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Temps de lecture estimé : 42 mn
19/10/05
Résumé:  Un homme se rend au mariage de sa meilleure amie, ancienne amante.
Critères:  fh extracon inconnu alliance copains lunettes train avion entreseins fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : 2nid      
Le mariage de ma meilleure amie

Jour J-30 - L’invitation… ou Remémoration des plaisirs coquins



L’un des avantages d’être écrivain, c’est de n’avoir aucun impératif… si ce n’est de rendre son manuscrit à temps à son éditeur. Avec les progrès de la technologie, on est également passé à l’utilisation de l’ordinateur portable, que l’on peut emmener n’importe où ! C’est ainsi que je me trouve en vacances en Guyane, préparant un roman d’espionnage autour du C.S.G. (Centre Spatial Guyanais), d’où sont lancées les fusées Ariane. Mais ce n’est pas parce que je suis en vacances que je suis coupé du reste du monde : je me rends régulièrement dans un cybercafé afin d’interroger mes mails.


Connexion au net… Site de mail… Pseudo… Mot de passe… (Roulement de tambour – en option) « Vous avez un message ! »


À la vue de l’expéditeur, ou plutôt de l’expéditrice, mon regard s’illumine. Enfin, je ne le vois pas, mais mon état - heureux - me le laisse penser !


Mathilde ! En un instant, c’est tout un morceau de ma vie que je revis dans ma tête. Notre rencontre, notre relation très « sexe », notre séparation… Pour ça, ce n’est pas qu’on ne s’aimait pas : au contraire, on ne pouvait plus se détacher l’un de l’autre, si bien que nous avions peur pour notre avenir et qu’on a pris la dure décision de se séparer. Mais il faut quand même reconnaître que notre histoire avait démarré sur les chapeaux de roues ! Attendez, je vous raconte !



En fait, nous nous sommes rencontrés à la gare de Perpignan. Je remontais vers la capitale et elle attendait une correspondance pour aller en Espagne. Notre premier contact s’est passé comme dans une pub pour une carte bancaire. Je recherchais une place à la cafétéria de la gare, tout comme elle et nous nous sommes retrouvés tous les deux à la dernière table libre, au même moment ! Comme c’était une table pour deux et que nous étions deux, d’un commun accord nous nous sommes assis ensemble. Bien évidemment, pendant qu’on mangeait, on a fait connaissance, parlant de nos vies, de nos études, sans aborder les petits secrets personnels. Et on a discuté comme cela, jusqu’à ce que les haut-parleurs annoncent le départ imminent de nos trains. Amicalement, on s’est fait la bise et on s’est quitté. En m’installant à ma place, j’ai regretté de ne pas avoir pensé à lui demander son numéro de téléphone. Mais bon, je me suis dit que c’était quand même une belle rencontre.


Quelques instants après le départ, je suis allé aux toilettes. Je m’apprêtais à sortir et à rejoindre ma place pour me plonger dans un bouquin, lorsqu’en ouvrant la porte des WC, je me suis retrouvé nez à nez avec la fille de la cafèt’ !On n’a rien dit : on s’est juste regardé. On était silencieux, mais nos yeux se disaient beaucoup de choses. Rapidement elle a jeté un coup d’œil à droite et à gauche, dans le couloir, et elle m’a poussé dans les toilettes, avant de fermer la porte derrière elle.


Nos mains sont parties à la découverte de l’autre. J’ai posé les miennes sur ses épaules, glissant sur son chemisier jusqu’à sa poitrine, que j’ai un peu massée à travers le tissu avant de continuer mon exploration. Ma main a glissé sur sa jupe et s’est frayé un chemin entre ses cuisses, qu’elle a écartées. Doucement, j’ai commencé un léger massage, qui a amené quelques gémissements.


Pendant ce temps, ses mains ne chômaient pas : elles parcouraient aussi mon corps, jusqu’à s’attaquer à mon pantalon. La boucle de ceinture et les boutons de la braguette défaits, une main s’est faufilée sous l’élastique de mon slip, à la rencontre de mon sexe, que je sentais durcir. Je l’ai poussée contre la cloison. Mes mains se sont attaquées à ses boutons de chemisier, dévoilant une belle poitrine soutenue par un soutien-gorge en dentelle noire. Délicatement, elle a passé ses mains dans son dos et a détaché l’agrafe. Avec douceur, j’ai libéré ses seins, avant de les caresser. Approchant ma bouche, j’ai saisi un téton entre mes lèvres et je l’ai sucé tendrement.


Pendant ce temps, une main caressait l’autre sein, pinçant la pointe de temps en temps, arrachant à nouveau quelques gémissements de plaisir. Tout en m’agenouillant, mes mains ont ensuite glissé sous sa jupe et en ont retiré un adorable petit slip brésilien. En levant ses pieds, elle m’a aidé à l’en débarrasser. Puis, remontant délicatement sa jupe, j’ai dévoilé son intimité. Approchant ma bouche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes et laissé ma langue s’insinuer en elle. Le nez dans sa toison, je me délectais de son agréable parfum.


Ses jambes qu’elle écartait et ses mains pressant ma tête entre ses cuisses : cela en disait long sur le plaisir que je lui procurais ! Serrant les dents pour éviter de crier, elle ne pouvait cependant retenir ses gémissements… Jusqu’à ce qu’elle s’arc-boute quelques secondes, terrassée par la vague de plaisir que j’avais déclenchée en elle.


Doucement, je me suis relevé, tout en parcourant son corps de tendres baisers. À son tour, elle m’a poussé sur la cuvette des WC. Après avoir tiré slip et pantalon sur mes chevilles, elle s’est agenouillée devant moi et, sans attendre, a commencé à me sucer tendrement, massant légèrement mes couilles dans une main. Jamais je n’avais connu un tel plaisir.


Comme par magie, elle s’est retrouvée avec un préservatif à la main et elle a entrepris de me l’enfiler, tout en continuant à caresser mon sexe. Elle s’est ensuite relevée, pour s’installer au-dessus de mes cuisses. Empoignant mon sexe, elle le fit passer sous sa jupe, à la rencontre de ses lèvres. Puis, délicatement, elle s’est laissée empaler, lâchant un long soupir de plaisir.


Elle a alors commencé un lent va-et-vient, tantôt prenant appui sur ses jambes pour remonter, tantôt se laissant glisser le long de ma verge. Sa poitrine à hauteur de ma bouche, j’ai sucé à nouveau ses seins. Au bout d’un moment, après un échange de regard comme pour un accord, elle s’est immobilisée, croisant ses bras dans mon cou, tandis que je passais mes mains sous ses fesses.


Délicatement, je me suis relevé, avant de la « poser » sur le rebord du lavabo. À mon tour, je me suis occupé à lui donner du plaisir tout en en prenant, jusqu’à ce qu’on explose, quasiment en même temps, tout en étouffant nos hurlements de plaisirs, dans un échange de baiser passionné.


