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n° 09680Fiche technique22063 caractères22063
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Temps de lecture estimé : 16 mn
15/09/05
Résumé:  Une balade dans l'espace et dans le temps amène à faire un cours de sexualité à des Extraterrestres.
Critères:  #sciencefiction #initiation fh fhhh grp jeunes couleurs inconnu nympho voyage toilettes douche noculotte intermast 69 pénétratio
Auteur : Pierre 2  (Un lecteur passionné)      
Une balade dans l'espace-temps

À l’époque, j’étais étudiant ingénieur et je m’entendais bien avec un assistant un peu fou. Fou ou génial ? Difficile de répondre. C’était un spécialiste de la physique et de la mécanique, un expert en relativité. Nous ne le comprenions pas toujours, mais il n’y avait pas que les étudiants qui ne le comprenaient pas !


Nous partagions la même passion pour la guitare électrique. Un jour que j’étais chez lui, je vis au fond d’un réduit une machine bizarre.



Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’avais envie d’essayer. Envie d’aller voir loin, dans une autre époque. Et c’était possible :



On prend des risques, quand on est jeune et fou. Si on ne les prend pas là, on ne les prend jamais ! Alors bon. Je mis le pendentif autour de mon cou et je montai dans la machine. Je crois que si j’avais attendu le lendemain, je n’aurais jamais osé !


Trois secondes.


L’œil fixé à l’appareil photo. Une végétation de type jungle, avec des dés colorés sur les arbres. Quelque chose qui ressemblait à une route avec un revêtement en verre. J’y ai même vu un être qui ressemblait à un homme. Pas le temps de regarder. Photo. Photo. Photo et retour.


On a passé une heure à regarder ces photos. Trois secondes, trois photos. Il y avait bien de la végétation et elle était verte. La route était une route. Au loin, il semblait y avoir des véhicules qui partaient vers ce qui était sans doute une ville. Et à cinq mètres, un homme. C’était un homme. Blanc, un mètre quatre-vingt, de grands yeux bleus. Il avait franchement l’air surpris de me voir. Pas du tout agressif. Simplement étonné. Je n’hésitai plus. Je voulais y retourner.



Je voulais partir dans un voyage scientifique. Je ne me rendais pas compte que je partais pour les 24 heures les plus torrides de mon existence. 24 heures au fin fond de la galaxie.


Je remontai dans la machine et m’apprêtai à revoir l’homme. Il était là, à regarder l’endroit où j’étais apparu trois secondes et où je revenais.



Ah zut ! Je n’avais pas prévu cela, mais c’est logique. Je parle couramment français, anglais, allemand et espagnol, mais sur Breska, Lune 18, en 4 039, on ne parle rien de cela ! Cela allait être coton. Je ne savais pas comment j’allais communiquer. Je lui fis signe que je ne comprenais pas. Le langage des signes était peut-être commun. Il fouilla dans sa poche et sortit deux casques de walkman, en garda un et me tendit l’autre. Il mit le sien sur sa tête je l’imitai.



Il n’avait pas parlé, mais je l’avais compris. C’était des transmetteurs de pensée. Apparemment les voyageurs de nulle part, c’était habituel, chez eux.



Finalement, sa voiture ressemblait assez fort aux nôtres, le volant et les roues en moins, ce qui lui permettait de « rouler » à environ 500 km/h.

Dans la voiture, j’ai essayé de savoir s’il avait une famille. Les mœurs semblaient différentes des nôtres. Il vivait dans une communauté, ou plutôt une colonie, de plus ou moins dix mille personnes. Il n’y avait pas de maison, pas de famille. Apparemment, même la notion d’amis ou de copains était différente. Tous étaient ses amis et il passait ses loisirs tantôt avec les uns, tantôt avec les autres, au gré des rencontres.

La voiture allait assez vite ce qui fit que je n’ai pas vraiment eu le temps d’approfondir. Une fois arrivé dans la ville, il s’arrêta devant un grand bâtiment.



Visiblement les schémas n’étaient pas les mêmes chez eux. C’était quand même étonnant. Ils étaient le résultat d’une évolution totalement indépendante de la nôtre, mais étaient quand même très proches. Ils ressemblaient à des Méditerranéens : cheveux noirs, teint hâlé et les yeux marron. Par contre, ils étaient plus grands que nous : de 1m80 à 2m20 environ. En vieillissant, certains attrapaient des cheveux blancs, d’autres devenaient chauves. J’en étais là dans mes réflexions quand arriva un groupe de petits bonshommes verts. Les archétypes du Martien : un mètre vingt, parfaitement chauves et la peau totalement verte. À part cela, ils avaient trois yeux et une oreille au milieu du front.



Au ton méprisant de mon compagnon, je compris que le racisme existait aussi chez les habitants de Schnj (Breska), malgré leur côté ouvert et accueillant. J’avais grâce à ses yeux, les petits hommes verts pas. Probablement simplement parce que j’étais plus semblable à sa race.

Je compris aussi que les transmetteurs de pensée laissaient plus filtrer des sentiments que ne le font les conversations classiques. J’en fis d’ailleurs l’expérience immédiatement :



Je le suivis dans le bâtiment, vers ce qui devait être les bains. À voir la foule qui y allait, cela devait être important pour eux.


