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n° 09634Fiche technique23078 caractères23078
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Temps de lecture estimé : 17 mn
01/09/05
Résumé:  Après une première rencontre lors d'une balade en montagne, je recroise le couple un soir en ville... et nous allons un peu plus loin dans notre relation dans la forêt avoisinante.
Critères:  hh fhh hbi couplus forêt hsoumis voir exhib strip lingerie fmast hmast fellation cunnilingu anulingus préservati double hdanus hsodo init
Auteur : Alpin en string  (La trentaine, Haute-Savoie, aimant les balades...)            Envoi mini-message

Série : Plaisirs montagnards

Chapitre 02 / 02
Rencontre en ville

Déjà deux jours et je n’arrive toujours pas à oublier cette randonnée en montagne. Un mélange de honte et d’envie me travaille sans cesse depuis mon retour. Ai-je eu raison de me laisser ainsi aller à mes instincts sexuels ? De me faire ainsi doigter par ce couple, les lécher tous les deux. C’est vrai que cela faisait longtemps que j’y pensais mais de là à le réaliser.


Tout s’est déroulé vite, trop vite sans que je puisse me préparer à cette nouvelle expérience et je suis maintenant envahi d’un trouble intense. Et cette boule dans le ventre qui ne me quitte plus, comme celle que peut avoir un enfant qui a fait une grosse bêtise. Avec l’envie de recommencer tout de même, de braver cet interdit, ce tabou qui était jusqu’à présent dressé dans mon esprit. Oui l’envie de se laisser à nouveau submerger par ses désirs vicieux, de me sentir doucement devenir une femelle pour ce couple coquin, de me soumettre à leur envies… Non, non oublier, je dois oublier !


Il faut que je me calme, que je redevienne moi-même, refusant encore d’admettre ce que je suis devenu. Même ma copine s’inquiète, me trouve différent, absent… Bon il faut que je me change les idées alors pourquoi ne pas descendre en ville ce soir. De toute façon je n’ai rien de mieux à faire et ma copine a une réunion. Autant flâner dans les ruelles, le long des canaux et profiter de la douceur du soir pour me balader un peu. Cela me fera le plus grand bien.


J’arrive à oublier mon trouble en conduisant, profitant du spectacle des vallées baignées par les rayons du soleil de fin de journée et c’est l’esprit reposé que je me gare non loin de la vieille ville. Il y a du monde dans les rues. Je n’ai pas été le seul à vouloir profiter de la douceur du soir. Il faut dire que près du lac, un petit vent agréable vient nous caresser. Hummm je le sens presque sur mes fesses dénudées par mon string, à travers le pantalon. Cette caresse douce me donne envie de ne garder que mon string pour mieux apprécier le vent entre mes cuisses.


Non ! Il faut que j’oublie ces envies, que je pense à autre chose ! Je me replie sur moi-même, en prise avec mes fantasmes et fonce tête baissée le long du canal pour m’engouffrer dans les ruelles de la vieille ville, loin de ce vent et des envies érotiques qu’il crée en moi.


Je traverse un pont pour rejoindre le palais construit au milieu du canal tel un bateau et dans la cour intérieure je tombe nez à nez avec le couple de ma randonnée.



Ils ont l’air également heureux de me voir. Lui porte un polo et un pantalon de toile. Elle est superbe avec un petit chemisier légèrement transparent qui laisse parfois apparaître la dentelle noire de son soutien-gorge et une petite jupe ample, s’arrêtant à mi-cuisse et laissant découvrir des bas de nylons noirs habillant admirablement ses jolies jambes. J’ai du mal à quitter les yeux des ses courbes gainées de nylon et une douce chaleur commence à envahir mon bas ventre en imaginant à quel point il doit être doux de se frotter contre. Il est vrai que j’ai toujours eu un faible pour le nylon…



Ils se mettent à sourire devant ma gêne et c’est tout naturellement que la conversation s’engage sur un sujet plus banal pendant que nous continuons ensemble la promenade dans la vieille ville. Décidément, non seulement ils forment un très joli couple, mais en plus ils sont d’une agréable compagnie au point que j’en oublie les circonstances de notre première rencontre et le trouble qu’elle me procure.


En rentrant dans une ruelle qui mène au château et alors qu’elle marche en tête, un petit vent chaud et léger s’engouffre dans sa jupe et dévoile ses longues et jolies jambes gainées de nylon, accompagnées d’un string fort charmant qui met si bien en valeur ses fesses. Je ne peux retenir un soupir de satisfaction, légèrement appuyé par un "oh joli" à peine murmuré.