Après avoir remis de l’ordre dans nos tenues (mais sans qu’elle remette son petit brésilien), nous avons rejoint le compartiment, comme si de rien n’était, et nous sommes repartis dans notre discussion, comme si on ne l’avait pas interrompue sur le quai. Au bout d’un moment, on a arrêté un contrôleur pour connaître le temps de voyage qu’il restait à faire.



Après l’avoir remercié, on a échangé un regard. Un de ceux qui en disent beaucoup. Et nous nous sommes levés, pour retourner vers les WC…


Je suis entré le premier, mais elle a à peine eu le temps de mettre le verrou que je la plaquais contre le lavabo. Mon sexe contre ses fesses, tout en nous regardant dans le miroir, j’ai déboutonné son chemisier avant de commencer à lui peloter les seins un peu violemment. Puis, glissant une main sous sa jupe, entre ses cuisses, j’ai enfoncé un, puis deux et trois doigts entre ses lèvres. Elle tenait sa bouche fermée pour ne pas hurler, mais elle ne pouvait retenir ses gémissements qui en disaient long sur son plaisir !


À mon tour, j’ai sorti un préservatif que je me suis enfilé rapidement, avant de présenter mon sexe à ses lèvres. La tenant par les hanches, je la sentais sous mes doigts à la recherche du contact de mon sexe avec le sien. Je ne l’ai pas laissée attendre plus longtemps : rapidement, j’ai présenté mon gland sur ses lèvres et je me suis enfoncé au plus profond. Je suis parti dans un va-et-vient rapide : dans le miroir, je voyais ses seins ballotter sous mes coups de reins !


Au bout d’un moment, je me suis retiré de sa chatte dégoulinante pour remplacer mon sexe par deux doigts. Je les ai retirés trempés de sa jouissance : j’en ai alors mis sur son petit trou… Dans un souffle, je l’ai entendue me dire :



Reprenant mon sexe en main, je l’ai posé sur sa rondelle et, doucement, je me suis à nouveau enfoncé en elle. Son souffle s’est fait plus rauque. Arrivé au plus profond de son petit cul, je me suis délicatement retiré, pour la pénétrer à nouveau, avant de me lancer dans un va-et-vient crescendo, nous arrachant de nouveaux gémissements de plaisirs.


C’est ainsi qu’après ce voyage en train, nous avons passé près de deux ans ensemble… Jusqu’à ce que l’on se rende compte qu’on s’aimait trop pour vivre ensemble… Je sais, cela peut paraître bizarre, mais c’est comme ça : il n’y avait rien de plus fort que notre amour, mais elle préfère la mer et moi la montagne, elle est du matin et moi du soir… Plein de petits détails qui nous rendaient la vie dure.


Mais on n’a pas perdu contact pour autant : on s’écrit et on se téléphone régulièrement. Il arrive même qu’on se retrouve, quelque part, le temps d’un week-end. Mais, jusqu’à aujourd’hui, elle m’avait jamais parlé d’un quelconque fiancé : si bien que je tombe des nues en lisant son mail : une invitation à être témoin à son mariage !



Jour J-7 - Le voyage



« Les passagers en provenance de Cayenne-Rochambeau : arrivée porte 13. »


J’ai plusieurs fois pris l’avion, mais rares sont les fois où je suis aussi heureux d’être attendu par une si belle femme que Mathilde !



Elle est là, dans une jolie petite robe en jean, normalement toute boutonnée sur le devant, mais qu’elle a laissée ouverte sur sa poitrine, laissant voir la naissance de ses seins et un peu de leurs sillons. Je dois avouer que je me suis demandé, en descendant de l’avion, comment on allait se « retrouver » : façon Julia Ninos dans « Le Mariage de mon meilleur ami » ? Ou tout simplement comme deux bons amis ? Je n’ai même pas à y penser : Mathilde me saute déjà au cou, manquant de peu me faire tomber, le tout en m’embrassant. Sur la joue ! (Soyons sérieux : elle va se marier) Et là, c’est la cavalcade de questions !



C’est peut-être méchant à dire, mais je suis comme sauvé par le gong : un gong qui prend la voix d’une jolie hôtesse, aux longs cheveux bruns bouclés et aux yeux bleus, le tout sur un corps mince et agréablement proportionné :



Mathilde l’observe quelques secondes, puis me regarde à nouveau avec son petit air malicieux :



Nous échangeons un regard hautain, que nous tenons pas plus de cinq secondes, avant de partir dans un fou rire. À peine sommes-nous installés dans sa voiture, qu’elle me presse de lui raconter mon histoire.



Sa main est venue caresser la bosse qui se formait entre mes jambes, puis sans hésitation, elle a ouvert le pantalon et glissé sous le caleçon ! Je peux te dire que cette hôtesse est assez douée pour ce qui est des caresses ! Mais bon, je ne suis pas resté immobile pour autant : j’ai déboutonné son chemisier. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je lui ai alors caressé les seins, tout en lui pinçant doucement ses tétons, en les faisant rouler entre mes doigts.


Au bout d’un moment, elle s’est levée pour venir s’agenouiller entre mes jambes et, sans attendre, elle s’est mise à me sucer. Divinement, je dois l’avouer ! J’ai failli lui exploser deux fois dans la bouche, mais elle le sentait et ralentissait alors ses caresses buccales. Quand j’ai senti que j’allais partir pour la troisième fois, je l’ai arrêtée et aidée à se relever. Elle s’est rassise et, à mon tour, je me suis agenouillé entre ses jambes.


Délicatement, j’ai remonté sa jupe sur ses cuisses. Je lui ai enlevé sa petite culotte. Petite dentelle noire. Et j’ai approché ma bouche de sa petite chatte. J’ai commencé par caresser mes lèvres sur les siennes, avant de leur donner de petits coups de langue. Je l’entendais qui commençait déjà à gémir ! Puis j’y ai enfoncé ma langue, aussi loin que je pouvais : elle m’a plaqué la tête contre son minou pour que j’aille au plus profond ! J’ai continué ainsi, jusqu’à ce que je la sente se raidir : elle a dû avoir un orgasme !


Toujours à genoux, je me suis redressé et, sortant une capote d’une poche, je l’ai enfilée. J’ai passé mes mains sous ses fesses et je l’ai attirée vers moi : mon sexe s’est retrouvé face à sa petite chatte dégoulinante. Elle a croisé ses jambes dans mon dos et, doucement, j’ai posé mon gland sur ses lèvres, que j’ai un peu caressées, avant de m’enfoncer en elle, tout en l’embrassant, pour étouffer d’éventuels cris. Je suis parti dans un petit va-et-vient : ses seins remuaient sous mes coups de reins. Je te raconte pas comment ça m’excitait encore plus !


