n° 09770 | Fiche technique | 13989 caractères | 13989Temps de lecture estimé : 9 mn | 12/10/05 |
Résumé: Suite des découvertes libertines de notre couple. | ||||
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Auteur : Thomas/Caroline (Un couple qui se découvre) Envoi mini-message |
Après notre soirée en club et l’aventure de Caroline à la piscine avec un inconnu, nous avons beaucoup discuté. Nous avons fait le point sur notre couple, sur notre relation et sur nos envies. Caroline avait beaucoup apprécié son épisode à la piscine, mais elle avait peur que cela altère notre relation. Elle avait pris cela comme une bonne partie de baise et rien d’autre, elle ne cherchait pas un amant pour des moments de tendresse mais seulement pour profiter de la jouissance du sexe. Elle était loin, ma belle épouse prude du départ ! Elle s’était ouverte au sexe et ses yeux pétillaient quand on évoquait l’un de ces épisodes jouissifs. Caroline m’aimait énormément, mais d’autre part elle n’était pas contre le fait de prendre de la jouissance avec des inconnus. Paradoxalement, savoir Caroline avec un inconnu, juste pour le sexe, ne me rendait pas jaloux, cela me redonnait de la vigueur pour lui faire l’amour. Nos rapports amoureux étaient de plus en plus intenses, je sentais que je devais me donner à fond et faire fondre Caroline pour ne pas la perdre. De son côté, ayant pris goût à la luxure, Caroline voulait aller plus loin, elle me disait qu’elle ne voulait plus de tabou, qu’elle voulait du sexe sans retenue et sans barrière.
Caroline voyait que je n’étais pas jaloux, elle voyait aussi que cela m’excitait beaucoup qu’elle me raconte ses extras. Après de longues discussions amoureuses, nous sommes tombés d’accord sur le fait qu’elle puisse avoir des relations avec d’autres partenaires, à condition qu’il n’y ait pas de sentiment mais que de la baise et, surtout, à la condition qu’ensuite elle me raconte tout dans les moindres détails.
Encore plus libérée par mon accord, Caroline s’est autorisée à prendre du plaisir. À chaque fois qu’elle rentrait, elle me racontait comment ses amants lui avaient fait l’amour et ce qu’elle avait ressenti. Ces récits se finissaient toujours par des parties de baise intenses, je sentais une Caroline pleine d’envie et de vice, elle ne me refusait plus rien.
Une fin d’après-midi où Caroline était rentrée de shopping, elle m’a raconté son après-midi. Elle avait commencé par faire des magasins de lingerie puis, en se baladant dans les rues, elle était passée devant un sex-shop. Après une petite hésitation, elle était entrée et avait regardé les différents produits et services de la boutique. Dans le sex-shop, elle s’était fait conseiller par un vendeur qui avait fini par la prendre en levrette dans une cabine de projection de films X. Rentrée à la maison, elle était encore toute excitée par sa partie de baise et elle voulait m’en faire profiter. À peine ses sacs de courses posés, Caroline s’est collée à moi avec un air coquin au fond des yeux. Elle voulait que je la lèche, elle voulait que je lèche sa fente encore garnie de la semence de son amant, que je lui nettoie sa chatte ; elle voulait surtout voir si j’étais prêt à relever le défi qu’elle me lançait. Après l’avoir regardée dans les yeux avec un petit sourire, et sans un mot, je me suis déshabillé et couché sur le sol. Caroline s’est également déshabillée et est venue mettre sa fente au-dessus de ma bouche. Elle observait ma réaction du coin de l’œil.
Caroline s’est mise à quatre pattes au-dessus de moi, ses lèvres se sont écartées et une traînée de sperme a commencé à s’échapper. J’ai donné un coup de langue juste à côté de la coulée de sperme, j’ai agrippé ses fesses de mes deux mains et amené sa fente au plus près de ma bouche. Le deuxième coup de langue est passé en plein dans la semence. J’ai été surpris par le goût puis, après cette première, je me suis lâché et ma langue a fouillé tous les recoins de l’intimité de ma femme. Caroline a pris mon sexe dans sa bouche et m’a sucé comme une damnée, à peine l’avais-je fait jouir avec ma langue que je me suis vidé dans sa bouche. Avec un air coquin et amusé, elle m’a longuement questionné, elle voulait savoir ce que ça m’avait fait de lécher du sperme, si cela m’avait plu ou déplu et si j’étais prêt à recommencer ou à aller plus loin. Caroline avalait mon sperme, elle aussi, alors, recommencer, je n’étais pas contre mais, quand j’ai voulu savoir ce qu’elle entendait par aller plus loin, elle a juste souri et dit que je verrais bien. Étant joueur, je n’ai pas refusé.
