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n° 09651Fiche technique8812 caractères8812
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/09/05
Résumé:  Quand un jeune étudiant rencontre, malgré lui, un couple libertin dans un compartiment de train...
Critères:  fhh hbi jeunes hépilé train facial fellation
Auteur : Jh45  (Jh étudiant)

Concours : La neige
La rencontre du train

Je m’appelle Vincent, j’ai 25 ans et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé réellement il y a un peu plus de trois mois maintenant. Je dois dire que cette expérience m’a profondément marqué et me laissera un souvenir impérissable.


J’effectue mes études de gestion à Tours, mais j’habite encore chez mes parents à Epernay, dans la Marne. De temps à temps, je retourne chez moi le week-end, en prenant le train. Ce soir-là, à Paris, je monte dans mon deuxième train qui m’emmène jusqu’à Epernay. J’aime être tranquille pendant le voyage, évitant le plus souvent possible les échanges avec d’autres personnes. Et là, je suis satisfait, car je n’ai pas à chercher longtemps une place : il n’y a pas l’air d’avoir grand monde et je trouve presque aussitôt un compartiment complètement vide et dont aucune place n’est réservée. Je m’installe donc au fond contre la fenêtre en prenant soin de fermer la porte, et j’attends le départ du train, prévu dans une quinzaine de minutes.


Fatigué de ma semaine, je commence à m’assoupir quand mon début de sommeil est troublé par le bruit d’ouverture de la porte et par des voix. Je lève les yeux et vois un couple dont l’homme me demande en souriant si ça ne me dérange pas qu’ils s’installent ici. Guère enchanté par cette situation, mais n’en laissant rien paraître, je lui réponds aimablement qu’il n’y a aucun problème. Les deux personnes me remercient et s’installent sur la banquette d’en face, mais pas sur la place directement devant moi. Voyant certainement que j’ai l’air un peu endormi, le monsieur me demande s’ils m’ont réveillé. Toujours faussement aimable, je leur réponds en souriant que non et ajoute que, de toute façon, le contrôleur m’aurait réveillé tôt ou tard. Sa femme m’adresse un sourire « commercial » et me répond qu’eux aussi sont fatigués et qu’ils vont dormir. Toujours en me l’ayant demandé au préalable, elle ferme à son tour la porte du compartiment et éteint même la lumière, si bien que nous sommes plongés dans une demi-obscurité (les rideaux de la fenêtre n’étant pas rabattus) et que le calme que j’affectionne tant est revenu.


J’ai eu le temps de les regarder brièvement : c’est un couple qui a, je pense, plus d’une quarantaine d’années et qui, ma foi, n’est pas trop mal du tout. Madame est brune, cheveux mi-longs bouclés, environ 1m65, elle n’est certes pas « top jolie » mais son maquillage voyant lui donne un « je n’sais quoi » d’attirant, de sensuel. Sa silhouette est assez fine et bien mise en valeur par une jupe noire qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Monsieur est brun grisonnant, lunettes, je dirais pas plus d’1m80, fin, habillé en jean et chemisette.


Peu après le départ du train, nous avons été dérangés par le passage du contrôleur, ensuite je me souviens m’être assoupi à nouveau très rapidement, entendant juste parfois quelques chuchotements échangés entre mes voisins de compartiment. Je me suis endormi pendant un temps dont j’ignore totalement la durée. Mais, à un certain moment, de légers bruits me tirent de mon sommeil. J’ouvre péniblement les yeux et regarde naturellement vers mes voisins… Et là, je dois dire que j’ai cru halluciner : la femme était à genoux tout bonnement en train de tailler une pipe à son mari qui poussait de légers soupirs ! Malgré la pénombre, impossible de me tromper : madame était forcément en train de s’occuper du sexe de son mari qui avait la tête légèrement en arrière et les yeux fermés.


Dans ma surprise, je n’ai pas dû être très discret, car le regard du monsieur s’est vite fixé sur moi : il a eu l’air également surpris que je les aie découverts. Aussitôt, sa femme s’en est aperçue et elle a tourné la tête dans ma direction. L’espace d’un instant, elle a eu l’air craintive et a paru vouloir tout arrêter. Je ne m’étais pas trompé : je pouvais voir, sortie du pantalon, la bite tendue et décalottée de son mari.