Peu de temps après, c’est elle qui m’a arrêté. Je me suis relevé pour retourner à ma place. Tout en maintenant sa jupe à sa taille, elle est venue s’asseoir sur mes cuisses, en me tournant le dos. Délicatement, elle a saisi ma bite et s’est empalée dessus, avant de commencer à glisser dessus de haut en bas. Au départ, mes mains étaient sur ses hanches, mais je les ai rapidement portées sur ses seins que j’ai à nouveau massés, caressés, pincés…


Au bout d’un moment, elle s’est arrêtée pour se relever, se tourner vers moi et se rasseoir sur mes cuisses. Heureusement qu’on était en première classe, car ce n’est pas en classe « Vacances » qu’on aurait pu le faire ! Elle a repris mon sexe en main, pour s’empaler à nouveau dessus. J’avais sa poitrine à hauteur de mon visage : pendant qu’elle recommençait à glisser le long de ma verge, j’ai sucé ses seins, mordillé ses tétons… Et on a fini par exploser en même temps. Elle m’a embrassé amoureusement, avant de se relever et de libérer ainsi mon sexe. Elle m’a ensuite enlevé le préservatif et m’a fait un nettoyage en règle ! Je n’ai jamais vu une hôtesse aussi dévouée à ses passagers !


Elle s’est ensuite rassise pour remettre un peu d’ordre dans sa tenue, tout en discutant, en me demandant si j’étais attendu, si j’étais libre, vu qu’elle avait une semaine de vacances, qu’on aurait pu passer, ensemble, chez elle… Mais, je lui ai répondu que j’étais attendu pour le mariage de ma meilleure amie. Sur quoi elle a ajouté, en me laissant un petit papier plié, que ce n’était peut-être que partie remise… et elle est retournée à son poste. J’ai ouvert le mot : c’était son adresse et son téléphone !


Plus tard, elle est venue avec une collègue pour distribuer le petit-déjeuner. Je lui ai souri et elle m’a fait un clin d’œil en me passant mon plateau. Nos mains se sont touchées et je l’ai sentie qui me laissait quelque chose. J’ai attendu qu’elles soient passées pour regarder : dans ma paume, j’ai trouvé sa culotte en petite dentelle noire…



Le voyage se poursuit ainsi, en se remémorant nos ébats dans tel hôtel, dans tel ascenseur, dans telle forêt…


Au bout d’un moment, la voiture prend une allée dans une petite forêt, qui nous mène à un grand portail, derrière lequel se cache une superbe propriété. Je n’ose même pas demander la superficie du jardin. C’est rempli de parterres de fleurs, de petits bosquets d’arbres. Il y a déjà de grandes tentes d’installées (sûrement pour le mariage) ! Mathilde s’arrête devant une immense maison, « façon Moulinsart ». (Vous savez, le château du capitaine Haddock dans les aventures de Tintin.)



Il est vrai qu’en entrant dans la demeure, tout n’est que grandes pièces meublées façon Versailles ! Entre nous, vu la propriété, je m’attends à tomber sur des « Châtelains-Bourgeois-de-la-Haute »… Ben non ! Les (futurs) beaux-parents sont tout à fait « normaux », de même que le fils ! La seule petite ombre que je trouve, c’est Elizabeth, la fille : chignon et lunettes pas trop à la mode, elle a l’air « vieille fille » avant l’âge. Dommage, car elle semble avoir une agréable silhouette…



Jour J-5 - La belle-sœur



Deux jours que je suis là et je suis reçu comme si je faisais partie de la famille. Il faut dire que j’entends plusieurs fois dire « Mathilde nous a tant parlé de vous ! » Et bien sûr le fameux : « Nous avons lu tous vos livres ! » Je trouve même Elizabeth très agréable : elle est incollable sur plusieurs sujets. Elle est même venue me démontrer par A + B qu’un passage du roman que je suis en train d’écrire ne peut se dérouler ainsi, alors que j’étais pourtant persuadé de mon raisonnement ! Hélas, son look « vieille fille » gâche un peu…


Ce matin, à mon réveil, j’ai trouvé un petit papier plié, qu’on avait glissé sous ma porte. On, c’est Mathilde. Et son petit mot me demandait de la rejoindre à un certain moment très précis, à un endroit assez précis du (grand) jardin. Si bien que j’ai prétexté une envie de me dégourdir les jambes, après avoir pris mon petit-déjeuner. J’ai fait semblant de flâner entre les parterres, jusqu’à ce que je sois hors de vue de la (grande) maison. Après quoi, je me suis dépêché de me rendre au rendez-vous.


J’ai retrouvé Mathilde à l’endroit indiqué… Il est vrai qu’il valait mieux être à l’écart de la belle-famille, car elle voulait me voir pour me demander quelque chose… d’assez particulier !



Je dois avouer que je suis stupéfait de sa demande ! Mais je dois reconnaître que nos petits rendez-vous vont aussi me manquer…



Puis, après avoir repris un peu ses esprits et lâché mon cou, elle ajoute :



Nous nous sommes séparés et la journée a suivi son cours. Je peux vous dire que, chaque fois que mes yeux se portaient sur elle ou que nos regards se croisaient, j’espérais que la soirée allait vite arriver ! Mais comme on le dit, tout bonheur arrive à qui sait attendre : le soir est finalement arrivé et, peu après le dîner, je me suis retiré dans ma chambre. En attendant Mathilde, j’enfile mon pyjama, tout en repensant à nos rencontres coquines qui ont égaillé nos vies, mais mes pensées sont interrompues lorsque j’entends quelqu’un cogner à la porte.


La voilà !


Sans un bruit, elle ouvre la porte et apparaît dans un superbe peignoir de bain, dont elle se débarrasse aussitôt après avoir fermé la porte, se retrouvant dans une adorable petite nuisette en soie noire. Je m’approche d’elle et, tout en l’embrassant sur le front, sur les joues, dans le cou, sur la bouche, je fais glisser délicatement les bretelles de ses épaules. La soie glisse de son corps, dévoilant une belle jeune femme nue, comme celle de mes souvenirs de nos câlins passés…


Je m’écarte un peu d’elle, pour la contempler :



Je m’approche à nouveau d’elle. Je recommence à l’embrasser sur tout le corps : d’abord le cou, puis je passe sur l’épaule, je redescends vers sa poitrine, suçant un téton pendant que ma main caresse son autre sein, tout en taquinant l’autre téton du bout des doigts. Au bout d’un moment, après lui avoir arraché quelques gémissements de plaisir, mes lèvres reprennent leur descente sur son ventre, son p’tit nombril, son Mont de Vénus…


J’allais passer ma langue sur ses lèvres intimes, lorsque, soudain, un "Toc Toc" à la porte nous ramène brutalement à la réalité !



On se regarde, surpris.

