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n° 09633Fiche technique25075 caractères25075
Temps de lecture estimé : 15 mn
01/09/05
Résumé:  Quand un photographe veut vous montrer les qualités du flou...
Critères:  fh couple amour photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Sofie  (Jeune femme essayant l'écriture)            Envoi mini-message
Le flou orgasmique

Je suis à la porte de SA pièce, son petit labo installé à côté de son bureau dans notre petite maison. J’attends depuis une bonne demi-heure que MONSIEUR daigne quitter cette pièce pour manger ce qui reste de notre repas, à présent totalement refroidi et donc foutu, finalement.

Quand je pense que je lui avais fait des petits plats bien cuisinés pour ce dimanche en amoureux ! Seuls tous les deux, cela ne nous est pas arrivé depuis un long moment, car nos activités professionnelles sont assez prenantes et celles de mon mari l’emmènent dans les quatre coins du monde.

C’est un photographe professionnel, mannequins et paysages sont ces cibles, les seconds ayant parfois plus de personnalité et d’originalité que les premiers !


Bref, je commence à en avoir marre d’attendre et une fois de plus je cogne sur cette maudite porte, fermée pour ne surtout pas laisser entrer le moindre rayon de lumière.



Sa voix grave sort de cette pièce comme unique preuve de sa présence depuis le début cette journée dominicale.



Je tourne les pieds, direction le salon, lorsque j’entends le cliquetis de la porte retentir et une ombre sombre s’abattre sur le sol.



Je rentre dans la pièce, les bras croisés et le menton enfoncé dans mes épaules.



En exprimant ceci, il me désigne du doigt une quantité impressionnante de photos suspendues sur des cordes à linge ou à même sa grande table de travail. Je les regarde, circonspecte et dubitative. Puis j’ajoute à cette mine morose un commentaire.



Je sens dans sa question une pointe d’étonnement et de déception, lui qui est si perfectionniste. J’y suis peut-être allée un peu fort.



Son regard se fait soucieux. Je l’ai blessé dans son orgueil de mâle et - pire - de photographe.



Je tente de bredouiller un je ne sais quoi pour rattraper la situation.



Je lance cette phrase à toute vitesse, en espérant que le choc ne sera pas trop brutal. Et sa réaction me surprend, car il se met à rire et se tape le front d’une claque.



Je rougis, consciente de ma bêtise. Il me prend dans ses bras.



Au même instant, il se rapproche encore plus de moi, se saisit de mes lunettes sans que je puisse réagir et il me les enlève.



Mes mains tâtent dans le vague à la recherche de mes lunettes.



Mon voleur de lunettes profite de ma faiblesse pour commencer à me chatouiller.



On se bagarre comme deux enfants dans une cour de récréation. Lui me chatouillant et moi me débattant, criant à tue-tête pour qu’il stoppe son manège.

Peu à peu, il m’éloigne de son petit labo, sans doute pour éviter que notre jeu ne détériore son matériel. J’arrive enfin à me saisir de ses poignets et je reprends mon souffle.

Mon adversaire, conscient de sa force, fait céder peu à peu mes avant-bras et il arrive à poser sa bouche contre la mienne.


Ce premier baiser est tendre. Deux bouches qui se frôlent sans aucune autre volonté. Le deuxième est plus fort et il est le détonateur d’une multitude d’autres baisers de plus en plus osés. Nos bouches s’ouvrent et nos désirs s’expulsent. Il me prend dans ses bras. Je n’ai qu’une image floue de mon homme et je devine une lueur dans ses yeux.


Nos pas nous entraînent dans le salon, nous nous écroulons sur le canapé. On s’échange mille caresses, mille baisers. On s’enlace en se susurrant des mots tendres. Ma vue est trouble et mes gestes sont hésitants. Toutefois mes doigts défont la chemise de mon homme.

