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Temps de lecture estimé : 18 mn
08/09/05
Résumé:  Quand Rêvebébé échauffe les sens ...
Critères:  fh intermast fellation 69 pénétratio
Auteur : Claude Pessac            Envoi mini-message
Autopsie en direct -live

Digression, dérapage, chemins de traverse, ce texte ne ressemble pas aux autres textes que j’ai déjà publiés sur ce site. Débridé, sans fard, sans retenue, une petite récré, une parenthèse, delirium pas très mince. L’auteur qui se met dans la peau de l’inconnue qui se met dans celle de l’auteur… à moins que… Enfin … Bref …

Pour aujourd’hui : autopsie d’une partie de jambes en l’air, analyse dans les conditions du direct ! Sans fioriture ni état d’âme!

Prêts ? … Alors … ACTION !



La question s’adresse à mon mari. Allongé dans le lit où il m’a précédée, Gérôme parcourt des pages imprimées.



Rêvebébé, tiens donc ! Concours ? Neige ! Amusant !

Mais qu’est-ce qu’il ne va pas encore inventer. Il ne pense qu’à ça ! Par moments, il m’effraye, jusqu’où ira-t-il dans ses petits jeux intimes ? Lieux divers et variés, exhib, photos, sorties sans culotte, scenarii … Et l’amour à la papa, non ? Si, en fait, il aime ça, aussi ! S’arrêtera-t-il un jour ? En tous cas, je ne risque pas de m’ennuyer avec lui…


Emoustillée, je regrette un peu d’avoir déjà enfilé mon tee-shirt de nuit et j’hésite à l’enlever. "Il sera toujours temps de le faire …". Je me glisse dans le lit et viens me blottir contre mon homme, pour partager sa lecture. Passant son bras gauche sous ma tête, il me donne les pages. Ainsi pelotonnée contre lui, j’entame ma lecture : la première page met en scène la situation, un couple tranquille dans son chalet secoué par la tempête recueille une jeune femme qui s’est perdue dans le blizzard; dès la deuxième page, des détails anatomiques joliment décrits éveillent mes sens. L’atmosphère s’échauffe lorsque la naufragée se défait des vêtements glacés et trempés pour ne garder sur elle que le strict minimum, offrant ainsi la vision presque intégrale de son corps à ses hôtes. Un énorme poêle surchauffe la pièce, la petite dénudée s’expose assez outrageusement, la maîtresse de maison, Céline, se laisse aller à un strip-tease d’enfer.


Céline fait glisser enfin son pantalon, s’en débarrasse avec grâce et toujours dos à ses spectateurs, continue sa danse lascive. Ses fesses exposées sont merveilleusement bronzées, le cordon du string disparaît entre les globes charnus de ses fesses. Pliant les genoux, la jeune femme se baisse, projette son bassin vers l’arrière et glisse une main entre les cuisses : les spectateurs ne distinguent que les bouts des doigts qui caressent la motte, ils aperçoivent les phalanges indiscrètes qui resserrent le string avant de le faire disparaître dans la fente du sexe : les grandes lèvres imberbes saillent de part et d’autre du tissu avalé par la moule cannibale, contours visiblement humides et gonflés où les doigts glissent avec indécence.


Je me prends au jeu et cet érotisme savamment dosé me touche. Souvenirs, souvenirs, je ressens à mon tour la chaleur intense du poêle et l’oppression du chalet hermétiquement clos et secoué par la tempête. Et ces femmes qui s’exposent et se défient ne me laissent pas indifférente : au fur et à mesure de ma lecture, je sens une douce chaleur irradier le creux de mes reins. L’excitation me gagne, réchauffe mon sexe; et je ne suis pas la seule : Gérôme vient de replier une jambe, soulevant le drap et dévoilant son sexe qui commence à gonfler. Pendant que nous continuons notre lecture, je le vois lorgner vers mes cuisses que, bonne fille, j’ouvre quelque peu.

Féline, Céline s’approche d’elle, se plante entre ses jambes ouvertes et continue à caresser d’un doigt léger les lèvres dévoilées de son sexe.



Glissant alors ses index sous le tissu, Céline rajuste son string, tire symboliquement sur son tee-shirt de toutes façons trop court, et annonce, péremptoire :



Hé non, c’est pas le moment de manger !


