n° 09621 | Fiche technique | 8846 caractères | 8846Temps de lecture estimé : 6 mn | 29/08/05 |
Résumé: Ma femme Caroline accepte un pari et se laisse entraîner dans la luxure. | ||||
Critères: fh fhh extraoffre inconnu hépilé fépilée exhib noculotte hmast rasage fellation 69 pénétratio fsodo init ecriv_c | ||||
Auteur : Thomas/Caroline Envoi mini-message |
Nous nous présentons : nous sommes un couple marié depuis 5 ans. Ma femme Caroline, 30 ans, possède un joli corps mince, des fesses bien fermes et de beaux seins qui tiennent très bien. Quant à moi, Thomas, j’ai 35 ans et j’ai pris depuis un certain temps quelques kilos en trop.
Caroline était assez sage au début de notre relation ; je l’ai dévergondée au fur et à mesure mais tous nos jeux érotiques ne se déroulaient que dans notre seule intimité. Souvent, pendant que nous faisions l’amour, nous élaborions des scénarios où Caroline se faisait prendre par un ou des inconnus, elle fermait les yeux et mouillait abondement.
Caroline me taraudait régulièrement pour que je perde les kilos que j’avais en trop et, un soir de printemps, je lui ai proposé un marché : en échange de mes efforts, Caroline aurait des défis à réaliser.
Elle accepta très rapidement, elle semblait assez sûre que je n’arriverais pas au bout de mes huit kilos.
Le marché était simple : après avoir perdu trois kilos, je voulais qu’elle ait en permanence son sexe épilé, après cinq kilos elle ne devait plus porter de culotte ou de string sous ses jupettes, enfin à huit kilos, je voulais qu’on passe une soirée dans un club et qu’on fasse l’amour en public. Le premier pari ne lui posait pas de problème, mais elle était plus réticente pour le second et très réservée pour le troisième. De toute façon, elle ne me croyait pas capable d’arriver aux huit kilos.
Je me suis remis à faire régulièrement du sport et à surveiller mon alimentation. Au début de l’automne j’avais retrouvé mon poids de forme et donc perdu environ neuf kilos. Lors de ma pesée dominicale, j’ai fait constater à ma femme mon nouveau poids, elle était ravie mais inquiète de la suite.
Au cours de la semaine, nous nous sommes renseignés sur les clubs échangistes de la région et en avons sélectionné un pour le samedi suivant. J’ai aussi fait les magasins de vêtements pour trouver une tenue à Caroline. J’ai réussi à dénicher une fine robe à bretelles qui ne cacherait pas grand-chose de sa plastique admirable.
Le samedi après midi, après avoir placé les enfants chez leurs grands-parents pour le week-end, Caroline a entièrement épilé son sexe puis le mien. Je lui ai fait remarquer qu’elle était complètement trempée entre les jambes, elle a rougi. Après le bain, alors qu’elle se choisissait une tenue pour la soirée, je lui ai montré la robe que je lui avais achetée. Elle l’a essayée, elle se sentait presque nue dans cette robe mais elle s’est sentie encore plus nue lorsque que je lui ai rappelé qu’elle ne devait pas porter de sous-vêtements. Elle refusa pour le principe, mais un pari est un pari…
Durant toute la route jusqu’au club, mon sexe était complètement dur ; savoir que ma femme était à côté de moi, rasée et sans culotte, m’excitait beaucoup.
Au club, après avoir déposé nos vestes, nous nous sommes installés au bar pour découvrir l’endroit. Les lumières étaient tamisées, la décoration était tout en bois et la température était douce. Au comptoir, nous sommes restés debout et avons commandé deux cocktails. Venant pour la première fois dans un tel lieu, nous n’avons cessé de regarder et d’observer les différents couples et personnes qui s’y trouvaient. Caroline m’a avoué que son sexe était complètement trempé et qu’elle sentait sa mouille couler un peu le long de ses jambes. Mon sexe ne débandait pas, cela faisait sourire Caroline.
À un moment, Caroline a sursauté. Come je l’interrogeais du regard, elle se pencha à mon oreille pour me dire qu’une main étrangère lui caressait les fesses sur sa robe. Un peu partout autour de nous, des couples se collaient et des mains exploraient les corps. J’ai souri à Caroline et je lui ai dit que ce n’était pas très grave, l’endroit voulait ça. Elle semblait gênée mais excitée.
