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n° 09771Fiche technique15106 caractères15106
Temps de lecture estimé : 9 mn
12/10/05
Résumé:  Avec Estelle et Dimitri.
Critères:  fh 2couples couplus copains hépilé fépilée fmast hmast fellation cunnilingu ecriv_f
Auteur : Sabine
Un trip à quatre

L’eau de la douche s’arrête enfin de couler. Je me dirige vers la salle de bains et ouvre la porte. Mon chéri, Jérôme, mon mari, est en train de s’essuyer. Il est de dos et je peux admirer ses magnifiques fesses. Lorsqu’il se retourne, il est étonné de me voir.



Je le regarde, mais surtout je regarde sa queue à moitié bandée. Peut-être n’a t-il pas fait que se laver. Ça me donne une idée.



Et pour l’encourager, je défais, un à un les boutons de mon chemisier pour lui montrer mes seins. J’aime le voir se caresser, voir son sexe durcir et le gland rougir. Jérôme ne se branle pas comme les autres hommes que j’ai vu faire. Il ne fait pas de va-et-vient empoignant son pieu à pleine main. Il prend sa queue, à la base du gland, avec son pouce au-dessus et fait tourner son index sous ce dernier.


Je défais ma jupe sous laquelle je ne porte rien et me voilà nue devant lui. J’écarte légèrement les cuisses et commence à me titiller le clitoris. On se regarde faire mutuellement. Je commence à me sentir humide. Sa bite a atteint le maximum de sa taille et quelle taille. Pour m’amuser, un jour je l’ai mesurée : 19 cm de long pour 15 cm de circonférence. Autant vous dire que je la sens bien quand il me pénètre. Du pur bonheur.


Maintenant que sa bite est en pleine forme, je m’approche de lui et, lentement, en le regardant dans les yeux, je m’abaisse pour me trouver face à son chibre écarlate.



Il arrête sa masturbation bien heureux de ce que je vais lui prodiguer. J’ouvre la bouche en grand et avale sa colonne de chair toute chaude. J’aime le sucer, lui donner du plaisir. Ma langue tourne autour de son gland, descend le long du méat pour finir sur ses couilles parfaitement rasées. C’est moi qui le rase une fois par semaine. J’aime cette impression de gober un œuf dur sans sa coquille. C’est doux et ça m’excite. Après un bon quart d’heure de ce traitement, je le sens se raidir. La jouissance est proche. Il essaye de se retirer pour ne pas éjaculer, mais je le tiens, fermement, par les fesses pour recevoir sa semence dans ma bouche. J’aime avaler, de temps en temps, son sperme au goût à la fois fort et sucré. Le premier jet s’écrase contre mon palais, puis un deuxième, un troisième. Il jouit très fort me remplissant la bouche. J’avale le tout avec plaisir puis lui nettoie la queue récupérant le reste de sperme.



Nous nous dirigeons vers la chambre. Je le fais asseoir dans le fauteuil a côté du lit. Je m’assoie au bord de celui-ci et écarte largement les jambes. Il a une vue imprenable sur ma chatte, totalement épilée. J’écarte bien les lèvres et commence à me caresser, enfonçant un doigt puis deux dans mon fondement. Ma main passe sur toute la longueur de mes lèvres, un doigt s’attardant parfois sur mon clitoris. À force du traitement je ne tarde pas à jouir très fort. Je regarde mon chéri qui a repris sa masturbation et un peu de sa forme.



Il s’approche, lentement, me faisant languir, un petit peu, puis plaque sa bouche sur mon abricot. Sa langue passe de la base de mes lèvres jusqu’à mon bouton d’amour qu’il aspire dans sa bouche comme lorsque l’on fait un suçon. Je jouis de nouveau très violemment en projetant mon bassin en l’air, mais il ne lâche pas sa proie et continue à me lécher tout au long de mon orgasme.



Je n’en peux plus, j’ai besoin de sentir son gros chibre dans ma chatte. Je suis tellement mouillée qu’il me pénètre d’un coup, m’arrachant un petit cri de plaisir. Son gland bute au fond de mon antre me procurant un bonheur infini. Il me taraude pendant de longues minutes, m’arrachant deux nouveaux orgasmes avant d’expulser sa liqueur brûlante au fond de ma chatte. On est épuisé autant l’un que l’autre. Je cale ma tête sur son épaule et me laisse bercer par tant de plaisir.


Il me vient, alors, l’idée de renouveler l’expérience vécue avec Patrick et Nathalie, quelques temps au paravent.


