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n° 09774Fiche technique24133 caractères24133
Temps de lecture estimé : 14 mn
12/10/05
Résumé:  Les aventures d'un homme lors de massages à domicile.
Critères:  fh inconnu volupté voir exhib préservati
Auteur : Everly  (Homme 48 ans, hédoniste.)      
L'explorateur de plaisir

J’aime la nature et la vie. J’aime les femmes, leur plaisir.


Même si la région où j’habite n’est pas la plus jolie, même si on lui reproche son climat humide et son sol plat, les gens qui y demeurent sont chaleureux et les femmes exquises.

J’aime les Lilloises.


Hédoniste de nature, j’apprécie les plaisirs du palais et tout autant ceux de la chair.

Mon ex-femme, qui partageait avec moi ces penchants, affectionnait notamment les massages, pour lesquels elle me trouvait doué, et très souvent ces soins corporels étaient le prélude à des ébats plus chauds.

Lorsque je massais son petit cul nu, j’étais à chaque fois envahi par une poussée hormonale qui se traduisait par une érection de belle confection.

De son côté, elle témoignait de son attente érotique en écartant les cuisses, exhibant généreusement sa foufoune à mon regard polisson. Evidemment, c’était à chaque fois le même scénario : mes doigts dérapaient et allaient se nicher dans la moiteur de sa chatte, extirpant un « Ahhhh » de contentement.

La suite évoluait selon notre humeur, la saison, et d’autres paramètres qui donnent aux comportements humains autant de variations que les notes à la musique.


Lorsque nous nous quittâmes, comme il arrive à de nombreux couples, je conservai longtemps la nostalgie de ces moments privilégiés et créatifs. Pendant quelque temps, ils servirent de prétexte à mes masturbations solitaires.


La vie a continué, j’ai rencontré d’autres femmes, j’ai eu d’autres aventures.


Un jour pourtant, avec la popularisation de l’Internet, je tentai une expérience qui devait m’entraîner au-delà de ce que je m’étais imaginé.


J’avais laissé mon adresse de messagerie sur un forum de discussion où il était question de bien-être et de santé. Chacun y donnait des conseils et des avis sur les moyens de parfaire sa forme et l’harmonie de son corps et de son esprit.

J’y avais exposé la détente et le plaisir que procure un massage bien fait et donné quelques points de vue sur la technique que j’utilisais – je faisais référence à l’époque où j’étais marié. Je n’exposais évidemment pas la dérive sexuelle où nous nous laissions entraîner, mais parlais de l’état de relaxation que l’on peut obtenir avec un peu d’expérience et de travail.


J’avais dû être convaincant, car je reçus en quelques jours plusieurs e-mails me remerciant pour les informations formulées, et un certain nombre de femmes, me prenant pour un professionnel, me demandèrent où j’exerçais. Bien entendu, je démentais mon appartenance à un quelconque cabinet de kiné ou autre institut de beauté, précisant que j’avais appris en autodidacte, par goût, m’aidant seulement d’ouvrages traitant de la question, le reste étant essentiellement une question de pratique.


À la suite de mes réponses, trois femmes continuèrent à échanger des messages avec moi et, comme elles habitaient aussi la région lilloise, me demandèrent si j’acceptais d’exercer mes talents sur elles.

Parmi ces femmes, l’une, Anne-Marie, paraissait rechercher l’aspect soins et me posait quantité de questions sur mon intégrité, mon désintéressement des choses sexuelles et la manière dont je pouvais lui garantir des gestes purement « esthétiques ». Lorsque je lui demandai pourquoi elle ne s’adressait pas à une esthéticienne professionnelle, elle laissa transparaître une certaine phobie de l’homosexualité, prétendant ne pas supporter se faire « tripoter » par des mains féminines. Je sentais, au travers de ses propos, une demande bien réelle et bientôt elle en vint à me proposer de faire une séance de massage, mais en maillot de bain et en présence d’une amie.

J’acquiesçai tant bien que mal, un peu agacé par tant de pruderie et par l’obligation de contenance qu’elle m’imposait, et qui était loin de l’esprit dans lequel j’avais opéré jusqu’ici, notamment avec mon ex-femme.


Les deux autres, Marie-Laure et Annie par contre, furent bien moins compliquées et même plutôt enthousiastes, et je conclus bien vite qu’elles devaient être à la recherche de sensations plus proches de la sensualité que du bien-être.

Je décidai de m’intéresser d’abord à leur cas avant celui de la chaste Anne-Marie.


