Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09712Fiche technique8636 caractères8636
Temps de lecture estimé : 6 mn
23/09/05
Résumé:  J'étais bien décidé à ne jamais mélanger travail et sexe et pourtant...
Critères:  h fh douche hmast fellation pénétratio fsodo
Auteur : MichelBe
Joindre l'utile à l'agréable

Mon travail d’indépendant dans le bâtiment me conduit souvent à travailler dans l’appartement ou la maison de mes clients (ou clientes…). Depuis très longtemps, j’avais pris ce que je considère comme une bonne et sage résolution : ne jamais mélanger le travail et le plaisir. Pourtant, ce n’est pas toujours facile et les tentations ne manquent pas. Je ne compte pas le nombre de fois où je suis arrivé le matin pour un dépannage chez une cliente habillée en peignoir avec rien en dessous. On a beau avoir pris de bonnes résolutions, il n’est pas toujours aisé de rester insensible. Mais j’avais toujours résisté à la tentation et je pensais avoir raison.


Un jour, je me suis présenté chez une cliente pour un devis. Elle m’a reçu dans le living et nous avons fait le tour du bâtiment pour évaluer les travaux. C’était une femme d’une quarantaine d’années, très belle. Elle était très bien habillée, quoique relativement sexy. Si sa jupe n’était pas spécialement courte, par contre, elle portait un chemisier très échancré qui ne cachait pas grand-chose de sa poitrine qui était du reste superbe. Chaque fois que je regardais cette femme, mes yeux glissaient rapidement vers le bas et j’admirais cette poitrine qui était loin de me laisser indifférent. Je suis certain qu’elle l’avait remarqué, mais ne semblait pas réagir ou montrer un quelconque agacement. Finalement, la visite du bâtiment se termina, je pris congé et rentrai chez moi pour rédiger mon devis qui fut envoyé très rapidement.


En travaillant à mon bureau, je ne pus m’empêcher de repenser à cette femme très belle et mon imagination commença à travailler et l’effet ne se fit pas attendre… Mon sexe déjà bien durci commençait à me faire mal. J’ai alors baissé mon pantalon pour libérer mon sexe bandé par l’excitation et j’ai commencé à me masturber tout en m’imaginant avec cette femme. L’effet fut rapide et j’ai joui en très peu de temps. Pourtant, je continuais à penser que je devais en rester là et ne prendre aucun risque. Du reste, qu’est-ce qui me disait que cette femme s’intéressait à moi et avait envie d’avoir une relation avec moi ? J’étais occupé à essayer de me convaincre d’en rester là, mais je n’y parvenais pas vraiment.


Peu de temps après, je reçus mon devis accepté et repris donc contact pour démarrer les travaux. Pendant les premières journées de travail, rien de vraiment spécial ne se passa. Bien sûr, elle était chaque jour habillée différemment, toujours très sexy. Lorsqu’elle venait près de moi voir l’avancement des travaux, j’avais beaucoup de peine à détourner mes yeux de sa superbe poitrine. Je suis certain qu’elle s’en rendait compte, car elle m’adressait alors un regard qui me semblait en dire long… En plus, à force de la regarder ainsi et de rêver, j’avais souvent une érection et je suis certain qu’elle l’avait remarqué. Pourtant, je restais distant… courageusement distant, me réfugiant dans les toilettes pour me masturber.


Plus les jours passaient et plus ça devenait dur pour moi. Un jour, en travaillant dans une pièce, une partie d’un très vieux plafond s’est écroulée et est tombée sur moi en faisant beaucoup de bruit. Elle arriva en courant pour voir ce qui s’était passé. En me voyant, recouvert de plâtre, elle éclata de rire et resta ainsi un long moment. Moi, ça ne m’amusait vraiment pas ! Après un long moment, elle s’approcha et m’aida à enlever les multiples débris. Rien que le contact de ses mains sur moi m’excitait ! Etant recouvert de plâtre, je ne me voyais pas continuer à travailler dans cet état. Elle me proposa de prendre une douche, ce que j’ai accepté après un moment d’hésitation. Elle m’indiqua la salle de bains. Une fois entré, j’ai enlevé mes vêtements et me suis glissé sous la douche.