Si mes mains n’étaient pas occupées à tenir les pages, sûre que je serais déjà en train de me caresser. Quoique … Je dis ça, mais c’est même pas vrai : il me reste toujours un petit fond de pudeur ridicule qui m’empêche de me branler devant Gérôme. Il ne demanderait pas mieux lui, bien au contraire, je sais qu’il adore quand je me caresse, que je m’astique devant lui. Mais je n’y arrive pas, pas comme ça, en préambule. Une fois l’action bien entamée, j’arrive à me débloquer, un peu … mais sur ce point précis, il n’est pas vraiment gâté. Je sais parfaitement qu’il aimerait un jour me voir me branler consciencieusement, jusqu’au plaisir, sans avoir à intervenir. Et je le comprends : moi aussi, j’aimerais le voir se branler, éjaculer, jouir sans avoir rien d’autre à faire que profiter du spectacle …

Mais bon, pour en revenir au moment présent, j’ai la foufoune qui me démange mais je n’ose pas la gratter un p’tit peu… Et merde, il reste deux feuillets, je ne vais pas rester comme ça !!! Une main suffira bien pour tenir les pages. Je ne veux pas me branler, soit, mais je peux quand même agir : j’écarte mes cuisses, je retrousse mon tee-shirt pour dégager mes seins et pose ma main dans l’entrejambes de Gérôme. Sa bite est encore un peu molle, mais sous mes doigts qui lui prodiguent des caresses presque distraites, elle gonfle rapidement.

Mon pouls s’accélère, je continue ma lecture : la montée du plaisir et surtout les réflexions de Christelle qui, au bord de l’extase, cherche d’abord et avant tout le plaisir de ses compagnons de jeu.

Là, aux portes de l’extase, son vœu, son envie, son besoin n’est plus que de donner, donner le plaisir, faire jouir cette femme incroyable qui l’a plongée dans cet océan de plaisirs débridés.

Le plaisir de l’autre, c’est bien notre lot à nous, femmes. Bon, je ne peux pas me plaindre, Gérôme n’est pas de ces maladroits ou fanfarons égoïstes qui prennent leur plaisir sans trop se soucier de leur partenaire. N’empêche qu’il lui arrive quand même assez régulièrement de m’oublier sur le palier quand il prend l’ascenseur. Et là, p’é-sen-te-ment s’il vous plaît, j’aimerais bien qu’il s’active un peu. C’est bien gentil ses caresses sur ma cuisse, mais il pourrait passer la seconde maintenant. Chéri, grimpe, occupe-toi de ma chatte !

Christelle relâche enfin ses muscles, laisse le plaisir la gagner, glisse, grimpe, se catapulte dans l’orgasme, orgasme fabuleux, partagé, simultané qui unit le trio dans les limbes éthérés du cataclysme radieux.

Cette fois, ils y sont, eux, au septième ciel et tout le toutim ! Et moi, merde ! Gérôme, fait quelque chose, bouge, caresse-moi, branle-moi, ma chatte est en manque. Merde !

Encore un paragraphe et je te saute dessus mon salaud, je vais te la défoncer ta queue, je vais te la tordre, la tirer, l’étirer… Tu vas voir ce que c’est de m’exciter sans me contenter.


S’il n’y avait pas eu de tempête, c’était quoi le plan B pour introduire Christelle chez nous ?


Décidément, j’aime bien cette chute ! Prenez ça dans les dents les mecs : vous croyez toujours que nous sommes aveugles …


Mais bon, pour l’instant, je m’en fous. À mon tour maintenant.