Confiante, peut-être intuitivement par le contenu de nos échanges et mon point de vue technique sur les massages, Marie-Laure me donna rendez-vous directement chez elle.

Lorsque la porte d’entrée s’ouvrit, je découvris une femme d’âge mur, probablement les quarante-cinq ans, de taille moyenne, avec quelques rondeurs apparentes, une poitrine au-dessus de la moyenne, des cheveux bruns assez courts, vêtue d’une jupe droite noire lui arrivant juste au-dessus des genoux et d’un chemisier beige pâle, le tout complété d’un collier et de boucles d’oreille.



Nous nous fîmes la bise chaleureusement, afin d’augurer de manière agréable les moments à venir.

Elle me proposa un café que j’acceptai et pendant lequel nous échangeâmes des banalités.

Je lui rappelais des choses déjà évoquées sur le massage, joignant le geste à la parole en lui palpant les avant-bras, la nuque et les épaules, ce qui permit un premier contact physique apte à faciliter la poursuite des opérations.


Puis ce fut le moment attendu de passer à l’acte.

Elle me suggéra le canapé du salon qu’elle recouvrit d’un drap de bain puis m’apporta l’huile de corps et une serviette.

Elle déboutonna alors son chemisier en me regardant avec un sourire évocateur que je lui rendis afin de l’assurer de ma complicité bienveillante.

Je l’aidai à l’enlever avec un naturel à peine surfait et ne pus m’empêcher un coup d’œil sur les rondeurs de ses seins encore emprisonnés dans un soutien-gorge beige en coton dentelé sous lequel les mamelons laissaient deviner leur existence.

Un regard échangé consolida notre connivence établie spontanément.


Autant rassurante que rassurée, Marie-Laure, après avoir retiré promptement ses escarpins, se dévêtit alors de sa jupe d’un lent mouvement. Je l’aidai à ramasser le vêtement. En me relevant, je pus admirer la culotte assortie au sous-tif. À l’avant, une marque sombre indiquait la présence des poils à l’emplacement du pubis. J’invitai Marie-Laure à s’étendre sur le ventre

Je l’avertis que, pour la commodité des gestes, j’étais contraint de dégrafer son soutien-gorge. Elle accepta.


Le flacon d’huile sentait bon les fruits rouges, un mélange subtil de cassis, de framboises et de fraises des bois, qui donnait presque envie de lécher la peau sur laquelle on l’étalait.

Je m’en badigeonnai amplement les paumes et les appliquai avec délicatesse sur les omoplates de cette sympathique femme. Après un premier massage « à pleines mains » afin d’étaler au mieux la substance, j’allais à présent appliquer le massage par effleurement.


J’avais avisé Marie-Laure que je commenterais chacune de mes actions en lui demandant de m’indiquer si celle-ci lui convenait. Je m’appliquai donc à survoler chaque centimètre carré du dos en mouvements papillonnants et tournoyants, frôlant la peau huileuse.

Les commentaires furent immédiatement élogieux, ce qui était prévisible compte tenu de l’efficience de la technique qui avait nécessité une longue mise au point.

L’extrémité de mes phalanges se promenait des épaules au bassin, virevoltant ça et là, faisant frissonner Marie-Laure lorsque je m’approchais des côtés.



Incité de la sorte, je poursuivis mon manège en insistant aux abords des seins. Marie-Lauer, ayant replié ses bras sous la tête pour me laisser accès à cette zone quelque peu sensible, semblait plutôt ravie, à en présumer par l’accentuation de sa respiration et ses frissonnements.


En gestes alertes, je quittai les abords des lobes mammaires pour descendre m’occuper des cuisses. M’enduisant à nouveau les mains, je renouvelai le travail que j’avais réalisé au préalable sur le dos. Lorsque la partie postérieure des cuisses fut assez couverte, je repris mes subtils attouchements.

Assez vite, mes doigts vinrent s’occuper de la partie interne des cuisses et remontèrent.

Marie-Laure, sentant que j’allais être empêché dans mes gestes, écarta les jambes, ce qui me fit découvrir, sur sa culotte tendue, l’empreinte de sa fente et provoqua sur ma personne l’approbation de mon pénis. Au fur et à mesure de ma progression, Marie-Laure laissait échapper des : « Hummm » de plaisir.



Je me risquai à effleurer le fond de sa culotte avant de m’occuper à nouveau des cuisses. Elle ne s’en offusqua pas. J’y revins une seconde fois sans plus me faire rabrouer. Juste un nouveau frisson vint confirmer sa sensibilité à mon geste.


