Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09649Fiche technique19415 caractères19415
Temps de lecture estimé : 12 mn
07/09/05
Résumé:  Ils se croyaient seuls, mais la technique les a "trahis"...
Critères:  fh extracon collègues travail amour pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Sun Tsu            Envoi mini-message

Série : Passion

Chapitre 01
Visioconférence

Elle lui avait donné rendez-vous dans la salle de visioconférence du bâtiment B, celle du troisième. Elle devait y faire des essais de communication avec une de ses collègues à l’autre bout de la France.


"J’ai convenu avec Steph de faire le test à 14h30, mais j’ai la salle bien avant. Viens me retrouver à 13h30, j’ai envie de toi, mon amour", lui avait-elle envoyé en milieu de matinée sur son portable.


Rien que l’idée de la retrouver le faisait déjà réagir, il se sentait durcir par avance. Ils avaient une liaison depuis un certain temps tous les deux, elle, la secrétaire du service de l’étage en dessous du sien et lui le cadre plutôt séduisant, mais pas trop. Ils avaient fait connaissance tout bêtement à la machine à café et, comme ils étaient bien dans leur peau, s’étaient mis à sympathiser et, oui, bêtement à flirter tous les deux.


La première « concrétisation » de leur attirance mutuelle avait eu lieu lors d’un séminaire auquel ils s’étaient retrouvés fortuitement. Dans l’ambiance, après les quelques verres « entre collègues », ils s’étaient croisés dans le vestibule conduisant aux toilettes et elle l’avait brutalement accosté en se collant à lui pour l’embrasser sans détour. Comme cet assaut l’avait quelque peu déstabilisé, il avait trébuché en arrière contre une porte qui se trouvait être celle des vestiaires. Il pouvait sentir sa langue fouiller sa bouche et, avec ce si beau corps collé à lui et les quelques verres pris, il ne n’avait pu s’empêcher de lui rendre le baiser. Enfin, adossé à la porte, il l’avait prise par les hanches et, tout en l’embrassant lui aussi fiévreusement, l’avait serrée encore davantage contre lui pour lui faire sentir son érection naissante.


Elle avait alors glissé sa main derrière lui pour ouvrir la porte et ils étaient tous les deux tombés littéralement dans le vestiaire. Après avoir rapidement fermé la porte, il l’avait ensuite plaquée contre le mur et continué à l’embrasser tout en massant son corps et ses seins plus particulièrement. Elle avait une poitrine superbe qu’il avait déjà plus d’une fois eu l’occasion de regarder au détour d’un décolleté, mais évidemment jamais de toucher. Il bandait terriblement maintenant et elle s’en rendait bien compte. Elle se frottait à lui, son pubis animé d’une véritable danse de Saint-Guy. Il glissait une main sous son chemisier, afin de bien palper ses seins lourds et pourtant fermes. Il sentait les tétons durcir et se mit à les pincer doucement.



Elle semblait aux anges, la tête en arrière et les yeux clos. Ses mains s’affairaient autour de son pantalon et elle avait défait sa ceinture, sa braguette et fait tomber son pantalon. Le repoussant un peu, elle s’était mise à genoux devant lui pour extirper son sexe tendu de son caleçon. Tout de suite, elle l’avait pris en bouche et la sensation avait été telle qu’il n’avait pas réussi à se contrôler. Elle l’avait sucé avec ferveur et il avait senti son gland buter dans le fond de sa gorge, un vrai délice. D’une main, elle lui avait branlé la base du pénis et de l’autre elle avait glissé sur ses fesses pour bien l’enfoncer dans sa bouche qui le serrait admirablement. Il avait pu sentir sa langue agacer son gland par instant.


Lorsqu’il avait senti qu’elle pointait un doigt vers son anus, il avait écarté par réflexe un peu ses fesses et elle avait, prenant la réaction pour une invitation, palpé son petit trou avec son index. C’est au moment où elle avait enfoncé ce dernier qu’il s’était mis à juter par longues saccades au fond de cette bouche si chaude. Il l’avait sentie serrer encore sa bouche autour de son chibre tendu à bloc tout en giclant sous le double effet de la bouche et du doigt qui butait contre sa prostate, le faisant jouir d’autant plus. Lorsqu’il avait, ce jour-là, repris ses esprits, elle s’était relevée et l’avait embrassé à pleine bouche, lui faisant sentir le goût de son sperme.



