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Temps de lecture estimé : 9 mn
29/09/05
Résumé:  Comment un repas se termine de manière hot. Les suites des aventures d'Estelle et Olivier.
Critères:  h fh couple fépilée exhib lingerie hmast entreseins fellation hdanus
Auteur : Cuicui.Junior            Envoi mini-message

Série : Les aventures d'Estelle et Olivier

Chapitre 03 / 04
Le repas



Estelle sortait de la salle de bains et elle s’adressa à Olivier qui était allongé sur le lit. Elle ne portait que son string et son soutien-gorge à dentelle noire. Celui-ci faisait ressortir ses seins en les maintenant vers le haut. Elle prit sa petite robe d’été noire qu’elle enfila par le haut.



Olivier se leva, avança vers elle et la prit par les hanches. Il l’embrassa dans le cou. Il pouvait sentir l’odeur de son parfum.



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Sandrine les avait invités dans la maison de sa mère, dans le Massif Central, afin de leur présenter Pascal. Le courant était tout de suite passé avec le nouvel ami de la jeune femme. Ils avaient décidé de faire une journée pique-nique et ils étaient rentrés aux alentours de dix-huit heures après une belle journée ensoleillée.


Olivier avait tout de suite décidé de prendre une douche et s’était dirigé dans la salle de bains. Estelle, Sandrine et Pascal discutaient dans une pièce voisine.

Malgré le bruit de la douche, il entendait clairement les conversations. Il faut dire que les murs n’étaient pas épais. La preuve, il avait entendu Sandrine et Pascal faire l’amour dans la chambre d’à côté une grande partie de la nuit. Les gémissements de Sandrine l’avaient empêché de dormir. Il avait pu suivre l’évolution de leurs ébats au son de « Plus fort, plus fort », « Oui, vas-y … », « Prends-moi par derrière… » et de « Je vais jouir… ».

Cela l’avait mis dans un état d’excitation extrême !


Olivier était plongé dans ses rêveries et il n’entendit pas la poignée de la porte tourner.



Heureusement, ce n’était qu’Estelle qui entrait. La jeune femme le regarda prendre sa douche nu comme un ver, et se tourna vers le grand miroir. Elle continuait de discuter avec Sandrine tout en fouillant dans sa trousse de toilette.

Elle sortit soudain un tube de crème et enleva son haut. Elle se trouvait en soutien-gorge. Elle dégagea ses seins des balconnets et commença à s’étaler de la crème. Elle massait délicatement chaque centimètre de peau. Lorsqu’elle arrivait sur un mamelon, elle ralentissait le rythme.

Olivier avait stoppé l’eau et la regardait faire dans le reflet du miroir. Cette vision avait déclenché une belle érection.



Olivier ne répondit rien et s’avança vers elle, le sexe en avant.



Elle attrapa le sexe qui se tendait vers elle avec la main droite et exerça des petites pressions de la main.



Elle avança ses lèvres sur celles d’Olivier. Puis, petit à petit, elle se mit à genoux tout en continuant à l’embrasser, le cou, le torse, le pubis. Quand elle fut accroupie devant Olivier, celui-ci put sentir le souffle chaud de sa respiration contre son gland. Cela lui donna la chair de poule. Impatient, il avança le bassin vers la jeune femme.



Tout en disant cela, elle faisait venir sa main sur la colonne de chair d’avant en arrière. Soudain, Olivier sentit une douce chaleur qu’il connaissait bien. Estelle avait commencé sa fellation. Il adorait sentir la douce moiteur de la bouche d’Estelle sur son sexe.

Celle-ci s’appliquait avec enthousiasme, il voyait la tête de la jeune femme aller et venir dans le reflet du miroir. Il baissa la tête et vit que la jeune femme le tenait par la hanche de sa main gauche tandis que de la main droite elle se caressait activement. Il savait qu’elle se faisait du bien car ses doigts ressortaient humides de cyprine.

Concentré sur le plaisir qu’il recevait, Olivier se rendit soudain compte que la mère de Sandrine était rentrée. Il l’entendait discuter avec la jeune femme au travers de la porte. La conversation reposait sur la pluie et le beau temps.


Soudain, Olivier sentit la main d’Estelle venir lui caresser les testicules. Il baissa les yeux et vit la main de la femme se diriger vers son sexe. Elle s’introduisit un doigt puis le ramena sous les bourses d’Olivier. À son contact, Olivier sentit son humidité. Elle commença à le diriger vers l’anus du jeune homme.

Elle s’attarda sur la rosette qui palpitait et fit décrire un cercle à son doigt, tout doucement. Puis elle recommença l’opération plusieurs fois.

Le contact de ce doigt sur son anatomie avait surpris Olivier mais, malgré le fait que cela soit la première fois, il lui semblait aimer ce contact. Afin de faciliter l’approche du doigt inquisiteur, il écarta légèrement les jambes et soupira.



Et elle décida d’enfoncer son doigt dans l’anus qui s’ouvrit sous la pression. La sensation n’était pas désagréable pour Olivier. Une fois que le doigt fut enfoncé jusqu’à la garde, Estelle commença un mouvement de va-et-vient tout en continuant sa fellation. Olivier sentait monter en lui des vagues de plaisir.



Tout en disant cela, Estelle commença à avaler la verge d’Olivier. Celui-ci pouvait voir la progression de la bouche vers son bas-ventre. Elle tentait une gorge profonde.

Soudain, Olivier sentit son nez contre son ventre, ça y est, elle l’avait entièrement avalé. La langue de la jeune femme commença alors à s’enrouler autour du sexe.