"toc toc"



Je reconnais la voix d’Elizabeth. Que faire ? Attrapant sa nuisette et sa robe de chambre, Mathilde se réfugie, en silence, dans la salle de bain, en refermant la porte derrière elle. Je grommelle alors un « J’arrive ! » que j’essaye de cacher derrière une voix endormie, et je vais ouvrir tout en m’ébouriffant un peu les cheveux.


Bien que mon état d’endormi soit « pur alibi », j’ai du mal à reconnaître la jeune femme qui se tient devant la porte : Elizabeth a laissé tomber son chignon, ses cheveux tombent à présent en cascade sur ses épaules et elle n’a plus ses lunettes. Mes yeux continuent de la regarder : elle porte une courte nuisette, quasiment transparente, qui me laisse voir qu’elle ne porte rien en dessous ! Dire que je la voyais comme une sainte, quand je l’ai croisée ce matin ! Maintenant, c’est un ange !



Je m’efface pour la laisser entrer et je la laisse aller à sa bibliothèque. Je ne peux m’empêcher de la contempler, à la recherche de la BD qu’elle vient chercher. À un moment, elle semble avoir trouvé celle qu’elle veut : elle monte sur ses pointes de pieds et, tendant son bras, elle tente d’attraper un album, tout en haut. Bien sûr, son mouvement a pour effet de remonter sa nuisette sur ses fesses : je vous laisse imaginer la scène… Surtout que pour gagner quelques centimètres et garder son équilibre, elle se tient sur une jambe, écartant légèrement les cuisses… Comme elle n’y arrive pas, elle jette un œil sur la chaise du bureau, sur laquelle j’ai posé ma valise. Mince !



Je tends le bras, prends la troisième BD et regarde la couverture : un Manara !



Autant être franc : le contact de sa poitrine contre la mienne est aussi un beau remerciement ! J’aurais tant voulu arrêter le temps, à cet instant… Mais déjà elle s’éloigne vers la porte. Elle pose à peine la main sur la poignée, qu’elle se retourne et me lance, d’un sourire coquin :



… en montrant la bosse évidente, qui pointe dans mon pantalon de pyjama.


Effectivement, entre Mathilde et le petit spectacle d’Elizabeth, je n’avais pas débandé !



Elle me lance un petit regard coquin.



En terminant sa phrase, elle tourne la clé dans la serrure.



En moi-même, je n’ose même pas imaginer ce qu’il s’y passerait, si cela devait arriver !



Comme hypnotisé, sans résistance, j’obéis. Après avoir posé la BD sur un meuble, elle s’approche de moi, les mains dans le dos, avec un petit sourire malicieux aux lèvres. S’agenouillant devant moi, elle saisit mon pantalon et me le retire doucement : au dernier moment, mon sexe surgit, comme un diable de sa boîte ! Les doigts d’Elizabeth le caressent, massent les bourses ; puis, approchant sa bouche elle commence à me sucer. Je dois avouer qu’elle me procure rapidement un plaisir que je n’avais jamais connu ! Je n’arrive même pas à me retenir et j’explose dans sa bouche ! Hélas, je ne suis pas un dieu du sexe, et je débande rapidement.


Elizabeth se redresse et s’installe à cheval sur mes cuisses. Délicatement elle enlève sa nuisette : elle en attrape le bas et remonte le long de son corps, dévoilant sa petite toison, son ventre plat et sa belle poitrine, avec ses seins en poire. Se penchant vers moi, elle me retire mon haut de pyjama, tout me glissant à l’oreille :



Elle commence par frotter doucement sa poitrine contre la mienne : j’ai toujours aimé le contact d’une poitrine féminine contre la mienne… encore plus si elles sont nues toutes les deux ! Elle remonte vers mon visage : j’ai ses seins à hauteur de ma bouche. Délicatement, je commence à sucer ses pointes, comme si je tétais ses tétons. Je les pince entre mes lèvres, puis entre mes dents, lui arrachant quelques gémissements.


Elle commence à redescendre, tout en me caressant de ses seins et en me couvrant de doux baisers, dans le cou, sur ma poitrine. Bien qu’ayant perdu de sa virilité, ma bite continue de ressentir le frottement du corps d’Elizabeth sur elle. C’est ainsi que j’arrive à percevoir le contact de sa toison intime sur mon sexe : cela m’électrise de la tête aux pieds. Elle continue cette caresse quelques instants avant de redescendre vers mon entrejambe. Là encore, contre mon sexe, je sens le frottement de sa poitrine. Délicatement, elle fait glisser ma bite entre ses seins, qu’elle serre un peu et, doucement, commence à me faire une branlette à l’espagnole. Elle doit être pro en la matière, car c’est absolument divin, de plus, petit à petit, je sens la virilité me gagner à nouveau !


Elle remonte un peu. Saisit mon sexe, le présente à ses lèvres et doucement s’empale, dans un soupir de plaisir, avant de commencer à bouger du bassin dans un mouvement de va-et-vient qu’elle accélère petit à petit. Au bout d’un moment, elle s’arc-boute en s’immobilisant, signe qu’elle vient d’avoir un orgasme.


Après avoir attendu quelques secondes, le temps de la laisser reprendre ses esprits, je me redresse pour m’asseoir. Puis, passant une main sous ses fesses et une dans son dos, je me lève du lit, tout en la tenant dans mes bras. Tout aussi délicatement, je l’allonge à ma place. Je l’embrasse tendrement, pendant qu’une de mes mains caresse un sein et l’autre sa toison intime.


Ma bouche vient remplacer ma main sur son sein : je mordille doucement son téton, avant de le lécher à nouveau. Puis, quittant sa poitrine, je descends vers son entrecuisse, où ma bouche vient aussi remplacer mon autre main. Sans attendre, ma langue se faufile entre ses lèvres, arrachant à nouveau quelques gémissements de plaisirs. Ses cuisses se resserrent autour de ma tête et ses mains l’appuient davantage contre son intimité, comme pour me dire tout le plaisir que je lui procure, de continuer.


Après quelques instants entre ses jambes, je me redresse. Délicatement, je prends ses jambes pour les poser sur mes épaules et pose mon gland sur ses lèvres humides. Je m’enfonce en elle, avec douceur, jusqu’au plus profond de sa petite chatte. Sans retenue, je m’emballe dans un va-et-vient rapide où mes couilles viennent cogner contre ses fesses. Mes halètements se joignent aux siens, sous mes coups de reins. Alors que je sens que je vais bientôt partir, elle me lance :



Tel un feu d’artifice, j’explose en elle, tout en sentant sa jouissance m’éclabousser, en même temps. Je m’écroule à ses côtés. On reste silencieux quelques instants avant qu’Elizabeth ne se redresse sur ses coudes pour me regarder :



Une bise sur la joue, et la voilà qui s’en va, tout en enfilant sa nuisette.