Gérôme, prends ma bouche, tu la sens ma langue, ma petite langue de pute déchaînée – elle est bonne ta bouche – oh oui, elle est bien raide ta queue, je vais me l’engouffrer, me la goinfrer – oh oui, oui, enfin, tes doigts sur ma chatte – Oh c’est bon ces deux doigts qui encerclent ma moule, montent, descendent le long des rives externes – Vas-y, caresse encore, tout légèrement – glisse, glisse-moi un doigt ou deux dans la fente, tu sens comme j’inonde, tu sens toute cette mouille qui se déverse pour toi – Ah oui, ça fait mal ce doigt qui frôle mon bouton, continue, remonte, viens le branler, viens le malaxer, le tournebouler – Oui, oh oui, c’est bon, enfin, mon clito est dur, il est fou – Regarde comme je m’écarte, tu aimes ça hein, quand j’écarte mes cuisses comme une folle ? – Je suis ta pute, ta chose, tu fais de moi ce que tu veux, mais branle-moi, branle-moi encore, branle-moi encore plus fort – Je t’aime Chéri, j’aime tes doigts qui dessinent des courbes sur ma moule affamée, tracent un O sur l’ouverture béante de ma grotte – Viens, entre, glisse-les tes doigts, plonge-les dans ma chatte, entre dans la grotte – Oui, passe ton autre main sous mes fesses, je veux tous tes doigts sur ma chatte – Tu sais que j’aime ça hein, me faire branler à deux mains, une sur ma chatte, une sous mes fesses - Viens, entre, j’ai envie que tes doigts me fouillent, me pénètrent, se noient dans mon trou inondé – Arrête de tourner autour du pot, je t’en prie, vas-y, enfonce-les tes doigts, mais qu’est-ce que tu attends, j’en peux plus moi – Oh non, et ta bouche sur mon téton, ta langue est diabolique, mes seins me font mal tellement ils sont tendus – Merde, viens, bourre-moi la chatte avec tes doigts, qu’est-ce que tu attends ? Oh je sais, tu attends que je te demande ! – L’enfoiré, il aime que je parle quand nous baisons, il aime que des mots crus franchissent mes lèvres, moi si pudique dans la vie de tous les jours.



Eh oui, c’est bien ça qu’il attendait, le salaud ! Il voulait que je le demande, que j’appelle ses doigts – Et moi aussi ça m’excite de me comporter en putain déchaînée - Oh c’est bon, c’est bon, c’est trop bon, enfin, ses doigts dans ma foune - Tu sens comme elle est chaude, tu sens comme elle mouille, c’est pour toi, c’est pour tes doigts – Mon dieu j’aime ça tes doigts qui fouillent ma chatte, qui griffent ma vulve – Encore, plus profond encore, explose-moi, tu butes contre mon vagin, je sens tes doigts tout au fond, j’aime quand tu m’écrases l’utérus – Je vais jouir, je sens que ça vient – Je ne vais pas me retenir, ça enfle, ça gonfle, mes lèvres s’ankylosent, je n’ai plus de souffle, je bloque, ma chatte me brûle – Encore – Encore … OUI, je JOUIS, oh c’est bon… C’est bon ! C’est FORT ! Oui ! Ca DURE ! Ca dure encore ! Plus fort ! Branle-moi encore ! Oh oui mon clito ! Tes doigts ! Oh ma chatte ! - C’est bon Chéri ! Encore ! Oh que tu es bon, laisse-moi respirer, donne-moi ta bouche, bâillonne-moi – Je JOUIS, ça n’en finit pas ! C’est trop bon, TROP bon – Tu es fou, t’es dingue de me faire jouir comme ça ! C’est bon – Oh j’en peux plus – J’en peux plus – C’est bon Chéri – Oh attends mon Amour, je vais m’occuper de toi… - Après… Laisse-moi, arrête… Ne me touche plus ! J’en peux plus ! Stop - Waouh Chéri, c’était… trop ! Mon Dieu ! C’était bon ! Attends …


Ma chatte me brûle, je l’écrase avec ma paume, je voudrais anéantir mon clito si sensible, explosé par le séisme qui vient de me parcourir – Je suis bien, tellement bien – simplement bien.


Mon corps se relâche, mes muscles se relâchent, ma respiration va se calmer. Je l’aime, comme je l’aime de m’avoir fait jouir si fort. J’aime tellement ses caresses, ses doigts si habiles. Dieu que c’était bon, je suis sur mon petit nuage et il m’observe en souriant. Content le Monsieur ! Ce qu’il ne réussit pas (souvent) à faire avec sa bite, il sait, heureusement, le faire avec ses doigts. Monsieur est un peu rapide : je peux le sucer consciencieusement, il tient, je peux le branler comme une folle, il tient, mais une fois dans ma chatte, il est souvent un peu rapide. La chaleur sûrement, ou la chimie ? Peut-être que je sécrète une hormone trop puissante ? Allez savoir ? Ce que je sais en tous cas, c’est que je vais lui sauter dessus : il faut qu’il ait sa part ! Après le pied qu’il vient de m’offrir, il faut bien que je me montre gentille ! Et ce n’est pas une corvée, j’en ai envie, j’ai besoin de lui donner, de lui rendre ce qu’il m’a offert ! Même si ma chatte est ultra sensible, tu vas pouvoir la bourrer mon Chéri. Je doute que tu puisses encore me faire décoller, mais quelle importance ?


