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Temps de lecture estimé : 17 mn
19/10/05
Résumé:  Il fait froid, Julien plaint un SDF.
Critères:  fh inconnu volupté entreseins fellation pénétratio fsodo
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message
Sans domicile fixe

La météo avait annoncé un refroidissement général. Malgré cela, en débouchant dans la rue, Julien est surpris par la température extérieure, glaciale. Et en plus, il tombe un crachin ou plutôt de la neige fondue, ce qui n’arrange rien. Sa voiture est garée en face, pourvu qu’elle veuille bien démarrer. Sa clef a de la peine à tourner dans la serrure gelée. Derrière lui, une toux sèche attire son attention. Il se retourne : blotti dans un coin, un clochard est tassé dans l’encoignure de l’entrée de l’immeuble de bureaux. S’il a passé la nuit-là, il a dû attraper la crève, pense-t-il en son for intérieur. Le pauvre, il lui faudrait un café chaud, mais, il est sûrement fauché. Glissant la main dans la poche de sa parka, il sent le billet de cinq euros qu’il avait mis pour payer le sien. Il en a plus besoin que moi, se dit Julien.



C’est une voix féminine aux intonations jeunes qui lui a répondu. Encore une paumée. Pendant que son moteur chauffe, il essuie la buée de son pare-brise et voit la silhouette quitter le porche. Portant son sac, elle semble assez jeune, mais la couverture qui lui sert de manteau masque ses formes et ne permet pas de lui donner d’âge. Si elle reste longtemps à la rue, elle s’amochera vite. Sa voiture chaude, il démarre.


La journée a été calme, Myriam, la petite nouvelle lui a fait un sourire, puis ils ont mangé à la même table, tout va bien. Peut-être… on verra ! Un coup de pot, la place de ce matin est libre. Il est vrai que les bureaux étant fermés, les employés viennent de partir, libérant l’emplacement. En passant devant le porche, il cherche la SDF du matin. Elle est déjà là. Elle n’a pas perdu de temps pour reprendre son coin, il est vrai qu’il doit y avoir de la concurrence.



Julien se souvient de la fois où il s’était engueulé avec ses vieux et avait claqué la porte. Deux nuits dehors, il avait cru mourir de froid. Il était rentré au bercail la queue entre les jambes. C’est la toux de la fille qui le tire de sa réflexion. Alors, il se décide.



Elle se lève, les épaules toujours entourées de sa couverture, le bonnet enfoncé sur les oreilles. Elle le suit sans dire un mot. L’appartement est chaud, silencieux, c’est un coin de paradis après le froid, le bruit extérieur. Julien se dirige vers la cuisine, elle le suit docilement, son sac marin sur le dos.



Il cherche fortune dans le frigo, en sort de la charcuterie, du fromage. Puis songeant qu’elle préfère peut-être quelque chose de chaud, il se retourne. C’est une surprise agréable, on ne croirait pas la même personne. Elle s’est dépouillée de sa carapace. Un joli visage entouré par des cheveux blonds coupés courts, un pull, un peu tâché, mais qui laisse deviner des choses intéressantes. Elle n’a pas encore trop souffert de la faim, mince, mais sans être maigre. Et ça lui va bien. Il sourit et esquisse une moue admirative.



Le temps qu’il lui prépare le repas, elle a mis les bras sur la table, sa tête vient s’y poser dessus et elle ferme les yeux. Julien voit la fatigue, la détresse de cette pauvre fille. Malgré sa méfiance envers les clodos, il est ému. L’odeur agréable de la soupe la tire de sa torpeur. Elle a liquidé tout ce qu’il lui a présenté, y compris les deux oranges. Elle se renverse sur le dossier de la chaise, les jambes étendues dans son jean troué, totalement relaxée. Après quelques minutes, elle se redresse.



Il l’a conduite dans son salon, elle s’est allongée toute habillée après s’être déchaussée. À peine couchée, elle a sombré dans un sommeil profond. Il l’a recouverte d’une couette et s’est retiré. Une heure a passé. La porte de la cuisine s’ouvre brusquement.