Elle se retourne avec un grand sourire, lui lance son regard tendre et coquin à la fois et commence à danser ainsi avec le vent comme partenaire.

Mon compagnon s’assoit alors sur la marche d’un perron et m’invite à faire de même pour profiter de ce beau spectacle aussi poétique que sensuel… et d’avoir un public aussi attentif semble donner des idées à sa femme. C’est tout à loisirs que nous profitons de ce beau spectacle, ne cessant d’admirer ses belles jambes gainées de noir, la dentelle de son string, parfois de très très près… la coquine en effet, semble de plus en plus inspirée et il n’est pas rare de voir ses longues jambes bien écartées et de se retrouver avec le tissu léger de sa culotte à quelques centimètres de notre nez… le vent n’est plus qu’un prétexte à cette parade érotique où ses mains semblent lui donner des caresses plus satisfaisantes, remontant lentement le long des bas ou caressant la belle courbure des ses fesses lors d’une pose particulièrement cambrée… Par ses poses, sa sensualité, elle nous prouvait que sans être top modèle, une femme pouvait exciter n’importe qui par ses gestes et son attitude sensuelle.



Je reste bouche bée suite aux paroles de mon compagnon, sentant déjà mon ventre se nouer et mon trouble revenir… et je ne m’aperçois même pas qu’elle a pris mes mains et m’invite à me lever au près d’elle devant son mari visiblement ravi… Ayant à peine eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, je suis donc dans la ruelle déserte, à ses côtés à suivre les instructions qu’il nous donne d’une voix douce… et que j’entends à peine, comme dans un rêve, un voix venu de loin…



Je ne suis plus qu’un pantin pour ce couple coquin, sentant les mains douces me parcourir, tantôt sur mes fesses, tantôt sur mon sexe ou caressant doucement mon torse à travers le t-shirt, titillant mes tétons légèrement durcis à travers le tissu. Petit à petit, gagné par l’excitation, j’émerge doucement et non seulement je me laisse faire, mais j’essaie autant que possible de lui faciliter la tache et de satisfaire au mieux les envies de son mari voyeur décidément plein d’idées ce soir.



A la fois honteux et excité par la situation, j’obéis docilement à ses demandes tout comme sa femme… la boule dans mon ventre est toujours présente mais malgré tout je vais au delà de mes peurs, de mes interdits pour m’abandonner ainsi dans la ruelle… La douceur acre de la cyprine coulant à travers son string sur mes doigts explose dans ma bouche quand je me lèche les doigts à sa demande… un frisson me parcourt alors que je sens sa femme défaire ma braguette, plonger ses mains contre mon sexe dur prisonnier de mon string. D’une longue caresse sensuelle, je les sens passer sur mes fesses nues. Je me cambre instinctivement au moment où elle baisse doucement le pantalon révélant petit a petit mon string plongeant dans mon cul à son mari excité…


Soudain, des bruits de pas se font entendre en haut de la ruelle ! Branle bas de combat, je remonte en quatrième vitesse mon pantalon et c’est le coeur battant la chamade que nous croisons un homme qui descend vers la ville.


Nous décidons alors de poursuivre notre balade jusqu’à la forêt qui devrait nous offrir un abri plus tranquille, surtout à une heure aussi tardive de la nuit. La lune étant bien dégagée nous ne devrions pas avoir de problème de visibilité. Je n’ose rien dire et me contente de les suivre, mal à l’aise mais excité par la situation. Arrivés en lisière de la forêt, nous nous engageons d’un pas rapide dans un sentier et très vite coupons à travers les buissons pour nous enfoncer dans un coin reculé. Nous débouchons sur un petit promontoire qui nous offre une vue superbe sur la ville et son lac. Un décor de rêve pour notre escapade coquine !


Nous nous y sentons si bien que très vite l’excitation nous gagne à nouveau : la beauté du lieu, le petit vent chaud, la présence de mes partenaires, le souvenir de la douceur des bas et du string hummmm je ressens en moi une douce chaleur m’envahir sans que mon ventre ne se noue trop… Et je ne suis pas le seul, très vite, mue par une envie coquine, la robe de ma compagne se retrouve sur le sol… Ainsi en bas et string en pleine nature elle est superbe et, en jetant un coup d’oeil à son mari, je constate que je ne suis pas le seul à être maintenant en érection. Je la suis dans cette folie et à mon tour, je fais descendre mon pantalon, non sans onduler des fesses à la satisfaction générale… Je dois avouer que se sentir ainsi à moitié nu à cet endroit, ne sentant que la caresse du vent sur mes cuisses et mes fesses est une sensation très agréable…


Gagnée par l’excitation, elle s’assoit alors sur une souche d’arbre et jambes écartées elle commence à se caresser à travers la dentelle de son string. Je la regarde en me palpant le sexe a travers le tissu de mon slip alors que son mari a maintenant sorti sa queue pour se branler franchement… son gland commence même à luire de désir entre chaque aller retour du prépuce.



