n° 09809 | Fiche technique | 26295 caractères | 26295Temps de lecture estimé : 15 mn | 24/10/05 |
Résumé: Ange ou démon, le coeur ou le cul | ||||
Critères: fh inconnu collègues amour volupté photofilm humour | ||||
Auteur : agerespectab (vieux schnock) Envoi mini-message |
NOËL et LEON
NOËL
Noël aime José.
José ne le sait pas, pas encore. Rassurez-vous, d’ici la fin de cette histoire, elle le saura. Mais pour l’instant, ce n’est pas le cas, heureusement, sinon je n’aurais plus rien à raconter. Enfin presque rien puisque, dit-on, les gens heureux n’ont pas d’histoire.
Noël aime José, laquelle n’a rien remarqué. Je me suis laissé dire que les femmes sentent instinctivement ces choses-là : c’est pas vrai. J’en ai au moins deux exemples.
Le premier remonte à une époque agitée de ma vie, au cours de laquelle je cherchais moi aussi l’âme sœur ; j’avais obtenu un rendez-vous par téléphone et lorsque nous fûmes en présence, peut-être que je lui plaisais, mais ce n’était pas réciproque. Elle était pourtant jolie femme, mais pas mon genre.
Comme je suis bien élevé, je n’en ai rien montré, l’ai invitée au spectacle, au restaurant, et enfin dans un bar très intime, musique douce et lumières plus douces encore, de façon qu’elle n’ait pas trop l’impression d’une soirée de merde.
Et là, les yeux brillants, elle m’a déclaré qu’elle partageait mon attirance : "les femmes sentent d’instinct ces choses-là" m’a-t-elle assuré… C’est un de mes pires souvenirs…
Mon deuxième exemple, c’est notre José, qui a un amoureux fou et qui ne le sait pas. Pourtant rien ne s’oppose à ce que José tombe dans les bras de Noël : ils sont libres tous deux, approchent la trentaine environ, se voient tous les jours ou presque : ils sont enseignants dans le même établissement.
Et bien, Noël est timide avec José ; bon, c’est pas un gros truc que je vais vous révéler là, les garçons amoureux peuvent quelquefois se montrer paralysés en présence de leur idole. C’est plus rare pour les filles, bien que ça puisse aussi se faire, mais j’en ai vu de bien timides qui parvenaient quand même à leurs fins grâce à des astuces diaboliques, ou féeriques, si vous préférez.
Toute l’équipe pédagogique sait que Noël est raide dingue de José, croyez-vous qu’il se trouvera quelqu’un pour aider ce pauvre garçon ? Mais non !
Comment se fait-il, me direz-vous ?
En fait, Noël est joli garçon. Donc les enseignantes ne voient pas grand intérêt à ouvrir les yeux de José ; mais non, je ne veux pas dire qu’elles sont toutes après lui telles des chiennes, vous me connaissez, je ne suis pas du genre à baver sur mon prochain, mais enfin toutes font un calcul simple : on ne sait pas de quoi demain sera fait, et chacun doit se mêler de ce qui le regarde.
Et José ne regarde pas Noël comme elle le pourrait, comme un homme en adoration.
Peut-être n’est-il pas son genre, pensez-vous ? Non, vous n’y êtes pas.
La vérité, c’est que José est follement amoureuse de Noël, et au moins aussi timide que lui.
Ah ! Je vous entends penser, et même vous exclamer : "ça fait environ quarante lignes qu’il nous gonfle avec ses deux oiseaux, il n’y a pas encore eu la moindre scène de cul, et pour couronner le tout, y a bientôt plus d’histoire !!! "
Vade Retro ! Hommes de peu de foi !
Je rappelle ici que :
Et pourquoi la fraction mâle des collègues n’aide-t-elle pas les amours de Noël ? Pour la raison que Noël est seul du sexe dit fort dans cette boutique-là, en plus d’un CPE vieillissant qui estime avoir autre chose à faire, par exemple avec toutes ces gamines, qui ont tant de problèmes qu’il arrive que l’infirmière à temps très partiel en pleure d’énervement.
