n° 09762 | Fiche technique | 15803 caractères | 15803Temps de lecture estimé : 10 mn | 09/10/05 |
Résumé: Je découvre le plaisir anal grâce à des amis | ||||
Critères: 2couples ecriv_f | ||||
Auteur : Sabine |
L’histoire que je vais vous raconter est strictement véridique et s’est passée voici deux ans pendant l’été 2003, en pleine canicule.
Mon mari Jérôme et moi avons vécu une superbe aventure. Mais d’abord, je vais nous décrire.
Commençons par Jérôme : 24 ans, 1 m 8O, cheveux bruns, belle musculature, et surtout une bite épaisse et longue qui me donne, chaque fois que nous faisons l’amour, beaucoup de plaisir. Il adore me lécher la chatte. Il me dit que c’est le meilleur des plats au monde. C’est un amant formidable qui, toujours, sait me faire jouir.
Quant à moi : Sabine, 23 ans, cheveux bruns, poitrine assez volumineuse, chatte entièrement épilée (pour le plus grand plaisir de mon homme) et "piercée" sur le clitoris. Je suis une adepte de la fellation, j’adore la pratiquer. Il m’arrive même d’offrir la totale à mon chéri. Je peux dire que j’aime sa bite. De plus nous avons déjà eu des expériences sexuelles à plusieurs.
Venons-en à notre histoire.
Patrick et Nathalie, des amis de longue date (La Fac), nous ont téléphoné un soir de février pour nous demander si nous étions d’accord de passer nos vacances ensemble dans la maison de leurs parents, libre au mois d’août suivant.
Cette maison se situe sur les hauteurs de Toulon et je savais, pour l’avoir déjà visitée, qu’elle était spacieuse et bénéficiait d’une grande piscine, à l’abri des regards indiscrets grâce à de grandes haies qui entouraient la propriété.
C’est donc avec joie que nous avons accepté l’invitation.
Le temps me parut très long entre le mois de février et le moment de nous retrouver avec nos amis. Il faut dire que j’ai toujours eu un penchant pour Patrick, et je savais bien que Nathalie ne laissait pas Jérôme indifférent. Mais il ne s’était jamais rien passé entre nous quatre jusqu’à présent.
L’idée de savoir que Jérôme et Nathalie pourraient baiser ensemble faisait son chemin dans ma tête, mais sans dissocier le fait que, si tel était le cas, il en serait de même pour Patrick et pour moi. Des images s’entrechoquaient dans mon esprit. J’y voyais Jérôme enfoncer son chibre dans la bouche puis dans la chatte de Nathalie. Cela me troublait énormément.
Nathalie est une belle brune avec des yeux bleu clair qui pénètrent votre regard d’une manière presque indécente.
Elle est comme ça et je ne pense pas qu’elle le fasse exprès.
Patrick, lui, est un grand blond, bien musclé, sportif, le visage carré, bref, un beau mec.
Voilà le jour fatidique de notre départ de Reims pour Toulon, le neuf août. Heureusement, nous avons la clim’ dans la voiture.
Il faisait une chaleur pas possible. Je vous passe les détails du voyage, car ce qui importe c’est notre séjour avec nos amis.
Arrivés sur place, on est mis aussitôt dans l’ambiance.
Nathalie et Patrick nous reçoivent entièrement nus. Ils nous disent pratiquer le naturisme dès qu’ils le peuvent, nous demandent si cela ne nous dérange pas mais, de toute façon, ne se rhabillent pas.
Je ne peux m’empêcher de regarder le sexe de Patrick. Bien qu’au repos, celui-ci est épais et long, le gland, bien rouge, décalotté et la hampe bien veinée, comme celui de Jérôme.
Nathalie a la chatte entièrement lisse, tout comme la mienne, les lèvres bien dessinées. On devine un renflement au sommet de celles-ci, laissant présager un clitoris proéminent. Je vois bien que Jérôme regarde cette belle fente avec insistance. À ce moment-là j’ai senti que quelque chose allait se passer et que je ne ferais rien pour l’éviter.
Après une douche en commun bien méritée, pendant laquelle je ne me suis pas gênée de titiller le sexe de mon amour, nous avons décidé de rejoindre nos amis autour de la piscine, mais nus, nous aussi, pour qu’il n’y ait pas de différence.
Nathalie et Patrick nageaient joyeusement dans la piscine. Apparemment cela leur faisait plaisir de nous voir arriver dans le plus simple appareil.
On s’allongea sur les transats en attendant qu’ils sortent de l’eau. Ils prirent place sur les deux transats libres, face aux nôtres, pour se sécher au soleil. C’était agréable de sentir la chaleur sur nos corps mais encore plus la légère brise sur nos sexes.
Au bout de quelques instants, je vis Nathalie se pencher vers Patrick, au niveau de ses hanches. Elle commença par se saisir de la bite de son mari et se mit à le masturber. Ce dernier ne fut pas long à bander. Son sexe avait des proportions bien plus qu’honorables. Nathalie jugea satisfaisante la forme de Patrick et se pencha encore plus pour prendre son chibre en bouche.