Le lendemain au téléphone avec Estelle :



Le samedi matin suivant Jérôme et moi prenons une bonne douche en profitant de rafraîchir mutuellement nos intimités des poils qui ont légèrement repoussé. Cette situation nous excite et nous en profitons pour faire l’amour.


Je choisis une tenue très sexy : mini jupe rouge et chemisier diaphane sans mettre rien en dessous. On voit, très bien mes tétons et mes auréoles. Jérôme met un pantalon noir moulant et une chemise blanche. Lui non plus ne met rien en dessous, si bien que l’on distingue, parfaitement ses fesses et la protubérance de son sexe.


Le soir arrive enfin. Nous avons préparé un bon repas mis en attente de la venue de nos invités. 19 heures, la sonnette retentit. Estelle est habillée d’une robe noire courte et bien moulante, sexy à souhait. On peut se douter qu’elle ne porte pas de sous-vêtement, car aucune trace de soutient gorge ou de slip n’apparaît sous sa robe. Dimitri est tout de blanc vêtu, la chemise ouverte sur le haut, laissant apercevoir son torse musclé. Se douteraient-ils de quelque chose ? Estelle détaille Jérôme de la tête aux pieds et je peux apercevoir son regard pétillant s’attarder sur l’entrejambe de ce dernier. Quant à Dimitri, il ne se gène pas de mater ma poitrine à travers le fin tissu de mon chemisier.


On s’installe dans le salon pour prendre l’apéritif et Estelle se laisse choir dans le canapé. Dans son mouvement je peux apercevoir sa chatte totalement glabre. Jérôme, dans la cuisine n’a pu profiter du spectacle. Je le rejoins pour lui dire ce que j’ai vu et il en est tout émoustillé.


Lorsque je retourne dans le salon, je fais en sorte de m’asseoir de manière à ce que Dimitri ait une vue imprenable sur ma chatte. Il ne manque pas de mater puis me regarde en souriant. Après l’apéritif et quelques banalités échangées nous en venons au repas, bien arrosé, qui plût à tout le monde.



Après avoir débarrassé, je propose à la petite assemblée de jouer au poker. Tout le monde est enthousiaste. Au bout de quelques parties classiques, on peut tous se rendre compte que le jeu devient ennuyeux.



Je lance ça en scrutant le regard de nos invités qui s’illuminent immédiatement.



Dimitri lui lance cette phrase, visiblement, excité par la tournure des évènements. Jérôme et moi nous nous regardons, satisfait de la situation.



On part tous les quatre dans un grand éclat de rire. Tout se présente bien pour l’instant, mais le plus excitant est à venir. Je perds la première partie et pour faire durer le plaisir, j’enlève une chaussure. Jérôme perd à son tour et fait de même. C’est au tour d’Estelle de perdre et au lieu de faire comme nous, enlève directement sa robe, en regardant Jérôme droit dans les yeux et se retrouve nue devant nous.


Elle a des seins magnifiques. Un bon 90 C avec des tétons, déjà, bien durs. Je scrute mon chéri dont le regard s’attarde sur la chatte d’Estelle parfaitement dénuée de poils. Elle fait le tour de la table s’assoie sur celle-ci, face à Marc et écarte les jambes en grand. Jérôme plonge sa bouche dans son entre-cuisse et commence à la lécher copieusement. Estelle n’a fait que raccourcir l’échéance.



Et tous les trois d’approuver immédiatement. Notre chambre est équipée d’un lit XXL. Nous l’avons acheté l’année dernière et avons choisi ce modèle avec, certainement, l’idée, inconsciente, de s’y ébattre avec d’autres. Dimitri se rapproche de moi et commence à me déshabiller. Estelle est à genoux devant mon homme, en train de lui enlever le pantalon. Son sexe sorti, elle entreprend une savante fellation. Je ne suis pas en reste avec la fermeture éclair du pantalon de Dimitri sous lequel je sens une verge bien gonflée qui me paraît imposante. À présent nue, je finis de désaper mon partenaire et apercevoir ce que je pensais. Sa queue est bien épaisse et longue comme celle de Jérôme. Je m’agenouille à mon tour pour la sucer. Sa bite est chaude et douce. Je me délecte de sucer ce long bâton de chair. En fait, je me rends compte que j’aime sucer des bites quelles qu’elles soient. Je regarde Estelle du coin de l’œil et elle n’a rien à m’envier. Elle pompe littéralement mon amour qui a l’air d’apprécier. Tout en gardant bien le chibre de Dimitri dans la bouche, je lève les yeux pour voir sa réaction. Lui aussi regarde Estelle dans ses œuvres. Il semble ravi de voir sa chérie pomper un autre que lui.


