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n° 09800Fiche technique18806 caractères18806
Temps de lecture estimé : 12 mn
20/10/05
Résumé:  Joyce continue de découvrir le libertinage avec Stéphane...
Critères:  fhh couple extraoffre grossexe hotel amour volupté intermast fellation préservati pénétratio double sandwich fsodo hdanus yeuxbandés init
Auteur : Giga  (Homme s'associant à une femme pour raconter ses aventures)      

Série : Les aventures de Joyce

Chapitre 02
Joyce découvre la pluralité masculine

Quelques semaines après nous être rendus dans ce club libertin, j’allais découvrir une autre facétie de Stéphane, l’homme avec lequel je vivais depuis quelques temps une relation toute particulière. Stéphane était en union libre avec une autre femme, nous nous étions connus sur le net et avec le temps, étions tombés amoureux. Je ne le voyais que deux ou trois fois par semaine, ce qui gardait la passion entre nous toujours aussi présente. Etre sa maîtresse me procurait des joies et des peines, mais je finissais par avoir envie d’un peu plus qu’un rendez-vous de quelques heures dans un motel.

De son côté, il avait arrangé les choses avec sa compagne et s’il sortait un soir, elle sortait le lendemain, créant ainsi un équilibre dans leur couple si extraordinaire.

Un après-midi, alors que nous avions prévu de nous rencontrer comme d’habitude dans ce fameux motel où nous avions nos habitudes, il m’appela :



Après l’avoir retrouvé, puis suivi en voiture, je m’aperçus bien vite que l’endroit où Stéphane m’emmenait était un bel hôtel à deux étages plutôt luxueux, en tous cas beaucoup plus que notre endroit habituel. Après avoir récupéré la clé, nous nous sommes dépêchés de rentrer dans la superbe chambre de cet hôtel. Un endroit spacieux, très lumineux, avec un très grand lit et une salle de bain magnifiquement équipée.

Dès la porte fermée, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre en nous serrant dans nos bras. Il me manquait, comme à chaque fois… Stéphane m’a accueilli bien volontiers et a commencé à me caresser aussitôt.

Après quelques instants, il a allumé la radio et une douce musique a envahi la pièce. Il se recolla à moi de plus belle et retira rapidement mon pull et mon soutien-gorge. Je voulus faire pareil avec sa chemise, mais il me retirait systématiquement les mains pour les reposer sur ma peau. En les tenant délicatement, il faisait en sorte que je me caresse la poitrine et le ventre. Je me sentais bien…

Il s’est mis ensuite derrière moi et a continué à me caresser tout en m’embrassant la nuque, chose que j’adore. Il me dit :



Il m’a faite asseoir sur le lit.

J’étais interloquée et surprise, d’autant qu’il a pris mon pull pour l’utiliser comme bandeau et me cacher les yeux.



Pendant le laps de temps plutôt court qu’il a pris pour aller chercher ce truc en question, je me posais mille questions, s’agit-il d’un cadeau ? De quelqu’un ? Le doute me rongeait bien un peu, mais ma confiance était totale et sa sincérité intacte. Stéphane connaissait parfaitement mes goûts en matière de sexe et ma personnalité n’avait plus aucun secret pour lui. Je ressentais même une excitation face à l’inconnu, à la surprise qu’il me réservait. Une minute après, il est revenu et a déposé un sac sur mes genoux. Je ne pouvais que le toucher et il me dit :



J’ai manipulé ainsi le sac, mais au moment où j’allais l’ouvrir pour sentir son contenu, il l’a posé sur la chaise, non loin du lit. Alors que j’étais toujours assise les yeux bandés, Stéphane retirait des objets du sac et j’entendis qu’il versait un liquide dans des verres, il me le tendit en me prenant la main. Du Bailey’s, ma boisson favorite, j’étais aux anges. Pendant que nous sirotions nos verres, nos mains libres touchaient le corps de l’autre. Les verres posés sur la table de chevet, nous nous remîmes debout face à face. Il me laissa déboutonner sa chemise, cette fois, et je pus la lui retirer. Sa peau nue contre ma poitrine me faisait frissonner…

La sensation d’être offerte à lui, les yeux bandés, me faisait chavirer de plaisir, ses mains caressaient mon dos, puis mes fesses et de temps à autre, il glissait sa main dans mon antre qui ne tarda pas à devenir humide de plaisir.