Ayant pris soin au préalable de m’essuyer rapidement les mains pour ne pas graisser la culotte de la dame, je poursuivis mes caresses sur ses fesses en lui expliquant que, outre les effets indirects comme l’excitation qui pouvait en résulter, ces gestes avaient un grand pouvoir sur le raffermissement des fesses.



« Ouhaha ! » pensai-je, « juste ce que je voulais !»


Je n’attendis pas pour saisir délicatement l’élastique de la culotte de chaque côté et de la tirer en direction des pieds. Marie-Laure m’aida en soulevant le bassin. Son cul m’apparut alors dans toute sa splendeur, rond, épais et bien en chair avec, dans le prolongement de la raie, la naissance de sa vulve, ce qui raviva mon membre déjà bien gonflé et que je ne pus m’empêcher de presser.


Enduire les fesses à nu de la belle fut une joie.

Je pouvais les peloter à mon aise, les triturer.

Je sentais Marie-Laure apprécier ce pétrissage auquel elle se prêtait de bon cœur.

J’avais son cul entre mes doigts, dans mes mains. Je me résolus quand même à reprendre ma technique de l’effleurement pour la sensibiliser au maximum, la rendre « folle » de plaisir, comme on dit.

Je m’appropriai les zones sensibles telles que la lisière de ses fesses et la raie. De légers tremblements confirmaient mon choix. Je stimulai la partie interne des cuisses afin d’inciter Marie-Laure à les écarter, car un surcroît de pudeur l’avait amenée à les garder serrées lorsque je lui avais retiré la culotte.

Elle les écarta, m’offrant une vue imprenable sur ses charmes vulvaires : de grandes lèvres un peu brunies enserrant de fragiles petites languettes et, sur le devant, un capuchon bien rose. Je me délectai un instant de cette bandante apparition.

Puis mes doigts s’encanaillèrent, frôlant cette fleur affriolante, l’agaçant du bout de l’ongle, longeant de l’extrémité de l’index une petite lèvre puis l’autre.

Marie-Laure soupirait fortement alors que je me surprenais à humer le doux parfum de ses sécrétions intimes.

Je pressai alors entre mes mains chacun des lobes fessiers de la coquine, mes pouces massant les grandes lèvres.

Marie-Laure laissa échapper des « hummm » de satisfaction. Son genou droit se plia et vint se placer à hauteur de sa hanche, déployant ses cuisses au point que sa fleur s’ouvrit, dégageant l’entrée gluante de son vagin.

Devant cette invitation sublime aux plaisirs charnels, ce laisser-aller envoûtant, mes doigts glissèrent le long de la fente vulvaire, recueillant au passage la précieuse mouille pour aller taquiner le bouton gonflé sous le capuchon.

Les petits cris répétitifs de Marie-Laure attestaient du plaisir qu’elle y prenait. Prenant appui sur les genoux, elle bombait le cul pour me donner un meilleur accès à sa corolle pigmentée.

Son vagin s’agitait de spasmes que je me fis un devoir de calmer en y enfonçant deux doigts.

À cet instant, elle se mit à accompagner le mouvement de ma main et, en me penchant vers son visage, je constatai qu’elle avait les yeux révulsés, la bouche entrouverte, qu’elle semblait être dans une sorte de transe.

Lorsque j’essayai de glisser ma main libre sous son sein gauche, elle se mit en appui sur ses coudes. Ainsi, d’une main, je pouvais malaxer sa poitrine, tortiller ses tétons entre le pouce et l’index et, de l’autre, lui branler copieusement la chatte. Le mélange fit rapidement son effet. Un cri s’échappa de sa bouche, son vagin se contracta convulsivement : l’orgasme.

Puis Marie-Laure s’effondra, épuisée.


J’avais la bite en feu, mais pas de préservatif. Je desserrai la ceinture de mon jeans, le déboutonnai et le baissai sur mes cuisses en même temps que mon slip. Ma queue bavait. Je la saisis et me masturbai en regardant la chatte éclose de Marie-Laure qui semblait s’assoupir.

La main gauche agrippant l’une de ses fesses, je déversai bientôt mon jus tiède sur ses cuisses.


Après avoir nettoyé ma petite complice d’amour, je lui donnai un bisou dans le cou en lui promettant, à sa demande, de revenir un prochain jour pour un autre « massage ».




Quelques jours après, je rencontrai Annie dans un lieu public, un parc.

À ce propos, au début, les rencontres de ce type avaient représenté pour moi à la fois une sorte d’excitation mais également une crainte : ne pas vouloir aller plus loin, la personne ne me plaisant pas.