Il m’aide et l’enlève prestement puis il s’attaque à mon haut. Je lève les bras pour l’aider. À peine mon soutien-gorge dévoilé à ses yeux, il passe ses mains expertes dans mon dos et dégrafe ma pièce de dentelle.


Mon compagnon se jette sur mes seins. D’abord ses mains enveloppent ma poitrine, tout en douceur, sans aucun pincement violent. C’est ensuite sa langue qui me ravit. De petits baisers il passe à de grandes léchouilles sur mes pointes. Il s’occupe de mes seins à merveille et notamment de mes larges aréoles qui l’ont toujours excité. Ma respiration se fait plus lourde sous ses caresses incessantes. Mais il est temps que j’agisse…


Je me mets à ses pieds, il reste assis sur le canapé. Je déboutonne son pantalon et le descends jusqu’à ses pieds. Je me saisis de sa verge à travers le tissu de son caleçon. Ma vue est toujours brouillée et j’ai peine à distinguer ce qui m’entoure, mais l’essentiel est dans ma main à présent.

J’agite cette étoffe de tissu qui ne cesse de grandir entre mes doigts. Je lâche ma prise et frôle ses jambes, ses cuisses musclées.



Mon chéri s’empresse de retirer son pantalon et son caleçon. Le voici dans une tenue plus appréciable pour la suite des évènements. Sans la moindre attente, ni même la moindre diversion, j’attrape son sexe dans ma bouche et ses bourses entre mes doigts. Parfois, mon index passe délicatement sur sa fleur rose et je le sens frémir.


Je savoure sa verge, qui est mon jouet dorénavant. J’enroule ma langue autour de son gland et me délecte de son odeur, son goût. Je l’aspire entre mes joues. Mon cou se plie pour mieux apprécier les contours de MA verge, car il s’agit de la mienne. Elle m’appartient, à moi seule. C’est mon privilège, ma récompense pour tant de patience.

Je continue de sucer sa chair avec un grand plaisir. Perdue dans mes pensées et ma fervente fellation, je suis interrompue par mon délicat amant qui glisse un peu sur le canapé pour mieux me saisir et me remonter jusqu’à sa bouche et ses enivrants baisers.

Il mordille mon lobe, je lâche un soupir de béatitude. Je le désire. Ses bras m’enserrent, je ferme les yeux, l’espace d’un instant.



J’ouvre les yeux à nouveau, je lui fais confiance.


Mon partenaire me soulève sans effort. Je suis lovée contre lui dans la position de la petite cuillère. Nous nous dirigeons ainsi vers notre chambre. Ma tête contre son cœur, ma main se saisissant de sa verge et la branlant pour attiser son excitation. Nous échangeons un long regard appuyé. Il me sourit et me déclare :



J’ajoute à ma réponse un petit clin d’œil complice et coquin.


Enfin, notre chambre ! Un grand lit trônant au milieu de la pièce dont les murs sont remplis de posters de paysages tendres pris au cours des multiples voyages que nous avons faits, mon compagnon et moi.

J’ai toujours son sexe dans la main, que je ne relâche que lorsqu’il me dépose sur le lit. Mon homme me fait signe de patienter et il s’approche du mur, je ne sais pour quoi faire, quand finalement je comprends son manège.

Il a tiré les rideaux afin de laisser planer une luminosité faible, rendant l’ambiance encore plus intense. Mon partenaire marche lentement vers le bord de notre lit. Il caresse mes cheveux, démêle mes quelques boucles brunes. Ses doigts glissent sur mon front, le bout de mon nez, ma lèvre supérieure. J’entrouvre la bouche et avale ses phalanges, ma langue passe langoureusement sur sa chair. Je ferme les yeux pour mieux m’imaginer ce que pourraient être ses doigts…


Ce petit jeu dure un instant imprécis, interrompu par la voix profonde de mon amour :



J’ouvre les bras pour joindre le geste à la parole.


