n° 09698 | Fiche technique | 6952 caractères | 6952Temps de lecture estimé : 5 mn | 20/09/05 |
Résumé: Fantasmes ou souvenirs d'une rencontre torride. | ||||
Critères: fh volupté fsoumise cérébral fmast fellation cunnilingu 69 fsodo tutu ecriv_f | ||||
Auteur : Femme Envoi mini-message |
Je nous ai rêvé dans un appartement vide.
Seul meuble : une chaise. Et je nous ai vus nous aimer fort, sur cette chaise instable, succomber aux caresses attendues et données. Je te voyais surtout passif, devenant mon jouet, objet de tous mes plaisirs. Je me suis vue encore toute vêtue et toi, d’une nudité déjà si indécente et affolante. Prête à perdre la raison, ivre de joie de t’avoir à ma merci.
Tu étais assis les fesses au bord même de cette chaise si peu confortable et tu t’offrais si beau, si entier, fier et envieux. Tu attendais mes caresses que je tardais à te donner, je jouais, te caressais de mes joues, de mes cheveux aussi.
Alors que mon visage et ma bouche allaient t’accorder les faveurs si délicieuses que tu aimes, je me gardais une main pour mon propre plaisir, et alors que je te léchais doucement et très lentement, juste assez pour te faire frémir, mais juste pas assez de manière à ce que tu sois toujours en attente et que ton désir monte encore et encore, je fouillais mon sexe doucement, mais sûrement. Je vagabondais en moi pour te faire goûter mes doigts ensuite.
Alors que mon visage cherchait ton sexe sans le trouver (exprès), tu empoignais mes cheveux pour mieux me diriger, ta manière de supplier : tu ne pouvais plus attendre. Finalement comme par miracle mes lèvres venaient à la rencontre de ta queue, sans pour autant la dévorer comme je le souhaitais tant déjà ! Non, te faire languir encore, te faire croire que j’allais te donner le bonheur espéré, sans te le donner encore : jouer de toi encore un peu, t’exciter davantage. Je te voulais plus grand, plus gros encore.
Lorsque finalement je t’ai aspiré, comme avalé, ce n’était que pour mieux lâcher prise rapidement. J’étais si excitée moi-même, je voulais ta bouche, tes lèvres, ta langue. Je t’ai donc levé, et à mon tour me suis assise en te faisant t’accroupir devant moi tout en écartant les cuisses ; j’ai posé les pieds sur tes épaules et relevé lentement ma jupe. Contrairement au supplice que je t’ai fait endurer, j’ai attrapé ta nuque et tes cheveux de mes 2 mains pour coller ta bouche à ma fontaine :
Je voulais que tu boives… Tu as bu, longuement, tranquillement, tu m’as fouillée de ta langue et de tes doigts. Tu m’as cherchée puis trouvée.
Notre danse d’amour a changé. Tu m’as retournée, j’étais debout, penchée sur cette horrible chaise, tu étais assis entre mes cuisses, ton visage enfoui dans mes intimités, tu me possédais, mais ça n’a pas duré. Je n’ai plus su résister à mes envies si grandes, à ma faim de te manger, te mordre, te goûter mieux, plus sauvagement, plus tendrement. J’ai repoussé notre meuble complice pour que tu puisses t’allonger et me suis vite retournée et assise sur ton visage. À mon tour me suis allongée pour aller à la rencontre de ta verge épaisse afin de te savourer lentement, vivement, agressivement parfois, mais si tendrement aussi. Tu as abdiqué et arrêté tes explorations divines.
Ma joie résidait dans la tienne, je voulais ton bonheur, tes cris, ton souffle rauque, rapide et saccadé. Tes hanches me soulevaient. Tu dansais dans ma bouche, mes mains s’agitaient le long de tes cuisses, sous tes fesses, sur tes hanches. Violemment tu m’as ordonné d’arrêter, tu cherchais à me repousser, tu sentais la défaillance approcher. Pourtant je continuais et, dans une fausse retenue, tu plongeais dans la petite torture de l’interdiction de capituler tout en ne pouvant résister aux joies de mes caresses. Ton état décuplait mes envies et mon excitation, mes lèvres te serraient davantage encore, ma bouche est devenue plus accueillante aussi et ma langue plus audacieuse… Tu as crié fort. Je me suis délectée. je t’ai croqué encore un peu, caressé, aimé.
Lorsque tu revins à toi, tu constatas que j’étais venue m’allonger contre toi. Nous nous sommes alors susurré les mots magiques, embrassés.
Ta queue trahissait tes envies toujours présentes, de par sa raideur. Je me suis spontanément assise sur toi. Dans une douce cadence rythmée, je t’ai avalé millimètre par millimètre et tu as redécouvert mon intimité. Presque allongée sur le dos, entre tes cuisses, je dansais, et, comme j’étais sur le point de mourir à mon tour, tu m’as repoussée. Tu t’es échappé de mon ventre : horrible douleur, si grand vide, amour si grand et haine incontrôlable. Je t’aurais giflé, mais tu m’as voulue à califourchon sur la chaise récupérée, assise face au dossier, cuisses bien écartées.
Le cul si indécemment offert, tu me voulais plus cambrée encore. Tu m’as délicieusement préparée : petit paysan qui cultivait son champ. Doigts coquins et langue effrontée ! Tu t’es mis à genoux, le sexe à nouveau si dur et envieux. Tu m’as pénétrée d’abord très doucement, puis si violemment que j’en ai pleuré. Ta main droite dans mes cheveux, tu tirais fort, pour trouver mon regard, mon abandon, mon plaisir. Tu m’embrassais. Tu me massacrais, et ce, à mon plus grand plaisir. Je sentais ton sexe si gros et si grand dans mon petit trou que tu rendais élastique.
Ma fente ne te suffisait pas. Tu m’as violemment fouillé la chatte et sans égard, tu m’as enfoncé les boules de geisha que tu m’avais offertes lors de notre précédente rencontre, tout aussi coquine. Plaisir décuplé, car la cloison les séparant de ta queue étant si fine, je me sentais tout simplement pleine. J’ai deviné ton plaisir s’accroître sentant cette présence contre ton sexe et pourtant sans la toucher. Tu es redevenu fou.
On s’est aimé très fort, longtemps. J’ai même eu mal, mais quelle importance, le plaisir étant immense !
Tu m’as relevée tout en restant bien profondément en moi. Je me suis sentie poussée, projetée contre le mur. Tu tirais très fort sur mes cheveux, pour que je me cambre davantage, pour ne pas risquer de t’échapper de mon orifice si étroit. Contre la fenêtre, le visage en sueur, le froid de la vitre sur mes seins, sur mon ventre : toi, tu t’acharnais.
Je me sentais mal-aimée, défoncée et pourtant, je sais qu’à ce moment précis, tu m’as sincèrement aimée. Je t’offrais donc tout en plus encore. Tu m’embrassais avec tendresse. Finalement, tu t’es raidi, contracté, tes cris ont changé : tu allais mourir !
J’ai un peu bavé sur mes doigts pour mieux glisser en moi, comme moi seule sais le faire ! Je voulais t’accompagner dans ton abandon, mourir avec toi, comme toi, pour toi, en même temps que toi. Tu savais, tu m’encourageais.
Je t’ai senti exploser alors que moi-même je me liquéfiais…