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Un rendez-vous...

J’avais rendez-vous aujourd’hui chez mon assureur pour renégocier mon contrat assurance-auto. Je suis arrivé un petit peu en avance. (Je n’aime pas être en retard). La demoiselle de l’accueil me fait patienter dans l’espace convivialité, car Mme C. est au téléphone.

***

• — Bonjour M. G., excusez-moi de vous avoir fait attendre.

Elle me fait installer dans son bureau. J’ai beaucoup de chance, Mme C. est une femme d’environ 35 ans, blonde, de grands yeux verts. Comme à chacune de nos rencontres, elle est magnifiquement habillée. Elle porte une longue robe rouge, avec un léger décolleté. Un vrai bonheur pour mes petits yeux.

• — Mme C., puis-je vous voir quelques secondes ?

Son chef nous interrompt pour lui parler. Je la regarde discrètement quitter son bureau. Je ne vois par de marque de lingerie sous sa robe rouge. Il faut dire qu’elle a un corps superbe pour une maman de deux enfants.

Je divague en attendant son retour…

***

Elle revient. Nous entamons nos discussions.

• — Cela fait longtemps que vous n’êtes pas passé me voir, M. G ?

Comme à son habitude, elle est toujours aussi sympathique. Elle me regarde toujours droit dans les yeux pendant ses explications sur les différentes options de mon assurance-auto. Il faut dire que j’ai une voiture considérée sportive, donc je cherche à tirer les prix. Elle me fait une dernière proposition très intéressante.

De la voir bouger comme cela devant moi pour aller à l’imprimante, à son armoire, me fait perdre un peu le fil du sujet.

Elle doit le remarquer… Et en joue un petit peu…

• — M. G., je vous laisse réfléchir à ma proposition.

Quelle proposition ??? Je crois que j’accepterais tout venant d’elle !

• — Vous allez me prendre pour un malade… mais j’aimerais vous offrir un verre, Mme C.

Un silence flotte dans la pièce. Je ne sais plus où me mettre…

• — Laissez-moi cinq minutes et je vous accompagne.

Elle a dit oui ! Mon cœur bat très fort dans ma poitrine.

***

Nous sortons de l’agence et nous dirigeons vers ma voiture. Je la laisse décider du café où nous allons nous rendre. Nous arrivons donc "Au Bureau". (Le trajet a été … comment dire… sa robe longue … un peu fendue … me laissait voir de jolies jambes… si longues…)

Nous nous installons dans un coin calme, sur une banquette. Le tutoiement a pris place. Nous jouons tous les deux le jeu de la séduction. Elle est tellement belle. Sa jolie robe me laisse entrevoir un soutien-gorge noir en fine dentelle. Elle remarque que mes yeux la déshabillent du regard.

• — Faut pas te gêner surtout !!

Aïeeee… je suis pris en flag !

• — Je rigole, ne rougis pas.

Cette phrase a été comme un soulagement pour moi. Surtout que sa phrase à peine terminée, sa main est venue se poser sur ma cuisse.

Naturellement, je pose ma main sur sa main.

Nous ne disons plus rien.

***

Nous sortons du café main dans la main. Il commence à se faire tard. Elle passe un coup de téléphone chez elle pour dire qu’elle sera un peu en retard.

Nous nous promenons dans les ruelles. On se rapproche de plus en plus.

Je m’arrête brusquement et la plaque contre moi.

Nos regards ne font qu’un.

Nos lèvres se collent.

Nos langues se trouvent.

Notre baiser semble interminable…

Son corps est chaud…

Le temps s’arrête…

La pluie commence à tomber. Nous courrons nous réfugier dans la voiture.

Comme des aimants, attirés l’un vers l’autre, nous nous enlaçons. Une main sur sa jambe, je remonte sa robe doucement. Sa peau est si douce. Mon excitation commence à me serrer le boxer… Je l’embrasse… dans le cou… et me dirige vers sa poitrine. Elle écarte le décolleté de sa robe pour s’offrir à moi…

Je fais glisser mes lèvres sur sa poitrine. Doucement… elle frémit sous cette avalanche de douceur. Elle bascule la tête en arrière pour se laisser faire.

Je lèche doucement ses tétons un par un… elle aime ça… son corps réagit à chaque coup de langue.