Il se met au-dessus de moi. Sa masse m’écrase virilement. Son haleine douce s’abat sur mon visage. Mon amant fait parcourir ses mains un peu partout sur moi puis plus précisément sur la ceinture de mon corsaire. Je ne distingue pas suffisamment ses gestes, mais je comprends vite qu’il a déjà bien entamé mon déshabillage.


À cet instant, nos bouches se délaissent et sa langue atterrit divinement sur mon nombril, qu’il aspire comme un fruit sucré. Son poids se fait plus fort sur mes jambes. Il abaisse mon corsaire qui entraîne dans sa chute irrémédiable mon shorty rose en dentelle jusqu’à mes chevilles.

Mon déshabilleur passe sournoisement son index sur le dessous de mes pieds. Ce chatouillement me fait frissonner. Puis il se replace au-dessus de moi, son ombre me couvrant totalement. Il colle sa chair contre la mienne, sa langue explore toutes les lignes de ma peau. Nos souffles se plaisent à se croiser sans cesse.


Le contact de sa peau brûlante me fait frémir de toute part et commence à incendier mon être dans ce que j’ai de plus profond. Nos membres créent une chorégraphie inédite sans arrêt renouvelée, toujours plus créative, plus osée, plus intime. Je frotte mon bassin contre le sien. Ma forêt secrète frôle son pénis, dur comme jamais, si viril, si impressionnant et pourtant tellement attirant.

Mes gestes sont moins précis que les siens. Mes seuls repères sont les sensations de mes caresses et les à-coups dans sa respiration.

Notre câlin dure de plaisants moments, aucun de nous ne veut briser ce murmure d’effleurements, ces bruissements de draps dans lesquels nous avons plongé dorénavant.


Je faufile mes mains le long de son torse puis, guidées par l’habitude, elles s’emparent de sa verge. Je la serre comme pour mieux en apprécier sa consistance. Lentement, je la décalotte et remonte sa peau par la suite. Je le masturbe le plus simplement du monde, doucement, dans toute sa longueur. Je sais qu’il apprécie, sa poitrine se gonfle un peu plus et il se soulève afin de laisser plus d’espace et d’aisance à mon ouvrage. Son excitation grandit tout comme le mouvement de mes poignets.

Je n’ai plus qu’une main autour de son sexe, pour mieux contrôler mon geste qui s’accélère encore. La réaction ne se fait pas attendre, il gémit, s’agite puis il se saisit de mon avant-bras pour m’arrêter. Attisé par ma branlette, il veut prendre les choses en main, lui aussi. Il m’embrasse maladroitement, mordant même la partie supérieure de ma bouche.


Les draps s’agitent. Mon homme, dans une cavalcade de baisers, laisse ses marques sur mon cou, mes seins et atteint ma future délivrance. Il appose sa bouche sur mon fruit. Il peut en goûter mon nectar qui coule plus que de raison.

Son appendice buccal donne de furtives pressions sur mon clitoris, dressé par ce délicat supplice. Sa langue imprime un chatouillement fantastique sur ma cavité secrète. Je ruisselle de plaisir. Mon amant consacre tout son temps et toute son assiduité à me provoquer des douceurs dans le bas-ventre.

Pour renforcer ce moment d’échange et d’amour, mon amoureux me prend la main et y caresse la paume, il serre parfois mes doigts lorsque mes tremblements se font plus forts, comme pour m’accompagner dans ma jouissance.


D’autant que maintenant, son majeur ose s’immiscer en moi. D’abord par de simples attouchements puis par des impulsions brèves et finalement profondes.

Prise de folie, de désir envers son corps moite comme le mien, je roule sur lui.


C’est à mon tour de lui rendre la pareille. Mes mains furètent sur tout son corps, par des gestes gracieux et surtout hésitants, toujours esclave de ma mauvaise vue. Je suis pleinement concentrée pour le masser, le tâter sur mille endroits.

Peu à peu je m’habitue à cette contrainte qui très vite n’en est plus une. Je me libère totalement, mes mains sont prises de frénésie, ma bouche explore son buste, ses tétons, ses abdos, son ventre et parfois son sexe.