L’homme qui lui caressait les fesses avait dans les quarante ans et, voyant que je disais rien, il a entamé la conversation le plus naturellement du monde en continuant à caresser les fesses de Caroline. C’était un habitué des lieux, la conversation a été très cordiale, il voulait savoir si c’était la première fois et ce qu’on venait chercher. Tout en discutant, sa main avait remonté la robe de Caroline, ses doigts passaient directement sur ses fesses et les personnes aux alentours pouvaient voir les fesses de ma femme. Caroline m’a soufflé dans l’oreille que ses doigts étaient au bord de son sexe trempé et qu’elle ne voulait pas aller plus loin. À peine m’avait elle dit cela qu’elle sursauta et ferma les yeux en soupirant. L’homme avait glissé un doigt dans la fente de Caroline et il la caressait avec finesse.
Caroline me rappela notre pari, et j’expliquai à notre hôte que nous n’étions pas là pour cela mais que, s’il voulait, il pouvait nous accompagner dans une alcôve pour nous voir baiser. L’homme accepta avec le sourire.
Bras dessus bras dessous, Caroline et moi sommes entrés dans une alcôve où il y avait déjà un couple qui faisait l’amour. À côté d’eux, trois hommes étaient nus et se masturbaient en les regardant.
Caroline et moi étions très excités ; à peine sa robe avait elle quitté son corps qu’elle m’arrachait ma chemise et mon pantalon.
Nus, collés l’un à l’autre, nous n’avions plus d’appréhension, nous nous embrassions avec fougue et nos mains fouillaient le corps de l’autre. Nous avions soif de sexe et j’encourageai Caroline à se donner à fond, à se montrer, à être impudique au possible. Ses dernières inhibitions avaient sauté, elle se sentait salope, très salope…
Couchée sur le dos, elle écartait bien les jambes pour montrer son sexe épilé, je n’eus aucun mal à glisser mon sexe dans le sien. Chaque fois que je la pénétrais elle disait à haute voix qu’elle sentait bien ma bite, qu’elle aimait se faire fourrer comme une chienne. Je ne voulais pas jouir dans sa fente, je voulais qu’elle montre à nos spectateurs comme elle me suçait bien. Je me suis dégagé de sa chatte et, couché sur le dos, je l’ai fait se mettre en 69. Caroline me pompait la bite comme une damnée avec des bruits de succion à faire bander un mort. Sa fente ruisselait de mouille, je la léchais et la buvais comme un fou.
Trois hommes nus, dont notre hôte, se branlaient sans un mot à côté de nous. Le sexe de notre hôte était de belle taille, il se branlait à 50 cm du cul de Caroline. J’ai tendu la main et délicatement attrapé son sexe bandé. Je l’ai tiré en le caressant doucement et j’ai approché son gland de la fente de Caroline. De son côté, Caroline continuait à me lécher et me pomper comme une chienne, elle n’a pas réagi quand j’ai commencé à frotter le gland de notre hôte contre sa fente. En deux passages, son gland était couvert de mouille, Caroline bougeait les hanches pour amplifier les sensations. Elle ne pouvait pas ignorer que ce n’était plus mes doigts…
J’ai pris le sexe de notre hôte sous ses couilles velues à sa base et je l’ai accompagné dans la fente de ma femme. Quand je ressortais sa bite, le corps de Caroline reculait et venait reprendre ce bâton de chair. Caroline avait délaissé ma bite, elle suçait un de nos spectateurs. J’étais sous ma femme prise par deux inconnus ; elle, si prude, se comportait comme une salope.
L’homme qu’elle suçait a rapidement éjaculé sur son visage et l’autre s’est vidé sur ses fesses en hurlant son bonheur. J’étais estomaqué par le comportement de Caroline. Du sperme coulant sur ses joues et sur ses fesses, elle m’a demandé si je l’aimais encore et si je voulais bien jouir en elle. J’ai souri et je l’ai embrassée. Elle s’est mise à quatre pattes et m’a demandé de jouir entre ses fesses.
J’ai enculé Caroline sans ménagement, elle était bien ouverte, à chaque coup de boutoir, elle me relançait, me demandant si ça me plaisait d’enculer une salope ou ce que ça me faisait de voir ma femme baiser comme une chienne. J’ai pas tenu très longtemps, j’ai joui comme jamais dans son cul.
On s’est écroulé tous les deux sur le tapis et on a rigolé.
Pour une première, c’était une belle première.
On réfléchit à de prochains paris qui pimenteraient notre vie sexuelle…