Ma main glisse de son cou à sa poitrine… sur son ventre… jusqu’à son bas-ventre… Une fois de plus, elle m’aide… en remontant complètement sa robe pour me libérer le passage. Je découvre alors un sexe tout épilé sans tissu supplémentaire pour cacher ce magnifique fruit défendu.

Ce fruit est chaud, humide du plaisir qu’elle peut avoir… Je goûte du bout des lèvres le jus de ce fruit… j’aime… j’aime sa cyprine si chaude sur mes lèvres.

Mon sexe est prêt à exploser. Mon boxer me serre beaucoup. Elle le comprend vite. Elle défait ma ceinture, mes boutons et libère mon sexe…

Ses doigts courent le long de ma verge. Elle les fait glisser de mon gland jusqu’à la base de mes testicules. J’essaye de la caresser à la même vitesse qu’elle me masturbe.

• — Fais comme moi, imagine-toi en moi.

Ces mots… dans cette si jolie bouche… hummm

Nos gestes se coordonnent. Mon doigt pénètre doucement son intimité. Elle a un geste brusque comme réaction. Elle serre mon sexe bien fort à sa base. Je ressors mon doigt et elle se décontracte immédiatement.

Elle coule de plaisir… Nous nous embrassons de longues minutes tout en nous caressant très doucement…

Je fais maintenant rouler son clitoris entre mes doigts. Sa respiration s’accélère très vite. Sa main sur mon sexe prend tout de suite un rythme plus rapide. Dieu qu’elle est douée, douce…

De la voir prendre autant de plaisir… humm.

Elle prend ma main et dirige deux doigts en elle. Elle donne la cadence de cette pénétration…

• — Ne t’arrête plus, fais-moi jouir !!

Mes doigts vont et viennent en elle sans s’arrêter. Elle gémit de plus en plus.

Plus rien ne compte pour elle, à part son plaisir…

• — Oui comme ça ! Vas-y !

Son corps est pris de saccades… elle jouit. Au moment de jouir, elle se met un doigt en plus des miens. Son orgasme est violent. Son corps ne semble plus répondre. Elle s’est complètement lâchée.

***

Je l’embrasse tout de suite après. Je cherche sa langue. Un tendre moment suit ce moment si violent…

• — Je vais m’occuper de toi, maintenant.

Je ne tiendrai pas longtemps. De la voir prendre un tel plaisir, de la voir si excitée… difficile de contenir mon plaisir !

Elle pose une main sous mes testicules. De son autre main, elle vient dessiner de petits cercles sur mon gland. Elle saisit mon gland à sa base et vient y déposer un peu de salive. Comme sa salive est chaude… Elle enduit avec délicatesse toute ma verge de sa salive en prenant soin de passer ses doigts partout.

Elle me regarde dans les yeux et me dit :

• — Laisse-toi aller à ton plaisir.

À peine avait-elle dit cela, que mon sexe disparut entre ses lèvres… Elle prenait soin à parcourir la longueur de mon sexe doucement avec sa langue

Quel bonheur ! !!

Elle s’appliquait à faire monter mon plaisir… Et mon plaisir montait vite, très vite !

Mon corps fut pris de sanglots… de sanglots de plaisir… Je sentis le jus de mon plaisir jaillir dans sa bouche… une fois… deux fois…

Waouh !

Il me fallut plusieurs minutes pour me remettre de cette jouissance si puissante.

Elle se blottit dans mes bras…

***

Le moment de la ramener au bureau était arrivé. Ni elle, ni moi n’avons pu décrocher un mot sur le trajet….

• — Merci pour le verre, me dit-elle en sortant de la voiture.

Puis je la vois s’éloigner…

Je suis surpris de cette réaction après le moment si profond que nous venons de partager… Je repars…

• — Bip bip bip.
• — Allo.
• — C’est moi. Pardon d’être partie comme ça. Ne m’en veux pas. J’étais trop bien dans tes bras. Je me suis sentie comme une ado dans les bras de son premier amour.
• — Euhhh.
• — Ne dis rien s’il te plaît. Passe à mon bureau jeudi vers 17h30.
• — C’est bon pour moi. Rentre bien. Je t’embrasse.
• — Moi aussi, je t’embrasse.