Je passe d’une parcelle de son corps à une autre, voulant toutes les goûter en même temps et ne surtout pas en délaisser une.


Victime de ma passion, mon partenaire subit, ne s’exprimant que par souffles forts, complaintes tendres, frottements appuyés de sa peau sur la mienne. Pourtant, il n’est qu’une silhouette, reconnaissable à son odeur. Je ne le discerne pas correctement, mais je vois néanmoins deux lueurs briller dans le creux de son visage.


Je prends plaisir et étonnement quand ses membres m’enlacent. Je ne repère pas ses gestes, mais bien mieux : je les découvre, les apprécie le moment venu. Mon pubis traîne de plus en plus autour de son pénis, j’englobe ses testicules leur donne une légère pression. Son sexe se raidit de plus belle, mon complice positionne sa verge de telle sorte qu’elle soit perpendiculaire au seuil de ma chair.


Cela me rend folle, je perçois toute la rigidité, l’excitation de mon compagnon. Je saisis son bout de chair le branle énergiquement, je pousse un long bougonnement pour lui signifier mon impatience. Un dernier mot affectueux au bord de l’oreille de sa part et mon bas-ventre s’ouvre à lui. Je m’assieds sur sa tige nous ne sommes plus qu’un.

Bouillante de désir, j’entraîne mon corps dans une surabondance d’avant en arrière le long de son membre. Mon rythme est endiablé, j’en veux plus, plus fort. Nos reins se balancent en cadence. L’un entraînant l’autre, nous nous mouvons pour le plaisir de notre partenaire, sans aucune brutalité, bien au contraire.


Mon homme prend possession de mon corps, mon petit ventre fusionne avec lui. Chaque secousse accroît ma folie, mon appétit sexuel. Lui aussi, semble de plus en plus fougueux dans ses percussions, il me retourne d’une galipette.

Sa masse m’impressionne encore plus du fait qu’elle est déformée par ma vue trouble. Il est une ombre, une force, pourtant c’est bien lui. Je le reconnais sans hésiter, cette vision floue est celle de mon aimant. Tout dans son odeur, sa gestuelle, sa manière de me serrer, de me posséder sans interruption avec un mélange de puissance et de volupté, tout lui ressemble, m’émeut.


Simplement au-dessus de moi, il me ravit, me comble. L’aimant a fait place à l’amant, le passionné. Nos frôlements passent de l’érotisme à l’électrique. Nos chairs ne se détachent plus.

Son dos se fait moite, mon sexe est rivière. Mes cheveux s’emmêlent sur l’oreiller, ses doigts se perdent sur ma peau. Parfois nos poitrines se défient, je m’incline. Ma gorge est acide, ma salive répandue sur chaque parcelle de son corps.


Son sexe va-et-vient en moi avec intensité. Nos ventres se frictionnent, sa verge fusionne avec mon vagin, elle incendie mon délicat buisson. Des ondes délicieuses jaillissent de mon sexe. Elles sont de plus en plus fortes, fréquentes, intenses. Je gémis, murmure des encouragements. Mon vagin se resserre sur son pénis qui semble prendre de l’ampleur, envahir tout mon intérieur. Peu à peu, je me libère de toute retenue.

Mon corps s’affole, mes membres remuent, comme désarticulés. Les assauts incessants de mon homme provoquent des crépitations au bord de mon bourgeon, elles se rapprochent irrémédiablement de mon clitoris.

C’est l’explosion.


Ma tête plonge dans le creux de ses épaules, je mordille sa peau pour retenir un cri puissant. Qu’importe ! Je pousse un ululement long et aigu. Une complainte déraisonnée. Mes ongles griffent son dos, laissant des marques de ma jouissance, de mon emportement. Ses diaboliques hanches accélèrent, comme encouragées par mon débordement de pulsions. Mon crâne devient lourd, puis part en arrière. Ma respiration se bloque, l’espace d’un instant bref. Tous mes muscles se contractent. Je délire. Tout devient clair, une fraction de seconde, ma vue est limpide, je distingue tous les détails du merveilleux visage de mon chéri. Puis la scène redevient floue et néanmoins si réelle.


