n° 09629 | Fiche technique | 17816 caractères | 17816Temps de lecture estimé : 10 mn | 31/08/05 |
Résumé: Suite torride d'une aventure de plage ... | ||||
Critères: fplusag jeunes inconnu poilu(e)s vacances fmast fdanus hdanus champagne uro | ||||
Auteur : Bodding (Conteur occasionnel) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Approche au Lunapark Chapitre 02 | Fin provisoire |
La matinée torride avec Marianne m’avait cependant laissé sur ma faim, car elle m’avait vraiment utilisé, me privant de contact avec son corps pourtant dénudé.
C’est dire si j’attendais le soir avec impatience !!
Vers 21h, comme prévu, j’ai sonné à l’appartement de ma jolie vacancière. Il s’agissait d’un quatrième avec vue sur mer. Tout respirait le luxe et le bon goût. Ce n’était visiblement pas une résidence secondaire meublée à la hâte.
Mon hôtesse était nu-pieds, revêtue d’une sorte de kimono noir à large ceinture nouée. Cette couleur et ce style mettaient bien en autant en valeur sa taille que son teint hâlé. Je n’avais pas fait grand frais de toilette, un pantalon classique et une chemise blanche très sport.
Marianne m’accueillit par un très léger baiser à la commissure des lèvres et me fit signe de m’asseoir à ses côtés sur un vaste canapé aux coussins profonds. On s’y enfonçait profondément et c’était d’un confort remarquable.
Son mouvement dénuda son genou jusqu’à mi-cuisses. Elle ne fit rien pour remettre en place le pan de son peignoir. Je ne m’en plaignis pas et, au contraire, j’en ai profité pour déposer ma main sur cette chair douce et chaude.
S’approchant de moi, Marianne mit également sa main sur ma cuisse, mais vraiment très près de mon sexe dont elle devait presque ressentir les palpitations. Lovée presque dans mes bras, elle se mit à parler doucement, presque sans me regarder :
Je la laissai parler calmement sans l’interrompre, mais ma main avait remonté le long de sa cuisse et se trouvait maintenant sous le peignoir. Comme elle ne réagissait toujours pas, je me suis vite trouvé en contact avec un bout de tissu qui, au toucher, devait être un string de soie. J’ai glissé deux doigts dans l’échancrure et suis ainsi venu en contact avec cette toison dont j’avais déjà pu constater l’abondance ce matin. Je jouai avec les longs poils, me rapprochant de ses lèvres dont je devinai déjà l’humidité.
Soudain Marianne s’exclama :
J’ai évidemment retiré ma main, mais je l’ai laissée sur la cuisse, assez haut sous le kimono.
Ma compagne continua :
Ce matin, dans la cabine de plage, j’ai pu réaliser une partie de mon fantasme, j’ai pu goûter, sucer, caresser, palper, jouer avec ton sexe si dur !
Je ne m’explique encore rien à moi-même, sauf que d’un seul coup, j’ai jeté aux orties tous mes principes de fidélité.
C’est cependant ma première coucherie extraconjugale et je te demande de ne rien brusquer, de ne pas aller trop vite et de ne pas me forcer à faire des choses que je refuserais. Je suis très classique en amour.
J’avais laissé parler Marianne sans l’interrompre, mais maintenant c’était à moi, non pas de parler, mais d’agir !
En bonne hôtesse, Marianne me proposa de boire un peu de champagne. Elle avait mis au frais un Roederer Cristal et elle s’en alla dans la cuisine chercher la bouteille. Elle l’ouvrit avec la dextérité de l’habitude. Elle semblait avoir perdu une partie de ses inhibitions, car elle ne se souciait guère de sa cuisse qui émergeait de son peignoir et, lorsqu’elle s’est penchée pour servir les verres, j’ai vu dans l’échancrure de son kimono que ses seins étaient nus. Elle se rassit à côté de moi et nous avons bu un peu de ce délicieux champagne.
J’en ai pris une abondante gorgée et, sans l’avaler, je me suis approché des lèvres de Marianne et j’ai entrepris un long baiser laissant filtrer le champagne de ma bouche à la sienne. Elle a vite compris le jeu et nous nous sommes ainsi amusés quelque peu à nous échanger notre champagne, plutôt que de le boire au verre.
Entre deux gorgées je lui ai murmuré à l’oreille :
C’était osé, mais je voulais tester.
Sa seule réponse a été :
La première bouteille de Rœderer fut vite vide et Marianne s’empressa d’en ouvrir une seconde. Nous étions déjà tous deux rendus assez gais par les bulles et ma main s’était maintenant franchement égarée du côté de son pubis, franchissant la soie et batifolant dans sa foufoune, caressant les lèvres et palpant avec beaucoup de douceur son bouton d’amour déjà bien dressé.
Les doigts de Marianne avaient défait le zip de mon pantalon, ouvert celui-ci et fait surgir ma verge bien dressée. Elle en jouait comme d’un jouet, sans précipitation, comme pour l’étudier, en apprécier le comportement. Elle découvrait le pli du gland, titillait le méat, faisait glisser la peau de ma hampe, s’attardait sur mes bourses, tout cela très lentement, faisant accroître encore mon plaisir naissant.