Elle bondit à la fenêtre pour voir le porche vis-à-vis.



Mais il pense : « C’est pas demain la veille ». Il l’amène dans l’entrée, il y a un placard où sont entreposés les balais.



Incrédule, elle le suit, il lui montre ses commodités puis la laisse et va dans sa chambre devant son ordinateur. Lorsque le réveil sonne, Julien se lève fatigué. Il s’est endormi assez tard, intrigué par sa pensionnaire.

Quel genre de paumée est-ce ? Comment m’en débarrasser ou plutôt, dois-je m’en débarrasser ? Je ne peux pourtant pas la garder !

Il se douche, va au salon pour la réveiller. Elle est là, endormie, tellement fragile. Il ne voit que son visage. Elle n’a pas été trop abîmée par cette vie, elle est même jolie. Il lui suffirait d’un peu de maquillage pour qu’elle soit belle. Il n’a pas le courage de la virer, la plaint : tant pis, il la laisse tranquille. Il griffonne un mot :



Il joint au mot un billet de vingt euros. Toute la journée il pense à elle, oubliant de baratiner la petite stagiaire.

Il se traite d’imbécile : laisser une SDF chez lui, elle va tout me piquer ou tout saloper. Bah, je n’ai pas grand-chose. Ou bien elle va s’installer définitivement. Oh, il suffira que je la serre de près et comme elle craint ça, elle partira.

À un autre moment, il se dit qu’il a bien fait, on ne laisse pas les gens mourir de froid, surtout les jolies filles.


Il rentre rapidement. La porte n’est pas fermée à clé, elle a peut-être invité tous les clodos ! Dès l’entrée, une bonne odeur de cuisine. Il va vite voir : elle est là, devant la gazinière, en train de préparer un plat. La table est mise avec deux couverts.



Ils commencent à manger en silence, puis Julien se décide.



Après le repas, elle est allée rapidement dans le salon. À travers les vitres dépolies, il l’a vu quitter le jean et le pull. Elle est vraiment jolie, et, si elle voulait, je ne me forcerais pas. Elle a éteint et s’est glissée sous la couette. Un léger froid dans le dos, un affaissement du sommier le tire du sommeil. Elle est là, à côté de lui. Nue.



Il n’a pas le temps, ni la possibilité de répondre. Prenant sa tête à deux mains, elle s’est emparée de ses lèvres. Ce n’est pas une novice, sa langue virevolte, s’enroule, fouille la bouche de Julien. Ce dernier se laisse faire. Depuis plusieurs mois, il n’a pas été à pareille fête.

Elle abandonne la tête et descend le long du corps, relève le tee-shirt pour admirer la toison sur sa poitrine. Elle mordille la pointe des seins. Il est surpris : on ne lui avait jamais fait. C’est bizarre, mais efficace. Cette petite douleur le fait bander comme un cerf. La main féminine le vérifie, encerclant le membre dressé.

Elle le branle avec douceur. Le slip la gêne, elle l’élimine afin de travailler plus librement. Drap et couverture ont été rejetés. À quatre pattes au-dessus de ses jambes, elle se penche pour avoir l’outil bien à sa portée. Elle l’admire, le caresse, le lèche et puis l’embouche. Sa tête monte et descend le long de la colonne. En bout de course, elle vient percuter les amygdales.


Julien est heureux du traitement et du spectacle qu’elle lui donne, mais voudrait participer plus activement. S’arrachant aux délices, il fait pivoter sa partenaire. Et bientôt, chacun s’occupe de l’autre. Il bénéficie d’un spectacle ravissant. Les deux cuisses fines se rejoignent en un merveilleux cul. Et face à lui, un buisson du même blond que les cheveux, fendu par une figue juteuse bien mûre. Un pareil fruit donne envie d’y goûter. Il l’attire vers lui, son nez perçoit le parfum épicé qui s’en dégage. Sa langue va vérifier que le goût est bien à la hauteur de l’odorat.