Après le départ d’Elizabeth, je referme le verrou de la porte et, sans me rhabiller, je vais ouvrir la porte de la salle de bains, afin de libérer Mathilde : quelle n’est pas ma surprise en la retrouvant sur la cuvette des WC, en train de se masturber !



Je m’agenouille alors devant elle, écarte un peu ses cuisses et, après avoir retiré sa main, je me lance à l’assaut de sa chatte dégoulinante. Ma langue s’active sur ses lèvres et sur son petit bouton, lui arrachant déjà quelques gémissements. Mais au bout de quelques instants, elle m’arrête :




Jour J-2 - Nuit d’orage



Je me réveille en sursaut. Un coup d’œil au réveil : il est 9h15. J’essaye de trouver ce qui aurait pu me réveiller, mais, après avoir fait le tour de la chambre, je ne trouve rien. Peut-être un bruit à l’extérieur ? Toujours est-il qu’il est temps de me lever ! Une rapide douche et me voilà prêt. En sortant de la chambre, je sens qu’il y a un truc bizarre : tout le monde court ! Je finis par retrouver Mathilde, qui m’apprend que les grands-parents de Nino et d’Elizabeth ont eu un accident de voiture. Toute la famille va aller les voir à l’hôpital. Mathilde avait l’intention de les accompagner, mais, bien que son geste soit tout à fait normal, ses futurs beaux-parents lui ont demandé de rester, car certains travaux pour la cérémonie devaient être faits tout au long de la journée et donc il fallait que quelqu’un reste. De plus, il serait impoli de m’abandonner seul toute la journée…



C’est ainsi qu’on passe la journée à gérer les travaux d’installation des tentes et autres trucs pour la cérémonie et la fête. Mais, au fur et à mesure que la journée se passe, le ciel s’assombrit et de lourds nuages noirs laissent présager un bel orage. Orage qui claque en fin d’après-midi. Au loin, nous voyons les éclairs zébrer le ciel, pendant que le tonnerre gronde. Malgré le temps menaçant, nous sommes quand même allés manger dans une petite crêperie bretonne, après avoir passé la journée à continuer les préparatifs de la cérémonie.


Je dois avouer que j’espérais que Mathilde profite de notre solitude pour qu’on puisse avoir notre petit moment de câlin avant qu’elle se marie… Hélas, il y a eu tellement de choses à gérer pour la cérémonie que nous n’avons quasiment pas eu une seule minute pour souffler un peu : notre seule pause étant cette crêperie, où nous n’avons pas abordé le sujet.


La pluie se met à tomber avec force, sur la route du retour, si bien que du garage à la porte d’entrée, nous nous sommes littéralement trempés. À croire qu’on aurait plongé, tout habillés, dans une piscine !


Une fois dans la maison, je ne peux m’empêcher de regarder Mathilde. Sa jolie robe, blanche et légère, est plus que mouillée, si bien que je peux voir sans problème qu’elle porte un joli petit string blanc… mais pas de soutien-gorge !Hélas, elle ne me regarde pas : son attention est attirée par le voyant du répondeur qui clignote. Mathilde lance le message. Nous entendons alors la voix de Nino nous annoncer :



Le message est à peine terminé que le courant est coupé dans toute la maison !



Dans le noir, je l’entends bouger.



Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de trouver la main de quelqu’un, dans le noir, mais ce n’est pas vraiment évident ! Toujours est-il que j’avance ma main dans la direction où je pensais la trouver, mais je ne rencontre que le vide. D’une seule voix, on se lance :



… avant de rire du comique de la situation.


Ma main, toujours à la recherche de celle de Mathilde, finit par retrouver Mathilde… mais, pas sa main !



Une fois que nous sommes arrivés à la chambre que j’occupe, elle m’y fait entrer, à la recherche de ma valise et de mon briquet. Quelques instants plus tard, le briquet en main pour nous éclairer et une douleur aiguë au pied (vous vous êtes déjà tous cogné le petit orteil contre un meuble, même en plein jour… Imaginez-moi, dans le noir : je ne vais donc pas vous faire un dessin), nous repartons vers la fameuse chambre bleue !


Je dois avouer que tout en la suivant (elle ouvre la marche avec le briquet), je ne peux m’empêcher de suivre aussi les belles courbes de son corps… De même, pendant qu’elle allume les deux chandeliers, je laisse mon regard vagabonder dans son décolleté et se noyer dans le sillon de ses seins…


Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin : on revient sur nos pas, jusqu’à ce qu’elle m’abandonne devant ma porte, en me souhaitant une bonne nuit.



J’hésite un peu à lui proposer de passer la nuit ensemble, mais je finis par lui souhaiter une bonne nuit à mon tour : je préfère lui laisser le choix, sans la forcer. J’entre dans la chambre.


Quelques minutes plus tard, allongé sur mon lit, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Mes yeux regardent au plafond les lueurs vacillantes des bougies, auxquelles se mêlent les zébrures laissées par les éclairs, tandis que la pluie continue de fouetter les fenêtres. Je ne peux m’empêcher de penser à Mathilde : elle m’a dit qu’elle me préviendrait lorsqu’elle voudrait qu’on fasse l’amour une dernière fois avant son mariage… On a passé la journée, seuls, sans personne pour nous déranger. Il faut reconnaître qu’on n’a pas eu une minute pour souffler… Mais elle n’en a pas parlé, même pas à la crêperie.


Soudain, mon attention est attirée par un mouvement du côté de la porte ! La porte de la chambre s’ouvre sans bruit et une faible lueur éclaire un peu plus la chambre, ce qui me permet de voir Mathilde entrer en robe de chambre… Les flammes des chandeliers donnent une ambiance tamisée à la chambre. Doucement, elle tire sur sa ceinture. Les pans s’écartent un peu, laissant entrevoir un corps nu.


De son index, elle me fait signe de m’approcher. Je me lève et vais vers elle. Sans attendre, elle m’enlève mon haut, puis mon bas de pyjama, laissant au passage une petite caresse sur mon sexe. Je profite qu’elle soit à genoux devant moi pour passer mes mains sur ses épaules, la débarrassant de sa robe de chambre au fur et à mesure qu’elle se redresse.


Je vais pour l’embrasser, mais elle me stoppe, doucement, en me faisant comprendre d’aller m’allonger. Posant un genou sur le lit, elle m’enjambe pour se retrouver au-dessus de mes jambes et s’allonge de tout son long sur mon corps. Nos jambes s’emmêlent. Nos mains se caressent, nos lèvres se collent, nos langues se cherchent. Nos deux corps ne sont plus qu’un.


Elle descend le long de mon corps, pour aller engloutir mon sexe. Elle me suce divinement, tout en caressant mes bourses. Sous ses coups de langue experts, je ne tarde pas à exploser dans sa bouche.


Déjà ? me direz-vous… Pas de panique ! Ce n’est qu’une mise en bouche pour elle et la promesse d’une virilité plus longue dans quelques instants !


