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Temps de lecture estimé : 6 mn
25/10/05
Résumé:  L'histoire de la libération de Babou se poursuit
Critères:  2couples couplus fépilée caférestau cinéma telnet noculotte
Auteur : Franck  (J'adore les histoires érotiques)      

Série : Fantasme de Babou

Chapitre 03
Babou - chapitre 3

Fantasme de Babou (03) et son « éducation ».


Il y a plusieurs semaines que j’étais venu vous présenter Babou, mon épouse depuis dix-neuf ans. Je lui ai fait découvrir votre site, elle a aimé mes récits et m’a demandé de poursuivre.


Alors, je reviens vers vous.


Babou aime les yeux des hommes sur elle. À l’aube de la quarantaine, elle prend plaisir à découvrir que son corps suscite le plaisir chez un homme. Voici deux expériences réelles vécues par Babou qui pour moi sont la preuve du cheminement de sa libération.


Mi-septembre, un samedi soir, je convie Babou dans un restaurant "classe" à une cinquantaine de kilomètres de chez nous, où nous n’avions que peu de risques de croiser des têtes connues. Quand Babou est descendue de la chambre, j’étais aux anges. Elle était vêtue d’une robe en dentelle noire, doublée au niveau des seins et assortie d’un jupon pour la partie basse. Le reste n’était que transparence. J’avais pu constater, en fin observateur que je suis, et à la lumière d’un adorable balancement, que Babou avait omis de mettre un soutien-gorge. Nous sommes partis dîner ; j’étais le plus heureux des hommes d’avoir à mes côtés une femme aussi sensuelle. Avant de quitter le restaurant, Babou fait un petit détour par les toilettes. Lorsqu’elle en ressort s’offre à mes yeux un délicieux spectacle : le jupon a disparu et la transparence de la robe laisse apparaître le pubis de Babou, car aucune culotte ne protège ce merveilleux spectacle. Je crois que le maître d’hôtel qui est à l’accueil n’a rien vu, mais j’ai adoré ce geste audacieux de Babou. Nous reprenons la voiture. Babou se met à l’aise, je pose ma main droite sur sa cuisse. Aussitôt le compas de ses jambes s’ouvre comme un appel pour ma main. Je remonte doucement vers l’intérieur, j’apprécie la douceur de la peau à cet endroit. J’arrive à la hauteur de son sexe. Je découvre là aussi un monde de douceur car Babou a fait une épilation pour cette soirée. Je passe avec lenteur mes doigts sur ses lèvres pour profiter de leur délicatesse. Je constate qu’il règne une chaleur intense dans ce secteur, et mon majeur s’aventure entre les lèvres qui s’ouvrent instantanément. Une humidité importante est déjà présente. J’approche un doigt de l’entrée du vagin et je découvre pourquoi Babou est si intensément excitée. Son vagin abrite depuis que nous avons quitté la maison ses boules de geisha. Je suis aux anges. C’est la première fois que Babou les porte de sa propre initiative. Son excitation est à son comble et il faut que ma main lui apporte la jouissance que son corps appelle …


Le deuxième évènement qui me révéla la progression de la libération de Babou est tout récent. C’était un soir de la semaine dernière où nous étions sur Internet pour voir si certains de nos amis étaient en ligne. Quelle joyeuse surprise : un des amis, avec lequel nous n’avions pas discuté depuis des semaines était présent ! J’avais l’impression que Babou était d’humeur libertine. Je savais qu’il y avait un certain feeling avec notre ami en ligne. J’avais envie « d’offrir » Babou à notre ami. Nous avions déjà fait des cams coquines mais, pour la première fois, elle se livra totalement au jeu que je lui proposais. En effet, elle réalisa un petit « show » érotique où je me suis contenté d’être un instrument de son plaisir avec mes doigts et ma bouche. Elle s’exhibait avec beauté devant notre ami, se caressant avec sensualité, venant à la rencontre de mes doigts et de ma bouche. Elle alla par deux fois à la rencontre du plaisir et jubila de voir jaillir à l’écran le sperme de notre ami. Voici ces mots : « Hum, il en a partout ! »


Vous voyez que Babou se libère. Aussi, je fantasme sur les étapes suivantes. Car, moi aussi, je me suis transformé ces derniers mois. J’étais un mari jaloux, possessif et me voilà libéré de ces entraves. Mon imagination donne libre cours à présent à des situations que je rejetais il y a peu. Je m’imagine jouer les voyeurs en observant ma femme dans les bras d’un homme, observer son sexe s’ouvrir sous des doigts qui ne seraient pas les miens, m’émerveiller devant ses yeux révulsés alors qu’une queue qui ne serait pas la mienne la pourfendrait.


