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n° 09775Fiche technique8318 caractères8318
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/10/05
Résumé:  La rencontre entre Julia et Olivier se fait lors de leur bizutage en médecine.
Critères:  fh jeunes couple inconnu médical boitenuit école exhib intermast facial fellation cunnilingu préservati pénétratio fdanus jeu
Auteur : Julia & Olivier      
Bizutage : Une rencontre décisive !

Tout d’abord une rapide présentation. Nous sommes Julia et Olivier, respectivement âgés de 36 et 38 ans. Nous nous connaissons depuis notre P2 de médecine à la fac de Lille, c’est-à-dire depuis 16 ans, et formons un couple depuis cette époque, mariés depuis 8 ans, et parents de deux petits anges de 7 et 5 ans.

Nous sommes aujourd’hui tous les deux médecins généralistes dans le même cabinet de Lille.

Julia a les yeux marron, des cheveux bruns, le teint très clair et mesure 1m71 pour 59 kilos, de magnifiques et longues jambes sculptées et une très belle poitrine de 95b. D’aucuns s’accordent à dire que c’est une très belle femme, et les regards des hommes s’attardent souvent sur elle dans la rue.

Pour ma part, j’ai les yeux bleus, suis châtain, mesurant 1m91 pour 80 kilos, mince et, paraît-il, plutôt beau gosse, même si je ne me suis jamais beaucoup plu.


Commençons par notre rencontre. J’étais étudiant en première année de médecine, et, souhaitant ardemment, comme tous mes camarades, réussir mon concours, j’ai passé cette première année à bachoter, sans sortir ni m’attarder sur les filles qui peuplaient l’amphi bondé de première année. Le temps s’est écoulé comme cela, dans un monde limité entre bachotages permanents et examens jusqu’à mon entrée en P2.

La coutume veut que les D1 bizutent (à l’époque on disait encore cela, maintenant il faut dire « intègrent » il paraît) les P2. Ayant entendu quelques rumeurs concernant ces rites, j’avais un peu d’appréhension lors de mon arrivée, largement partagée par mes camarades de P2. Après nous avoir tous réunis dans un amphi, nos chers aînés ont commencé à faire monter l’ambiance avec des épreuves et des gages montant crescendo en puissance, tout cela mélangé à beaucoup d’alcool.

Le soir, les organisateurs des festivités avaient prévu pour l’occasion une soirée dans une boîte réservée aux seuls étudiants à médecine. Nous étions tous bien saouls en entrant dans la boîte, et les gages et épreuves continuant à pleuvoir sur nous cela ne s’améliorait pas avec le temps.

C’est alors que, pour n’avoir pas réussi je ne sais quelle épreuve totalement stupide, l’on m’ordonna comme gage de pratiquer un cunnilingus à la demoiselle qui passait à ce moment là à côté de moi. Même totalement éméché, je m’apprêtai à refuser, ne voulant pas sombrer dans ce type de plans. De plus, de nature peu sûr de moi, j’étais persuadé que la magnifique jeune fille brune dont il s’agissait (dont la blouse portait l’inscription : Julia) ne serait pas tellement d’accord. Je commençais donc à bafouiller un début de réponse inaudible, quand je sentis deux mains prendre ma tête, me baisser, me passer sous la jupe de Julia et enlever sa culotte.

Totalement paniqué, je ne savais plus comment me sortir d’une telle situation de honte quand j’entendis une douce et claire voix me dire : « suce-moi bien, j’ai envie de toi. ». C’était donc les propres mains de Julia qui m’avaient mis en position et avaient ôté sa culotte.

Je me mis donc à lécher délicatement ce sexe aux poils ras, d’abord délicatement et tendrement, puis sentant les mains de Julia appuyer sur ma tête, je me mis à dégager son clitoris avec mes mains, à le masser, de plus en plus rapidement, caressant ses lèvres, entrant un doigt, le faisant coulisser lentement, puis de plus en plus rapidement. La sentant vibrer, et de plus en plus humide, je rajoutai un deuxième doigt, appréciant de plus en plus le goût de ce sexe, et sentant durcir mon sexe de plus en plus à l’étroit dans mon jean. Cela dura une vingtaine de minutes, au bout desquelles je la sentis onduler son bassin de plus en plus, pour finalement, après quelques secousses se relâcher totalement dans un cri sourd.