Sa langue passait sur toute la longueur de la bite et s’attardait sur ses couilles bien pleines qui, soit dit en passant, étaient parfaitement rasées. Je ne pouvais m’empêcher d’avoir un picotement caractéristique entre les jambes. Je remarquais immédiatement que Jérôme avait une superbe érection.
Je me décidai à faire comme ma copine et me mis à genoux pour prendre en bouche ce que j’aime tant. Je m’appliquai à lécher, sur toute sa longueur, son sexe devenu à présent dur comme du bois.
Nous voilà toutes deux à sucer nos hommes en nous regardant droit dans les yeux. Je ne sais pas ce qui s’est passé à ce moment-là dans ma tête, mais j’ai eu soudain envie de changer les rôles et de lécher la chatte de Nathalie.
Depuis le temps que j’avais envie de tenter une expérience lesbienne, je n’allais pas laisser passer cette occasion. J’ai eu l’impression qu’elle avait compris ma pensée, car elle a écarté au maximum les cuisses, nous laissant une superbe vue de sa vulve. On pouvait distinguer le bout de son clitoris libéré de son capuchon. Ses lèvres étaient épaisses et gonflées de désir.
Je laissai Jérôme et plongeai ma bouche vers cet antre brûlant. Son abricot était doux et chaud. J’aspirai son clitoris tout gonflé par l’excitation. Ma langue parcourait son sillon, de l’anus à ses lèvres, et je ne pus m’empêcher de l’enfoncer dans son vagin. Enfin ! Pour la première fois je goûtais le jus d’une femme, et je dois dire que cela m’a beaucoup plu. Nathalie semblait apprécier le traitement que je lui prodiguais. J’entendais ses gémissements étouffés par la pipe qu’elle prodiguait à son homme, et son jus coulait de plus en plus. Je m’abreuvai de cette liqueur avec beaucoup de plaisir.
Jérôme, nous regardant, se masturbait comme un malade.
C’est à ce moment-là que tout a basculé.
Patrick demanda à Nathalie de sucer Jérôme. Il lui dit qu’il aimerait la voir sucer un autre que lui. Après un court regard vers moi, comme pour avoir mon approbation, celle-ci ne se fit pas prier et se précipita sur l’objet de mon désir. Pour la première fois je voyais une autre bouche que la mienne sucer la bite de Jérôme. Je remarquais que Nathalie y prenait un plaisir évident.
Je ne sais pas ce qui se passait mais j’aimais voir cela.
Pendant que sa bouche faisait des va-et-vient, sa main branlait la hampe, devenue énorme. J’étais sidérée par le spectacle. C’est à ce moment que Patrick présenta sa queue à mes lèvres.
J’hésitai et regardai Jérôme qui, d’un signe de paupières, me fit signe d’y aller. Je gobai le sexe gonflé de Patrick, ne cachant pas mon excitation.
Jérôme me regardait faire et cela avait l’air de lui plaire. Je suçais ce sexe comme une malade, j’adorais lécher cette grosse bite généreuse. Je ne me reconnaissais pas. Etait-ce la chaleur qui m’avait mise dans cet état ou bien la situation provoquée par nos amis ? Toujours est-il que j’étais déchaînée. Je sentais, à ce moment-là, ma chatte brûlante couler comme jamais.
J’avais envie que Patrick me prenne, devant Jérôme. L’idée qu’une autre bite que celle de mon homme me pénètre me procurait des sensations étranges, entre la gêne et l’excitation. Je lâchai la hampe et écartai les cuisses au maximum mais, au lieu de me prendre directement, Patrick regarda ma fente avec un plaisir évident, puis il y posa la langue et commença un savant cunnilingus. Sa langue tournoyait sur mes lèvres et mon clitoris, s’insinuant parfois à l’intérieur de mon vagin et me rendant "folle-dingue".
Je sentais mon jus couler et Patrick s’en abreuver. Il savait très bien s’y prendre. Au bout de quelques instants, le plaisir m’a envahie, m’a foudroyée. Mon bassin se leva automatiquement vers cette bouche qui me faisait tant de bien. Je jouissais très fort en criant. Je sentais qu’un flot de cipryne giclait dans la bouche de Patrick. Cela m’arrivait rarement, surtout lorsque j’étais en manque de sexe.
Je n’avais pas encore remarqué que Jérôme venait de jouir dans la bouche de Nathalie qui avait tout avalé. J’ai su plus tard que c’était en me voyant prendre mon pied sous les caresses de Patrick qu’il n’avait pu se retenir.
Il avait voulu se retirer pour ne pas lui infliger sa semence, mais Nathalie l’avait retenu en bouche pour boire toute sa liqueur.
Nous avons découvert, tous les deux, qu’en nous voyant mutuellement prendre du plaisir avec un ou une autre, nous augmentions considérablement notre propre plaisir.