Sucer Dimitri, devant Jérôme, m’excite tellement que je sens ma chatte s’humidifier. Ma langue tourne autour de son gland, puis redescend à la base du pénis pour y gober ses boules l’une après l’autre. Je remonte lentement vers le haut et avale la bite le plus loin possible dans ma bouche. Je décide, alors, d’accélérer le mouvement en le pompant littéralement. Au bout de quelques instants de ce traitement Dimitri commence à donner des signes de sa jouissance proche. Je m’arrête car je veux le sentir, bien dur en moi. Je m’allonge sur le lit, écartant, largement, les cuisses. Dimitri se jette littéralement sur ma chatte, maintenant trempée, et commence à me laper. C’est divin. Sa langue passe sur toute la surface de mes lèvres, s’insinue dans ma vulve puis viens titiller mon clitoris. Il l’aspire, le suce, l’embrasse. Je ne tiens pas longtemps sous ce traitement et part dans une jouissance fulgurante, m’arc-boutant sur sa bouche. Mon chéri me regarde et sourit. Il dit à Estelle de se mettre à côté de moi pour lui prodiguer le même traitement que Dimitri continue à me donner.


Je vois Jérôme plaquer sa bouche sur sa chatte, largement ouverte, et commencer un cunnilingus effréné. Dimitri se décide enfin à ma pénétrer. Je sens son chibre avancer lentement dans ce qui est devenu, maintenant, une fournaise. Son gland vient buter au fond de mon vagin. Dimitri s’immobilise quelques secondes comme pour mieux apprécier la pénétration, puis commence ses va-et-vient, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Au bout de quelques instants il me pilonne, littéralement, m’arrachant orgasme sur orgasme. Je le regarde droit dans les yeux et me rends compte qu’il n’est pas loin de venir, lui aussi.



Il se retire, rapidement, et vient me présenter sa queue devant mes lèvres que j’ouvre en grand. Je reçois un gros paquet de sa semence sur ma langue et je m’empresse d’avaler. Deux autres giclées viennent s’écraser sur mon visage. Je les récupère avec mes doigts et les porte à ma bouche. Je prends son sexe encore bien raide et entreprends de le nettoyer avec ma langue.


Pendant tout ce temps j’ai oublié Jérôme et Estelle, ne me préoccupant que de mon plaisir et celui de Dimitri. Mon regard se dirige vers eux. Jérôme pilonne Estelle avec vigueur. Son visage crispé de bonheur fait plaisir à voir. Quant à Estelle, elle semble nager dans un nuage, submergée de jouissance. Il se retire soudainement et envoie sa semence sur le ventre d’Estelle, qui elle aussi, la récupère avec ses doigts et la porte à sa bouche pour la goûter.


Je me lève et me rapproche de Jérôme pour l’embrasser voluptueusement.



Estelle et Dimitri se sont également rapprochés l’un de l’autre et s’embrassent avec fougue. Nous les regardons en souriant et avec tendresse. Ces deux là sont fait pour l’amour.


Après une bonne douche, nous restons, tous les quatre, nus pour boire un dernier verre. Vu l’heure tardive, nous leur proposons de rester coucher à la maison. Bien que nous ayons une chambre d’amis, ils désirent dormir dans notre lit XXL, à nos côtés.


On s’endort tous les quatre rapidement. Je suis réveillée, au petit matin, par des gémissements lascifs. Estelle est en train de sucer Dimitri. Je regarde Jérôme qui dort toujours et entreprend de le réveiller de la même manière. Je prends, délicatement, son sexe, tout mou, et l’enfourne dans ma bouche. Après quelques sucions savantes, son chibre est devenu gros à souhait. Nous refaisons l’amour à quatre, mais cette fois-ci, entre couples légitimes. Une demi-heure après, Estelle et Dimitri prennent congés. Ils ont une réunion de famille.


On a vécu cette partie à quatre plusieurs fois ensuite. Puis on est passé à la vitesse supérieure. Fréquentant les boîtes échangistes, nous avons eu l’occasion de nous exhiber, de jouer les voyeurs, mais aussi de faire l’amour avec plusieurs couples en même temps, changeant plusieurs fois de partenaires. J’ai même eu l’occasion de baiser avec trois hommes en même temps, pendant que mon chéri s’occupait de leurs partenaires.


Depuis notre sexualité a littéralement explosé nous apportant un épanouissement jusqu’alors inconnu.


Je vous raconterai peut-être tout ça une prochaine fois.



Sabine.