Au bout de ce fruit, il en découvre un autre : une myrtille encore plus appétissante. La langue l’agace, les dents la triturent, provoquant une intense humidification. Le bassin s’affaisse et vient étouffer Julien. Il remonte un peu afin de reprendre respiration et trouve un œil noir qui le regarde. Trempant son doigt dans le fruit, il le plante dans cette cible. C’est un sursaut fantastique du corps féminin, la bouche enserre le sexe, ce qui déclenche son explosion.

Béatrice met quelques secondes à ingurgiter tout ce que lui a déversé Julien. Tirant drap et couverture, elle vient s’allonger à côté de lui.



Elle se colle à lui, ses cuisses enserrant le bassin. Son pubis vient se frotter contre le sexe au repos, mais qui réagit très vite. Il est frictionné par les grandes lèvres. Un long moment, elle s’agite contre lui. Lorsqu’elle le sent bien excité, elle l’allonge sur le dos, le chevauche et vient s’empaler, pubis contre pubis. Elle reste immobile, chevillée, l’empêchant de bouger.

Julien a saisi les fesses à deux mains et participe à cette immobilisation. Ses doigts se rejoignent dans la vallée culière. Béatrice a appuyé sa tête contre l’épaule de son amant, mordillant l’oreille, l’épaule. Lentement son bassin s’agite, se frottant contre son vis-à-vis. Les muscles du vagin massent l’intrus.

Julien sent monter son plaisir malgré l’immobilité du couple. Cela devient tellement fort, n’y tenant plus, il pivote et prend le dessus. À grands coups, il pilonne sa partenaire. Elle gémit de plus en plus fort, émet soudain un ululement en déployant son corps. Comprenant qu’elle jouit, il la rejoint dans ce bonheur.

Ils sont retombés côte à côte, enlacés, leurs sexes poisseux encore en contact.





Ouvrant un œil, Julien sursaute, il a intérêt à se dépêcher. Sans bruit il se dégage sans réveiller sa voisine et va rapidement se doucher, s’habiller. Pas le temps de manger. Sur la table, il lui laisse un mot :



Il joint aux clés cent euros. Toute la journée, il s’est repassé le film de la nuit. Il a essayé de se raisonner : moi, un gars de 35 ans, fonctionnaire à la DDE, qui n’ai pas de peine pour lever des nanas, mais qui ai pu garder ma liberté jusqu’à maintenant, je ne vais pas m’amouracher d’une SDF ! Non, je la vire dès ce soir, ou plutôt demain : autant tirer encore un bon coup.

Mais plus la journée avance et plus il retarde le renvoi. Oh, juste quelques jours, le temps qu’elle se remplume. Il monte rapidement l’escalier, tourne la poignée de sa porte… C’est fermé. Il sort sa clé, ouvre, tout est éteint. Sur la table de la cuisine, un mot :


Je peux pas rester, bien que j’en ai follement envie. Mais tu es un gars trop bien pour moi, qui ne suis qu’une clocharde. J’ai eu un merveilleux moment de bonheur. Peut-être un jour nous nous retrouverons. Quand je reviendrai chercher ma radio.

Béatrice.


Il s’écroule sur une chaise et râle. Moi qui voulais la chasser, c’est elle qui est partie. C’est vraiment une chic fille, pourquoi a-t-elle foutu le camp ? Nous aurions pu vivre ensemble quelques jours. Comment se fait-il qu’elle en soit arrivée là ?


Voilà un mois qu’elle a disparu et il a eu beau chercher dans le quartier, il n’a pas revu Béatrice. Il a interrogé le clochard qui a pris sa place, mais à chaque fois, ce dernier était tellement saoul qu’il n’a jamais pu lui répondre.


Le vendredi, la nouvelle est tombée en plein milieu de la journée : des gangsters ont tenté d’attaquer une succursale de banque. Mais les policiers les attendaient et ils ont été tous arrêtés. C’est un coup formidable : des repris de justice recherchés, particulièrement dangereux. Julien arrive devant son immeuble, mais l’accès en est interdit par la police. Un agent s’approche :



Quelques instants plus tard, un inspecteur en civil s’approche.