Pendant deux semaines, nous n’avons pas fait l’amour, Caroline m’avait également interdit de me caresser pour me vider, elle me voulait avec, comme elle disait, les couilles bien pleines.
Ces deux semaines ont été longues, surtout que Caroline ne se privait pas de laisser traîner ses mains et effleurait régulièrement mon entrejambe en rigolant. À chaque fois, mon sexe se dressait dur et revenait lentement à son état habituel.
Au bout de ces deux semaines, Caroline m’a montré ses achats au sex-shop : il y avait un peu de lingerie très très sexy, mais aussi un plug anal et un gode-ceinture ; cette vision fit immédiatement dresser mon sexe. Je prenais régulièrement les fesses de ma femme, elle voulait inverser les rôles et me faire découvrir la sodomie. Mon sexe était plus que dur, un peu de liquide s’en échappait tellement j’étais plein et excité. J’ai aidé Caroline à s’équiper du gode-ceinture, elle m’a fait mettre à quatre pattes et a présenté le gode à ma bouche en me disant sur un ton autoritaire de sucer sa bite bien dure. Mes lèvres se sont refermées sur ce sexe factice et je me suis appliqué avec cœur à imiter sa technique. Caroline m’a fait sucer son gode en me tenant par les cheveux, puis elle s’est placée derrière moi en faisant courir ses ongles sur mon corps. J’étais très excité, mon sexe était tellement dur qu’il m’en faisait mal. Tandis qu’elle continuait à me griffer le corps, j’ai senti son autre main répandre un gel froid sur mon œillet.
D’une voix sensuelle, Caroline m’a demandé si j’aimais ce qu’elle me faisait ; en même temps, ses ongles caressaient l’intérieur de mes cuisses et un doigt a violé mon intimité. J’ai soupiré et lâché un petit cri. Un deuxième doigt est rapidement venu rejoindre le premier, puis un troisième a encore plus écarté ma voie étroite. La petite douleur du début s’était vite dissipée, je sentais ses trois doigts qui me fouillaient les fesses, mon sexe coulait d’excitation. Quand mes fesses furent bien ouvertes, Caroline s’est placée derrière moi, a pointé le gode sur mon œillet et, en me prenant par les hanches, m’a complètement enfoncé son phallus factice dans les fesses. Une fois encore, la petite douleur de l’introduction a vite disparu. Caroline s’est amusée à me baiser les fesses, je sentais le gode entrer et sortir. En me prenant, Caroline passait ses doigts le long de mon sexe, d’où coulait un long et fin filet de liquide. Elle le recueillit sur ses doigts et le porta à ma bouche qui s’ouvrait, puis se suça les doigts. Après s’être bien amusée avec mes fesses, Caroline s’est débarrassée de son gode-ceinture et m’a introduit le plug. Il était plus large que le gode, je me suis senti encore plus ouvert.
Ma seule réponse fut un petit soupir.
Je hochais juste la tête.
Caroline me défiait du regard, je me sentais dominé, soumis aux caprices de ma femme. Caroline me fit coucher sur le dos, elle me demanda de passer mes jambes au-dessus de ma tête pour me rouler en boule afin que mon sexe pointe au-dessus de mon visage. La position n’était pas très confortable, et savoir mon sexe au bord de la jouissance en face de ma bouche m’inquiétait. Caroline le faisait bien, elle, alors, pourquoi pas moi ? Caroline s’est mise à me branler rapidement, je sentais que je n’allais pas pouvoir tenir longtemps.
Caroline me testait avec un sourire moqueur, elle savait que je n’étais pas rassuré. Alors que ma jouissance avançait, j’ai demandé à Caroline de ralentir, voire d’arrêter, elle m’a répondu d’un petit « non » amusé et a continué de plus belle en me demandant de bien ouvrir la bouche. Soumis, j’ai bien ouvert la bouche et une première giclée de sperme chaud m’a couvert le visage. Les suivantes ont toutes fini au fond de ma gorge. J’avoue que ça n’avait pas un goût très agréable mais j’ai tout avalé avec une grimace. Caroline rigolait beaucoup, ça lui avait plu.
Le week-end suivant, nous avions prévu d’aller faire un tour au club, Caroline avait très envie de se montrer et moi je mourais d’envie de la voir jouir sous les coups de boutoir d’un autre.