Tout en remontant vers ma bouche, elle couvre mon corps de baisers, avant que nos lèvres se collent à nouveau et qu’on échange un peu de ma semence. On s’enlace et on roule sur le lit, poursuivant notre folle embrassade : je retrouve la Mathilde de nos rencontres coquines.


Je suis à nouveau sur le dos. Avec douceur, elle se place au-dessus de moi, afin de présenter sa chatte à ma bouche. Je plaque mes lèvres sur les siennes et la pénètre de ma langue. On est seul, personne ne peut nous entendre, alors elle se lâche et hurle son plaisir ! Sur ma langue, je sens sa mouille couler. Ma bouche s’excite sur ses lèvres, sur son petit bouton jusqu’à le faire se dresser. Elle gémit, elle halète.


Au bout d’un moment, elle commence à redescendre, le long de mon corps. J’en profite pour l’embrasser sur le ventre, sur le nombril, sur ses seins…

Ses doux seins, dont je suce les petits tétons, que je mordille un peu, lui arrachant de nouveaux gémissements. Tranquillement, elle s’installe au-dessus de mon bassin et d’une main douce saisit mon sexe pour l’amener à l’entrer de sa chatte. On échange un regard complice et doucement elle s’empale sur ma verge.



Mathilde se lance alors dans un va-et-vient dont elle contrôle le rythme : tantôt lent, tantôt rapide. Doucement, j’en profite pour caresser ses seins, les masser tendrement, pincer délicatement ses pointes et reprendre de douces caresses.


Au bout d’un moment, elle se recouche sur moi. Toujours en elle, je nous fais basculer et je me retrouve ainsi au-dessus d’elle. Elle croise ses jambes derrière moi. C’est à mon tour de donner le rythme à notre étreinte. Je nous impose un rythme un peu lent, afin de profiter de chaque instant, de chaque seconde… Notre étreinte est puissante : elle ne ressemble en rien à toutes celles que nous avons eues par le passé. C’est comme si on allait au maximum de nous, de nos sentiments, comme si on savait que c’est la dernière fois que nous pouvons le faire. Tout se termine lorsqu’on explose en même temps, dans un râle de plaisirs partagés. Vidés, nous nous endormons, enlacés, comme deux jeunes amoureux.


Je suis réveillé par des piaillements d’oiseaux. Un coup d’œil à la fenêtre : le temps est clair et on ne voit que peu de nuages au loin. Je jette un coup d’œil au réveil : il est pas loin de 9 heures. À côté de moi, je retrouve Mathilde, nue. Je ne peux m’empêcher de la contempler, de la désirer à nouveau.


Délicatement, je pose une main sur son ventre… Aucune réaction. Je remonte lentement vers sa poitrine, que je caresse… Un léger gémissement se fait entendre. Je redescends doucement vers son entrecuisse, effleure sa toison et masse ses lèvres… Le gémissement prend de l’ampleur. Je glisse un doigt dans sa chatte… Elle lâche un petit cri et commence légèrement à onduler du bassin.


Je vais ajouter un autre doigt, mais sa main prend la mienne, la retire et la remonte pour les poser sur sa poitrine. Elle se retourne de l’autre côté, ce qui a pour effet de m’attirer tout contre son dos, ma main restant sur son sein. On reste ainsi, lovés, collés l’un à l’autre, profitant du moment présent. Dans la raie de ses fesses, mon sexe bandé aimerait se faufiler entre ses lèvres. Lit-elle dans les pensées ? Elle lève un peu sa jambe et, d’une main, vient me caresser.



Lentement, je retire ma main de sa poitrine et je me redresse à genoux. Tout en douceur, je la saisis par les hanches afin de l’allonger, sur le ventre, pour la mettre en position. Je m’installe ensuite à califourchon sur ses cuisses et approche mon sexe de son cul. Avec une grande douceur, j’écarte ses fesses et fais glisser mon sexe jusqu’à ses lèvres déjà dégoulinantes. Une petite poussée et je suis en elle.



Je donne de légers coups de reins pour commencer, puis j’accélère le mouvement. Ses gémissements deviennent soupirs, ses soupirs deviennent halètements. Après quelques instants de va-et-vient, elle lâche dans un murmure :



Délicatement, je sors de sa chatte. Et pendant qu’elle se redresse un peu sur ses genoux, tout en gardant le buste dans les oreillers, je récupère un peu de sa mouille sur mes doigts et je vais en badigeonner son petit trou. J’en profite pour enfoncer un pouce au plus profond et je la fouille un peu.



J’écarte à nouveau ses fesses, place mon gland sur son abricot et, d’un coup sec, m’enfonce au plus profond, lui arrachant un cri mêlant plaisir et douleur.



Je reste un peu en elle, pour l’habituer, jusqu’à ce que je sente son anus se contracter autour de ma verge : comme un signal pour me dire qu’elle est prête ! Je reprends doucement mes coups de reins, avant d’augmenter peu à peu la cadence, tout en la maintenant par les hanches.



La lâchant, je l’aide à se redresser. Soutenant sa poitrine, elle fait glisser mon sexe entre ses seins et entreprend de me finir dans une petite branlette espagnole… Mon sperme gicle sur ses seins, sur son cou et sur son visage. On se regarde quelques instants et on éclate de rire : on se retrouve comme avant…


Après avoir essuyé les traces de mon passage sur son corps à l’aide d’un mouchoir, on se rallonge quelques instants, comme pour profiter des derniers instants que nous pouvons passer ensemble.


Mais à ce moment, le téléphone se fait soudain entendre. Sans cacher sa nudité, Mathilde se relève rapidement et court répondre. De ce que j’entends, je comprends que c’est Nino. Je me lève à mon tour, sors de la chambre, nu moi aussi et je la rejoins sur le palier. En omettant de parler de notre nuit, elle lui raconte notre emploi du temps de la veille, jusqu’à la panne de courant qui ne semble être rétablie que depuis peu.



Se tournant vers moi, elle me fait patienter quelques secondes tout en me souriant, avant de me proposer de prendre une dernière douche ensemble :



Quelques secondes de réflexion en m’observant…



À quoi j’ajoute, d’un air malicieux :



Toujours aussi nus, on se dirige vers la salle de bains. Pendant que Mathilde est penchée au-dessus de la baignoire, je m’approche d’elle et la saisis par la taille, désireux de lui voler un baiser, mais le contact de mes mains la chatouille.



Je me recule donc pour la laisser s’occuper du bain. Lorsqu’elle se redresse, au lieu de venir vers moi, elle se dirige vers la porte de la salle de bains.



À peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle se rue hors de la pièce ! Je pars aussitôt à sa suite, dans les couloirs de la maison. Devant l’avance qu’elle arrive à prendre facilement, je me rappelle qu’elle fait souvent du jogging ! Mais, entre nous, je dois avouer que courir nu après elle nue dans la maison de ses beaux-parents, m’excite au plus haut point !