Il suit l’officier de police, croise plusieurs agents, les bras chargés de colis. On est en train de déménager l’appartement d’en face.



Julien ne trouve pas le sommeil. Rétrospectivement, il pense au danger qu’il a couru. Ils auraient pu l’assassiner !

Il s’est endormi tard. Heureusement demain c’est samedi il pourra se reposer. Contrairement aux autres week-ends, le matin il s’est levé plus tôt, s’est rapidement douché et habillé, attendant l’arrivée du policier. À dix heures, on sonne, il va ouvrir. C’est une jeune femme avec un ordinateur portable à la main.

Mais… c’est Béatrice !

Elle est habillée avec un petit tailleur clair, des bas, des chaussures à talon haut, elle est… magnifique ! Il s’en doutait, mais pas belle à ce point ! Mais comment se fait-il ?

Elle repousse la porte du pied, puis dit :



La voix est impersonnelle, comme pour un interrogatoire. Il est perdu.



Elle entre dans la cuisine, se met à l’aise, le fait asseoir en face d’elle puis commence :



Abasourdi, il décline ses coordonnées puis bafouille des explications embrouillées, sans que jamais elle l’interrompe, se contentant de frapper sur son clavier. Après quelques minutes, il s’arrête complètement perdu.



Mais comment a-t-elle pu faire pour comprendre quelque chose ? se demande-t-il.

Elle a fait pivoter l’écran devant lui afin qu’il puisse lire. Stupéfait, il apprend qu’il n’avait aucune relation avec ses voisins, ne se doutait en rien de leurs intentions. Mais que, lorsque l’inspecteur Béatrice L… lui a demandé sa collaboration pour établir une station d’écoute dans son appartement, il a accepté et collaboré, voulant aider la police. Devant sa mine ahurie, elle éclate soudain de rire et vient l’embrasser. Il réalise qu’elle se moque de lui depuis un moment.



Elle va dans la salle de bain. Quelques minutes après, elle l’appelle :



Nue, les coudes appuyés sur le lavabo, elle se regarde dans la glace, les jambes écartées, elle lui présente une paire de fesses magnifiques.



Il se précipite sur les lèvres, pas celles qu’elle est en train de maquiller. Assis entre ses jambes, il retrouve le goût qu’il avait particulièrement apprécié l’autre nuit. Ses mains partent à la rencontre de deux poires bien gonflées, toutes mûres. Elle a lâché son fard, se cramponne au lavabo, ses jambes fléchissent et bientôt elle s’écroule sur les cuisses de Julien. Elle mord les lèvres masculines, y retrouvant son parfum intime. Il se relève, elle reste accrochée à lui, les jambes nouées autour de ses hanches. Ainsi ceinturé, il se dirige vers la chambre et s’écroule sur elle. Mais elle se dégage et le dépiaute rapidement. Puis couchée, écartelée, elle l’attend. Pour la première fois, il peut vraiment l’admirer. Comme elle est belle ! Déjà, sous ses oripeaux elle lui semblait jolie. Lorsqu’ils ont fait l’amour, il n’avait pas pu la voir. Il découvre une nouvelle femme. Cette admiration produit un effet évident sur sa libido. Il bande comme un cerf !



Alors, comme un gourmet, il déguste ce plat délicat. Du bout des lèvres, il attaque par le haut. Le visage a la peau si douce, mais deux mains lui saisissent la tête et les bouches se heurtent. C’est un long combat passionné où il n’y a pas de gagnant, chacun ayant mis toute son énergie dans la lutte. Mais aussi attirant que soit ce morceau, il aime bien aussi les fruits, d’abord les poires qui se sont légèrement tassées, comme celles cuites au four. Il en saisit une de la main gauche et en fait rouler la pointe entre ses doigts. Il mordille l’autre, côté cœur, déclenchant un doux gémissement. Longtemps il reste sur ce terrain, changeant parfois de côté, mais sans protestation de l’intéressée.