Ma foune est toute endolorie, mes seins sont encore tout hérissés. Couchée sur le dos, écartelée, pantelante, je resterais bien ainsi, immobile encore un moment, mais j’ai trop envie de le câliner, de le sauter, de le faire jouir. Je me tourne vers lui, nos visages se rejoignent, je lui vole son sourire en plaquant mes lèvres sur les siennes, je glisse une petite langue pointue entre ses lèvres, ma petite langue de pute, comme il l’appelle lorsqu’elle se montre aussi insidieuse et dévergondée. Ma main folâtre entre ses cuisses, glisse, légère autour de ses couilles. Tu m’as caressée tout en douceur mon salaud, tu m’as faite attendre, tu vas être servi ! Moi aussi je sais contrôler mes mouvements, tu vas crier grâce à ton tour ! Tu aimes ça, hein, quand je glisse sous tes couilles, que mes doigts musardent entre ton sexe et ton cul ! Oh je sais va, je sais aussi que tu aimerais bien que j’insiste un peu, que j’ose m’aventurer plus avant, plus à l’arrière en fait, que je vienne agacer la corolle serrée de ton cul. Oh, tu peux remuer ton bassin, je ne le ferai pas, pas ce soir, un jour peut-être, mais pas ce soir ! Quant à glisser un doigt dans l’anneau, ça, ce n’est pas pour demain. Je sais aussi que tu voudrais bien, mais je n’y arrive pas. Point ! Inutile d’insister !

Mon chéri, je vais te gratifier d’une pipe, mais d’une pipe comme tu n’imagines pas !


Me positionnant à quatre pattes sur le lit, j’abandonne la bouche de Gérôme, mes lèvres se promènent sur son torse, (j’aime bien le persil de ses poils entre ses seins, j’aime les torses un peu velus. Pas trop, mais un petit peu quand même. Il y a surtout que je n’aime pas les torses imberbes : quelle déception lorsque j’ai découvert le torse glabre de Tom Cruise ! Bon, ça n’empêcherait pas, d’autant que pour le reste… Ah, j’aimerais bien que mon Chéri ait un ventre plat et ferme comme lui ! Un peu de brioche, ok, mais là, tu pousses un peu Gérôme. C’est douillet, confortable comme tu dis, mais fais gaffe ! Il y a des soirs où je ferme les yeux pour ne pas voir le désastre !).

Ma bouche rampe sur ton ventre, je m’approche du Graal, mais contourne l’obstacle. Je ne vais quand même pas me jeter dessus ! J’aime ta main qui flatte mes seins, douce, légère comme une plume alors que ma bouche dégringole sur ton aine et ta cuisse. Ma langue darde une pointe assassine et vient piquer tes couilles resserrées. Une touchette et puis s’en va, … et puis revient. Langue mutine qui escalade par petits bonds la hampe de ta queue qui trésaille sous les assauts. Tu viendrais bien qu’elle franchisse le col, agace le méat, et que mes lèvres avalent le gland ! Trop tôt ! Beaucoup trop tôt ! Je m’applique, je vais te disséquer, analyser cette bite, guetter chaque mouvement, décupler ton désir à force d’agacements et de frôlements. Ma langue redescend, toujours pointue, sur le canal gonflé, comme pour le fendre avec la précision d’un cutter, remonte et redescende, encore et encore, sans jamais franchir le replis du gland congestionné. Et maintenant, tu vas avoir droit au confiturage de couilles ! Mes lèvres s’avancent, gourmandes, viennent bisouiller les couilles et je t’offre une langue large et vicieuse, une bouche chaude et humide qui enveloppe et avale tes couilles douloureusement durcies. Amusant non, mon Chéri, ces boules qui roulent doucement sous ma langue ! Tes cuisses se sont durcies, ton bassin se soulève pour soulager la pression exercée. Tu as peur, peur qui je n’insiste trop, peur que je ne te fasse mal ? Mais tu aimes ça, cette peur et le plaisir mêlés. Je te sens impatient, tendu à l’extrême, je relâche tes bonbons et ma langue enveloppante et chaude ré-escalade une dernière fois ta bite : j’en ai envie autant que toi, je vais m’occuper de ce gland implorant. Je recueille au passage la petite goutte de jus d’amour et j’enfourne la queue dans ma bouche affamée. Tu accuses le coup, tes hanches se soulèvent. Tu es bien dans ma bouche, tu apprécies cette langue vicieuse qui caresse ton gland, les rugosités de mon palais qui griffe le champignon de ta bite, ma glotte qui bute contre ton gland. J’aime ça moi aussi, pour le plaisir que ça me donne, pour celui que tu ressens.