Il s’agenouilla ensuite pour me retirer mon jeans, très lentement, en me prodiguant de petits baisers tous doux le long de mes jambes. Il en fit de même avec mon string, toujours de façon aussi sensuelle, sa bouche à quelques centimètres de mon bouton… Je tendis mes reins pour que mon sexe rencontre ses lèvres. Comprenant ce que je voulais, il s’attarda un peu, puis il remonta la langue, en partant de mon clito, remontant vers mon bas ventre, puis sur mes seins, mordillant légèrement mes mamelons, il arriva à mon cou et colla son corps tout chaud contre le mien.

Pendant ses caresses, je ne restai pas inactive, je palpai sa peau et déboutonnai son pantalon pour y glisser ma main. Je sentis sa queue durcie et commençai à le branler doucement.



Ses mains se firent plus insistantes sur mes fesses et il ne tarda pas à me caresser doucement l’anus, tout en m’embrassant le cou. Il se rapprochait de moi, et je sentis son membre se coller le long de ma raie. On finit par danser un peu sur le son de la musique, j’avais relevé mes mains au-dessus de ma tête pour lui caresser la nuque.


Tout d’un coup, j’ai senti deux autres mains sur mes côtes, à quelques centimètres de mes seins. Un peu plus froides que celles de Stéphane, mais très douces et agréables. Je ne m’attendais plus à cette présence étrangère, m’étant faite à l’idée que la surprise était contenue dans le sac que Stéphane avait apporté. L’effet de surprise fut immédiat, je me suis complètement crispée et j’ai inexorablement enfoncé mes ongles dans la chair du cou de Stéphane.



Je comprenais mieux maintenant son entêtement à vouloir rester habillé le plus longtemps possible, le coquin ! Mais pour le moment, il était toujours dans mon dos et continuait son exploration des parties intimes de mon corps avec ses mains. Les deux autres mains s’étaient emparées de mes seins et caressaient les pointes déjà durcies. Je me dis à moi-même :



Je ne me suis pas posé la question bien longtemps, car en étant embrassée dans le cou, je sentis une moustache à peine naissante contre ma peau. Je n’avais pas bougé d’un millimètre, mes mains toujours sur le cou de Stéphane, quand il décida de me les retirer pour les poser sur les hanches de l’homme devant moi.



Je n’arrivais pas à me décrisper, j’avais un peu de mal à caresser l’inconnu en face de moi, et en plus je ne pouvais toujours pas le voir…

Il était doux, agréable même, et pourtant j’éprouvais de la gêne à le toucher davantage. Mais il savait s’y prendre avec le corps d’une femme et ses caresses ont tôt fait de me donner du plaisir. Cela m’a pour ainsi dire débloquée et je me suis mise à devenir entreprenante à mon tour. D’une main, je caressais Stéphane et de l’autre je rapprochais le corps de l’inconnu qui me faisait tant de bien. Je lui caressai les fesses, puis descendis sur sa cuisse, non sans passer aussi devant son membre, toujours emprisonné dans des vêtements, mais de taille imposante. Je voulus en sentir plus, il avait titillé ma curiosité et je me mis à dégrafer rapidement son pantalon, en délaissant un peu mon compagnon.



Je sentis Stéphane un peu nerveux de cette situation, aussi nouvelle pour lui que pour moi.



Je me dis sur le moment que Gaston, ce n’est pas bien jeune comme prénom et pourtant, juste à entendre sa voix, il ne m’avait pas semblé vieux. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il ajouta :



J’en avais 29, la différence d’âge n’était pas si grande. Je me suis sentie rassurée du choix de Stéphane.