Je pense que cela vient de l’idée que je me faisais au préalable de la personne que j’aurais aimé trouver. Très vite, j’ai perdu cette habitude et je m’adapte immédiatement à la personne rencontrée. D’ailleurs, une fois passé le premier instant de la découverte, il s’avère que chacune, différente de la précédente, est intéressante. Son corps est un nouvel espace d’exploration.

Bien sûr, après quelques échanges de messages, il est possible de se dire, en observant les personnes dans la rue, qu’elles pourraient bien ressembler à telle femme ou telle autre, mais c’est se faire à coup sûr des idées fausses.

De toute manière, le but de la rencontre est la séance de massage et, à cette occasion, de s’octroyer chacun un petit divertissement.


Assez grande, mince, presque maigre, les cheveux châtain clair, les yeux verts, telle est la description que je ferais d’Annie qui pouvait avoir la quarantaine. Elle n’avait pas un visage particulièrement gracieux, ce qui d’ailleurs ne me parut pas essentiel : on est comme on naît. La sensualité n’est pas l’exclusivité de ceux qui sont beaux. D’ailleurs, avec l’âge, nous finissons tous par nous ressembler.

Nous fîmes quelques pas durant lesquels je lui rappelai la teneur de mes pratiques en matière de massage.

Elle m’invita à la rejoindre dans son appartement.

Contrairement à Marie-Laure, Annie souhaitait se faire masser sur son lit.


Ma surprise fut de taille lorsque, me tournant le dos, elle se déshabilla complètement avant de s’allonger sur le drap de bain qu’elle avait étendu préalablement.

Je n’avais eu le temps que d’entrevoir l’un de ses seins qui me semblait plutôt menu, mais j’avais à présent son petit cul sous les yeux, et je dois avouer que ce spectacle m’aguicha terriblement.

Ainsi que je l’avais fait quelques jours plutôt, je commençai mon traitement en travaillant le dos, la nuque et les épaules, d’abord en imprimant bien la paume des mains sur la chair. J’étais assis à côté d’Annie et avais eu pendant un moment cette tentation puérile d’aller me rincer l’œil des trésors que ses cuisses ne pouvaient pas cacher complètement, un peu comme un gamin qui essaye de découvrir ce qu’il y a sous la jupe des filles, sachant que la pudeur et la crainte du jugement leur interdiraient de le lui montrer.

Cependant je me ravisai et, comme un gourmet qui conserve le meilleur pour la fin, je ne me hâtai guère pour me placer derrière ses fesses, et préférai attaquer en douceur, tout en douceur…


Je promenais donc mes doigts agiles en subtiles caresses, explorant les moindres parcelles de peau, déployant toute ma sensibilité pour dénicher les endroits sensibles, m’en éloignant pour mieux y revenir dans le but de créer des tensions, d’électriser le corps d’Annie comme pour le diriger vers une supplication érotique.

Je le sentis vibrer à certaines caresses, onduler et se contracter comme pour résister à l’excitation.

Par moment, sous leurs effets, Annie prenait de fortes inspirations, frissonnait.

Lorsque je la sentis prête à se laisser aller à des émotions plus profondes, je pris en main son fessier. Me déplaçant derrière ses hanches, j’enduisis d’huile son joli petit cul et me mis en tâche de le pétrir. Lorsque j’enserrais entre mes doigts l’une des fesses, je pouvais apercevoir son petit minou lisse, une jolie fente de laquelle effleuraient deux fines lèvres roses que j’avais envie de sucer.

Annie se laissait faire. Je passai du temps aussi à lui palper les cuisses et les mollets que je manipulais à ma guise, m’octroyant la joie de les lui faire écarter, afin de profiter du spectacle de sa vulve comme bon me semblait. Elle se prêtait à ce jeu avec complaisance, sans doute aussi pour faire monter mon excitation au plus haut.

Je bandais, et ma queue réclamait son petit cul.

Je promenai ma main de ses doigts de pied jusqu’à ses épaules en frôlant sa vulve et le pourtour de ses seins.


Je repris son petit cul entre mes mains, glissant une phalange dans la raie depuis la faille jusqu’à son œillet brun. Elle eut un mouvement de sursaut. Je pris quelques centimètres de distance avant de redescendre doucement vers cette zone hautement érogène. Annie eut une inspiration qui traduisait son plaisir. Mon doigt poursuivit son action stimulante, ondulant autour de l’étroit orifice, s’activant à en obtenir l’ouverture, la décontraction. En moins d’une minute, il put pénétrer, ressentir l’action des muscles constricteurs sous l’effet de la caresse.