À un moment, je pense l’avoir bloquée dans la cuisine - pièce qui n’a qu’une seule porte - mais voilà qu’elle ouvre la porte-fenêtre donnant sur le jardin et s’y échappe ! Je ne vous raconte pas le plaisir que j’ai à la poursuivre, nu, en pleine nature, à l’abri de tout regard indiscret… Hélas, alors que je suis sur le point de la rattraper, elle change aussitôt de direction et repart vers la maison :



Par chance, elle a pu prendre son virage sans problème, ce qui n’est pas mon cas : mes pieds glissent sur l’herbe humide et je me retrouve à glisser sur le dos, les jambes en avant. Je me relève péniblement, un peu vert par endroits. Quand j’arrive dans la salle de bain, le bain est arrêté et elle y est entrée.



Elle se relève tout en me tendant la main. L’eau et la mousse ruissellent sur son corps, glissant de son cou, entre ses seins, sur son ventre, s’arrêtant quelques secondes sur sa courte toison et poursuivant leur course le long de ses jambes. Un pied, puis l’autre, et me voilà dans le bain. Mathilde prend une éponge et, après y avoir versé du gel douche, elle me savonne tout le corps, comme une mère attentionnée pour son enfant. Contre ma volonté, mon sexe commence à reprendre un peu de vigueur.



Mon corps entièrement savonné, elle saisit la pomme de douche et me rince, après avoir réglé l’eau à une température tiède chaude. J’en ressors tout propre.



Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m’allonge dans l’eau, passant mes jambes entre les siennes. Doucement, elle se retourne, me présentant son dos, et vient s’allonger sur moi. Mon sexe trouve sa place dans le sillon de ses fesses, tandis que mes mains retrouvent la douceur de sa poitrine. D’abord massant doucement ses seins, caressant les tétons et pinçant légèrement les petites pointes perçant sous la mousse…


Ses mains ne restent pas inactives : elles ont glissé toutes les deux entre ses cuisses, l’une me caressant pour me redonner un peu plus de vigueur, l’autre dans son intimité. Sous sa main experte, je retrouve toute ma virilité. Virilité qu’elle amène sur les douces lèvres de son sexe. Puis, avec de communs mouvements du bassin, on entreprend un va-et-vient, un peu limité par les parois de la baignoire et par les risques d’inondations de la salle de bains.


Au bout d’un moment, avec quelques petites difficultés, on se relève. Mathilde écarte un peu les jambes et prend appui sur le mur. J’écarte doucement ses fesses et m’enfonce en elle, avant de me retirer, puis de m’enfoncer à nouveau, dans un rythme crescendo. Hélas, notre stabilité étant plutôt fragile, je la quitte à regret pour m’allonger à nouveau au fond de la baignoire, tandis que Mathilde se place au-dessus de moi, avant de s’agenouiller, tout en s’empalant sur mon sexe dressé.


À son tour, elle donne le rythme à nos ébats, tantôt fougueux, tantôt ralentis, avant qu’on n’en vienne à exploser ensemble dans un hurlement commun de plaisir. Ma bite, toujours entre ses lèvres, perd peu à peu de sa vigueur. Mon amante s’allonge sur moi. Je dois avouer que j’aime le contact de sa douce poitrine nue contre la mienne…



On reste quelques minutes comme ça, dans les bras l’un de l’autre, comme si aucun de nous ne voulait arrêter cet instant de bonheur. Mais, toute chose, qu’elle soit bonne ou mauvaise, a une fin : on sort de l’eau, on s’essuie chacun de notre côté, comme si on savait qu’on ne pourrait résister à la tentation et on va s’habiller dans nos chambres respectives.


Quand la belle-famille arrive, ils nous trouvent en train de vider les produits du réfrigérateur et du congélateur, perdus suite à la panne de courant. Mais comme Mathilde avait prévenu Nino, ils sont revenus avec plein de provisions, que l’on range après que le courant ait été rétabli.



Jour J - Le mariage



Nous arrivons finalement au jour J : dans quelques heures, Mathilde se marie et, demain, je retourne chez moi.


Comme il m’avait été ordonné de ne rien faire pour donner un coup de main, j’avais tout mon temps pour me préparer. Mais, une fois prêt, il fallait encore attendre ! Je me suis installé dans un fauteuil et je me suis plongé dans un roman (pour ceux qui veulent des précisions : « Le Chat qui lisait à l’envers »).


Je fus arraché de ma lecture par un Toc Toc à ma porte : une fillette habillée pour la cérémonie vient m’annoncer que la mariée voudrait me voir maintenant. J’emboîte le pas à la gamine qui me conduit jusqu’à la chambre de Mathilde, où elle m’abandonne, peut-être pour retourner jouer avec les autres enfants qu’on entend rire par-ci par-là.


Je frappe à la porte.



J’obéis. Devant moi se dresse la plus belle des créatures du paradis : Mathilde est merveilleuse dans sa robe de mariée. Sa chevelure est remontée en un chignon, dégageant sa nuque. Un léger décolleté offre une vue sur la naissance de ses seins. Quant à sa robe, elle est sublime : à côté d’elle, celles des princesses et autres reines ne font que pâle figure !



La brusquerie de sa réponse me bloque un peu.



Devant mon hésitation, elle insiste :



Je vous laisse imaginer la scène : Mathilde dans sa robe de mariée… Moi, planqué dessous, entre ses jambes qu’elle écarte tant qu’elle peut… Délicatement, je baisse un peu sa culotte pour libérer son sexe et, approchant ma bouche, je dépose mes lèvres sur les siennes : ma langue s’active et j’entends ses premiers gémissements de plaisir. Mes mains sur ses fesses la poussent vers moi, me permettant d’aller au plus profond de son intimité.


Soudain, nous entendons un Toc Toc à la porte !



Mathilde n’a pas eu le temps de réagir, Nino est déjà collé à elle et l’embrasse avec fougue. Je n’ose même pas m’imaginer ce qu’il se passerait s’il me trouvait sous la robe de sa femme ! Soudain, le bas de la robe remonte peu à peu… Meeeerde !



Mathilde recule doucement l’une de ses jambes : je comprends qu’elle veut reculer, pour essayer d’échapper à l’étreinte de Nino. Accroupi entre ses jambes, sous sa robe, je m’efforce tant bien que mal de suivre le mouvement, en évitant de signaler ma présence. Mais Nino ne semble pas vouloir lâcher prise : je le sens toujours collé à elle : jusqu’où vont-ils m’entraîner comme ça ?



Yes ! Un point pour Mathilde ! Je pense la partie gagnée, mais Nino revient à la charge et on continue de reculer. Je la sens mal, cette histoire ! Soudain, elle est arrêtée, au niveau des fesses, par ce que je pense être un meuble. Tâtonnant rapidement, je comprends qu’on a reculé jusqu’à une sorte de table, ou du moins un meuble avec beaucoup d’espace entre les pieds. Mais déjà, la robe commence à remonter !