Je me suis accroupie pour lui retirer complètement son pantalon et son boxer, non sans le toucher au travers du tissu. Il avait un sexe très épais, beaucoup plus gros que celui de Stéphane. Quand je me suis relevée, Stéphane a tendu un autre verre à mes lèvres et m’a doucement étendue sur le lit.

Mes jambes dépassaient du lit et je les ai repliées vers moi pour garder l’équilibre. C’est ce moment qu’a choisi Gaston pour se mettre à genoux et me lécher l’entrejambe.

Stéphane s’est glissé à côté de moi et m’a présenté sa queue pour que je la suce. J’ai passé ma main entre ses jambes pour lui caresser le derrière et les testicules. Avec l’autre main, je caressais les cheveux de Gaston. Sa façon de me lécher était très douce et plutôt originale, mais je n’arrivais pas à me détendre suffisamment pour y trouver le bonheur complet. Lorsqu’il mit un doigt dans mon trou, je jouis presque aussitôt, il avait rapidement trouvé l’endroit sensible à l’intérieur de mon vagin et je préférai très vite ce contact plutôt que seulement sa langue sur mon clito. J’ai pris sa main qu’il activait dans mon vagin pour lui faire comprendre que je voulais qu’il utilise plus d’un doigt. Ça a duré un bon moment, et j’ai joui quelques fois.

Gaston s’est ensuite éloigné pour prendre un préservatif. Stéphane en a profité pour se coucher sur le dos et m’a demandé de me mettre à quatre pattes pour continuer à le sucer. Ma bouche allait et venait sur son méat, je me concentrai pour lui prodiguer un maximum de plaisir.

J’étais complètement offerte à la vue de Gaston, la croupe bien relevée, décidée à me faire pénétrer rapidement. J’étais excitée par l’attente et les caresses buccales de Gaston, je voulais que son membre me prenne puissamment. Il s’est mis derrière moi, et plutôt que de me prendre d’un coup, il a joué avec son gland sur mes lèvres, puis sur mes fesses, il agaçait ainsi ma chatte et mon cul, c’était un vrai supplice…

Pendant que Gaston jouait avec mes nerfs, je m’occupais de Stéphane. Il aimait bien que je lui insère un doigt dans l’anus, de temps à autre. Tout en le pompant avidement, j’avais aussi lubrifié son trou avec ma salive, j’ai pénétré doucement l’index dans son anus. Au même moment, Gaston me pénétra. Nous laissâmes échapper tous les trois un grand râle de plaisir. Il avait vraiment une bite énorme et me remplissait complètement, chacun de ses va-et-vient frottait contre les parois de mon vagin et me procurait un plaisir immense. Il me tenait fermement les hanches et gardait un rythme plutôt lent, tout à savourer ma fente. À chaque fois que sa verge se retrouvait en moi toute entière, il me poussait doucement en avant et Stéphane s’enfonçait alors un peu plus au fond de ma gorge.

Stéphane profita de sa position pour mettre la main sur mon clito, touchant le sexe de Gaston au passage. J’ai joui quelque fois dans cette position.



J’obéis et posai ma chatte sur son visage. Il adorait recevoir mon jus et le sentir couler dans son cou. Gaston s’est relevé et s’est placé debout à côté de moi, pendant que Stéphane me léchait. Je l’ai pris dans ma bouche, mais il était très épais et je n’arrivais pas à prendre beaucoup plus que son gland dans ma bouche. Stéphane utilisa ses doigts pour ramener ma cyprine vers mon anus. Il glissa un doigt, puis deux et alternait ses pénétrations entre mes deux orifices.



De ses doigts qui faisaient des miracles, je sentis ma jouissance venir. Il m’a rapidement mise sur le dos et tout en jouant avec ses doigts m’a fait éjaculer abondamment. Le drap du lit s’est vite retrouvé mouillé.