Tout occupé que j’étais à me frotter, je n’ai pas remarqué de suite qu’elle était entrée également. Après un moment, entendant du bruit, j’ai entrouvert la porte de la douche et l’ai vue. Elle était entrée juste après moi et s’était complètement déshabillée ! Elle s’était installée complètement nue devant un grand miroir. De ma douche, je voyais tout son corps. Ma première impression était vérifiée, elle avait une poitrine magnifique. Mais le reste du corps était à l’avenant. Campée devant son miroir, les jambes légèrement écartées, je pouvais voir son sexe protégé par une toison particulièrement touffue. Elle s’amusait à bouger pour bien me montrer toutes les parties de son corps et ça me faisait un effet dingue. Mon sexe était déjà bien dur et je sentais l’excitation monter en moi. Sans dire un mot, elle commença à se caresser la poitrine, puis sa main descendit doucement le long de son ventre pour arriver à son sexe. Sans se précipiter, elle se caressa le clitoris, puis le vagin. De ma douche, je voyais tout et ça me mettait dans un état pas possible. Pourtant, je n’osais pas sortir de la douche pour la rejoindre. Je la regardais, un peu pétrifié, en train de se donner du plaisir.


Soudain, elle se retourna et se dirigea vers la douche, dont elle entrouvrit la porte. Elle y entra et me regarda dans les yeux. Sans dire un mot, elle commença à me caresser la poitrine, d’abord avec sa main, puis avec sa bouche. Mon sexe était dur comme du bois et je n’avais qu’une envie : la prendre de suite, tellement j’étais excité. Pendant ce temps, sa bouche descendait le long de mon corps. Elle plaça de nombreux baisers, d’abord sur les bourses puis sur toute ma verge qui était dure comme elle ne l’avait jamais été. Tout en continuant à me caresser, elle prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer. Elle le faisait doucement, sans se précipiter, faisant monter progressivement mon désir. Je sentais le plaisir monter en moi très fort. L’excitation ne cessait de grandir et, très vite, je sentis que j’allais éjaculer. Je voulus l’en prévenir, mais elle n’en tint pas compte et reçut tout mon sperme dans sa bouche, ce qui ne semblait pas la déranger. Ensuite, elle se releva, m’embrassa et nous partageâmes ma semence. Je ne me souvenais pas d’avoir joui aussi fort auparavant et j’étais dans un état second.


Quelques instants après, remis de mes émotions, je commençai à la caresser. Je restai longtemps sur sa poitrine opulente. Je ne me lassais pas de la caresser et elle semblait apprécier cela. Progressivement, mes mains commençaient à glisser sur tout son corps, en caressant toutes les parties. Rien n’échappait à mes mains, sa poitrine, son clitoris, son vagin, sa toison, et même ses fesses bien rondes. Je glissais mes doigts partout, sentant le désir monter en elle progressivement. Chaque fois que je passais sur son sexe, je le sentais toujours plus humide de désir. Elle aimait mes caresses et ces préliminaires semblaient l’exciter terriblement.


Mon sexe, à peine remis de ses "émotions", était à nouveau en érection et dur comme du bois. Elle se serra contre moi et mon sexe vint se coller contre le sien, tout humide. La plaçant contre le mur de la douche, j’entrepris alors de la pénétrer, ce qui fut très simple tellement son sexe était mouillé. Je faisais de longs et lents mouvements dans son vagin, sentant son excitation monter crescendo. Ses gémissements s’accéléraient jusqu’à l’explosion de sa jouissance. Elle poussa plusieurs cris tellement son plaisir était fort. Après quelques secondes, elle se retourna et me dit, comme un ordre :



Un peu surpris (je n’avais jamais sodomisé une femme auparavant), je la fis se retourner. Son sexe était toujours très humide et la foutre avait glissé jusqu’à son anus qui semblait lubrifié. Je n’eus aucune peine à introduire ma verge qui glissait facilement dans son anus. Je recommençai mes mouvements, lentement en enfonçant chaque fois mon sexe au plus profond, sentant son plaisir monter à nouveau. J’étais moi aussi très excité et nous avons joui très fort, ensemble.


Par la suite, j’ai continué à travailler chez cette femme et nous avons souvent fait l’amour, essayant toutes les places, toutes les positions. Une fois le chantier terminé, je n’ai plus jamais eu de nouvelles d’elle, malgré mes tentatives. ….


. ….