Nos bouches faisaient aussi connaissance, nos langues apprenaient à se goûter, se mélangeaient en une danse au rythme lent. Tout cela laissait présager une longue nuit d’amour bien préparée.
Marianne se redressa et me dit :
Elle se dirigea vers une porte que je devinai être celle de la toilette. C’est vrai qu’après tout ce champagne, j’avais aussi envie d’uriner.
Je me suis aussi levé et la queue au vent, bien dressée, j’ai ouvert la porte de la toilette. Marianne était assise sur le pot, jambes bien ouvertes, le peignoir baillant sur ses deux seins imposants.
J’entendais distinctement le bruit de son urine dorée qui s’écoulait dans le pot. J’ai glissé ma main entre ses cuisses et me suis mis à caresser son entrejambe pendant que le jet chaud se déversait sur mes doigts. Marianne devait être sous l’effet de l’alcool pour ainsi me laisser fouiller son intimité dans un moment aussi personnel.
Distraitement, elle s’empara de ma verge qui était juste à sa hauteur et se mit à doucement la caresser du bout de sa langue.
Je n’ai pu continuer à la laisser ainsi me caresser, car mon besoin devenait pressant. Guidant alors ma verge toujours bandée vers le bas, dans un gros effort j’ai pu libérer un peu de ma vessie. Je visais la foufoune de Marianne qui, les cuisses ouvertes continuait toujours de pisser. Elle se laissait faire, un peu inconsciente. Mes premiers jets d’urine facilitèrent les suivants, en me faisant un peu débander.
Quelle scène à laquelle je n’aurais jamais osé rêver ! Me voici, verge au vent, en train d’uriner sur le pubis de ma compagne, après l’avoir caressée en pleine évacuation de ses urines ! Elle semblait aimer cela ou, tout au moins cela ne semblait pas lui déplaire. Il est vrai que les bulles libèrent de beaucoup de choses !!!!
Marianne s’est levée, oubliant de refermer son peignoir et, sans se laver s’en est allée vers le salon. Je l’ai suivie, mais, en chemin, je me suis débarrassé de mes vêtements et c’est intégralement nu que je me suis assis à ses côtés. La gourmande vidait le dernier verre de champagne. Dans quel état allait-elle être ?
Cette femme du monde, si BCBG et au langage habituellement si châtié était maintenant vautrée sur le canapé, peignoir ouvert, seins découverts et les cuisses ouvertes montrant une toison pubienne encore toute humide de son urine. Elle avait à côté d’elle un jeune homme nu qui venait de lui pisser dessus et qui allait bientôt la pénétrer. C’est pour cela qu’il était là, non ?
Ma compagne avait mis une de ses jambes sur l’accoudoir du canapé et faisait ainsi bâiller son sexe. Elle se mit à y fourrager comme pour une masturbation solitaire. Et moi alors ? Elle semblait m’avoir oublié, dans les vapeurs de l’alcool.
J’ai regardé attentivement la scène un peu surréaliste de cette femme si distinguée quelques heures auparavant, maintenant en train de chercher son plaisir par de frénétiques mouvements bruyants dans son vagin, nue, ouverte, mouillée et en présence de son futur jeune amant. Elle avait les yeux fermés et haletait, cherchant son plaisir dans de grands mouvements de son bassin. Un, deux puis trois doigts étaient profondément enfouis en elle. Son état d’excitation devait être à son paroxysme, comme en témoignait le bruit de clapotis qui sortait de ses cuisses.
Son autre main caressait ses seins sans retenue, tirant les pointes, malaxant les globes, les palpant, jouant avec eux. Soudain, elle ouvrit les yeux et, me regardant, comme un peu surprise de ma présence, dit :
J’ai pensé qu’elle allait m’entraîner vers la chambre, mais, non, elle n’y arriva pas, trébucha sur une table basse et se retrouva sur le dos, couchée sur l’épais tapis de laine blanche.
Elle avait retroussé ses jambes, ouvert les cuisses et dans une pose totalement impudique, elle me montra l’endroit où elle voulait que j’arrive.
Je n’avais jamais fait l’amour avec une femme un peu éméchée et surtout mature en plus, mais cela ne me déplaisait pas, car je sentais bien que toutes les audaces étaient permises. Moi-même, bien chargé en alcool je n’avais plus beaucoup de retenue.
Je me suis couché dans la fourche de ses cuisses et sans préliminaires, nous étions prêts tous deux depuis longtemps, je me suis introduit avec fougue dans sa grotte qu’elle avait laissée béante.
