Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
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Temps de lecture estimé : 8 mn
22/09/05
Résumé:  Pour renouveler notre relation, on essaie une amante pour ma femme...
Critères:  ffh couplus intermast 69 pénétratio hgode
Auteur : Loo  (Loo, Voyeur et Partageur)
Renouveau

Renouveau


Elle est belle, blonde véritable, des yeux bleu-vert sublimes, assez grande (1m78), avec une fière petite poitrine (90B) et de belles jambes fuselées. Trois enfants, la quarantaine, libre.


Evidemment, quand elle m’a dragué, j’ai été très flatté, j’ai laissé faire (je suis nul en drague), et puisqu’elle faisait le premier pas… bon.


On est sortis ensemble et puis, logiquement, on a vécu ensemble… La vie s’installait tranquillement et le sexe aussi… tranquillement. Au bout d’un moment, il fallait trouver autre chose, renouveler nos ébats, sous peine de tomber dans une routine, un petit coup de loin en loin, ce que nous ne voulions pas.


Et, après avoir lu Revebebe, j’ai commencé à lui raconter certains fantasmes en faisant l’amour. Elle appréciait, mouillait plus, jouissait bien plus encore.

Ce petit jeu nous plaisait, on pouvait raconter nos fantasmes respectifs, elle ses envies lesbiennes, moi mes désirs de partage, ou de voyeurisme…


Et puis, un soir, on était tous les deux dans le grand appart, pour une fois seuls, les enfants chez leur père. On commençait à se caresser, à s’exciter mutuellement, quand elle me dit :



Et là, je lui raconte mon idée, venue à l’instant.



Elle avait son sourire vicieux, la bouche humide et pas que ça, d’ailleurs…

On se prépara rapidement, sans faire de recherche particulière pour s’habiller, de toute façons, le but étant de finir la soirée à poil…


Dans la rue, rien d’attirant. On marchait depuis une heure, quand je repérai notre proie. Une sublime beurette, qui devait avoir dans la trentaine. Une poitrine fière, un regard de braise, un petit cul haut perché, un vrai appel à la sodomie.

J’avais le cœur battant et ma Chérie aussi, elle se trémoussait sur place.

On suivit la fille qui entrait dans un bar.



On s’assit en face d’elle et on commanda. La fille s’était installée, son verre devant elle et un Pariscope sous les yeux… Visiblement, elle cherchait comment occuper sa soirée.


Ma Chérie la détaillait à l’envi, de manière tellement insistante que la fille finit par le remarquer.

Et elle lui sourit.



Ma belle se leva, le plus sensuellement possible, avec un déhanchement des plus suggestifs, sous l’œil amusé de la fille. Elle se dirigea vers elle et la salua.

La fille lui fit signe de s’asseoir à ses côtés et elles commencèrent à papoter.


Ce qu’elles se sont dit, je ne le sais pas, mais toujours est-il qu’au bout de cinq minutes, elles se sont levées toutes les deux, la fille réglant sa boisson, pendant que ma Chérie me demandait de venir.



Une fois dehors, la fille se présenta, Tania, 32 ans, célibataire, libre.

En marchant rapidement vers l’appartement, elle nous dit qu’elle n’avait rien à faire ce soir et qu’elle cherchait en fait un bar un peu chaud, histoire de trouver une occasion de s’envoyer en l’air. La proposition de ma Chérie lui allait tout à fait, elle aussi était pressée d’arriver à la maison.


Je ne pouvais qu’apprécier cette liberté d’esprit, non ?


Une fois la porte de l’appartement franchie, ma Chérie s’approcha de Tania et prit son visage entre les mains. Tania prit l’initiative et roula une pelle majestueuse à ma Belle.

De les voir comme ça, debout, fines, enlacées, me fit un bel effet !


Sans se lâcher, elles filèrent vers le grand lit.


Ma belle commença à déshabiller notre invitée qui n’attendait que ça. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les deux femmes étaient nues, resplendissantes. J’avais fait la même chose, mais tout seul, hélas.

Tania lâcha la bouche de ma Chérie pour glisser sur ses tétons, lentement, en jouant avec sa langue, et comme ma belle a le téton très sensible, les premiers gémissement se firent entendre. Les mains se promenaient partout, et je m’assis sur le bord du lit pour juger de l’humidité des deux femmes. Une main sur chaque chatte, humides, poisseuses de jus intime, lèvres écartées, c’était un vrai bonheur.

Notre invitée avait une superbe chatte, avec de grosses lèvres rebondies, comme une bouche, et un clito qui m’impressionna. Je pouvais pratiquement le branler comme un sexe d’homme, tellement il était gros. Celui de ma femme était plus petit et il fallait le titiller dans son nid, tandis que là, avec Tania, je pouvais le prendre entre deux doigts, et faire de tous petits allers et retours.

Elle gémissait plus fort sous mes caresses.