Il avait lui mis du temps à reprendre ses esprits et avait fini par lui aussi retrouver le séminaire dont la soirée battait son plein. Depuis ce soir-là, ils avaient eu à la fois beaucoup d’occasions de se retrouver et en même temps trop peu. Les étreintes furtives et les amours clandestines sont difficiles à vivre dès que des sentiments se développent, mais c’est ainsi. Il est marié et, même si son mariage ne lui semble plus être tout à fait ce qu’il avait été, sa situation était loin d’être réglée, ils le savaient tous les deux…


Mais là, aujourd’hui, il se dirigeait vers la salle en question, excité à l’idée de la nouvelle étreinte qui allait suivre. Il l’avait dans la peau, tout comme elle et, chaque fois qu’ils se retrouvaient, la magie opérait…


Il est maintenant devant la porte de la salle de visioconférence et, après avoir jeté un coup d’œil pour vérifier que personne ne pouvait le voir, il entre et referme la porte à clé. Elle l’attend, en face de la fenêtre, penchée en avant en train de regarder le paysage. Il s’approche d’elle et la serre par la taille en se collant à elle. Elle se redresse un peu en se cambrant davantage et tourne légèrement la tête vers lui. Leurs lèvres s’effleurent et à ce moment elle se tourne entièrement pour qu’ils puissent s’embrasser fiévreusement. Leurs langues jouent et ils se serrent comme des amants fous l’un de l’autre, ce qu’ils sont.


Il sent son sexe dur contre son bassin ; en retour elle se frotte contre lui à mesure que leur excitation monte. Tout en continuant leur baiser, il passe une, puis deux mains sur ses cuisses pour faire remonter sa jupe. Sous ses doigts, il sent les bas et, juste au-dessus, la peau nue et douce du haut de ses cuisses. Il adore sentir sa peau sous ses doigts et l’empoigne par les fesses pour la plaquer contre lui. Arrêtant de l’embrasser, il lui murmure à l’oreille :



En effet, il a fait glisser un doigt le long de la raie des fesses de sa maîtresse et il sent le sexe chaud et trempé qui s’ouvre sous sa caresse. Comme à chaque fois qu’il la sent prête ainsi, il a une vague de frissons qui le parcourt ; l’excitation d’une femme a toujours été pour lui un aphrodisiaque puissant, si ce n’est le seul d’ailleurs (non, pas tout à fait, il y a quelques autres sensations qui lui font le même genre d’effet…). Il sent un afflux de sang dans sa queue et celle-ci se durcit encore plus. Il bande comme un fou maintenant et continue à faire aller et venir son majeur entre les lèvres trempées.



Bientôt il se retrouve dans cette position toujours un peu ridicule avec pantalon et caleçon sur les chaussures et les chaussettes qui dépassent. Mais il est bien trop excité pour penser à la situation et sans plus attendre, il empoigne sa queue et la dirige entre les lèvres qui s’écartent toutes seules. Elle a relevé une jambe en posant son pied sur le dos d’une chaise pour lui faciliter le passage. C’est sans effort qu’il sent les chairs trempées se refermer sur lui et il pousse un grand coup en avant afin de l’emmancher entièrement. Il sent son gland buter contre le fond de ce vagin si accueillant.



Elle a la tête rejetée en arrière, les yeux fermés et se mord la lèvre inférieure de plaisir. Il fait de longs va-et-vient en se retirant lentement jusqu’à sentir le bout de son sexe presque sortir d’elle avant de s’enfonce d’un seul coup violent tout au fond d’elle. Il sait que c’est ainsi qu’elle aime être prise. Il la tient par les fesses et la baise maintenant sans ménagement, excité par ce corps tellement magnifique. Il la sent jouir tout à coup, elle est prise de soubresauts et tressaute à chaque coup de queue et tout à coup, voilà, il la sent partir complètement. Tout en continuant à la limer il ne peut s’empêcher de la regarder. Il adore lorsqu’elle jouit, lorsqu’elle s’abandonne tout entière à lui et à ses pulsions. Elle est belle dans la jouissance, encore plus belle « qu’au naturel ». Après les dernières contractions autour de son sexe, il la sent reprendre un peu pied et elle s’agrippe à lui, le serrant de toutes ses forces contre elle. Il sent les bouts de ses seins pointer à travers le chemisier contre son torse.



Elle a joui, mais elle sait, et, lui aussi, qu’elle va encore jouir et que ce n’est qu’au bout d’un certain moment qu’elle sera récompensée par tout le foutre qui l’inondera. Ils reprennent un peu leurs esprits et lui en profite pour déboutonner le chemisier, dégrafer le soutien-gorge et enfin accéder aux deux globes magnifiques, ronds, fermes et aux pointes si sensibles. Il se penche un peu pour prendre le téton droit entre ses dents et le mordiller, tout en pinçant l’autre avec ses doigts. Elle a pris son sexe toujours raide dans une main et le branle doucement tout en bougeant sous l’effet de ses caresses à lui.



Il la pince de plus en plus fort, elle aime avoir mal et il le sait. Au fur et à mesure, il entend son souffle devenir de plus en plus saccadé, tout comme les mouvements de sa main sur sa queue. N’y tenant plus, il se dégage et la fait pivoter vers la table et elle s’y assoit, les cuisses écartées. Il se place en face d’elle et de sa main fait glisser son gland contre les lèvres humides et brillantes de sa chatte. Elle se mord à nouveau la lèvre inférieure de plaisir.