Au club, nous avons tout d’abord bu un verre au bar et Caroline m’a présenté le maître nageur qui était aussi présent. Il s’appelait Thierry. Caroline a profité de la piste de danse et a entraîné Thierry avec elle. Ils ont fini par un slow pendant lequel Thierry en a profité pour caresser ma femme, puis m’ont rejoint au bar. Caroline était très excitée, elle voulait bouger et aller dans une alcôve plus tranquille. La fine petite robe de Caroline a vite quitté son corps, j’étais à peine nu qu’elle se jeta littéralement sur moi en m’embrassant. Sous le poids de ses baisers passionnés et de son corps brûlant de désir, nous nous sommes roulés sur le matelas de l’alcôve. Thierry et quelques autres personnes nous suivaient du regard, certains avaient sorti leur sexe et se branlaient ouvertement. Caroline se frottait, m’embrassait et me léchait comme si sa vie en dépendait. Le feu de la passion et du sexe brûlait dans ses yeux. Elle me colla les deux épaules contre le sol et se mit tête-bêche sur moi. Sa fente trempée était à peine au-dessus de mon visage que j’y ai plongé la langue. Caroline m’a sucé avec beaucoup d’ardeur mais cela n’a pas duré. Elle m’a violemment saisi les couilles et m’a supplié de lui mettre une bite dans sa chatte. Thierry était nu à côté de nous, je n’ai pas eu le temps de lui demander quoi que ce soit que, d’un seul coup, il avait pénétré le sexe de ma femme. Caroline a soupiré, avant de reprendre sa fellation elle m’a demandé de lui lécher le sexe pendant que Thierry la baisait.
Au-dessus de moi, je voyais bien le sexe de Thierry, recouvert de sécrétion féminine, entrant et sortant de celui de ma femme. Ses couilles se balançaient en suivant le mouvement de va-et-vient. Comme le demandait Caroline, je me suis mis à lui lécher la fente. Thierry tenait Caroline en alternance par les hanches et par les seins. Ma langue buvait le liquide coulant sur les lèvres de ma femme mais elle rencontrait aussi le sexe de son amant. J’étais très excité en jouissant, mes dernières barrières se sont levées et je léchais aussi bien le sexe de Caroline que celui de Thierry. Quand Thierry a averti Caroline qu’il allait jouir et se vider, la main de ma femme a sorti la bite de sa fente et me l’a collée dans la bouche. Thierry a repris quelques va-et-vient et s’est vidé au fond de ma gorge. J’ai avalé avec difficulté, en m’étouffant à moitié, c’était ma première fellation. Caroline était contente, elle me l’a dit et m’a embrassé pour partager le goût de la semence de son amant. La soirée n’était pas finie, Caroline en voulait encore plus. Elle avait sucé et avalé mon sperme, j’avais fait de même avec son amant. Elle m’a demandé de continuer à la suivre et elle s’est mise à quatre pattes à côté de moi.
En me fixant droit dans les yeux elle a demandé s’il y avait des volontaires pour nous sodomiser tous les deux. Je ne pouvais pas reculer, les yeux de Caroline étaient malicieux de défi. Je me suis mis dans la même position qu’elle, juste à ses côtés. Nous n’arrêtions pas de nous fixer droit dans les yeux. Elle voulait et je voulais aussi la regarder droit dans les yeux pendant ce moment de partage. Rapidement, deux hommes se sont mis derrière nous ; après avoir appliqué du gel, le partenaire de Caroline s’est enfoncé complètement ; j’ai vu la petite grimace sur son visage. Mon partenaire s’est enfoncé un peu plus doucement, j’ai eu le temps de bien sentir mon anus s’ouvrir. Le sexe de l’homme était beaucoup plus gros que le gode de Caroline, j’ai vraiment bien senti que je me faisais défoncer. Nos deux partenaires nous ont pris les fesses en cadence, un homme a présenté son sexe à la bouche de Caroline, elle l’a pris et l’a sucé en me défiant du regard. J’ai ouvert la bouche et l’homme qui se masturbait à côté de moi m’a donné son sexe. Moi qui étais complètement hétérosexuel, je suçais un homme en me faisant sodomiser par un autre à côté de ma femme qui faisait de même. Nos deux fellations se sont terminées pratiquement en même temps et juste avant que nos amants sodomites ne jouissent aussi au fond de nos entrailles. Nous nous sommes effondrés sur le matelas, Caroline a rampé sur moi et m’a embrassé avec tendresse. Je ne pensais pas que ma femme se lâcherait autant. Notre relation de couple a beaucoup évolué. Avant, jamais je n’aurais fait ce que je lui demandais, maintenant, si on demande quelque chose à l’autre, on doit aussi être capable de le faire.
Caroline et Thomas