Je m’en doutais, je savais qu’une fois dans ma bouche, tu appellerais mes fesses. Je te connais jusqu’au bout de ta queue. Mais qu’est-ce que tu trouves de si génial à me brouter le minou ? Je sais, tu me répondras que tu éprouves la même chose que moi quand je te suce. Sauf, que si j’aime te sucer, c’est autant pour le plaisir que cela me procure que pour celui que ça te donne, alors que tu sais que, moi, je n’aime pas particulièrement le cunnilingus. Pudeur, hygiène, crainte que tu ne mettes le nez dans un panier de senteurs mêlés, honte atavique de cette position dégradante, ta bouche sur mon sexe fait toujours naître en moi des craintes irraisonnées. Et puis, il y a que c’est ma chatte, ma chatte à moi, j’ai l’impression d’être plus nue que nue dans ces moments-là. Tu peux la caresser, la branler, la fouiller, l’explorer jusqu’au plus profond avec tes doigts, tu peux la pénétrer, la défoncer, l’exploser. Mais la voir, l’examiner, la détailler, non, c’est ma foune, mon mystère, ma féminité, mon secret. Ça me gène que tu me connaisses trop.


Mais je te l’offre, je te la donne ma moule, j’accepte ce 69 qui me fait chienne, avec mes seins qui ballottent, mon cul découvert, mes fesses que tes mains écartent, ta langue qui cisèle les replis de ma fleur, s’engage dans ma grotte moite. J’accepte de subir cette honte délicieuse, et, illogique ou pas, j’y trouve même un plaisir. Paradoxal non ?! Et alors ! Oui, j’aime ta langue indiscrète et experte, j’aime ton nez planté entre ma chatte et mon cul, j’aime que tu me fasses mouiller alors que ma chatte endolorie, mon clito douloureux de tes caresses précédentes n’en peuvent plus de ces nouvelles débauches, j’aime m’exposer ainsi, j’aime m’exposer à toi, j’aime, parce que je t’aime…


Et j’aime ta queue qui emplit ma bouche, cette bite qui me gonfle les joues, sur laquelle je m’acharne avec application et bonheur, cette queue triomphante qui subit mes assauts. J’aime le goût de ta peau, j’aime le goût de ta queue. Je suis échevelée, je suis folle de sucer et de me faire sucer, je ne suis plus moi-même, je glisse dans ton plaisir et tes délires, j’accepte, j’admets, je me soumets et te domine, je te prends et je t’avale, je mouille et t’inonde, je perds le contrôle et garde la conduite, je te manœuvre et sombre dans tes caprices insensés.

Tu craques mon petit bonhomme, tu n’en peux plus, tu as peur de subir. Ta bouche a quitté ma fleur offerte, tes mains ne pressent plus mes fesses ni n’écrasent mes seins.



Tu implores ! Voix de petit garçon soumis, mains ouvertes qui espèrent l’offrande.


Je quitte sans regret ma position, m’allonge sur les dos, cuisses ouvertes. Viens, viens sur moi, regarde, je suis offerte, je t’attends. Et tant pis pour ma foune super hypra sensible, plonge, viens te mettre au chaud.