Se reprenant très vite, le monsieur m’a chuchoté « chut ! », faisant un signe du doigt devant la bouche. Puis il m’a invité à venir m’asseoir à côté de lui, toujours contre la fenêtre. Sa femme, rassurée, a repris sa fellation tout en prenant soin de lancer des regards insistants vers moi ou vers son mec. Elle commença même à rajouter de petits bruits, très excitants. Visiblement, la situation les stimulait. Quant à moi, j’ai attrapé aussitôt une énorme érection !


C’était la première fois que je voyais des gens s’ébattre « en vrai » devant moi, et je peux vous garantir que c’est mille fois plus excitant que de voir un film X. Je pouvais apercevoir les petits coups de langue de madame sur le gland ; elle alternait parfois, prenant totalement en bouche la queue qu’elle empoignait. Son mari semblait aux anges car il poussait de légers soupirs de plaisir. Mon regard était fixé sur cette belle queue, c’était la première queue d’un inconnu que je voyais de ma vie. Elle était d’une largeur normale, mais longue (+ 20cm), plus que la mienne, et entièrement rasée. Le gland était parfaitement décalotté. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais excité en la regardant, alors que je suis strictement hétéro.


La femme m’a souri, puis m’a dit :



Perturbé par cette question, j’ai bafoué un petit « oui » ; elle a souri à nouveau, certainement amusée de ma gêne, puis elle a lâché la queue de son mari pour venir tâter la grosse bosse de mon pantalon, en faisant « humm ! ». Elle m’a regardé d’une façon que j’ai trouvée plutôt provocante, et m’a fait signe de venir à elle ; c’est alors qu’elle m’a chuchoté à l’oreille :



Elle a fini par me manger le lobe de l’oreille : à ce moment, j’étais devenu rouge comme une tomate, mais investi également par un sentiment d’excitation inconnu.


Je ne sais pour quelle raison et, sans trop y réfléchir d’ailleurs, j’ai brièvement regardé cette queue tendue, puis j’ai posé les lèvres sur le bout du gland, en y mettant rapidement de petits coups de langue. Aussitôt le mari a soupiré de plaisir, puis sa femme s’est occupée de sa hampe, en descendant lentement vers les testicules. J’avais dans la bouche un goût légèrement salé, ce que j’étais en train de faire me rendait honteux, mais mon excitation me poussait à continuer.


Les mains du mari se sont posées sur nos têtes respectives, certainement pour nous encourager, alors que nous nous roulions à présent, sa femme et moi, des patins baveux autour du gland. Elle me regardait en faisant de légers bruits excitants, son mari gémissait de plus en plus, quant à moi, mon érection était à son comble. Quelques instants après, en branlant rapidement son mari, elle a dit tout bas, mais de façon audible pour nous trois :



Cette phrase a poussé l’excitation générale à son paroxysme, et le mari a presque instantanément laissé échapper un long soupir de jouissance, en crachant des jets crémeux et saccadés dans ma bouche, sur ma langue et mon visage. La puissance de son éjaculation m’a surpris : j’en avais partout. J’avais honte, et je n’ai pas particulièrement apprécié le goût âcre de sa semence, mais une chose est sûre : être dans cet état de dépravation et de soumission, situation totalement nouvelle et inattendue pour moi, m’a profondément excité.


La femme m’a roulé une longue pelle, puis elle m’a dit que je méritais une petite récompense. Elle m’a demandé de m’asseoir à côté de son mari puis, après m’avoir débraguetté, elle a aussitôt entamé une fellation dynamique et baveuse, alors que son mari nous regardait sans dire mot. J’avais tellement bandé pendant « notre séance », que ses bruits vicieux et ses coups de langue répétés m’ont fait jouir presque instantanément : j’ai tout déversé dans sa bouche, et ce fut incontestablement l’orgasme le plus fort que j’ai connu à ce jour.

Cette femme vraiment vicieuse, qui avait avalé mon jus, s’est ensuite tournée vers son mari, en lui disant :



Ce qui est hallucinant dans cette histoire totalement véridique et qui ne m’arrivera probablement plus jamais, c’est qu’ensuite nous avons repris nos places initiales dans le compartiment et, malgré quelques sourires échangés ici et là, nous n’avons plus parlé de rien jusqu’à ce que je descende à ma station d’Epernay. Je ne connais ni leurs prénoms, ni d’où ils viennent, je n’ai pas eu leurs coordonnées et ne les ai jamais revus depuis.


Et depuis, bien qu’étant strictement hétérosexuel (en temps normal, je n’ai aucune attirance ou excitation pour un homme), j’aimerais vraiment réitérer une telle expérience, et je la recherche depuis peu sur Internet, car cette « demi-soumission » aux désirs de cette femme m’a fortement excité.