Et si c’était pour demain…


Ce mois-ci, c’était Babou qui devait prendre en charge le programme de notre samedi soir (on avait pris la décision qu’une fois par mois, chacun notre tour, nous convierions l’autre pour une soirée d’aventure). Elle avait choisi un ciné pour commencer la soirée. Je me laissais porter, j’étais heureux qu’elle ait concocté cette soirée. Elle m’avait demandé d’être prêt à 18 h 30. Je la vis descendre l’escalier toujours aussi séduisante : elle portait une jupe portefeuille qui s’ouvrait à chaque marche, laissant apparaître la dentelle de ses bas. Babou était très sexy, bien maquillée, assez femme fatale, sûre ce soir de son pouvoir de séduction ! En haut, elle portait un chemisier transparent qui laissait apercevoir son soutien-gorge, offrant ses seins au regard. J’étais une fois encore aux anges.


Nous arrivons au complexe cinématographique. Elle me dit quel film elle veut voir. Je vais acheter les deux places et nous nous dirigeons vers la salle. Il n’y a pas grand monde. Nous prenons place au dernier rang, c’est le meilleur pour regarder le film. Quelques instants après, un autre couple vient s’installer à nos côtés, dans nos âges à priori. Il était temps qu’ils arrivent, les lumières s’éteignent et le générique apparaît sur l’écran.


Dix minutes après le début du film, le couple d’acteurs principaux se livre à une scène d’amour dans une atmosphère très sensuelle. Instinctivement, je porte ma main sur la cuisse de Babou. Ses jambes étaient croisées et je n’avais pas remarqué, dans l’obscurité de la salle, que sa jupe portefeuille s’était ouverte assez haut pour découvrir la lisière de ses bas et le début des jarretelles. Notre voisin avait-il remarqué ? D’un seul coup, une excitation certaine m’envahit. Babou décroisa les jambes, mais omit de remettre sa jupe en place. Discrètement je jetai un œil à ma droite, l’homme assis à côté de Babou fixait l’écran et cela me fit sourire car il avait aussi sa main sur une des cuisses de sa compagne.


Je regardais le film avec de moins en moins d’assiduité. Je promenais ma main sur la cuisse de Babou, remontais de plus en plus haut pour apprécier la douceur de la peau au-delà des bas. D’un seul coup, les battements de mon cœur s’accélérèrent ! Le dos d’une main avait frôlé la mienne. Mon regard se porta immédiatement sur les jambes de Babou et… oh surprise ! La main qui venait de me frôler appartenait à notre voisin ! J’étais au comble de l’émotion. Babou scrutait l’écran !


D’une légère pression, je l’invitai à ouvrir ses cuisses. Elle répondit immédiatement à ma sollicitation. J’observai son visage. Alors que nos deux mains envahissaient son entrejambe, Babou se mordait légèrement les lèvres. Et là, je jubilais. Etais-je à nouveau en plein rêve ou le fantasme se transformait-il en réalité ? Ma main remontait toujours plus haut pour découvrir que l’endroit tant convoité n’était protégé par aucun rempart et que, pour mon plus grand plaisir, le sexe de Babou était totalement imberbe, d’une douceur divine comme je l’adore. À nouveau, je sentis la main de notre voisin. Sans réfléchir, je lui laissais l’accès à l’abricot doré de ma petite femme. Je portais mon regard sur ses yeux, elle les avait fermés, à l’écoute de son corps. Puis je replongeais vers ses jambes et constatais que cette main inconnue s’était emparée du sexe de Babou pour se lancer dans une exploration des plus précises.


À présent, ses cuisses étaient grandes ouvertes pour permettre à cette main de l’investir totalement. Sa bouche était légèrement entrouverte pour laisser échapper des soupirs. Ma Babou laissait parler son corps et le plaisir l’envahir.


Je n’ai pas besoin de vous dire que je ne regardais plus du tout l’écran. Je songeais à m’intéresser à la compagne de notre voisin pour vérifier si elle avait remarqué l’occupation de son mari. Bien sûr qu’elle avait remarqué, car sa main avait une certaine activité. Oui, elle avait même l’air d’apprécier car elle s’occupait de son mari. Elle avait attrapé la main de Babou et se livrait à un concerto à deux mains sur la hampe de ce monsieur.


J’entendis distinctement le feulement de Babou qui m’apprit qu’elle venait de jouir. J’avais la preuve qu’elle venait de gravir une marche supplémentaire dans l’explosion de sa libération. Elle avait à présent reporté son attention sur l’activité de sa main. Et son voisin inconnu semblait tout particulièrement apprécier, son bassin devançait cette main. Le résultat escompté arriva : des jets blanchâtres jaillirent !


Le film arrivait à sa fin, je serais bien incapable de vous en raconter l’histoire. Nos compagnons de soirée nous proposèrent d’aller boire un verre.


La suite de la soirée, c’est pour une prochaine fois, si vous avez aimé.


Franck