Dès lors, ma main libre se lança à l’exploration du sillon d’Annie, cherchant à repérer avec l’index le clitoris qu’elle avait menu, tandis que le pouce s’enfonçait dans son vagin.

Après quelques instants de cette branlette, Annie inclina son corps, m’indiquant son intention de se retourner pour me faire face.

Je lui laissai toute latitude pour y parvenir en libérant ses orifices et replongeai ensuite mes doigts dans leurs cavités.



En quelques secondes, j’avais la queue entre ses mains, alors que ma bouche se délectait de ses charmants tétons, absorbant par moment tout le globe, ou en mordillant les pourtours tandis qu’elle me branlait amplement ou me pétrissait les couilles, afin de faire sortir un peu de liquide séminal qu’elle s’évertuait à étaler sur mon gland.

Puis les effets conjugués de mes doigts eurent raison de sa résistance et l’entraînèrent dans un orgasme qui lui fit pousser plusieurs cris.



Je m’exécutai sans rechigner.

J’enfilai la capote et, lui enserrant la taille, lui demandai de se retourner pour la prendre en levrette.

Je m’enfonçai dans son corps, entrant et sortant, pilonnant, limant, lui infligeant des coup de boutoir, lui arrachant des « Ahhhh » de plaisir. Je lui introduisis un doigt dans le cul, ce qui m’excita autant qu’elle.

Au bout d’un moment, je fis ce qui était pour moi une première, je dégageai ma bite de son vagin et le plaçai à l’entrée de son trou de cul. Je pensais devoir forcer le passage, mais ses muscles étaient suffisamment relâchés pour que mon pieu puisse entrer sans trop d’effort.

Je glissais à présent dans un orifice nouveau pour moi, avec toute l’excitation qui en résultait.

La jouissance ne se fit pas attendre.

Annie fut la première femme que je sodomisai.



Je laissai passer une semaine avant de fixer rendez-vous à Anne-Marie. Comme je l’avais prévu, c’était une femme plutôt timide, qui semblait avoir pris mes propos au pied de la lettre et me voyait comme un semi-professionnel du massage, passionné par mon hobby et désintéressé de la relation charnelle. Je n’eus pas le cœur de la détromper et j’acceptai la présence chez elle d’une de ses amies pendant que j’officiais.


Anne-Marie, petite femme de trente-cinq ans, légèrement potelée, brune, apparut en maillot de bain deux-pièces et je dus me contenter de contourner la ficelle de son soutien-gorge lorsque je lui massais le dos.

L’air de rien, je pris un certain plaisir à peloter les cuisses de cette effarouchée. Seule son amie, une femme plus âgée et un peu moins coincée, m’adressait des petits sourires qui en disaient long.

Cette dernière ne devait pas tarder à m’envoyer un message pour profiter, elle aussi, de mes bons soins. Mais ceci est une autre histoire…


Cette expérience s’est renouvelée huit fois depuis, et c’est à chaque fois avec le même plaisir que j’ai palpé les chairs fermes ou tendres, caressé les seins minuscules ou généreux, joué avec les tétons durcis jusqu’à arracher un cri de jouissance, glissé un doigt dans la cavité humide, ou fait gonfler le clitoris et mouiller le vagin pour en extraire le tumultueux émoi final.


Il y a eu les contacts par Internet avec celles qui, ayant lu mes écrits, ont voulu me connaître un peu plus et à qui j’ai rapidement exprimé ma passion pour le massage.


Il y a eu le bouche à oreille « une de mes bonnes copines a essayé et a trouvé ça formidable. Elle m’a donné votre e-mail.».


Il y a même eu un couple dont le mari m’a contacté pour que je fasse jouir sa femme sous ses yeux, mais sans pénétration. Je vous raconterai cette aventure une autre fois.


Mis à part le couple, les autres femmes m’ont demandé d’autres séances que j’ai octroyées.


Mais, comme je l’ai déjà dit, je suis épicurien, et mon plus grand plaisir consiste en la découverte, la « première fois ».

Les plus grandes sensations, chez la femme comme chez moi, se présentent dans ces moments particuliers tels que l’apparition d’un sein et les premières caresses, ou bien lorsque je retire la culotte de la dame et que je découvre sa chatte.


Aussi, il n’y a pas un jour où je ne guette ma boîte aux lettres électronique dans l’attente d’un message de ma future massée…


Pierre, le loup-loup.