Je lis dans les yeux de Gérôme qui me surplombe le désir quasi douloureux de la délivrance espérée, l’excitation extrême et la reconnaissance amoureuse. Ses sourcils froncés traduisent son anxiété relative, il sait que s’il a peu de chances de m’entraîner dans son orgasme, je ne lui en voudrais pas pour autant. Comme un bébé affamé, il se jette sur mes seins, sa bouche lèche, embrasse, martyrise mes tétons, passant de l’un à l’autre, sa bouche les gobe alors que ses mains flattent la courbe de mes seins. Je sais qu’il voudrait bien encore s’occuper de ma fente mais je lui suis reconnaissante de s’en abstenir. Je peux encore supporter sa bite, mais ses doigts me seraient trop douloureux. Lorsque sa queue aborde ma chatte, je redoute un instant le contact, mais le pénis entre gentiment, sans encombres, ma foune est encore bien lubrifiée. J’adore le contact de son sexe chaud, la progression de cette chair qui pénètre doucement ma caverne inondée. Presque au fond de l’antre, Gérôme donne un coup de rein et sa bite bute contre mon utérus. La verge se retire, presque totalement, le gland frotte contre le bord de la chatte avant de replonger, doucement encore. Puis le mouvement s’accélère, le va-et-vient s’amplifie, la queue paraissant toujours vouloir sortir avant de rentrer à nouveau. Je contracte mes muscles, mon vagin se resserre sur la bite. Mes sensations s’amplifient, se déploient en corolles irisées, autour des seins, autour de ma foune excitée, au creux de mon ventre. Et lorsque Gérôme abandonne brutalement ma chatte pour glisser sa queue dans la fente inondée de mon sexe et buter son mon clito ragaillardi, je serre les dents et mon corps s’arque boute sous l’effet de la piqûre douloureuse et bienfaisante. Serait-ce possible, cette queue pourrait-elle me conduire à son tour vers l’échelle du bonheur, sur le chemin de l’extase. Oh, ce serait bon ça, et si c’est possible, je ne me retiendrai pas, je ne me bloquerai pas, je ne ferai pas la fine bouche. La bite a replongé dans ma chatte, plus brutalement cette fois, ces va-et-vient s’accélèrent. Mon plaisir se développe, se confirme, Gérôme se tend, ses mains se crispent sur le drap, son cou se raidit et se tend vers le haut, son visage se crispe, sa queue bute au fond de mon vagin, s’affole dans mes chairs et je ressens au fond de moi ses spasmes libérateurs.

Et merde, je glisse, je plonge ! Je voulais l’observer, le voir jouir ! Et niet, j’explose aussi ! Plus le temps de penser, d’observer. JE JOUIS

Oh c’est bon – J’ai mal… mais c’est bon - Oh oui, trop bon ! - Putain le con !…. Waouh !!!!


Court - C’était court – Mais bon !


Vas-y jouis mon Chéri, prends ton temps, déguste.


Ne bouge plus, j’en peux plus ! Ne bouge plus, reste en moi, surtout ne ressors pas !


J’aime lorsqu’il reste en moi, après ! Sentir sa bite s’amollir, rétrécir.


Tiens, les mecs nous parlent du mystère de notre sexe, mais le vrai mystère, c’est bien le leur ! C’est quand même incroyable, ce petit ridicule qui ballote entre leurs cuisses. Sur ce point, Gérôme mérite même une médaille : au repos, son truc est presque minuscule, un zizi de bébé. Heureusement que la première fois que je l’ai vu nu, il était bien excité : si je l’avais vu nu par accident, au repos, je serais partie en courant ! Et en riant ! Parce que bon, son bazar, tout rabougri, n’est pas appétissant ou stupéfiant, ou alors, à l’inverse !

Mais petit zizi deviendra grand dès qu’on lui prête attention ! C’est ça qui est stupéfiant ! Il est là le mystère ! Ok, on me parlera du corps caverneux, de l’afflux sanguin, d’accord, mais que ce petit bidule se transforme en corne raide, inflexible, c’est quand même étonnant. D’accord, je ne vous dirais pas que mon Gérôme devrait s’appeler Rocco, n’exagérons rien. Mais tout de même, il a rien à envier à la plupart des mecs. Belle pièce, dirait ma boulangère ! Quoiqu’il en soit, j’en fais mon quatre heures (et le reste) et j’en m’en porte bien.

Mais ça m’amuse toujours de le sentir rétrécir dans ma chatte, jusqu’au moment où le petit ziguioui s’échappe, plouf, tout seul. Trop drôle ! Mais non, je ne me moque pas, je trouve cela… attendrissant ! Le mâle triomphant, inflexible (sic), redevient gamin un peu gêné …

Ha, faut-il donc qu’on les aime ces sacrés bonshommes pour adorer leurs faiblesses et insuffisances !

Ploc ! Avec tout ça, pour un peu, j’en oubliais le mien. Le voilà qui me quitte, ron-ron contre mon sein, dans trois minutes, il dort ! Content, heureux, satisfait de lui (bon, il y a de quoi), repu. Pépère, savoure bien le moment, parce que c’est pas la peine de te re-pointer demain ni même après-demain (Monsieur a un rythme de deux jours, au bout de vingt ans, c’est pas si mal non ?). Mais là, mon p’tit gars, tu m’as explosée pour la semaine, alors repos !


Pour la semaine ?


Possible que j’exagère un peu…