Elle s’exécute et il se retrouve avec son cul en face de son visage. À pleines mains, il lui malaxe les fesses et les écarte pour bien exposer son intimité. Sa langue commence à passer sur le sexe béant et il remonte lentement vers son œillet. Il peut sentir ce petit goût amer d’interdit lorsque sa langue passe dessus. Petit à petit, il insiste et introduit le bout de sa langue, la sentant se dilater un peu. Elle gémit un peu plus et il s’enhardit, écarte encore plus pour bien voir ce petit trou qui devient de plus en plus dilaté et mouillé par sa salive. Ils adorent tous les deux ces longs préparatifs qui font monter leur désir et leur envie.



A cette invitation sans équivoque, il se redresse et positionne son gland contre le petit trou bien lubrifié qui s’écarte sans peine. Il a à peine besoin de pousser que déjà il sent le fourreau de chair que l’entoure. Lentement il s’enfonce dans ce cul si accueillant. Ce n’est qu’une fois bien emmanché en elle qu’il arrête sa poussée, afin de lui donner un peu de répit et, surtout, de lui permettre de s’habituer à lui avant qu’il ne la lime.



Et, joignant le geste à la parole, il commence des mouvements de va-et-vient. D’abord lentement, puis, au fur et à mesure de la dilatation, de plus en plus vite. Bientôt l’anus de sa maîtresse est parfaitement dilaté et il peut la pilonner sauvagement. Chaque coup de queue lui envoie des sensations délicieuses et excitantes et elle de son côté semble presque en transe.



Elle s’agrippe à la table et projette tant qu’elle peut sa croupe en arrière. Bientôt, il sent monter sa sève et, en agrippant fermement ses hanches il s’enfonce au plus profond d’elle et se vide en elle en plusieurs salves libératrices.



Ils restent tous les deux un long moment, inertes, en train de reprendre leurs esprits, leurs souffles lourds. Il se sent rétrécir et se redresse afin de sortir d’elle d’un coup sec, lui arrachant un dernier râle de bien-être. Il adore voir son trou distendu qui le reste un petit moment après l’avoir libéré. Elle se relève en se cambrant et lui dit :



Des deux mains, elle écarte ses fesses et il peut voir un filet de sperme tomber de son anus en s’allongeant ; il glisse son majeur dessus et la pénètre doucement, son doigt baignant dans leurs sécrétions intimes alors qu’il l’embrasse tendrement dans le cou. Elle se retourne et ils s’enlacent langoureusement, profitant de cet instant lorsque la tension retombe et que chacun savoure le simple plaisir et bonheur d’être dans les bras de l’autre. Ils s’embrassent longuement et, oui, amoureusement.


Mais tout à coup leur baiser est interrompu par un gémissement surgi de nulle part ! Ils sursautent tous deux et regardent machinalement autour d’eux, alors que, bien entendu ils sont parfaitement seuls dans la pièce ! Et puis, instantanément, ils comprennent… au cours de leurs ébats, manifestement, en s’appuyant contre la table, elle avait dû déclencher la visioconférence !!!


Ils restent interdits et écoutent. Clairement le système vidéo ne s’est pas mis en route (encore heureux !) mais il y a bien une liaison audio d’établie ; ce qui semblent être des râles de plaisir leur arrivent distinctement par les haut-parleurs. Une femme est en train de jouir de « l’autre côté », c’était indéniable. Il ne dit pas un mot, alors que sa maîtresse prend prestement la télécommande pour baisser le son. Ils entendent un dernier cri qui marque manifestement la fin de la jouissance et puis le silence se fait.



La voix de Steph leur parvient maintenant, manifestement elle avait retrouvé sa contenance… Elle le regarde et met un doigt sur ses lèvres pour lui faire signe de se taire.



Steph avait un ton assez espiègle maintenant.



Il voit sa maîtresse rougir et, pour la première fois depuis cette interruption impromptue, il se détend un peu en attendant la tournure que les choses allaient prendre.



Elle était de plus en plus rouge. Elle lui prend la main et la plaque sur son sexe qu’il sent mouiller de nouveau.



Steph mit un peu de temps avant de répondre.



En enfonçant son majeur dans le vagin détrempé, il arrache un petit cri à sa maîtresse, mais elle ne perdait pas pour autant le fil de la conversation à distance :



Elle le repousse en lui jetant un sourire coquin, mais en faisant non de la tête et continue :



Un long silence lui répond, puis Steph dit :



D’un geste de la main, elle lui fait comprendre de sortir maintenant et il s’exécute. En marchant dans les couloirs en direction de son bureau, il ne peut faire autrement que de repenser à toute cette histoire et, incorrigible, ne peut s’empêcher d’en ressentir rétrospectivement de l’excitation… le reste de la journée s’annonce difficile pour sa concentration…