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Temps de lecture estimé : 9 mn
15/09/05
Résumé:  Pour son premier essai, Clara se défoule complètement.
Critères:  grp couplus campagne ecriv_c
Auteur : Nous 2  (Couple de 35 ans d'origine franco-asiatique)      

Série : Clara et moi

Chapitre 04 / 05
Première partouze (02)

Nous étions tous encore plus ou moins dénudés, mais, le soir venant, chacun avait néanmoins senti le besoin de se couvrir quelque peu, les femmes remettant leur bustier et leur jupe, les hommes un slip et un tee-shirt. Le repas, excellent, commença autour de discussions salaces sur les goûts sexuels des uns et des autres et sur leurs expériences. Nous apprîmes ainsi que David et Béatrice, qui étaient cinq ans plus âgés que nous, libertinaient depuis presque dix ans déjà. Ils avaient commencé par les clubs, où ils avaient rencontré Marc et Patricia avec lesquels ils étaient devenus amis.



Marc ajouta :



La discussion continua longtemps, le repas était excellent, le vin aussi, et personne ne semblait pressé de se lever de table. Au fil des confidences échangées avec les uns et les autres, je voyais parfois Clara se trémousser sur sa chaise, les yeux brillants et les joues colorées, parfois rester silencieuse, l’air interrogatif, mais à aucun moment elle ne semblait inquiète ou dégoûtée par ce qu’elle entendait.



Après le dessert, Béatrice nous invita à rentrer dans la maison, car le temps se faisait plus frais. À peine avions-nous passé le seuil de la grande baie vitrée qu’Olivier attrapa Clara par la taille et, en lui caressant les seins, il lui demanda si elle était prête maintenant à jouer avec lui. Clara lui répondit en l’embrassant et ils se déshabillèrent rapidement tous les deux, et commencèrent un 69 torride et bruyant, totalement indifférents à ce que nous faisions.


En fait, nous ne faisions rien, sinon les regarder en terminant une tasse de café. Au bout d’un moment, Béatrice s’approcha de moi et commença à m’embrasser, en me branlant doucement. Elle prit un préservatif, l’enroula sur mon sexe puis, me demandant de rester assis, elle vint s’empaler sur ma queue et commença un lent mouvement de va-et-vient. Marc et David, eux, s’occupaient de Patricia tout en se faisant sucer alternativement. J’observai à ce moment qu’effectivement, aucun des deux ne portait de préservatif. Marc en prit un cependant, ainsi qu’un tube de gel, quand Patricia lui demanda de la sodomiser. Allongée sur David, une queue dans le vagin, l’autre dans l’anus, elle se fit énergiquement baiser des deux côtés et y prit apparemment beaucoup de plaisir. Béatrice, elle, continuait d’aller et venir sur mon sexe. À un moment, n’en pouvant plus, je l’allongeai sur le dos, lui relevai les jambes au-dessus des épaules et me mis à la pistonner avec énergie. Mon excitation était à son comble, une femme magnifique dans mes bras, ma chérie en train de sucer une queue monstrueuse, et enfin une autre femme en train de se faire prendre en sandwich, tout ça au même moment dans la même pièce autour de moi. J’essayai de me concentrer afin de ne pas jouir trop vite. Je regardai de temps en temps Clara. Elle venait de se mettre sur le dos et Olivier commençait à la pénétrer. Je vis Clara faire une grimace puis tout de suite après prendre une expression que je ne lui connaissais pas encore, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, une sorte de râle sortant de sa gorge. Très vite, elle se mit à geindre, puis franchement à crier de plaisir, les yeux fermés cette fois, s’abandonnant totalement à la queue impressionnante de son partenaire. Béatrice me prit la tête dans les mains, m’embrassa et me demanda de ne m’occuper que d’elle. J’acquiesçai et l’embrassai à pleine bouche, la baisant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Ma jouissance fut incroyable : l’environnement, les sons, les images, la douceur de Béa, tout cela me projeta littéralement au nirvana.


Je restai sans doute quelque temps dans les vapes ensuite et c’est Patricia qui vint me tirer de ma torpeur.



Clara s’était apparemment reposée elle aussi, car elle avait de nouveau l’air en pleine forme. Elle était surtout très occupée. En découvrant le tableau, je faillis presque jouir instantanément. Elle était de nouveau sur le dos, se faisant baiser par le gros sexe d’Olivier. Marc et David s’étaient agenouillés de chaque côté de son visage et, tout en lui caressant la poitrine, se faisaient sucer alternativement. Béa enfin, l’aidait à sucer les queues tout en l’embrassant et en la caressant. Au bout d’un moment, Marc et David éjaculèrent sur les visages des deux femmes, qui continuèrent à s’embrasser en mélangeant les spermes. Clara continuait de gémir perpétuellement sous l’effet de la grosse queue d’Olivier. Celui-ci se retira, enleva son préservatif puis en s’approchant de Clara, il lui déversa une quantité impressionnante de foutre dans la bouche, l’obligeant avec sa main à tout garder et à avaler. Clara hoqueta un peu, mais elle se laissa faire, totalement soumise, abandonnée à ses pulsions et celles de ses partenaires. Tous s’affalèrent ensuite sur les coussins. Les jambes écartées, la chatte grande ouverte et rougie par les frottements, la bouche, le visage et la poitrine maculés de sperme, Clara me regarda et me fit un clin d’œil



Tous rigolèrent en voyant mon air ahuri. Clara se leva et vint se lover contre moi.