Pour ma part, je n’en pouvais plus. Je me souviens avoir dit à Patrick quelque chose que je n’ai jamais osé dire à mon homme :
Cela ne me ressemblait pas, jamais je n’avais dit des mots pareils, mais j’avais envie d’être obscène. J’étais excitée comme jamais. Je regardais Jérôme qui, malgré sa jouissance, gardait une forme olympique. Sa queue était bien raide, tendue vers le ciel, le gland bien rouge et les veines de sa hampe bien gonflées, ce qui m’excitait encore plus.
J’aime regarder son sexe que je trouve magnifique. Je ne manque pas, encore aujourd’hui, de lui demander de rester nu à la maison, comme cela je peux m’amuser avec sa bite quand je le veux. Je la branle ou la suce au gré de mes envies. J’avoue, bien volontiers, que je préfère la sucer. Parfois il jouit dans ma bouche et parfois il asperge mes seins. C’est toujours excitant, pour moi, de lui donner tant de plaisir.
Nathalie l’avait repris dans sa bouche, et pendant ce temps là Patrick avait enfourné son chibre bien gonflé dans ma chatte suintante. J’étais complètement remplie et cela me faisait un bien immense. Il me pilonna pendant de longs moments pendant lesquels j’ai dû jouir trois ou quatre fois, je ne m’en souviens plus. Jérôme avait fait mettre Nathalie à quatre pattes et l’avait pénétrée sans difficulté. Elle aussi jouit plusieurs fois en criant que c’était bon et qu’elle aimait sa queue.
C’est en écoutant sa compagne que Patrick atteignit le point de non-retour. Il sortit très vite de mon vagin et présenta sa queue devant ma bouche que j’ouvris bien grande, pour recevoir une incroyable quantité de sperme. Il m’aspergea de quatre giclées puissantes et j’avalai ce que je pouvais. Le goût de son sperme était bien différent de celui de mon homme, sucré et acidulé à la fois, mais très agréable. Je nettoyai son vit du mieux que je pouvais, tout en regardant Jérôme pilonner Nathalie avec vigueur. Je voyais sa bite entrer et sortir de cette chatte accueillante, luisante de mouille, et cela m’excitait au plus haut point.
Nathalie lui demanda de la sodomiser, faveur que je ne lui avais jamais accordée.
À ce moment-là, tout bascula dans ma tête. Si elle lui accordait ce que je lui avais toujours refusé, comment allait-il réagir ? Allait-il me désirer comme avant ? Tout un tas de questions fusaient dans ma tête.
Il me regardèrent tous les trois, interloqués par ma réaction. Je lançai à Jérôme :
Il semblait très déçu, mais aussi irrité par ma réaction.
Mes préjugés tombèrent soudain :
Patrick s’en mêla alors :
Mon excitation étant un peu retombée, mes inhibitions refaisaient surface. Pendant que j’hésitais, Patrick s’était rapproché de Nathalie et s’apprêtait à continuer ce que Jérôme avait brusquement arrêté, au grand dam de celle-ci qui paraissait déçue. Elle fut vite consolée par la bite de Patrick qui maintenant lui pilonnait l’anus avec ferveur.
Je voyais son chibre aller et venir dans son fondement, ce qui eut pour effet de me galvaniser pour ce qui allait être ma première expérience anale. Je me lâchai :
J’avais presque crié ces mots. Jérôme se plaça devant Nathalie pour qu’elle lui mouille la bite de sa langue experte, puis me fit mettre à quatre pattes et, après avoir mouillé mon anus avec ses doigts, s’y enfonça lentement.
À ma grande surprise, je ne ressentis aucune douleur. Il progressait très lentement jusqu’à ce qu’il bute contre mes fesses, se cambrant pour s’enfoncer au maximum. Après quelques instants d’immobilité, afin que je m’habitue à la présence de sa queue, il entama des va-et vient de plus en plus rapides. Ayant joui une première fois dans la bouche de Nathalie, il me pilonna longtemps, et je commençai à ressentir un plaisir méconnu pour moi jusqu’à présent. Je me sentais complètement remplie par cette bite que j’aimais tant. Je me faisais enculer et j’aimais cela. Je remarquai que Nathalie et Patrick avaient terminé leur joute anale et nous regardaient faire avec un plaisir évident. Enfin, Jérôme se lâcha, et je sentis un liquide brûlant envahir mon antre, provoquant en moi un plaisir inouï que j’exprimai bruyamment.
Il se retira et je sentis le fruit de sa jouissance sortir de mon anus. J’étais fourbue et, en même temps, je me sentais bien dans mon corps, mais aussi dans ma tête. J’avais accordé à Jérôme ce que, je crois, je ne lui aurais jamais permis dans d’autres circonstances. Nos amis, sans le savoir au départ, avaient été les instigateurs de cette expérience, nouvelle pour nous deux. Je savais, d’ores et déjà, qu’à l’avenir je lui permettrais cette façon de me faire l’amour. J’en serais même demandeuse. Cette aventure a été pour moi une révélation : j’adore le sexe sous toutes ses formes, et nous aurions certainement, à l’avenir, d’autres occasions de faire l’amour à plusieurs.
Mais cela sera l’objet d’un autre récit…
Sabine