Dans une grande salle, tout le monde se déshabillait et passait ses vêtements à une sorte de robot sur roulette. Visiblement, leur pudeur était différente de la nôtre. Hommes et femmes se déshabillaient ensemble. Les seuls à part étaient deux ou trois groupes d’hommes verts.

Je pus constater quelques différences entre l’anatomie des Breskiens de la nôtre. Ils étaient tous sans poils, à l’exception des cheveux et d’un triangle pubien. Le taillage de ce triangle était visiblement un sujet de fantaisie chez eux. Mon compagnon avait les poils taillés en forme de « smile ». Je vis une fille assez jolie qui avait une sorte de flèche dirigée vers le bas. Il y avait vraiment toutes les formes. Ce qui me frappa immédiatement aussi, c’est qu’ils avaient six tétons, mais seuls les deux du haut formaient des seins chez les femmes. Les seins restaient très fermes, même chez les plus âgées. Par contre, les sexes des hommes étaient de façon générale assez petits.


Quand nous fûmes nus, mon compagnon m’emmena dans la salle suivante. Etonnant : une salle remplie de sorte de selles de cheval flottant à bonne hauteur pour s’y installer. Elles étaient rangées par ronds de six.



Je m’assis à côté de mon compagnon. La selle se referma sur moi dès que je mis la pastille. Immédiatement, j’eus envie de pisser et je me suis laissé aller. La fille au pubis taillé en flèche vint s’asseoir en face de moi.

Mon compagnon sourit.



J’étais en train de pisser, assis sur une toilette en forme de selle de cheval, en faisant la conversation avec un Alien. Une Alienne, en face de moi, faisait la même chose en me dévisageant. Je me dis qu’elle était pas mal et que je me la taperais bien. Il n’y a pas grand monde sur Terre qui ait dû baiser une Extraterrestre. Je me mis à bander. Elle me regardait toujours avec un grand sourire. Le système de toilette entreprit de me nettoyer. Je compris rapidement pourquoi mon compagnon appelait cela un des grands plaisirs de la vie. C’était comme une langue qui me léchait. C’était synchronisé avec ma pensée. Je me mis à penser :


« Mets-moi un doigt dans le cul. »


Et, avec une infinie douceur, une « langue » me lécha l’anus et un « doigt » s’introduisit. Au gré de mes pensées, la machine me lécha les couilles. C’était tantôt une bouche experte, tantôt un vagin qui aspirait ma bite. Ma tête s’emplissait d’images de toutes les couleurs. La bouche me suçait, une langue s’enroulait autour de mon gland.


Au moment d’éjaculer, je tentai de me retirer. Ma dernière copine, la seule qui m’avait sucé très régulièrement, ne voulait pas que j’éjacule dans sa bouche. Je sentis deux mains sur mes fesses me coller vers l’avant. Elle voulait avaler. Je lâchai de grands jets. Oah, pas mal.


Je sortis de ma bulle. J’étais dans une salle où il y avait une centaine de toilettes-machines-à-masturber, fixées en ronds de six sur le sol. À côté de moi, mon compagnon avait dû jouir depuis quelques minutes et attendait que j’aie fini. En face de moi, l’Alienne à la flèche avait fini de me fixer. Elle était visiblement en partance pour le septième ciel et poussait quelques petits cris.


Sur les trois autres selles de notre groupe, deux étaient occupées. L’une par une « amie » de l’Alienne à la flèche, l’autre par un Alien qui semblait avoir le même âge que nous.

En face de moi, la machine arrivait à ses fins ! Je voyais son ventre sursauter en même temps que son visage exprimait la jouissance. Je ne pus m’empêcher de la regarder jusqu’au bout. Elle était vraiment belle quand elle jouissait.


Mon compagnon s’était levé. Je le suivis dans la salle suivante. Un mélange de bains de vapeur avec des douches qui virevoltaient et dont on choisissait la chaleur et la position par la pensée. L’Alienne nous avait suivis. Elle s’adressa à mon compagnon.



Au passage, on a récupéré nos habits lavés et repassés. On avait même remis le bouton qui manquait à ma chemise.


On s’est retrouvé à table, à huit. Je ne décrirai pas la nourriture. L’aspect était totalement repoussant. Le goût très fade, sans plus. D’emblée, KJ29 me demanda si l’on pouvait accorder nos fréquences. L’on put donc converser à huit. KJ29 et sa compagne HG56 étaient stylistes et travaillaient pour l’instant ensemble. Mon compagnon MM12, s’occupait de la surveillance des champs éloignés. OL45, un Alien d’environ 25 ans, avait travaillé avec MM12 et s’occupait des machines à transformer et acheminer la nourriture. Les trois autres, deux femmes et un homme, s’occupaient des bâtiments. Vers la fin du repas, une question me brûlait les lèvres :



Me voilà embarqué dans une discussion au fin fond de la Galaxie, avec des « Breskiens » qui veulent savoir comment on fait les bébés… Que leur dire ? Une autre histoire d’usine ou la vérité ? Va pour la vérité !



