n° 09769 | Fiche technique | 15163 caractères | 15163 2721 Temps de lecture estimé : 11 mn |
12/10/05 |
Résumé: Un jeune homme de 25 ans doit faire un stage de deux mois en province. Il est logé dans une grande villa par une cousine de sa mère, une belle femme de 45 ans.
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Critères: f h fplusag campagne voyage voir fmast hmast hdanus | ||||
Auteur : Erasme_34 (Ingénieur conseil) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Le stage Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
En 1972, âgé de 24 ans et terminant un doctorat de thermique, j’ai eu l’opportunité de pouvoir effectuer un stage de deux mois en milieu d’été près de Sully-sur-Loire dans une usine travaillant pour l’industrie automobile. Il leur fallait résoudre un problème d’échauffement d’axes d’essuie-glaces qui entraînait leur rupture. D’où de graves problèmes de garantie.
Se posait donc le problème de mon logement dans cette région en pleine période touristique.
Une cousine éloignée de ma mère qui était propriétaire d’une grande villa à une vingtaine de kilomètres de cette usine a proposé de m’héberger pendant toute la durée de mon stage.
J’arrive donc à la fin du mois de juillet dans ma R4 vert métallisé, le coffre plein de tout mon attirail.
Ma cousine Florence et son mari Pierre me reçoivent très gentiment :
Mes cousins mettent à ma disposition une très belle chambre située sous les combles et d’où l’on a une vue magnifique sur la Loire. Le problème que je ressens immédiatement est que, pour un garçon de mon âge, cette beauté du paysage ne compense pas le côté un peu isolé de l’endroit. En deux mots, je ne suis pas dans le haut lieu de la drague, quoiqu’il doive bien y avoir dans les environs quelques belles étrangères visitant ces fameux châteaux de la Loire. Mais je m’aperçois tout de suite qu’il ne faut pas trop y compter, car sortir trop souvent le soir doit constituer une gêne pour mes hôtes. Il ne faut pas confondre famille, même éloignée, et chambre d’hôtel. De plus, ayant une thèse à rédiger, il faut que j’y consacre au moins un peu de temps.
Ma cousine Florence est une assez belle femme d’environ quarante-cinq ans. Elle possède des formes harmonieuses et mon grand-père aurait pu dire qu’elle avait des seins et des fesses à satisfaire pleinement la main d’un honnête homme.
Son mari Pierre, très sportif, est représentant industriel en machines spéciales. C’est l’homme de la route. Il parcourt plus de cinquante mille kilomètres par an et est rarement chez lui. D’après les on-dit familiaux c’est un sérieux cavaleur et, à la différence des marins qui ont une femme dans chaque port, lui a une « jeune amie d’enfance » dans chaque ville industrielle.
Leurs deux enfants, un garçon et une fille, sont actuellement en vacances avec une vieille 2CV dans les pays nordiques. Ils ne doivent rentrer que vers la fin septembre pour la rentrée universitaire.
Florence me fait un tour d’horizon des habitudes de la maison. Le dîner a lieu vers 19 h, le plus souvent dehors sur la terrasse, c’est à dire quand le temps et la température le permettent. Sinon, c’est dans la véranda. Le repas de midi se prend lui aussi assez tôt vers midi moins le quart.
Ces horaires me surprennent, les jours à cette époque étant très longs. C’est pourquoi je lui demande :
Et Florence d’ajouter aussitôt :
Et moi de répondre :
Je monte alors avec mes deux gros sacs de voyage m’installer dans ma chambre. L’escalier d’accès est en bois et il craque tout particulièrement, la discrétion n’est pas de mise. Je prends possession de ma chambre, il est six heures, j’ai donc une bonne heure pour tout ranger. Je commence par faire mon lit, un grand lit deux places à l’ancienne avec un matelas de laine. Pour moi c’est une bonne chose car avec mon 1,90 m, je suis très mal à l’aise dans un lit à une place. Je prends ensuite tous mes livres que je range sur une étagère presque vide, puis je m’installe au bureau qui fait face à une très grande lucarne. De la j’ai une vue magnifique sur la piscine et sur cette fameuse douche chaude extérieure.
Tout à coup, j’entends la voix de ma cousine et de mon cousin presque comme si j’étais à côté d’eux. Je comprends tout de suite que le son vient de deux bouches d’air chaud situées de part et d’autre du lit, et qui longent le conduit de cheminée en provenance du salon. Les trappes d’air sont certainement restées ouvertes.
La discussion s’arrête, une porte claque, puis un grand silence s’installe. Mes cousins sont sûrement partis faire l’amour dans leur chambre. Je pense que j’aimerais bien les regarder. Moi aussi j’ai des envies de voyeur. Tout à coup, devant mes yeux, j’imagine cette femme devant la piscine en train de se caresser. Je commence à être très troublé. Mes vêtements me paraissent soudain trop chauds. Et, tout comme l’a fait Pierre avant d’aller à Orléans, je me déshabille, mon sexe est très dur, trop dur. Je me regarde devant la glace de l’armoire, je trouve que j’ai de belles fesses rondes et un peu féminines. C’est ce que toutes les femmes me disent. Je commence à me caresser, lentement, puis plus rapidement, puis c’est l’explosion. Mon plaisir est très profond, ma semence me brûle en sortant, maintenant je me sens mieux, beaucoup mieux. Je me rhabille puis je descends les escaliers en faisant le plus de bruit possible pour signaler à mes cousins que je descends. Je les retrouve au salon. Ma cousine a les yeux cernés. Ses cheveux mi-longs sont un peu mouillés par la transpiration. Elle a dû beaucoup jouir. Je la trouve beaucoup plus jolie qu’en arrivant, et surtout beaucoup plus femme. Je suis dans une situation privilégiée. Je connais maintenant beaucoup de choses sur leur vie et leur intimité.