Me relevant, et sortant de sous la jupe, où il faisait une chaleur encore plus intenable que celle de la discothèque, je m’aperçus que plus personne ne nous regardait, chacun ayant, semble-t-il repris le cours normal de la soirée. Je ne pouvais que m’en réjouir, tant je craignais les remarques et vannes qui auraient dû suivre. Mais non… Ouf…

Julia, se remettant de ses émotions se glissa dans mes bras, me souffla : « je n’ai jamais autant pris de plaisir » et m’embrassa goulûment. Au bout de quelques minutes d’un baiser torride, elle me dit : « Je sens que tu es toi aussi très excité » Il faut dire qu’elle était collée à moi et qu’elle ne pouvait ignorer mon sexe dressé qui appuyait contre elle. Elle me dit : « je boirais bien un verre à l’étage, cela à l’air plus tranquille et l’on pourra s’asseoir ».

Commençant à me remettre de mes (fortes) émotions, je lui répondis « Je vais nous chercher des verres, je te rejoins en haut ».

C’est en la rejoignant à une table de l’étage, totalement désert à part nous, que nous avons vraiment fait connaissance, buvant face à face. C’est là que j’appris qu’elle était dans la même année que moi, qu’elle me trouvait mignon depuis qu’elle m’avait vu dans l’amphi de première année, mais qu’elle n’avait jamais osé m’aborder, me voyant totalement hermétique à tout ce qui n’était pas les études. Ce pourquoi, l’alcool aidant, elle avait sauté sur l’occasion, malgré le fait que cela soit en public. Je me suis excusé de ne jamais l’avoir remarquée dans l’amphi, ce qu’elle ne me reprocha pas, connaissant elle-même parfaitement les joies des premières années de médecine. Je lui ai dit que j’avais beaucoup apprécié mon séjour sous sa jupe. Nous avons continué à discuter ainsi pendant un long moment, le courant passant très bien, quand je sentis soudain quelque chose se poser sur mon entrejambe. Il s’agissait de son pied déchaussé et elle continuait à me parler comme si de rien n’était. Appréciant sa caresse, je me mis à masser délicatement son pied puis le second qui avait rejoint le premier, tout cela en continuant de discuter. Puis la tension continuant à monter elle m’a rejoint sur la banquette où j’étais assis. Les caresses se sont faites plus précises, mes doigts sont à nouveau passés sous sa jupe, où ils ne rencontrèrent pas de culotte (nous ne savons toujours pas à ce jour qui l’a gardée en trophée !). Elle sortit mon sexe, commençant à me caresser délicatement, puis à me branler plus franchement, pendant que je faisais coulisser à nouveaux deux doigts dans son intimité maintenant totalement trempée de plaisir et d’envie. Mon état d’excitation était absolu, et lorsqu’elle entoura mon sexe de ses lèvres et commença à me sucer profondément je sus que je ne pourrai pas résister très longtemps. Ce dont je lui fis part. Sans s’arrêter et enfonçant mon sexe de plus en plus profondément dans sa bouche à chaque va et viens, elle me jeta un regard totalement envoûtant et explicite. Ne cessant de me regarder dans les yeux, c’est dans cette position que je jouis pour la première fois dans la bouche de Julia. Elle continua à me sucer longuement après mon éjaculation, puis me sentant durcir à nouveau sous ses caresses buccales, elle libéra mon sexe, maintenant totalement nettoyé car elle avait avalé toute trace de sperme. Prenant dans son sac un préservatif elle le déroula sur mon sexe et, moi toujours assis, elle vint s’asseoir face à moi, s’empalant sur mon sexe. Elle se mit à me chevaucher pendant de longs moments, m’embrassant profondément. Je caressais ses fesses, maintenant dégagées de sa jupe, je jouais avec son anus, passant mon doigt dessus de temps en temps, le titillant, allant même à sa demande jusqu’à lui enfoncer un puis deux doigts préalablement mouillés de sa salive. C’est ainsi que nous avons jouis longuement ensemble pour la première fois.


C’est également ainsi que s’achève ce premier récit d’une longue série racontant nos expériences vécues, qui, vous le verrez, chères lectrices et chers lecteurs sont nombreuses et de plus en plus épicées.


Bises

Julia & Olivier