Puis, c’est là qu’il entendit la voix de la mère de Sandrine venir vers la salle de bains, elle disait qu’elle allait prendre une douche. Olivier vit la poignée de la porte tourner. Non, ce n’était pas possible, ils allaient se faire surprendre ! Lui, debout et nu comme un ver, un doigt dans les fesses, elle le sexe au fond de la gorge.

Il tenta de se dégager pour attraper une serviette, Estelle l’en empêcha… Elle continuait de plus belle sa gorge profonde.

Heureusement, Sandrine les sauva en disant à sa mère que la salle de bains était occupée. La poignée s’arrêta.

C’est à ce moment-là qu’Olivier jouit. Il déversa une grande quantité de sperme dans la bouche d’Estelle. Les jets vinrent s’écraser dans la gorge de la jeune femme qui avala jusqu’à la dernière goutte.


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La voix d’Estelle le tira de ses rêveries alors qu’ils venaient de terminer le repas. Le repas était animé et tout le monde rigolait. Olivier cependant laissait vagabonder son esprit de temps en temps.

Estelle s’en aperçut et, lorsqu’ils furent dans la cuisine, elle ne put s’empêcher de le lui faire remarquer :



En même temps, elle remonta légèrement sa robe, Olivier vit ses mains venir saisir son string noir de chaque côté et, dans un geste plein de sensualité, le descendre en ondulant des hanches.

Une fois que celui-ci fut à terre, elle le ramassa et le lui donna en disant :



Olivier saisit le petit morceau de tissu et le placa sous son nez, il était humide et dégageait une forte odeur d’appel au sexe. Il faillit jouir instantanément. La figure qu’il fit déclencha un petit rire chez Estelle :



Ils revinrent auprès de Pascal et Sandrine. Estelle s’assit sur le canapé en face d’Olivier. Il était sur le pouf et donc légèrement plus bas qu’elle. Lorsqu’elle le vit, elle écarta légèrement les jambes afin qu’il puisse voir son intimité. Il pouvait voir son sexe épilé ainsi que le début de ses lèvres.

Son excitation était à son comble, il avait du mal à suivre les conversations. Estelle le savait et elle continua à le torturer quand elle décida de prendre un esquimau glacé. Elle regardait Olivier et suçait goulûment sa glace, il pouvait voir sa langue venir sur la colonne de crème et elle souriait.

Les minutes qui passèrent furent interminables pour Olivier, il n’avait qu’une envie, que ces invités s’en aillent !

Enfin, le moment arriva, il allait pouvoir sauter sur Estelle et la prendre debout contre la porte dès qu’elle l’aurait refermée. Malheureusement, cela ne se passa pas comme prévu. Sandrine avait ramené du linge pour Estelle et elle lui demanda de venir le chercher dans la voiture.



Et les voilà partis, tous les trois, trois étages à descendre et le parking à traverser pour aller jusqu’à la voiture. Il faisait nuit noire mais le fond de l’air était chaud.

Alors qu’il allait prendre le carton, Sandrine et Pascal décidèrent d’entamer la conversation. Il rageait intérieurement mais ne voulait pas être impoli. De l’endroit où il se trouvait, il pouvait voir la fenêtre de la chambre, il vit Estelle allumer la lumière et se déshabiller en regardant dans sa direction.


Son sexe n’était que douleur, coincé dans son pantalon…


La discussion dura un quart d’heure, il remonta en courant les étages, ouvrit fébrilement la porte, se déshabilla dans le couloir et entra dans la chambre, prêt à sauter sur la jeune femme.


Celle-ci lisait et fit semblant de rien quand il entra sous les couvertures. Il s’approcha d’elle et lui prit le sein de sa main droite.


L’accueil qu’il reçut fut glacial :



Arggg, pensa-t-il, son sexe avait une érection énorme et elle ne voulait pas. Dépité et frustré, il lui dit bonsoir, se mit sur le dos et essaya de s’endormir.


Son excitation était telle que, naturellement, il ne parvenait pas à trouver le sommeil, et il savait qu’il ne le trouverait pas s’il ne faisait pas quelque chose. Alors, sans faire trop de mouvements brusques pour ne pas déranger Estelle qui lisait toujours, il attrapa son sexe de la main droite, sous les couvertures, et commença à se caresser. Sa main faisait des allers et retours vers le haut.

Il se trahit par un léger soupir et par le mouvement des couvertures. Estelle arrêta sa lecture, le regarda et vint se coller contre lui.



Les yeux d’Estelle s’illuminèrent :



Et elle souleva les couvertures, elle vit la main d’Olivier aller et venir sur sa verge dressée. Elle regarda quelques minutes et ajouta :



Elle lui stoppa la main, se lécha la sienne et vint la poser sur la hampe dressée. Le contact chaud de la main secoua le corps d’Olivier. Elle commença un long va-et-vient, entrecoupé de temps en temps par un massage des testicules. Olivier ne disait rien et savourait cet instant.



Elle se rappela qu’Olivier aimait particulièrement bien une pratique et lui proposa :



Et elle l’attira vers elle, il se trouvait maintenant à califourchon sur son buste, la verge vers l’avant, presque à toucher les tétons de la jeune femme. Elle accéléra les mouvements de va-et-vient, Olivier sentait arriver les frissons de plaisir. Elle fut obligée de le retenir pour qu’il ne tombe pas.



À peine avait-elle dit cela que des jets de sperme blanc vinrent s’écraser sur la poitrine de la jeune femme. Une crème laiteuse commença à couler entre les seins d’Estelle, elle l’étala avec la main tout en regardant Olivier et porta à ses lèvres ses doigts d’où pendaient encore des filets de spermes. Puis elle attira le visage d’Olivier contre sa poitrine afin qu’il lèche lui aussi sa semence. Ce qu’il fit avec plaisir.



Elle reprit sa lecture et Olivier vint s’endormir contre son épaule.