LEON
Léon aime les filles.
Toutes les filles ? Oui, toutes les filles, mais évidement avec des préférences.
D’abord, ce qu’il préfère, c’est leur cul. Les fesses des filles, ça l’obsède. Pas très original, c’est certain, mais il faut souligner son effort constant d’enrichissement de sa collection.
Il met au service de sa passion une technique éblouissante pour approcher ses proies, les charmer, les amener sans heurts dans un coin tranquille, les persuader de se dénuder ou bien de le laisser faire lui-même, et les baiser avec les meilleurs usages, appelés communément "préliminaires" et qui n’ont d’autre fonction que de faire en sorte que le mâle ne se fasse pas mal en entrant.
Avec certaines, point n’est besoin de science, la seule promesse de délices exceptionnelles suffit à les amener au degré d’onctueuse humidité souhaitable ; mais elles ne sont pas aussi nombreuses que le prétend une rumeur machiste.
Dans la plupart des cas, il faut murmurer à l’oreille des choses douces, ou crues quelquefois – et Léon excelle dans l’art de ce distinguo – tout en caressant suavement les zones érogènes du sujet – de la sujette si vous aimez mieux - après avoir assuré un environnement non compromettant, garçonnière, hôtel à carte magnétique, appartement d’une amie complaisante - voire curieuse - les exemples ne manquent pas, l’essentiel étant que le sujet d’étude – désolé, je ne peux pas dire "la sujette d’étude"- se sente absolument en confiance dans cette intimité .
Léon reste persuadé que les exhibitionnistes sont rares, et pas de très bons coups puisque distraites de l’objectif par leur marotte. Pour bien me faire comprendre, je dirais que le coup de queue dans une porte cochère ne l’inspire pas et, détail capital, nuit à l’obtention de clichés de qualité.
Car, pour Léon, un bon coup n’est pas seulement une drague réussie, une baise magnifique, mais aussi et surtout une ou plusieurs photos du postérieur de la dame.
Pour ce faire, faisant semblant d’être agacé par un coup de téléphone importun, il s’arrange pour prendre quelques clichés de la mignonne illustrant au mieux ce que son envers peut avoir de charmant, d’intéressant, de spécial ou d’original.
Imaginez la sujette, positionnée le nez dans l’oreiller, attendant une caresse ou autre surprise, elle ne voit pas que Léon qui affecte de parler, excédé, dans un de ces nouveaux téléphones, mitraille l’adorable paysage.
Il la fera languir en lui faisant prendre plusieurs poses, à plat ventre, sur les genoux, et puis non, finalement ça serait mieux avec les deux oreillers sous le ventre …
Et la pauvrette imagine généralement qu’elle a à faire à un artiste de la baise, et que sa docilité aidera à sa félicité et à se constituer des souvenirs.
Les images ainsi obtenues vont enrichir la collection de Léon ; pour pimenter la chose, au moment de se quitter, il demande et obtient facilement la permission d’un petit portrait, le visage de la sujette, tiré en 4X4, sorte de photo d’identité du cul qui va bientôt prendre place dans son album secret.
NOËL
Adonc, José eut bien aimé être courtisée ; entre nous elle avait tout pour qu’on la courtise, une peau fine et mate, une chevelure "aile de corbeau", un petit nez droit aux ailes délicates et frémissantes, un grain de beauté sur la pommette qui évoquait les "mouches" des élégantes du grand siècle, une taille élancée bien que moyenne, des formes avenantes et surtout une élégance naturelle dans le maintien et les gestes.
Si je vous dis qu’elle n’avait jamais eu de chahut, tellement elle en imposait tout naturellement sans presque élever la voix, vous n’allez pas me croire, et pourtant il lui suffisait de s’interrompre pour que les garçons se taisent, d’abord, les filles ensuite, et qu’en moins d’une minute la classe soit attentive, à part bien sûr ceux qui étaient profondément endormis.