Une nymphomane au pays des Aliens !



Me voilà donc embarqué, avec sept Aliens, dont une nymphomane, qui veulent apprendre à baiser comme sur Terre. J’ai vingt heures devant moi. Que faire ? Me débiner ou leur apprendre le Kama-Sutra ? J’opte pour la seconde solution. Je vais leur apprendre la totale, ou du moins ce que j’en connais… Et tant pis si après, toute leur harmonie s’écroule !



L’idée que j’allais baiser la KJ29, avec sa petite flèche indiquant la direction à suivre, m’excitait terriblement. J’en bandais déjà. Visiblement, tous avaient envie de terminer de manger rapidement. Le dîner ne s’éternisa pas. L’on partit ensemble vers la zone à dormir.


Dans ce monde, la vie était totalement communautaire. Ils ne dormaient pas chaque jour au même endroit. Certains préféraient dormir seuls. C’était conseillé pour les ronfleurs, me dit KJ29 en rigolant. D’autres se sentaient mieux en groupe. Il y avait donc des alcôves pour un ou deux et d’autres de six ou huit. On repéra sur le plan une alcôve de six ou huit libre et l’on se dirigea par là.


La pièce était sympa. Je garderais des idées pour décorer ma chambre. Il y régnait une lumière pastel assez chaude dans les tons jaunes. La télé était allumée ou plutôt une sorte de projecteur tridimensionnel qui projetait un ballet de lumière sur les murs, suivant des sons qui devaient être de la musique.

Attenant à la pièce, il y avait une salle de bain avec une de ces douches aux tuyaux flottants, un WC plus traditionnel et une espèce de fraise de dentiste flottant dans l’air.

C’était leur système de brosse à dents. KJ29 m’expliqua comment faire. Sympa ! Un mélange de jets d’eau, de brosses et de dentifrice, dont le goût s’approchait du chocolat à la menthe que l’on trouve en Angleterre, avec une pointe de ketchup. Au passage, le système faisait rasoir également, bien que les habitants n’aient pas l’air d’en avoir tant besoin.



Je pris KJ29 dans mes bras. Elle était nue, sa peau était douce. Je commençai par un petit bisou sur la joue.



Et maladroitement, elle m’embrassa la joue.



Pendant que, maladroitement, trois autres couples s’essayaient aux caresses, j’enlaçai KJ29 et je l’embrassai doucement sur les lèvres. Un petit passage de la pointe de ma langue sur ses lèvres et elles s’ouvrirent. Sa langue vint à la rencontre de la mienne. C’était fou ce que l’on se comprenait vite.

J’avais oublié que nos casques télépathiques faisaient plus que traduire nos paroles. Je lui caressai le dos et descendis sur ses fesses. Maladroitement, elle fit la même chose. De mon autre main, je lui caressai le sein gauche et jouai avec son téton. J’avais envie qu’elle me caresse le sexe. Elle l’entendit. Elle s’écarta un peu de moi et sa main vint caresser mon sexe en érection. Ma main descendit vers son sexe. Elle était trempée.


Stop ! Il fallait expliquer la suite.



Je me rendis compte en les regardant que les Aliens mâles avaient un petit zizi. Petit en longueur et petit en largeur. Par contre, les femelles avaient, une fois excitées, des clitoris qui pointaient leur nez.



Je me suis couché à côté d’elle, nous avons recommencé à nous embrasser et à nous caresser. J’ai joué avec ma langue sur le bout de ses seins. Sa voix me disait « Plus bas ! » Je suis descendu. Ma langue s’est un peu attardée dans son nombril. Puis je suis descendu encore. Elle avait les cuisses ouvertes. Je me suis attardé sur l’intérieur. J’ai léché ses petites lèvres. Ses deux mains étaient sur ma tête, à la fois pour la plaquer sur son sexe et pour jouer dans mes cheveux. Sa chatte avait un goût plus sucré que les filles que j’avais connues. Je me délectais de son jus. J’ai été jusqu’à l’anus. Je suis remonté, introduisant ma langue dans son vagin.

J’ai bougé pour me positionner en 69. Elle n’a pas hésité et a pris mon sexe en bouche.



Elle se contracta, me mordit un peu. Je sentis tout son corps parcouru de frissons. Elle éjacula aussi un petit peu. Outre le fait d’avoir un clitoris bien développé, les Aliennes sont aussi des femmes-fontaines !


Je me remis dans le même sens qu’elle, l’embrassai sur la bouche et la pénétrai. Quelques va-et-vient. Son vagin se contractait et j’éjaculai en longs jets tout au fond d’elle. Je restai ainsi le temps de redevenir mou. D’une contraction de vagin, elle m’éjecta. L’on resta encore enlacé quelques minutes.



Encore quelques jeux érotiques sous la douche et nous sommes retournés nous coucher. Elle s’est endormie blottie contre moi, la main passée dans mon pendentif.




On s’est réveillés en sursaut, tous les deux, nus, enlacés… dans la machine, sur la Terre.



Bon… Maintenant, que fait-on ?