Gaston regardait la scène avec envie, n’ayant jamais vu de femme éjaculer, il était redressé à l’extrême. Je sentais que Stéphane était plutôt fier de savoir comment il fallait s’y prendre pour me faire jouir à répétition ainsi. J’étais épuisée, mais j’avais encore envie de jouir. J’étais comme affamée d’envie. Gaston et Stéphane ont alterné leurs caresses buccales pendant un bon moment. Jusqu’à ce que je décide de m’empaler sur la bite bien dure de Stéphane.

Gaston s’est occupé de mon anus, tandis que j’allais et venais. Totalement dilatée par les caresses précédentes, il enfila deux doigts et les tourna pour dilater mon petit trou au maximum.

Stéphane me retira mon bandeau et je compris à ce moment-là qu’il voulait voir le plaisir dans mes yeux…

Gaston continua à me dilater, sachant que son membre était très gros. Cette préparation fut bien utile, car il présenta sa verge devant mon anus totalement ouvert et s’enfonça doucement, millimètre par millimètre, je sentis son gland passer et ensuite le reste fut comme aspiré, il se retira et recommença aussitôt. Durant cette pénétration, Stéphane ne bougea pas mais une fois les deux queues bien au fond de mes orifices, ils commencèrent à bouger en alternance.



J’ai toujours aimé la sodomie, quand elle est bien préparée et bien réalisée, ce qui était le cas à cet instant, mais ce que je ressentais était hors du commun, je sentais ces deux sexes en moi, se frotter au travers de ma paroi vaginale. J’ai joui au bout de quelques secondes de ce traitement. Cette jouissance a amené celle de Stéphane qui a déversé son jus alors que j’étais toujours sur lui. À entendre notre plaisir, Gaston s’est activé encore plus dans mon fondement et a fini par éjaculer sur mes fesses et mon dos, non sans avoir retiré le préservatif.

Nous étions bien… repus de plaisir et heureux, étendus tous les trois, côte à côte, moi sur le ventre entre les deux hommes, nous reprenions notre souffle. Lorsque je relevais la tête, c’était pour ainsi dire la première fois que mon regard trouva celui de Gaston. Je fixai longtemps l’homme qui venait de me sodomiser et qui était encore un inconnu quelques heures auparavant. Gaston était plutôt bel homme, avec un regard à la fois doux et pétillant de malice. Gaston s’est assis et nous a resservi un verre de Bailey’s glacé (il avait même pensé aux glaçons !). Il nous montra l’intérieur du sac, qui contenait divers accessoires que nous n’avons pas utilisés, un gode, une crème de massage et d’autres objets du même genre. Nous avons discuté quelques instants :



J’étais éberluée d’apprendre que Gaston était le mari de la sœur de Stéphane.



Gaston s’est relevé, a ramassé ses affaires et est parti en me saluant d’un bisou sur la joue. Je trouvai le geste très élégant de sa part et j’en fis part à Stéphane après son départ. Il m’avoua que c’était convenu d’avance qu’il nous laisse tous les deux. La fin de l’après-midi fut remplie de caresses et de baisers et Stéphane me fit l’amour de façon totalement exquise.


Quelques mois plus tard, j’ai rencontré pour la première fois la sœur de Stéphane, qui avait tout manigancé pour son mari. Au départ, j’étais totalement gênée d’être présentée, mais elle a su rapidement me mettre à l’aise en me demandant si j’avais aimé faire l’amour avec son mari. Je lui répondis que ça avait été génial et elle me dit qu’elle était ravie, qu’elle n’en doutait pas un seul instant et qu’elle était contente de son choix de cadeau. J’apprenais ainsi que cette soirée était une sorte de cadeau d’anniversaire de mariage de la sœur de Stéphane à Gaston. J’étais très surprise d’apprendre tout ça, et en même temps tellement heureuse d’avoir vécu cette expérience avec des gens si sympathiques.


La découverte du libertinage avec Stéphane me procurait des moments de plaisirs intenses et pourtant, je n’étais pas au bout de mes surprises. Quelques temps après, nous sommes en effet retournés dans le club libertin et je vous raconterai ce qui s’est passé dans une prochaine histoire…



Joyce