Mon fidèle amoureux continue sa cavalcade. Les parois de mon vagin se pressent sur son bout de chair. Son sexe se fraie un chemin à travers moi, les muscles de mon vagin écrasent et enserrent sa verge par brèves pressions. Chaque impulsion me lance des flux puissants. La cadence soutenue ne freine pas ces douleurs exquises et mes jambes s’ouvrent encore pour mieux accueillir les assauts de mon chéri.


Mes cuisses sont humectées de ma liqueur, j’ai l’impression d’être trempée au creux de mon aine. Mes bras me paraissent lourds et ma tête si légère…

Une deuxième fois, brusquée par tant de vitalité sur ma fine anatomie, j’explose. Cette fois c’est plus intérieur. Mes doigts tentent de s’accrocher en vain sur les draps, je pars une nouvelle fois dans un torrent de plaisir. Je suis fiévreuse et plus que jamais amoureuse.


Mon partenaire m’enroule dans ses bras, me couvre de baisers. Il soulève mes jambes, exposant encore plus mon intimité au contact de son sexe. Ainsi dévoilée, je compte bien ne pas me laisser faire, ne pas être sa proie. Je plante mes ongles sur sa poitrine, je mords son menton. J’embrasse de manière déraisonnée sa bouche, ses lèvres. Parfois si violemment que je lui arrache presque la lèvre.


Mon sexe n’est plus qu’un volcan bouillonnant, prêt à tout emporter autour de lui. D’un coup, ses mains empoignent mes fesses, mon volcan est en ébullition. Tout mon être se serre contre mon homme jusqu’au bout de mes forces. Sa verge est prisonnière de mes lèvres secrètes. Une dernière tension de ma part et nous vibrons tous les deux.


Nous jouissons dans un souffle commun. Nos corps tremblent dans un frisson partagé. Sa semence embrase ma chair, elle se mélange à mon élixir. Je relâche mon emprise lentement. Je tombe au ralenti, le cœur battant la chamade, le pouls en déroute. Mon homme s’écroule lui aussi, épuisé par l’ivresse de notre ébat. Il est allongé sur le côté, sa main berçant ma tête. Un moment de répit pour reprendre notre respiration.


Ensuite, ses doigts courent le long de mes flancs et pianotent le creux de mes hanches. Quant à moi, je saisis son sexe, le caressant une dernière fois. La peau recouvre une partie de son gland, si gros il y a peu. Je passe une jambe au-dessus de mon amour pour l’encercler, nos lèvres se posent.


D’une voix douce et faible, pour ne pas briser ce silence complice et réparateur, je lui susurre :



Je mets une tape sur son ventre pour le taquiner.



Il se rapproche de moi et me prend la main tendrement.



Ma voix s’affaiblit sur les derniers mots pour ne les prononcer que dans un souffle sensuel.



Je lui jette un clin d’œil coquin. Il prend un air béat aussitôt. Et je poursuis.



À peine ma phrase est-elle terminée qu’il se lève d’un bond et se précipite à travers la chambre pour aller au plus vite chercher tout son matériel.

J’en profite pour regarder danser ses belles fesses fermes et je regrette à ce moment-là de ne pas avoir mes lunettes pour les observer plus nettement.


Je remonte très légèrement le drap pour ne pas avoir froid et ne peux m’empêcher de sourire, en repensant à la réaction de mon chéri après ma proposition.

D’ailleurs, je me demande si sa course et sa grande précipitation sont dues à l’idée de me rejoindre au plus vite dans notre lit, ou alors si ce qui le met en joie est de retrouver son fameux matériel de photographie !