J’hésite un peu, lance un regard alentour et rassuré par l’épais manteau que nous procure la végétation et la nuit, je me mets à genou et prends appui sur ses jambes rendues si douces et excitantes par ses bas noirs. Elle commence par me tendre ses doigts déjà trempés à lécher. Je les prends un par un, les nettoyant avec application pour ne rien rater de ses gouttes de cyprine.

Elle écarte ensuite un peu plus les jambes pour m’inviter maintenant à lécher son string que je sais détrempé… je pose mes lèvres dessus, il est gorgé de mouille, et j’aspire ce liquide, ce nectar qui embaume mon palais alors que je sens mon propre string se tremper petit à petit sous l’excitation. Puis doucement j’écarte le string pour poser ma langue dans sa chatte entre ses deux lèvres charnues dégoulinantes. Elle soulève alors son bassin et doucement je fais descendre son string le long de ses fesses, de ses jambes tout en les couvrant de baisers doux et sensuels.


Quand je remonte ma tête, j’ai maintenant devant moi, offerts, son pubis admirablement rasé et lisse, sa chatte détrempée entrouverte et même son anus légèrement humecté. Hummm je ne résiste pas longtemps à la tentation et oublie bien vite mes derniers troubles : c’est avec délectation que je colle ma langue sur son anus et remonte lentement vers ses lèvres gorgées de cyprine en lui arrachant un gémissement de satisfaction.


Son mari s’approche alors de nous en se branlant. Sa queue est tendue au maximum, son gland tellement humide d’excitation devant un tel spectacle que des gouttes dégoulinent le long de ses doigts. Il les tend à sa femme qui les lèche goulûment, provoquant en même temps l’écoulement d’un flot important de mouille le long de sa chatte. Je m’empresse de boire ce nectar délicieux alors que son mari commence à caresser du bout du gland. Il est tellement baveux que bientôt dans ma bouche je sens le délicieux mélange de la cyprine et des premières gouttes de son sperme.


Tel un aphrodisiaque, ce mélange m’excite d’avantage et j’approche ma bouche de son prépuce retroussé. J’ai le coeur qui bat la chamade une fois de plus, une hésitation, un noeud au ventre… et puis tant pis, je fonce et colle mes lèvres sur la douce peau de ce gland mouillé. Hummm, le contact est exquis. Je me retire et lance une langue timide à l’assaut de sa queue : elle titille d’abord son gland, puis se met à caresser le prépuce et descendre le long de sa tige veinée. Mais très vite j’ai envie de sentir sa grosse queue toute entière dans ma bouche. J’attrape sa bite de la main, et l’enfourne dans ma bouche devenue gourmande faisant de long va-et-vient en aspirant de mon mieux. L’effet sur lui est immédiat.



Il dégage alors son sexe de ma bouche en me lâchant un regard qui veut dire "Tu ne perds rien pour attendre" et se retourne vers sa femme.



Elle fouille quelques instants dans son sac, en sort un préservatif qu’elle me lance. Pendant que je me l’enfile, son mari se couche sur la mousse et elle vient prendre place sur lui, s’asseyant face à lui doucement sur sa queue raide dans un gémissement de plaisir. Elle commence alors à onduler du cul pour faire des va-et-vient sur le sexe qui luit déjà de sa propre cyprine tellement elle est trempée. Pour mieux profiter du spectacle, je m’accroupis, les yeux à la hauteur de leurs deux sexes en pleine action. Elle s’arrête alors un moment, se penche sur son mari et se cambre d’avantage.

Elle présente ainsi à ma vue une vision sublime et excitante : sa chatte dont les lèvres trempées et charnues encadre la queue dressée de son mari, ses fesses magnifiques avec la douce rondelle de son anus, le tout admirablement mis en valeur par ses bas qui encadrent et délimitent ce terrain de jeux érotique.