Tant pis ! Il faut que j’essaye de m’éclipser de là-dessous ! De mon côté, je soulève la robe pour me retrouver face à un pan de nappe : c’est bien une table ! Je glisse rapidement sous la nappe de la table. Puis, comme pour prévenir Mathilde que je suis en lieu sûr, je pose un doigt à hauteur de ses fesses et je pousse doucement !



Caché sous la nappe de la table, je ne peux voir ce qu’il se passe, cependant j’entends ! J’entends Nino se battre désespérément avec la robe.



Au-dessus de ma tête, le bois craque un peu : j’espère que la table va résister, au moins le temps de leurs ébats, sinon je suis mal barré ! Aux murmures des vêtements, j’imagine la scène : Mathilde allongée sur la table, la robe retroussée sur ses cuisses écartées…



Mais si Mathilde et moi connaissons tous deux la réponse, elle ne peut la lui dire. Elle choisit alors une simple expression :



… qui, si elle rassure Nino, me félicite du résultat obtenu !


Au léger bruit d’un élastique, je l’imagine arracher sa petite culotte. S’ensuit alors des succions, comme une bouche dévorant une chatte dégoulinante ! Mathilde laisse échapper quelques gémissements de plaisirs. Jusqu’à ce qu’un bruit de ceinture, de bouton et de fermeture Eclair vienne gâcher ce doux murmure de plaisir. Un profond soupir échangé par le couple (il s’est enfoncé en elle), et voilà que la table est secouée violemment, sous les coups de reins de Nino.



Les gémissements de Mathilde en disent long sur le plaisir qu’elle ressent. Après quelques instants de cette cavalcade amoureuse, le rythme ralentit, jusqu’à s’arrêter.



Nouveau mouvement de la table : j’imagine Mathilde couchée sur la table, sa poitrine écrasée sous elle… Instinctivement, je pose mes mains sur le bois, au-dessus de moi, m’imaginant les poser sur ses seins…


Nouveaux bruits de succion…



Ces quelques paroles font leur chemin dans ma tête : elle ne s’en plaignait pas avant-hier… Au contraire : c’était même elle qui me l’avait demandé… Mais ses faibles protestations ne semblent pas avoir touchées Nino, vu que Mathilde semble souffler fortement, comme pour se décontracter, après l’intrusion du sexe de son homme dans son cul…


Quelques secondes de calme, comme celui d’avant la tempête, et voilà que la table recommence à bouger sous les coups de Nino ! De ma place, j’entends les gémissements que laisse échapper mon amie, entre ses dents. Au-dessus de ma tête, les craquements de la table m’inquiètent, jusqu’à ce que tout s’immobilise, en même temps que Nino lâche un long râle de plaisir.



Je l’entends se rhabiller et se dépêcher d’aller vers la porte.



Et il sort. Quelques instants se passent dans le silence. Je murmure à Mathilde :



Je l’entends redescendre de la table.



Doucement, je relève la nappe : Mathilde est juste devant moi. Je relève à nouveau la robe et m’attaque aussitôt à ses lèvres. Sans même y penser, ma langue prend la place qu’occupait, il y a quelques minutes la bite de Nino. Je sens les mains de Mathilde se poser sur ma tête et la presser contre son entrecuisse.



Je continue ainsi à lui donner du plaisir, jusqu’à ce qu’elle se raidisse de tout son corps !

Elle vient d’avoir son orgasme.



Elle se recule jusqu’à me libérer de sa robe et, revenant vers moi, se penche pour m’embrasser sur les lèvres. Nos langues se rencontrent, se caressent, se font leurs adieux…



Me laissant seul.


J’attends quelques instants avant de sortir. La maison est remplie de personnes qui me sont totalement inconnues. Flânant de pièce en pièce, j’aperçois les beaux-parents qui discutent avec des invités. Un peu plus loin, c’est Nino qui semble raconter une blague à un ami. Puis finalement, je me retrouve avec Mathilde qui vient d’accueillir ses parents. On se remémore ensemble les petites anecdotes qui nous étaient arrivées du temps où je sortais avec leur fille, jusqu’à ce que la voix de la belle-mère se fasse entendre par-dessus le brouhaha :




Je vais être gentil : je vais vous épargner tout ça. Vous avez sûrement été acteurs(trices), ou spectateurs(trices) de ces cérémonies… Je vous laisse à vos bons souvenirs…

… Pour reprendre cette histoire au repas de noces.



Les mariés avaient préféré laisser les invités se placer comme ils le voulaient, si bien que tout le monde voulut s’asseoir à leurs côtés et entre individus de la même famille. De telle sorte que moi, pourtant témoin de la mariée, je me retrouve quasiment en bout de table, entouré de personnes que je ne connais et qui préfèrent discuter avec leurs cousins, oncles, tantes, plutôt qu’avec un simple inconnu qu’ils auront oublié demain, si ce n’est pas déjà ce soir. Par chance, les mariés ne restent assis à leur place : ils font plusieurs fois le tour des invités, seul ou à deux, si bien que je peux quand même discuter par moment avec eux.


À un moment - il n’est pas loin de 22 heures - j’éprouve le besoin de prendre un peu l’air. Je quitte la table et, slalomant entre les invités que je trouve sur mon chemin, je me retrouve sur la terrasse, dans l’air frais de cette soirée d’été. Je suis prêt d’un petit muret, les yeux dans la nuit, à regarder les étoiles, lorsqu’une main se pose doucement sur mon épaule, m’arrachant à ma contemplation.


Je me retourne. Devant moi se trouve une très belle jeune femme : Elizabeth.


Je l’avais déjà vue, mais comme j’ai passé sous silence toute la partie « cérémonie », je n’avais pas pu vous le dire.



Elle se positionne, prête à danser. Je n’ai plus qu’à m’incliner. Moi qui n’ai quasiment jamais dansé, je me surprends dans mes mouvements. Quelques petits tours plus tard, elle me glisse à l’oreille :



Je la regarde : elle a de nouveau son petit sourire coquin, de l’autre soir… Celui qui nous avait emmenés sur le lit…



Me prenant par la main, elle m’entraîne à sa suite dans la pénombre du jardin. J’ai comme une sensation de « déjà-vu »…




C’est ainsi que se termine mon récit…


Ma meilleure amie s’est mariée : il est temps de tourner la page. Il est vrai que je pourrais vous raconter ce qu’il s’est passé dans le petit abri de jardin, mais cela est une histoire… Entre Elizabeth et moi !


Si cela vous dit, je pourrais toujours revenir vous raconter quelques-uns des petits rendez-vous coquins que nous avons eus, dans le passé… À moins que vous ne préfériez une suite (positive ou négative) au mariage de Mathilde et de Nino…