais qu’importe, depuis que j’ai goûté à sa perversité, je ne peux plus m’en passer. Et, plutôt que de passer nos soirées au théâtre, nous fréquentons les sex-shops, c’est tout aussi instructif !