Il est évident qu’elle aurait pu s’habiller plus sexy ; mais on peut imaginer qu’une partie de sa réussite tenait précisément à ce qu’elle faisait rêver les garçons, qui ne pouvaient se la représenter autrement qu’en belle prof, grande sœur ou maman, c’est-à-dire en femme sacralisée, plus ou moins, bien qu’à cet âge, je sais, ils sacralisent assez difficilement, à part les chanteuses bimbo et les footballeurs.
Quand aux filles ? Ben, c’est simple, elles ne la voyaient pas comme une concurrente. Et même deux ou trois d’entre elles s’en faisaient un modèle, sans oser espérer plus intime encore.
Il fallait donc, pour débloquer cette situation, que le hasard s’en mêlât. Ce qu’il fit : mais oui !
Un mardi soir de mars, José sort de l’école, marchant quelques mètres devant Noël ; elle porte ce jour-là, contrairement à son habitude, des chaussures à hauts talons très minces, et son talon droit se plante dans la grille d’écoulement des eaux de pluie, elle se tord la cheville et tombe.
En trois bonds, Noël est auprès d’elle et lui tend une main secourable qu’elle saisit, et elle tente de se relever ; mais elle se laisse tomber à nouveau avec un cri et une grimace :
Elle indique du bras la direction ; il aperçoit la petite Clio gris perle à une cinquantaine de mètres.
Il hèle un garçon à proximité:
Elle farfouille de la main gauche dans son sac et lui tend le trousseau. Et c’est parti, il a pris dans ses bras la jeune femme, les clés dans la bouche, et Jojo qui suit avec les bagages et la chaussure qu’il a pu décoincer. Les deux garçons déposent le tout dans la voiture, Noël s’installe au volant et démarre.
José est impressionnée par le calme et le sang-froid de son collègue, mais tout de même, elle intervient :
Manque de chance, les urgences du CHR sont bondées ; après palabres avec l’équipe de service survoltée, Noël estime à trois heures au bas mot le délai d’intervention.
Enfin, vers une heure du matin, il gare la Clio devant la porte de l’immeuble où réside José. Ce n’est pas encore gagné, car l’appartement est au second sans ascenseur, et il lui faut porter la jeune femme, puis faire un second voyage pour ses affaires, tant celles de l’école que tout le fourbi dont la clinique les a dotés.
Il commence à être un peu las, surtout parce que la tension nerveuse s’effondre doucement, mais il se sent au paradis près de sa belle et fait front. Il l’installe confortablement sur son lit, avec deux gros coussins derrière le dos, et déclare qu’il va préparer un repas.
José se cache le visage dans les mains pour masquer l’hilarité qui la gagne. Elle se rend bien compte que c’est idiot, qu’elle ne pouvait rêver infirmier plus dévoué, plus chaleureux, plus vaillant aussi, mais cette envie de rire peut être due à un effet euphorisant de la piqûre ; sa cheville est énorme, violacée, et la radio a effectivement montré un petit arrachement osseux ; un mois de repos complet !
Noël revient un quart d’heure après avec un plateau ; il y a du jambon blanc et des pâtes, du beurre, deux yaourts, une bouteille d’Evian, il semble bien qu’il n’ait rien oublié d’essentiel.
De plus les pâtes sont délicieuses. Ils ont tellement faim qu’ils dévorent tout ; et puis, catastrophe ! La voilà qui se met à pleurer !
Alors là, imaginez-vous sa stupeur ? V’là que sa chérie virtuelle devient une réalité, un peu plus il en retrouverait sa paralysie ; mais si l’une des jambes de José est hors service, il lui reste encore au moins deux bras, qu’elle utilise pour le saisir par la nuque, l’attirer vers elle et l’embrasser passionnément.