J’étais heureux, jamais je n’aurai pensé qu’elle prendrait autant de plaisir à partouzer. À ce moment-là, tout me semblait possible avec elle, et je l’aimais encore plus qu’avant.


La soirée touchait à sa fin. Il était tard, et tout le monde avait besoin de se reposer. Je demandai à Clara si elle voulait partir. Béa répondit à sa place :



Nous la suivîmes à l’étage et nous installâmes pour la nuit. Après une bonne douche, Clara se lova contre moi en m’embrassant. Sentant ma queue encore raide, elle l’introduisit dans son vagin. Encore une fois, elle me surprenait : elle était de nouveau trempée, prête à recommencer. Nous étions cependant l’un et l’autre trop fatigués pour faire l’amour. Nous nous sommes donc endormis dans cette position, épuisés, mais heureux.


Mon réveil fut des plus agréables. Je sentais la bouche chaude de Clara m’embrasser le torse, le ventre, les testicules et finalement me sucer le sexe avec de lents mouvements de langue. Que c’était bon… soudain, je sentis une deuxième bouche se poser sur moi. Tendant le bras, je m’aperçus que Patricia nous avait rejoints et me donnait son corps parfait à caresser. J’ouvris finalement les yeux et là, surprise ! Patricia et Béa étaient là toutes les deux, occupées à me sucer et à se caresser mutuellement, mais nulle trace de Clara !



À ce moment-là en effet, je pris conscience des gémissements dans la pièce voisine… impossible de se tromper, Clara était en effet en train de se faire baiser. Décidément, elle devenait vraiment insatiable, trois hommes au réveil et elle me laisse tout seul au lit… Je n’eus pas le temps de réfléchir beaucoup à la situation cependant. Béa et Patou reprirent leurs caresses et m’amenèrent à un point d’excitation que j’avais rarement atteint. Elles se mirent finalement à faire un 69, et à se manger la chatte avec des bruits de succion et des gémissements de plus en plus forts. Je les baisai l’une après l’autre dans cette position, les deux filles me léchant les couilles alternativement pendant que je les pénétrais. Après un moment, elles m’enlevèrent mon préservatif et se remirent à me sucer jusqu’à la jouissance. Elles se partagèrent mon sperme en s’embrassant autour de ma queue puis nous nous embrassâmes tous les trois, salive, foutre et cyprine mélangés.


Après quelques instants, Patricia et Béatrice se levèrent et me firent signe de venir avec elles. Elles m’emmenèrent dans la pièce voisine où j’eus devant les yeux le spectacle pornographique de ma femme en train de se comporter comme une chienne en chaleur, à genoux, la croupe relevée, gémissant sous les coups de reins de David, répondant par des soupirs aux encouragements salaces des deux autres et aux petites claques que lui donnait de temps en temps David sur les fesses pendant qu’il la limait. Olivier et Marc, allongés sur le lit, avaient l’air presque aussi fatigués que moi, le sexe désormais mou à quelques centimètres de la bouche de Clara. Je vis de nombreux préservatifs usagés, certains remplis, d’autres non, dans la pièce. Apparemment, chacun d’entre eux l’avait baisée au moins trois fois, et Clara avait reçu plusieurs éjaculations sur la poitrine et dans la bouche. David s’aperçut de ma présence et, en souriant, il enleva son préservatif, se positionna vis-à-vis de Clara de façon à ce qu’elle puisse me voir et lui éjacula dans la bouche et sur les seins. Les yeux encore embués de plaisir, l’air un peu hagard, Clara me regarda et me demanda si ma surprise matinale m’avait plu.



Tout le monde sourit devant la franchise et le naturel avec lequel Clara avait répondu. Je pris ma chérie avec moi et l’embrassai. Après une bonne douche, nous retrouvâmes les autres autour de la table du petit déjeuner. Deux heures plus tard, nous prenions le chemin du retour, fatigués, mais heureux d’avoir vécu ces moments.


En voiture, alors que nous rentrions par de petites routes de campagne, je demandai à Clara si elle se sentait bien.



Clara me regarda avec des yeux brillants et m’embrassa si fort, si longuement que je dus arrêter la voiture.



Elle ne me laissa pas répondre, elle m’embrassa de nouveau, saisit mon sexe et se mit rapidement à me sucer avec une telle fougue que je ne fus pas long à éjaculer. Elle se releva, se passa la langue sur les lèvres et m’embrassa de nouveau.