Il écarte alors un peu plus les jambes pour me faciliter la tache et je m’exécute rapidement : je commence par prendre dans la bouche ses couilles une par une, les gobant entièrement avant de les lécher doucement en remontant vers sa bite. Je laisse courir ma langue le long de sa tige veinée qui m’indique le chemin à suivre vers la vulve de sa femme. Je regrette presque de ne pouvoir glisser ma langue sous son prépuce à la rencontre de son gland qui doit commencer à dégouliner des premières gouttes de plaisirs.

Mais je sais qu’il est déjà tout décalotté bien au chaud dans sa coquine de femme et je me console en me disant que bientôt le mien sera dans son cul.


Je pose mes mains sur ses cuisses gainées de nylon pour m’appliquer d’avantage à mon ouvrage. Plus je monte plus je sens sur ma langue le goût de la cyprine hummmm et bientôt, au contact de la chatte trempée, j’ai l’impression de glisser ma bouche sous une fontaine tellement elle est excitée ! A chaque coup de langue glissant le long de la queue à l’intérieur de sa chatte, je la sens frémir et mouiller d’avantage. Et c’est une langue trempée de mouille qui remonte ensuite le long de sa raie pour venir darder son anus frétillant… et impatient ! Elle gémit en sentant ma langue caresser son anus qui ne cesse de s’activer, s’entrouvrant de temps me permettant alors d’essayer de glisser ma langue vicieuse au plus profond de son cul.



Je ne me fais pas prier, me met à genou, les jambes de chaque côté de celles de son mari, le sexe bien à hauteur de son cul offert. J’approche le préservatif de son anus, je glisse doucement mon gland dans sa rosette… Je ne sais si c’est l’excitation ou l’habitude de la sodomie mais ma queue glisse facilement, lentement dans son cul accueillant hummmm un vrai plaisir de sentir ainsi la douce chaleur contre ma queue raide. Et la caresse de ses bas sur mes cuisses nues hummmmm… J’entame alors de long va-et-vient, n’hésitant pas à sortir complètement pour admirer son trou béant et mieux le pénétrer à nouveau. Elle commence alors à onduler à nouveau et j’essaie tant bien que mal à coordonner mes mouvements aux siens. Je dois y arriver à peu près car ses gémissements se font de plus en plus rauques. Son mari semble lui aussi apprécier :



Et j’avoue que moi-même je ne vais pouvoir me retenir très longtemps. Dès que mes compagnons lâchent un dernier râle de jouissance, je sens des spasmes me parcourir alors que des jets de foutre giclent dans le préservatif. Et nous restons là, sans bouger, essayant simplement de reprendre notre respiration après cet orgasme collectif.



Elle se lève également, visiblement avec difficulté. Elle a sans doute du tenir la pose trop longtemps et commençait à avoir des crampes. Pour se reposer, elle s’assoie à côté de son mari, écartant légèrement les jambes révélant alors sa chatte encore béante de laquelle du foutre chaud commence à s’écouler. Alors que je commençais à débander, je sens une érection revenir devant leurs deux sexes poisseux de sperme et de mouille ainsi présentés devant moi. Il s’en aperçoit très vite.



Je sens à nouveau un malaise monter en moi alors que sa femme, comme pour m’inviter écarte d’avantage les cuisses et remonte le bassin. Je vois alors une grosse coulée de foutre dégouliner de ses lèvres charnues et glisser dans le sillon de ses fesses. Je ne vois plus que ça : ces bas noirs qui guident mon regard vers cette chatte dégoulinante et l’envie de tout lécher qui commence petit à petit à me submerger. Je ne résiste pas longtemps à la tentation et tout tremblant je me remets à quatre pattes, plonge ma tête entre ses cuisses et ma langue dans son antre chaude et poisseuse. Je suis comme un fou, récoltant un maximum du jus frais pour l’avaler avec gourmandise, ne ratant aucune goutte y compris celles qui avaient commencé à se répandre sur sa raie. J’essuie même délicatement les quelques traces qui apparaissent sur le nylon noir de ses bas, mêlant alors à la douceur du nylon, le goût acre du sperme dans un tourbillon enivrant.