Et de lui chuchoter à l’oreille :
Et ses yeux brillent et la regardent intensément.
Toutes ces phrases ont été dites en murmurant, effarés l’un et l’autre d’avoir pu les dire, formidablement heureux qu’elles soient dites.
Vous imaginez sans doute le fard qu’arbore notre Noël, la vivacité avec laquelle il se dresse, l’embarras avec lequel il interroge :
Il lui a ôté sa jupe ; son collant, bousillé, lui avait déjà été retiré par les infirmières. Elle lui a demandé sa chemise de nuit, dans la penderie, sur un cintre avec son peignoir, et pendant qu’il cherchait elle a retiré son pull et son soutien-gorge, puis a attendu, les yeux fermés, qu’il la retrouve ainsi, offrant ses seins nus.
Il en est resté interdit et bouche bée tellement elle était belle.
La gorge nouée d’émotion, il l’a aidée à enfiler la chemise, puis l’a portée jusqu’aux toilettes dans la petite salle d’eau. Il l’a déposée sur le siège avec un luxe de précautions qui la faisait sourire sous cape, et s’est retiré en fermant la porte.
Au bout de cinq minutes, il a demandé timidement "ça va, José ?" et il a entendu "Non !"
Il s’est donc rapproché et lui a demandé :
Il la retrouve dans l’état exact où il l’avait laissée…
Il lui trousse sa chemise et baisse délicatement la culotte.
Bien entendu, le friselis de ce petit pipi le fait bander comme un âne du Poitou ; d’autant que la pauvrine en avait accumulé un tel volume que l’opération n’en finissait pas, elle était toujours suspendue à son cou, mais il ne ressentait aucune fatigue…
Cela lui valut un baiser, de ceux que l’on n’oublie pas tout de suite.
Faut-il vous raconter comment ils ont passé ce qui restait de nuit ? Oui ? Vous êtes vraiment des vicieux, car avec sa cheville en capilotade, elle ne pouvait exécuter toutes les figures du Kamasoutra. En fait ce fut assez simple, assez basique, mais ils parvinrent quand même à se donner du bon temps. De toute façon, ils étaient ivres de bonheur de s’être trouvés.
LEON
Sa collection de fesses avait été d’abord constituée au fur et à mesure, au fil de l’eau. Mais les femmes, comme d’ailleurs les hommes, présentent (si l’on ose dire) des culs très divers. Je devrais écrire, comme les bons auteurs d’autrefois, des chutes de reins.
Il apparut bientôt que s’il voulait retrouver rapidement un vieux souvenir, le classement simplement chronologique de ses photos n’était pas très commode; c’est pourquoi il s’était attaché à remanier complètement le rangement de tous ses derrières féminins, en les classant dans différents albums par type morphologiques.
Lorsque Léon examine le côté pile d’une dame ou damoiselle, son évaluation englobe les hanches, qui gagnent à rappeler la forme des amphores antiques, mais avec toute la fluidité souhaitable, sans pli marqué, taille trop pincée, culotte de cheval – rédhibitoire - cuisses de sportives par trop musculeuses, et, côté face, genoux proéminents.
Si aucun de ces défauts n’est trop présent, il prend le temps d’admirer les fesses, qui sont presque toujours belles, quand elles accompagnent la splendeur d’une pareille chute de reins.
Elles ne sont alors pas vraiment rebondies, simplement rondes, joliment séparées des cuisses par un pli adorable, et quelquefois surmontées chacune, dans la région lombaire, d’une mignonne fossette.
Elle peuvent être d’une blancheur de nacre, ou pain d’épice, ou plus foncées encore, mais il ne lui plaît pas qu’elles montrent une marque de slip séparant deux zones de couleur de peau.
Mais, le plus souvent, le "tout venant", ce sont les petites fesses nerveuses, très cambrées, ou très peu, les grosses avec taille mince, ou épaisse, façon modèle de Renoir, à la peau fine, au grain serré, ou bien en peau d’orange, ou constellées de petits boutons.