Pour rétablir l’équilibre, je plongeai deux doigts dans la grotte de ma Chérie, caressant le point G, avec un pouce qui s’aventurait vers son petit cul.


Elles s’allongèrent et continuèrent à se caresser, à se lécher.

J’ouvris le tiroir de la table de chevet pour y prendre deux godes que je plantai aussitôt dans chaque chatte, allumés, vibrants. Tania fut surprise de cette introduction, mais plongea sa main sur le gode de ma Chérie, pour activer le mouvement. Ma Belle fit la même chose, sans lâcher la bouche de notre invitée.


Et moi ? Je matais. Une main sur ma queue qui commençait à me faire mal tellement j’avais envie de plonger dans une ou l’autre chatte, voire les deux…


Tania finit par jouir très fort, ce qui entraîna presque immédiatement la jouissance de ma Chérie.


Elle restèrent un moment juste à se caresser, glissant les mains sur leur corps.



Ma Chérie se redressa, et m’attira vers elles. On était tous les trois allongés, moi entre elles deux, et déjà Tania commençait à me caresser le dos, les fesses et une de ses mains saisit ma queue.

J’ai failli jouir, tellement j’avais envie. Ma Chérie m’embrassa et me retourna sur le dos, la queue fièrement dressée. Elle guida Tania sur moi, caressant sa chatte voluptueuse vers moi.

Tania se planta sur moi, et je sentis mon sexe plonger lentement entre ses lèvres goulues et la main de ma Chérie qui titillait le clito géant de cette fille.

Pour ne rien perdre, ma Chérie se positionna au-dessus de mon visage, pour que je la lèche.

Les deux bougeaient ensemble, se caressant les seins, les chattes, les visages.

Je jouis dans la chatte de Tania, tandis que ma Chérie lui écartait les lèvres, pour voir ensuite mon jus couler, ce qu’elle adorait voir sur elle. En général, elle trempait ses doigts dans le sperme, comme on goûte la pâte d’un plat, par petites touches.



Tania fit de même, ramassant ma jute sur ses doigts, pour les porter à sa bouche, goûtant mon jus.



Couché juste sous ma Belle, ma tête frottant sa chatte mouillée, Tania sur mes jambes, j’étais effectivement devenu assez mou.

Ma Chérie se leva, poussa Tania sur le côté et me roula sur le ventre.

Elle passa sa main sur mon pubis, pour le soulever, pour me cambrer, ressortant mes fesses bien ouvertes. Elle prit un des deux godes, le plus petit et, souriant à Tania, le présenta devant ma rondelle.

Tania regardait et commençait à se toucher, l’air plus qu’intéressée.



Tania saisit le gode. Pour le mouiller, elle le plongea dans sa chatte, tournant un peu pour bien l’humidifier, et le présenta devant mon cul. Elle commença à le rentrer.


C’est vrai, on en avait souvent parlé, mais jamais fait, j’avais peur que ça fasse mal et en même temps j’avais honte de mon machisme imbécile, vu que ma femme adorait se faire prendre par derrière… Et moi, j’avais bêtement peur d’avoir mal, sans me soucier du mal que cela pouvait lui faire, à elle !

À côté de ça, ma Chérie aimait ça tellement que je me disais que ce devait être agréable, finalement.

Et ce soir, j’allais enfin essayer.


Tania faisait rouler le gode tandis que ma Chérie me branlait, et que je redevenais dur. Le gode finit par rentrer petit à petit. C’était moyennement plaisant, en fait, pas douloureux, mais… comment dire… envahissant ? Je dirais que j’aimais plus la main sur ma queue que le gode dans le cul.


Et puis, lentement, le plaisir commença à venir, je voyais ma femme se branler, mouillée comme je ne l’avais jamais vue, des filets de mouille coulant carrément sur ses cuisses.

Tania, elle aussi, se branlait d’une main tout en jouant avec le gode dans mon cul, faisant des commentaires sur ce qu’elle voyait.


N’en pouvant presque plus, à la limite de la jouissance, je demandai qu’elle arrête et je gardai le gode dans le cul, Tania s’allongeant devant moi, les cuisses sombres écartées, la chatte luisant devant ma bite comme un poteau. Ma femme s’allongea sur elle, tête-bêche, pour se faire lécher par Tania et bien voir ma queue plonger dans cette chatte.


De voir ma femme sur notre invitée, de sentir la chaleur de cette nouvelle chatte, je finis par jouir très fort, inondant la grotte de Tania.

Ma Chérie jouit aussi et Tania suivit de près.


On s’écroula tous les trois, épuisés par ce premier tour.


Plus tard dans la nuit, on reprit, jusqu’au matin où, finalement, la fatigue nous surprit.


Depuis ce jour, Tania passe régulièrement, devenant quasiment l’amante officielle de ma femme, pour notre plus grand plaisir à tous les trois !