Son mari s’approche alors de moi, me tendant sa queue à nouveau raidie devant le spectacle que je lui offre. Son gland émerge de son prépuce et une coulée blanche macule toute la longueur de sa bite. Comme un fou, excité comme jamais, j’enfourne cette queue offerte dans ma bouche avide, l’enfonçant aussi profondément que le permet ma gorge, réprimant un haut le coeur. Je referme alors les lèvres, et coulisse vers le gland pour récupérer le plus de liquide séminal que je peux. Je déglutis alors en fermant les yeux pour mieux profiter du goût que ce foutre laisse dans ma bouche, la chaleur qu’il procure dans ma gorge quand je le sens descendre…



Elle n’attend pas la réponse, renversant la capote et la laissant couler sur sa poitrine tel du chocolat sur des poires. Ce dessert me ravi au plus au point et n’écoutant que ma gourmandise, je colle ma bouche sur ses seins lapant une fois de plus tout ce foutre tel un animal. Ainsi positionné, à quatre pattes, la tête basse, langue sur les tétons poisseux, j’ai le cul en l’air, offert et je ne tarde pas à sentir la main de son mari sur ma croupe…



Son doigt se met à parcourir ma raie, je le sens glisser le long de mes couilles pour revenir sur ma rondelle. Je frémis à chaque passage. Très vite son doigt se fait plus lent sur mon anus, il tourne autour. Je sens alors un liquide tomber sur mon cul, dégouliner sur mes fesses et mon trou offert. Il m’a bavé dessus, il a lâché un long filet de salive pour mieux me lubrifier l’arrière train. Je ferme les yeux, me concentre sur mon foutre que je lèche sur la poitrine de sa femme et sur la sensation que me procure alors son doigt que je sens s’enfoncer lentement entre mes fesses. Une phalange, puis deux. Il remue alors son doigt dans la chaleur de mon cul me faisant émettre un petit gémissement de satisfaction. Devant ma réaction, il décide alors de tenter d’y mettre deux doigts… je les sens forcer ma rosette, une petite douleur envahie mon cul pour très vite se dissiper quand les deux doigts plonge dans mon trou offert et soumis…


Il les ressorts tout poisseux, contemple un instant le trou béant entre mes fesses puis les replonge à nouveau dans mes entrailles. Il s’amuse ensuite à les faire coulisser, restant parfois de longues secondes enfoncés profondément dans mon cul, les faisant bouger. Ses deux doigts qui s’activent ainsi en moi, se croisant, se décroisant, se pliant me caressant l’intérieur du cul m’excitent énormément au point que je sens un filet de mouille s’écouler de mon gland sur les bas de sa femme. Je relève un instant la tête, décollant ma langue des seins gluants de foutre.



Est-ce bien moi qui ai prononcé cette phrase ? Je n’en crois pas mes oreilles ! Que m’arrive-t-il ? Quoiqu’il en soit il est trop tard pour faire marche arrière : il a déjà saisi un autre préservatif dans le sac de sa femme, se l’enfile rapidement sur la queue et la présente à l’entrée de mon cul. Il hésite, pose son gland sur ma rondelle, et doucement, lentement mais sans s’arrêter l’enfile entièrement entre mes fesses. Je sens défiler toute sa queue qui bientôt me remplit le cul comme jamais il ne l’a été. Je me cambre pour mieux la sentir alors qu’il se retire déjà avant de revenir au plus profond de moi d’un coup de hanche plus rapide. De plus en plus vite il enchaîne alors les va-et-vient, empoignant mes fesses à pleines mains pour se maintenir dans ce rythme d’enfer. Putain ce que c’est bon, je n’ai jamais connu ça avant, sentir ainsi sa grosse queue entrer et venir à sa guise dans mon anus que je n’imaginais pas aussi souple, le sentant s’étirer tantôt vers l’extérieur, tantôt vers l’intérieur au rythme des coups de bite qui pilonnent mes fesses.


Sa femme se dégage, se relève, se place de côté pour ne rien rater de cette scène, voyant pour la première fois deux hommes s’enculer et visiblement appréciant la situation. Je vois du coin de l’oeil sa main s’appliquant sur sa chatte à nouveau détrempé, sa mouille dégoulinant cette fois sur ses bas.

Je glisse une main sur mon propre sexe. Il est hyper sensible et à peine ma paume frôle le gland que je reçois une décharge de foutre épais sur les doigts. Je viens de jouir ! Mon amant donne de maintenant de grands coups de queue longs et rapides, ses râles se font plus rapprocher et je sens très vite des spasmes parcourir son sexe alors qu’il jouit à son tour dans mes entrailles.


Nous nous effondrons tous les deux sur le sol, épuisés par nos ébats. Sa femme s’approche de nous, nous caresse doucement la tête à tous les deux, souriant tendrement.



Au loin, les lumières de la ville se reflètent dans le lac…