Ce dernier point, je veux dire le grain de peau, constituait pour Léon un problème, en ce sens que les photos ne peuvent rendre l’impression reçue au toucher.
Quand il feuilletait ses albums, essayant de se remémorer l’émotion qu’il avait ressentie avec Clotilde, il était frustré de ne pas retrouver le ravissement éprouvé en caressant cette croupe dont la perfection tenait du miracle. D’autant qu’elle était très crédule, et, ne doutant pas un instant de la profession de Léon, "chef de casting", l’autorisait sans faire d’histoire à toutes les évaluations tactiles, allant jusqu’à subir la fessée sans trop protester ; il lui avait bien expliqué que certains tournages pouvaient nécessiter qu’elle montrât un postérieur rougi par la sévérité de l’institutrice – une histoire des siècles passés, bien sûr – mais, qui plus est, que les exigences de la technique obligent trop souvent à refaire les prises plusieurs fois… Il fallait absolument vérifier si ses fesses prenaient bien la couleur, et combien de temps elles la gardaient.
Or il advint que ses recherches le conduisirent à rencontrer Séverine.
Au premier coup d’œil, du fait qu’elle portait ce pantalon noir très mode, il vit qu’elle possédait un fessier rare.
Les épaules étroites et la taille fine, ses hanches s’évasaient très progressivement, et à première vue il n’y avait pas la classique "culotte de cheval" qui s’observe en pareil cas.
Il décide de s’intéresser sur-le-champ à cet objet d’étude mais à peine a-t-il le temps de commencer une phrase qu’il prend une beigne qui n’est pas d’étude, mais magistrale. On imagine que sa quête lui a valu de nombreuses avanies, et que son moral ne saurait s’écrouler pour si peu. Il appelle à lui son expérience, qui est vaste et, prenant l’air penaud :
Ses yeux sont flamboyants, elle ressemble à Katharine Hepburn dans "African Queen" et notre Léon en est troublé. C’est la première fois qu’il s’attire une réaction aussi vive, bien que n’ayant eu, cela va de soi, aucun geste déplacé.
Et voilà comment prit fin la collection de Léon.
Car Séverine, femme de tête – et pas seulement, nous l’allons voir tout à l’heure - avait décidé que ce serait lui.
Dans l’escalier où elle le précède, il peut déjà observer que ses premières constatations sont fondées.
Statique, son cul est admirable, mais dynamiquement parlant, il est étourdissant ; on pourrait parler de balancement harmonieux en phase avec la flexion de la taille, de frémissement de masses (à l’étude actuellement au CNRS), de démarche élégante, et toutes ces expressions, même conjointes, restent pauvres.
Pour faire simple, disons que ce que les filles du Crazy Horse mettent des mois, voire des années, à acquérir, Séverine semble l’avoir reçu à la naissance.
Quand elle s’est mise nue pour lui, ce fut l’éblouissement. Il craignait tous ces artifices dont les femmes ont l’habitude pour nous donner l’illusion de la beauté ; mais Séverine est vraiment exceptionnelle.
Au-dessus de ses cuisses longues, son fessier est digne de l’adoration des artistes passés, présents et à venir. Ses chevilles fines, ses mollets ronds ne déparent pas, bien sûr, et lorsqu’elle se tourne, elle offre aussi de petits seins mignons à croquer – là encore, bande d’incultes, il faut sans doute vous préciser que ça veut dire "dessiner", faire un "croquis", et non pas mordre sauvagement - et demande :
C’est ainsi que Léon se fit mettre la corde au cou par son amour du cul, tandis que Noël fut pris par le coeur. Ne le plaignez pas trop malgré tout, car ses amours avec José furent aussi pleines de délices, que je pourrais vous conter un de ces jours, si vous êtes sages.