Pourtant deux mains lui font lâcher prise et le repoussent vers un domaine plus odorant. Dans la vallée des jambes écartées, il s’intéresse à la mousse déjà humide. Il trouve dans la brèche la source et surtout le bouton. Du bout de la langue, il le dégage, le fait vibrer. La plainte s’amplifie, devient monologue.



Alors, un, deux puis trois doigts s’introduisent dans le tunnel. Ils se meuvent, tournent avec facilité dans ce conduit bien lubrifié. Le suc inonde la main. Julien vient boire au bas du ruisseau, remonte sur l’autre versant et trouve l’entrée des artistes. Le pouce gauche bien mouillé entre sans trop de difficulté dans ce nouveau passage. Mais cette introduction déclenche un cri d’alarme et une crispation totale de Béatrice. Elle retombe quelques instants après.



Inversant les positions, elle l’allonge sur la couche. Reprenant le même chemin que lui, elle veut à nouveau apprécier son propre jus. C’est sur ses lèvres qu’elle va le recueillir, mais tout en douceur. Après avoir séché tout ce suc, comme Julien elle s’en prend aux seins. Elle veut lui faire connaître le plaisir par cette partie du corps, souvent négligée. Julien la regarde incrédule avec un léger sourire. Pourtant les baisers, mordillements, étirements provoquent de drôles de sensations ; agacement, légères douleurs, mais aussi effet érogène. Pourtant elle n’insiste pas, elle voit le phare qui se dresse au loin et lui indique la bonne direction.


À nouveau elle l’admire, le caresse à deux mains. Elle dégage bien la boule, la lèche puis la gobe. Elle l’enfourne, montant et descendant. Puis elle le lâche, vient goûter aux bourses pendantes, les prend en bouche. Les jambes masculines vibrent sous ce traitement. Remontant alors légèrement, elle bascule sous lui, prend le sexe entre ses seins. Devant une telle invitation, le sexe comprimé dans un si doux coussin, Julien s’agite, ne peut résister longtemps et éclate, arrosant le visage de sa compagne. Elle se redresse, toute maculée et rit aux éclats.



Elle va en courant dans la salle de bain se rincer le visage dans le lavabo. Julien l’a suivie et, profitant de la position, vient frictionner son sexe au repos entre les fesses de sa compagne. Béatrice participe et agite son popotin. L’effet est rapide, la tige se redresse et vient prendre la position dressée, agaçant au passage la rondelle. Prenant le membre en main, Béatrice le place dans sa fente encore humide, se recule pour bien se clouer. Appréciant l’invitation qui lui est faite, Julien reprend l’initiative, saisit les hanches à deux mains et martèle sa maîtresse, ce qu’elle semble particulièrement apprécier. Les mouvements sont tels que l’outil s’échappe de son fourreau, rapidement remis en place par l’intéressé. Pourtant, lors d’un de ces ratés, la main féminine le saisit et le dirige vers une autre cible.



Prévenant, il humecte bien l’orifice avec ce qui s’écoule devant et appuie doucement son outil bien mouillé sur la rondelle. Il progresse lentement, trop peut-être au goût de sa compagne qui recule pour mieux se cheviller. Bientôt le pubis vient s’appuyer sur les fesses. Julien reste immobile, attendant une autorisation. C’est elle qui prend l’initiative et commence le balancement. Altruiste, il passe une main sur le terrain abandonné et vient le frictionner. L’accouplement reprend, bientôt aussi rapide que dans l’épisode précédent. La sensation est trop forte et Julien explose dans ce nouveau réceptacle. Quelques mouvements de plus et il est rejoint par sa partenaire.


Ils se douchent ensemble, occasion de faire, si c’est encore nécessaire, mieux connaissance. Puis comme prévu, ils vont au restaurant. Au cours du repas, ils se tiennent par la main, se regardent en amoureux. Pourtant, à la fin du repas, Béatrice lui dit :



Et, elle est partie après un rapide baiser. Julien est resté sonné, comme un boxeur après un KO. Il espère seulement qu’elle ne tardera pas à retrouver le chemin de son appartement. D’ailleurs, elle en a toujours les clés !