Une fois à table Pierre me demande :
Le repas se passe en parlant de tout et de rien, de la famille, de mon doctorat en préparation. Mes cousins m’apprennent qu’ils ont beaucoup de relations dans le coin. Ils feront en sorte de me les présenter. Il y a même beaucoup de chances que ce soit Florence qui le fasse, car Pierre doit profiter du mois d’août pour parfaire les installations de machines spéciales qui seront mises en service après les vacances. Pour moi le problème est que les amis de mes cousins ne sont pas de mon âge et que le plus souvent leurs enfants sont trop jeunes. Mais ce n’est pas grave, je sais jouer à beaucoup de jeux sociaux : bridge, échecs ou bésigue et avec eux l’âge ne compte pas. De plus je ne suis pas là réellement pour ça, je dois travailler et en principe apprendre.
À la fin du repas Pierre me dit :
Le repas se termine ; étant un peu fatigué je dis bonsoir à tout le monde et je monte me coucher.
Arrivé dans la chambre, je pense à la scène de tout à l’heure et à ce que mes cousins m’ont dit à table. S’ils me présentent à leurs amis finalement ce sera une bonne chose. Il semble qu’il y ait pas mal de femmes libres entre quarante et cinquante ans. Si je n’en ai aucune expérience, c’est peut-être le moment d’en acquérir. Il faut savoir apprendre dans tous les domaines.
Je me déshabille, puis je me couche. La porte de l’armoire à glace est mal fermée. On peut s’y voir depuis le lit. Cela doit être très excitant quand on fait l’amour. Je vois mes fesses dans la glace. C’est vrai qu’elles sont rondes et très féminines. Une de mes anciennes amies m’avait dit qu’elles pourraient plaire à certains hommes, et qu’il faudrait un jour que je fasse attention. Je passe mes mains sur mes fesses, je suis tout excité en regardant dans la glace cette main qui glisse et qui caresse. Je passe un doigt sur ma petite rondelle, c’est agréable. Soudain je me lève. Dans le cabinet de toilette il y a de la crème pour visage. J’en mets sur mon doigt, je retourne dans le lit, j’appuie sur ma rondelle, elle s’ouvre, j’éprouve du plaisir, j’ai honte, j’essaye de rentrer deux doigts, j’y arrive. Dans ma tête tout va très vite, j’ai tout à coup envie d’offrir mes fesses à un homme, mais uniquement mes fesses. Je me vois sur le ventre avec un homme viril qui me fait l’amour lentement, profondément, après il caresse mon sexe. Je suis gêné. Ces images m’excitent au plus haut point, mon sexe n’en peut plus, je me caresse de plus en plus fort, je mets trois doigts dans mes fesses, c’est trop bon, mon plaisir arrive, je jouis, je sors les doigts de mes fesses. Maintenant je peux dormir.
Le jour se lève, un rayon de soleil vient me réveiller. Je regarde ma montre, il n’est que six heures et demi. Hier soir, dans mes petites folies érotiques, j’ai oublié de fermer les rideaux. Cela m’apprendra. Je me lève et me dirige un peu titubant vers la grande lucarne. Je cherche le cordon permettant de fermer les rideaux. Je n’en trouve pas et c’est normal car ils se ferment avec une grande tige de plastique transparent.
Je jette un petit coup d’œil par la fenêtre avant de fermer les rideaux et j’aperçois ma cousine en robe de chambre qui se dirige vers la piscine. Visiblement elle est seule. Je suis étonné, elle ne va tout de même pas prendre un bain de si bonne heure. Mais non, c’est une douche qu’elle va prendre. Je n’y pensais plus, c’est une lève-tôt. Non seulement elle est artiste, mais de plus elle est sportive. Elle fait tous les matins une heure et demi de marche ou de petite foulée. Elle pose sa robe de chambre sur une chaise de jardin puis fait couler l’eau de la douche. C’est vraiment une belle femme, Pierre est un mari chanceux et pourtant elle se plaignait hier de ne pas faire assez l’amour. De mon point d’observation, je ne la distingue pas en détail. Je suis trop loin. Je repense à la scène d’hier. Pierre a peut être laissé ces jumelles de marine dans la chambre. Elles ne sont sur aucune des étagères. Je me dirige vers l’armoire et par chance je les trouve. Maintenant je peux regarder Florence de très près. Je pourrais presque la toucher. Ses seins bien ronds, j’aimerais les embrasser. Tout son corps est désirable. Je me vois déjà en train de faire l’amour avec elle, sous la douche, avec l’eau très chaude qui coule sur nous. Malheureusement, la douche est finie et ma cousine s’essuie trop vite, beaucoup trop vite pour moi. Si j’étais à côté d’elle je saurais prendre tout mon temps, jusqu’à essuyer la dernière goutte d’eau qui perle sur son corps. Maintenant, c’est fini, elle remet sa robe de chambre et retourne dans la maison
Je vais attendre quelques minutes et puis je vais descendre. J’ai tout à coup une grande envie de prendre mon petit déjeuner avec elle. À défaut de belles étrangères visitant la région, je pourrais peut-être découvrir la volupté cachée d’une femme qui, à quelques années près, pourrait être ma mère.
Dans la vie il faut savoir agir, être un homme d’action. La tâche sera peut-être difficile, mais j’ai quand même deux mois devant moi.
À suivre …