Dieu que c’était mouillé !!! Elle devait déjà avoir joui plus d’une fois pour une telle quantité. Ma verge se promenait en un va-et-vient rapide et Marianne se trémoussait sous moi, se tordant, avançant son bassin pour mieux se faire pénétrer. Elle ne disait rien, mais geignait à petits cris comme une chienne qui accouche et quelquefois se laissait aller à des feulements de louve en rut. Elle était toute à son plaisir et je sentais son vagin se contracter autour de ma queue dans un affolant massage … Son kimono n’était plus qu’un chiffon autour d’elle …
Pourvu qu’Aurélie dorme bien et que sa porte soit fermée à clef, sinon elle en aurait à raconter à son père à son retour !!!!
Je ne suis pas demandé si elle prenait la pilule ou bien si elle désirait que je me protège ….Nous avions passé ce cap et certainement que dans son monde cela ne se demande pas ….
Sortant de ses bruits confus de jouissance, Marianne échevelée, ouverte, offerte, nue, dit :
Je ne me le suis pas fait dire deux fois et c’est à longs jets épais que je me suis épanché en elle… Sa tête ballottait de gauche à droite, ses seins suivaient les mouvements de son corps et, pour mieux me sentir s’écouler au plus profond d’elle-même, elle avait ramené haut ses cuisses, plaçant ses jambes sur mes épaules…
Bien après mon éjaculation, j’ai continué mes mouvements en elle en ralentissant le rythme pour finalement me retirer mi-bandant, le sexe humidifié par nos deux jouissances …
Marianne semblait se réveiller et sortir de sa torpeur… Elle m’attira dans ses bras pour un très long baiser d’amour. Nos corps transpirants se rejoignaient pour une caresse complète. Ma maîtresse était bourrée de talents !!! Sa langue virevoltait dans ma bouche, cherchant à jouer avec la mienne, faisant l’amour à mes lèvres par de petites pénétrations… Avec celle-là, son mari ne devait pas s’embêter !!
Sans précipitation, elle quitta mes lèvres et, changeant de position, elle s’en prit à ma verge, la parcourant d’une langue habile comme un chiot buvant son écuelle de lait frais … J’avais son fessier à hauteur de ma figure, dans un très classique 69 des familles. Cela me permit de bien voir son sexe poilu, sa raie fessière bien dessinée et sa rose ourlée et légèrement colorée … Je me suis mis à lécher tout cela avec conviction, profitant de mes mains libres pour m’occuper des seins de ma compagne. Je les avais un peu délaissés !! J’en admirais l’élasticité des chairs, les boutons bien dressés, le caractère un peu tombant qui en augmentait l’érotisme … J’étais à la fête !!
Je me suis aventuré d’une langue prudente vers son anus et en ai effleuré le pourtour, puis en en titillant l’ouverture, sans réaction de Marianne toujours bien occupée avec ma verge. Comme j’aimais bien cela, j’ai libéré une de mes mains et je me suis mis à caresser son anus d’un doigt de plus en plus pressant et pénétrant … J’y étais enfoui à mi doigt lorsque j’ai senti que j’étais moi-même l’objet d’une même privauté !! Marianne, femme du monde, me doigtait l’anus… On aurait tout vu … !
Imaginez la scène …. Nous somme vautrés nus l’un sur l’autre, tête-bêche, occupés à nous lécher consciencieusement le sexe … Chacun avec un doigt dans le derrière de l’autre !!
Imaginez-vous une femme du monde, dans la quarantaine, distinguée, toujours habillée griffée, mère d’une adorable gamine, marié à un homme qui la satisfait pleinement, se trouvant dans une telle position ? Eh bien, OUI ! En plus, le doigt qui pénètre son anus appartient à un jeune gars de 18 ans, qui vient de lui pisser dessus et qui, ensuite, s’est déchargé de tout son sperme dans son vagin et cela sans précaution.
Imagination ? Que NON.
Et la suite… Ben, passage à la salle de bains pour une douche ensemble, avec lavage réciproque très minutieux et attentionné. Cela nous a totalement dégrisés et Marianne, revenue à un état normal était assez gênée tant de nous voir nus ensemble que de se souvenir de ce qu’on avait fait ensemble.
Merci au champagne Roederer !!
Elle se mit à parler :
Nous n’allons plus nous revoir ou plutôt essayer …
Je l’ai interrompue tout de suite en lui disant :
Nous étions encore là, nus tous deux et, tout en parlant, je caressais ma compagne, frôlant sa foufoune poilue, jouant avec son petit bouton, faisant ballotter ses seins… Marianne ne semblait pas se rendre compte qu’à nouveau je jouais avec son corps…. Je bandais dur et, avec ma queue, je battais le rythme contre sa hanche… Doucement j’ai poussé ma compagne contre le mur, sentant sous mes doigts inquisiteurs une humidité annonciatrice, je me suis emparé de sa bouche pour un profond baiser, empêchant ainsi ses dénégations et je lui ai soulevé une cuisse, ouvrant ainsi le chemin vers son doux fourreau … Ma verge y a trouvé un refuge rapide et en quelques mouvements seulement, j’ai amené Marianne à hurler de plaisir, moi-même me déversant en elle abondamment.
Lorsque ma compagne se détacha de moi elle me dit :
Puis, après quelques secondes de silence, elle a continué :
BODDING